Savonarol

C'est un cliché de considérer que la fille étrangère est toujours une galérienne. C'est souvent des têtes qui font leurs études en France dans des domaines scientifiques pointus. Les femmes étrangères ne font pas ce type de faute, elles

De l'humilité.

C'est à dire qu'on a vendu aux femmes françaises (mais américaines d'abord) que le must c'était être une woking girl a l'américaine, qui trime dans une version stakanoviste d'elle-même au sein d'un horrible monde oppressif masculin. Mais aujourd'hui, comme la femme est libre de bosser dans la pub comme les couillons de mecs des années 90, elle considère qu'elle est libre même si elle ne comprend pas pourquoi elle est triste et seule à 45 balais, et que malgré le fait qu'elle continue de s'habiller comme une gamine de 20 ans, les mecs préfèrent aller voir de vraies filles de 20 ans. Du coup on se demande l'intérêt de la liberté. A noter que tout le travail des libertaires du 19e siècle et du 20e a toujours été de s'émanciper du travail, c'est d'ailleurs pour cette raison que les plus grands capitalistes font bosser les autres à leur place.

On se rassure comme on peut. ^^ C'est donc du 5eme degré, car personne ne peut décemment être jalouse de Vilaine.

Si, plein, mais pas en France. (il faut suivre)

Laurent Obertone a écrit un livre extrêmement bien sourcé qui confirme que le grand remplacement est bien évidemment loin de n'être qu'une "théorie", comme s'il ne suffisait pas d'être doté d'un bon sens de l'observation

Les françaises intéressent de moins en moins les français. Arrogantes, agressives, pimbêches au plus haut niveau, bourrées de prétention dont on ignore ce qui peut bien les justifier, les français se tournent de plus en plus vers les valeurs sûres, les filles de l'Est (Moldavie, Roumanie, Hongrie) issues des sociétés traditionnelles, mais aussi les asiatiques, japonaises, cambodgiennes, etc. La française, fille mutine, coquine et provocante dans l'imaginaire collectif au cours des années 60, devient une harpie plaintive, une féministe délirante qui fait semblant de chercher un homme "qui lui ressemble", soit un flan à la vanille de type asexué, d'un mètre soixante cinq à cheveux bleus, alors qu'en vrai elle rêve d'un métis africain, d'un arabe à poigne ou autre stéréotype de ces valeurs patriarcales qu'elle vomit toute la journée.; Quand elle trouve quelqu'un qui accepte de l'engrosser, la française n'arrive guère à le retenir plus de quelques années avant qu'il ne se tire en quête d'une meilleure compagne. Alors, la française, avec ses gosses, se tourne vers adopteunmec ou tinder, où elle établie une liste longue comme le bras de revendications mystico-politique sur ce qu'elle attend d'un "homme idéal", oubliant qu'elle ne vaut plus grand chose sur le marché de la drague, car ses nichons commencent à tomber, et que peu de mecs auront envie d'assumer les gosses d'un autre, quand bien même elle serait la meilleure suceuse de planète. Alors la française reste des années sur adopteunmec et tinder (c'est gratuit pour elle donc ça va) , puis quand elle se sent foutue, qu'elle a fait le tour de tous les profils de sa région et qu'à part quelques plans culs elle ne trouve aucun mec qui accepte de la supporter, elle s'achète un gode, un caniche, et alterne entre l'un et l'autre pour se donner du plaisir sexuel tout en postant des photos méga-filtrées (pour avoir l'air moins vieille et triste) sur Instagram, histoire de peut être finir par attirer l'attention d'un borgne (un gilet jaune par exemple, par les temps qui courent ça pourrait marcher) qui accepterait de se branler en regardant ses nichons sur facetime. Merci de votre attention.

Mais complètement. La législation existante est déjà d'une bêtise abyssale, autant ne pas en rajouter. Quand je vois que mon petit neveu de 14 ans n'a pas le droit de jouer à Assassin's creed parce que c'est PEGI 18, il suffit de parler 2mn avec lui (ou avec n'importe quel ado) pour s'apercevoir que ce genre d'interdiction est proprement ridicule, et que ça n'est pas parce qu'un enfant va incarner un assassin qu'il va le devenir. Les bouquins de Sade d'ailleurs ne sont pas pegi 18, ni ceux de Fante et de Bukoswki. Ce que je crois c'est que les gens ont besoin de trouver des coupables pour tout. C'est pas pour rien que le bouquin "Rage" de S.King a été sacrifié après la tuerie de Colombine, il faut toujours un bouc émissaire, comme dirait René Girard.

La censure a tour de bras et l'infantilisation ne me semblent pas être des valeurs très intéressantes. Quant aux jeux vidéos qui provoqueraient la violence, on est dans le fantasme pur depuis la fin des années 80. Jamais on a pu démontrer un lien entre violence et jeux vidéos, il semblerait même d'ailleurs que la violence dans les jeux vidéos aient un rôle de catharsis. Trois messages que tu te victimises pour une remarque ironique et c'est moi qui gâche la discussion. Tu veux un mouchoir ?

J'ai joué à des tas de jeux qui aujourd'hui seraient interdit -18 avant que le système PEGI ne soit en vigueur. Aujourd'hui, quand je discute avec mon neveu de 12 ans, il n'a pas besoin d'un macaron "-18" pour comprendre que jouer à Assassin's creed, ça n'est pas la réalité et qu'il ne faut pas ensuite aller tuer des gens dans la rue. Je crois en effet qu'on devrait pouvoir faire des jeux sur absolument tout ce qu'on veut, de la même manière qu'on devrait avoir le droit de dessiner, d'écrire ou de parler sur tout et n'importe quoi. Généralement, le tri est fait facilement car les gamers ne jouent pas aux mauvais jeux vidéos, qu'ils mettent en scène des viols ou des meurtres. Ce que recherche le joueur n'est pas la violence ou la transgression, mais un support agréable, une histoire plaisante, exactement comme dans un film ou dans un livre. Et on n'a pas besoin de maître censeur garant des bonnes moeurs pour se faire une opinion sur tel ou tel création. Cette manie de vouloir systématiquement tout interdire est lassante. Quant à ton neveu, le fait que sa place soit dans une chambre capitonnée ne veut pas dire que les jeux vidéos en sont responsables. Les malades mentaux existaient avant les jeux vidéo et existeront après.

J'entends ce discours depuis les années 90, et il ressort systématiquement à chaque fois qu'un nouveau jeu un peu trash sort. Comme si il fallait infantiliser le consommateur de jeux vidéos, infoutu qu'il serait de faire la différence entre une fiction (toute gore soit elle) et la réalité. Or il est honnête de constater que Hitman n'a pas généré des armées de tueurs à gages en puissance, ni GTA des générations entières de mass murderers fous du volant.

Mets de côté l'ironie de la question en te concentrant sur la question elle-même si tu préfères. Depuis quand faudrait il de bonnes raisons pour justifier quelque chose qui n'existe pas ?

Non, on parle de jeux vidéos. La réponse est dans l'énoncé : JEU vidéo. Quand des gosses jouent au gendarme et au voleur, celui qui fait le voleur ne commet pas réellement un crime. Tu savais pas ? "Ce qui fait commettre un acte illégal même fictif" , (donc pas illégal puisque l'acte illégal "fictif" ça n'existe pas. Soit l'acte est illégal, soit il est fictif mais pas les deux.) Jouer à commettre des crimes n'est heureusement pas puni par la loi au même titre que les crimes, sinon on vivrait dans la pire des sociétés kafkaïennes où la bonne morale devrait régenter la manière dont les quidams choisissent de s'amuser. Ma question était en fait rhétorique : un JEU n'est pas la réalité, c'est pour ça qu'on peut strictement y faire ce qu'on veut, et ce depuis l'invention des tous premiers jeux vidéos. On n'interdit pas les jeux de rôles de table dans lesquels on peut faire strictement ce que l'on veut, (tuer massacrer incinérer) Si tu veux interdire des jeux sur la base que ce qu'ils SIMULENT est illégal, alors tu vas devoir t'en tenir à pas grand chose. Et pour apprécier d'incarner un assassin, par exemple (Hitman, Assassin's creed), faut-il avoir l'esprit tordu ?

Interaction ou pas, on n'a pas attendu les jeux vidéos pour vouloir censurer, interdire, bannir, honnir, "au nom du bon goût", films et livres en tout genre à partir du moment où ça choquait la bonne morale ambiante. Les autodafés sont rarement l'apanage des pays libres. Dans Hitman, on incarne un tueur à gages qui tue hommes et femmes. C'est le but même du jeu. Dans RDR2, on peut passer à tabac une féministe, la donner à bouffer aux crocos, lui foutre le feu. Ca a même donné un mini-scandale il y a quelques mois. Tu dis interaction, du coup il serait légitime d'interdire les jeux de rôles ou les livres "dont vous êtes le héros" à partir du moment où les décisions des joueurs heurtent la bonne morale ? Il y a une constante dans ce genre d'histoires : les gens qui se choquent d'untel film/livre/peinture/jeu vidéo ne s'y seraient de toute façon pas interessés sauf à vouloir le faire interdire. Le musulman qui trouve que tel journal blasphème ne l'aurait pas lu. La féministe qui trouvera que tel film est sexiste n'ira pas le regarder, le juif qui considérera que tel livre est antisémite n'ira pas le lire, mais tous voudront interdire à tour de bras, donc empêcher les autres, ceux, majoritaires, qui s'en foutent, de se faire une idée sur la question, voire d'apprécier la chose. Et ça, c'est pour le coup très horripilant. Vivre et laisser vivre, c'est tout ce que je dis.

Proposez tout ce que vous voulez, mais je sais pas pourquoi , j'ai l'impression l'impression que toutes façons vous ne jouez pas, donc en quoi ça vous concerne au juste ?

Heu. Pourquoi serait-il permis de faire un jeu où l'on tue et pas un ou on viole? Genre une partie de GTA c'est un génocide, est-ce que le meurtre (de masse) est moins grave que le viol ? C'est un jeu, c'est à dire un univers irréel, fictif, aussi fictif que les bouquins d'Irvine Welsh où ça tue et viole à tour de pages, aussi fictif que celui d'un "Rose bonbon" de Nicolas Jones Gorlin, racontant la vie d'un pédophile à la première personne. Aussi fictif que les films ou série que vous regardez tous, où ça viole, tue, massacre, kidnappe. etc. Le jeu vidéo n'est pas différent, c'est un support artistique de divertissement et qui peut donc générer des univers aussi glauques que ceux qu'on peut trouver dans la littérature ou le cinéma. Et je vois pas pourquoi ça ferait une différence que le thème soit le viol plutôt que le meurtre.

Ah, la "théorie du complot" (qui en passant discrédite l'idée même qu'un complot puisse exister, reléguant l'idée à la pathologie psychiatrique.) Perso, je crois que Kennedy a été buté par la CIA et que le 11 septembre est un inside job, par contre je ne crois pas aux bases nazies sur la face cachée de la Lune ou à la Terre plate. Du coup j'ai beaucoup de mal à trouver ma place en tant que conspirationniste

C'est quand même pratique lorsqu'on peut définir soi-même le sens des mots qui nous critiquent.

J'aime beaucoup la logique du pouvoir qui vise à pénaliser tout ce qui critique de près ou de loin les juifs et Israël pour lutter contre le préjugé selon lequel les juifs auraient de l'influence sur le pouvoir. Sur le sujet de l'antisionisme, dont beaucoup parle et que très peu maîtrisent, je conseille ce débat très intéressant :

Cette histoire est profondément grotesque. On a un kéké, manifestement pro-palestinien, qui apostrophe et injurie Finkielkrault de sale sioniste (et non "sale juif", contrairement aux balivernes que nous rabâchent nos gouvernants) et nous voilà avec un énième "retour des heures les plus sombres". Ce qui tombe à pic pour discréditer un mouvement social qui dure depuis un peu trop longtemps au goût du pouvoir. Le plus drôle, c'est tout ce monde politique qui d'une seule voix dénonce un acte antisémite, une France antisémite, alors que jamais dans l'Histoire de France le pouvoir n'a été à ce point philosémite, souvent jusqu'à la caricature. Elles ont bon dos les "heures sombres"... Où sont les lois antijuives ? Où sont les pogroms ? Où sont les SS ? Il y a un problème en France avec l'insécurité, une insécurité ethnique et elle touche aussi bien les juifs que les non-juifs. Les petits blancs qui se font passer à tabac pour avoir refusé une cigarette, défendu leur copine qui venait de se prendre une main au cul ou refusé de donner leur iphone à une racaille n'ont pas besoin d'être juif pour finir à l'état de légume. https://www.letelegramme.fr/france/lyon-marin-tabasse-pour-avoir-defendu-un-baiser-le-proces-debute-02-05-2018-11946449.php On ne voulait pas de propals antisioniste en France ? Fallait pas faire le regroupement familial, fallait pas organiser l'immigration de masse, fallait pas déstabiliser la Libye dont le pouvoir autoritaire retenait sur son sol migrants et terroristes pas tellemtent favorable par nature aux juifs et à Israël, fallait pas enseigner pendant des décennies la haine de la France, "éternelle collabo colonialiste" à des gens qui étaient censé y vivre. Quand je pense qu'un autre kéké de LREM veut faire voter une loi condamnant l'antisionisme au même titre que l'antisémitisme (le rêve du CRIF), alors si c'est rétroactif faudra envoyer Valls en taule, vu que ce Rastignac professionnel a été pro palestinien en son temps. Il partagera la cellule de Norman Finkielstein, Rony Brauman et des juifs de l'UJFP, tous juifs et antisionistes. Quant à la formule magique "antisionisme = antisémitisme", quel raccourci stupide. A lire => https://blogs.mediapart.fr/olivia-elias/blog/310316/rony-brauman-non-antisionisme-et-antisemitisme-ne-sont-pas-synonymes

L'un de mes cousins germains est mannequin, il est ce j'appelle un type "objectivement beau". C'est à dire à propos duquel on ne peut pas dire "ça n'est pas mon type", ou alors de mauvaise foi. Il existe ainsi des hommes et des femmes objectivement beaux et belles. Par exemple, Brad Pitt, Richard Gere, plus loin de nous Sean Connery, qui dégagent objectivement une beauté réelle. (en plus d'un certain charme, pour le dernier de mes exemples par exemple) qui va par delà les goûts des uns et des autres. A contrario, il y a des beautés plus subjectives, comme par exemple celle de Vincent Cassel, que je trouve très laid à titre personnel, mais dont pas mal d'amies me disent qu'il est très beau. Je me suis toujours demandé ce qu'aurait été ma vie si j'avais été objectivement beau. (je pense avoir un physique quelconque) , c'est à dire si dès l'adolescence j'avais pu lire dans le regard des autres, une sorte d'admiration mêlée de désir. Déjà, peut on développer une névrose quand on est beau ? C'est à dire quand on a zéro complexe, quand tout le monde semble attirer par vous, etc ? Que pensez vous de l'influence de la beauté physique sur la vie qu'on mène ? Pour obtenir un boulot dans la télé, il semblerait que ce soit indispensable (on voit rarement des journalistes femmes moches) , mais quels sont les inconvénients à être beau/belle ? Amis beaux, amies belles, à vos témoignages.

On nage en plein délire. A force d'inventer de l'antisémitisme partout où il n 'y en a pas, tu m'étonnes que les juifs se mettent à flipper.

Moi intolérant ?????? C'est trop de violence pour moi, je mets fin mes jours.

https://www.lci.fr/medias/video-ces-propos-c-est-pas-les-miens-bilal-hassani-se-defend-apres-la-polemique-sur-son-tweet-contre-israel-2111852.html Je compatis sincèrement à la tasse de merde qu'il est en train de se manger en ce moment, même si je trouve qu'il fait de la soupe et que c'est une absurdité de mettre en avant ce genre de personnages pour représenter la France.

L'individu isolé et égocentré est le consommateur par excellence, et depuis la moitié du XXe siècle, l'offre étant toujours plus forte que la demande, on a besoin de créer du consommateur pour faire tourner la machine à croissance. L'homogénéité, la famille, sont autant de structures qui nuisent à l'acte de consommation, car tout ce qui produit un esprit de solidarité est de fait en clin à se montrer économe. Donc pour consommer quoi ? Peu importe : pour consommer. Pour palier à sa solitude, dans un monde où l'individu a remplacé la communauté humaine, car le dépressif achète.