Mite_Railleuse

Quand on ne le cherche plus LE sens, et qu’on accepte de ne pas être vu comme l’on voudrait, mais comme on est, ou à peu près, c’est un carcan qui tombe…

Les souvenirs sont toujours biaisés. Parce qu’en la matière, le ressenti sera plus prégnant que le factuel. C’est le propre des souvenirs : l’idéalisation, ou la diabolisation.

Pas envie de le voir…

Prix Goncourt 2016… Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants, décide malgré les réticences de son mari de reprendre son activité au sein d'un cabinet d'avocats, le couple se met à la recherche d'une nounou. Après un casting sévère, ils engagent Louise, qui conquiert très vite l'affection des enfants et occupe progressivement une place centrale dans le foyer. Peu à peu le piège de la dépendance mutuelle va se refermer, jusqu'au drame. C’est étouffant, morne, poisseux, dérangeant, oppressant… Comme comprendre par petites touches, qu’on est en présence d’une folie qui s’auto nourrit, jour après jour. Et dont on sait qu’elle sera meurtrière. C’est distillé au compte-goutte, avec un style net, sans fioritures. Etrange de lire ce livre devant un ventilateur pour cause de canicule, alors qu’il n’est quasiment que froid et obscurité…

Entre « beau » et « moche », il y a une infinité de possibles

Voilà, parle pour toi. C’est déjà pas simple, si en plus on parle pour les autres… Pour résumer, en ce qui me concerne, dans l’absolu : un mec que je trouve « beau et con », ça le fait pas, et un mec que je trouve « moche et intelligent » ça le fait pas non plus. Après, on est à l’abri de rien…

C’est toi qui opposes intelligence et être sexy. Je pense le contraire. Tu te demandes si en affirmant ça, je ne me la joue pas intelligente. Tu trouves une belle femme moins sexy quand elle est intelligente. Si je reste dans la ligne éditoriale de ton raisonnement, mettre en retrait l’intelligence de quelqu’un, n’est-il pas un aveu de bêtise ?

Je trouve l’intelligence sexy, je suis malhonnête… Que dois-je conclure de cette assertion ?

Ben faudrait savoir ! Quel interêt puisque tu trouves que l’intelligence n’est pas « sexy » ? Pire, qu’elle est repoussoir !

Kouaaaa !!! Encore un suppôt du patriarcat triomphant, pfff…. Nan, j’déconne

Pour l’instant, le seul qui entretient une « guerre des sexes », c’est toi. C’est l’essentiel de ton « œuvre », ici. Quant à la victimisation, tu en es le chantre incontesté, c’est factuel. Jamais un sujet positif, jamais d’autodérision. Toujours le verre à moitié vide, l’aigreur… Faudrait peut-être arrêter d’être centré sur son nombril, et voir autour de soi autre chose que le bout de sa lorgnette. Il y a plein d’hommes, de femmes tranquilles, simples qui ne sont pas constamment en gueguerre et qui font du mieux qu’ils peuvent. Respire, merde !!

Vont être contents les féministophobes du forum, de savoir qu’ils sont gays Quant à « adorer les gays »… Pourquoi eux plus que les autres ??

Pas ici en tous cas !

La parthénogenèse ?

Pas compris Ah mais je suis bien d’accord ! Alors j’imagine, j’espère (!) que le fofo n’est pas représentatif de la société française, parce qu’il y a quand même plus de sujets ouverts sur les « cro cro méchantes « féministes » », que sur les non moins « cro cro méchants « machistes » » !

Mais quel déni ? Tu en connais beaucoup toi des femmes qui tiennent des discours outranciers, inaudibles tant ils sont ineptes, et qui veulent « déconstruire » de l’homme à tour de bras ? Alors oui, les femmes l’ouvrent plus, stigmatisent certains comportements de certains hommes. Mais qui peut le reprocher ? Je passe le message à mes… baskets

Suis en train de me demander si on vit tous sur la même planète ! Des couples j’en vois partout, dans les rues, au resto, en rando, au bord du lac, chez le boulanger, à la terrasse des troquets… partout ! Il a bien fallu à un moment donné qu’ils se rencontrent !! Sinon, du féminisme, qu’est-ce qu’on en bouffe ! Matin, midi et soir, en long, en large, en travers… Comme un mantra, un invocation que l’on convoque, un sésame qui ouvre toutes les mannes de la rancoeur, de l’amertume, de l’aigreur. Merde, ouvrez les yeux ! Pour une excitée grotesque et outrancière, combien de filles, de femmes sympas, simples qui revendiquent pas l’impossible ? Qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage…

Livre évènement de l’histoire… Ce roman commence par un cri et s’achève par un rêve. Le cri, interminable, est celui que lance aujourd’hui une adolescente de seize ans, prénommée Ada, en plein cours d’histoire dans un lycée londonien. Le rêve est celui d’une renaissance. Entre les deux a lieu la rencontre du Grec KostasKazantzakis et d’une jeune fille turque, Defne, en 1974, dans une Chypre déchirée par la guerre civile. Ou comment la guerre, fratricide ici, dévaste tout sur son passage, pour des générations. Un rouleau compresseur. Les amis, amants, voisins, deviennent l’ennemi.. L’enfer, au paradis qu’est Chypre… C’est prenant, touchant. Pas larmoyant, ni pathos. Un délicat équilibre entre fluidité et profondeur. Avec une jolie surprise en conclusion ! J’ai aimé…

Abonnement différent, isolation de la maison, électroménager…

Ben vi, mai tu tends toujours des perches, toi aussi ! C’est dur de résister !!

Vi, toi c’est tout l’temps…

Puisqu’il est question de « lourdeur », je trouve que le « encore l’hypocrisie féminine » du titre, en est une somptueuse démonstration. Ou comment faire un procès d’intention, avant même d’avoir planté le décor…

Si on te le demande, tu diras que t’en sais rien

Désolée, suis pas anglophone.

Je sais pas pour les autres, mais pour moi, la seule « drague lourde », c’est l’insistance, malgré un refus poli. Et je trouve tout à fait normal de tenter sa chance