Scénon

Non, mais peu importe. Je suis un des rares qui ont réellement tenté de vous répondre dans ce topic (concrètement, n'est-ce pas ?), et ce depuis le début, sans qu'aucune discussion n'en résulte vraiment, ni aucune réaction susceptible de la faire démarrer. Mes réponses ne vous intéressent-elles pas plus que cela ? Les citations ne feraient-elles écho à rien ? Je m'y prends probablement très mal. Votre sujet était pourtant prometteur, et il m'intéressait. Ce n'est pas grave. À mon tour, je vous souhaite une bonne continuation.

« Il ne suffit pas d’étudier, il faut aussi comprendre ce que nous étudions ; et à quoi bon comprendre si nous n’expérimentons pas en nous-mêmes la vérité de Dieu ? »

« Savons-nous sous quelle figure le Seigneur se présentera à nous ? Et sommes-nous assurés de le reconnaître à temps ? » C'est exactement ce que je suggérais avec ma première citation dans ce topic, au sujet de « la vaine attente de celui qui s’incarne sous leurs yeux d’aveugles. »

Concrètement : vous prenez un coupe-papier (en bois ou en ivoire) dans une main, le livre dans l'autre ; vous posez une question (de préférence à haute voix) ; vous enfoncez la pointe du coupe-papier au hasard dans la tranche du livre ; vous ouvrez le livre pour voir sur quel verset est tombée la pointe ; vous lisez le verset : il répond à votre question. C'est magique.

Oui, il n'est pas interdit de l'éprouver, bien au contraire. Je l'ai fait.

J'en suis heureux. Il est récent, il a du sens, il est même d'une brûlante actualité.

Pour ma part, j'attendrai patiemment, comme d'habitude ; très patiemment même...

Ces mots rappellent votre message du 03/06/2025 posté dans un autre topic, message qui m'était directement adressé. Il n'était pas moins long que celui dont je ne cite ci-dessus que des bribes, et il comptabilisait à peu près le même nombre de questions, à savoir : un nombre conséquent. En voici un échantillon, assez semblable en matière de terminologie : J'avais pris alors la peine de vous répondre aussi soigneusement que possible. Vous n'avez jamais daigné réagir en aucune façon, ni par écrit, ni même par une émoticône, disparaissant aussitôt de ce topic-là (où le débat s'était prolongé sur encore bien des pages), tout en continuant à intervenir dans d'autres. Je n'y puis évidemment rien, chacun est libre de ses démarches sur ce forum. Mes réponses ne vous intéressant manifestement pas, vous comprendrez sans peine que je n'ai pas trop envie de répéter l'expérience.

Pas grave. Le malentendu part probablement du fait que @Témoudjine m'attribue une citation qui vient en réalité de vous.

Désolé de répondre à ces questions par une autre, mais la citation tirée de l'ouvrage ne répond-elle donc pas clairement à la question posée au début du topic ? Car c'était là son but.

(Je vous saurais gré de ne pas m'attribuer des citations dont je ne suis pas l'auteur, merci.)

On peut aborder la question ou de manière purement théorique ou sous l'angle de l'actualité. « Notre honneur est d’avoir rappelé la promesse de Dieu, garantie par son amour, et réalisée par sa science dans sa gloire transformante. Le Livre qui exalte la gloire, l’amour et la science de Dieu, sera la sauvegarde des croyants. Ceux qui le rejetteront périront dans la vaine attente de celui qui s’incarne sous leurs yeux d’aveugles. »

Vous n'avez pas pensé à poster le sujet dans la rubrique Culture ? Ici, nous devrons nécessairement nous borner aux religions coréennes. À moins que vous vouliez parler de culte ancestral ?

La réponse à cette question est : non. Selon toutes les traditions, Dieu est inséparable de l'homme ; ou s'il en est séparé, il ne parle pas. C'est un peu comme si, en apprenant l'existence d'ampoules électriques, vous demandiez : “Si l'électricité voulait vraiment m'éclairer, ne viendrait-elle pas m'éclairer sans passer par des ampoules ?” Dieu parle toujours aux hommes en se servant d'intermédiaires, d'émissaires, d'envoyés, d'anges, de prophètes, de porte-parole... (Ceci dit, je n'ai pas regardé ni écouté la vidéo. J'ignore donc ce qu'on y raconte.)

Après une absence d'une quinzaine de jours, je découvre certains nouveaux sujets sur le forum. Pour celui-ci (également), je reste un peu perplexe : quel rapport entre le sujet, ou la question posée, et le domaine de la religion ou du culte ? À ma connaissance, aucune religion ne parle du big bang, qui est une notion profane. Tout au plus, certaines traditions religieuses et philosophiques font allusion à ce qui se passe avant la création ; mais la notion traditionnelle de création n'a rien à voir avec le big bang.

Bien que les termes employés dans le titre (“démystification”, “mythe” et “génie”) renvoient à des notions traditionnelles, je ne comprends absolument pas ce que le problème posé vient faire dans le domaine de Religion et Culte. Ce n'est pas une critique, mais une question. Les précédents intervenants semblent avoir deviné le rapport ; moi, pas du tout.

Oui, “toutes les religions” ne prétendent pas être la seule bonne. Les Grecs et les Romains, entre autres, étaient très ouverts aux autres religions. On trouvait la même ouverture, à des religions différentes, dans la Chine ancienne. Le christianisme et l'islam ont connu ou connaissent eux aussi plusieurs branches absolument ouvertes à d'autres religions. Le fanatisme est loin d'être caractéristique de “toutes les religions”, ou de toutes les croyances religieuses. C'est, hélas ! un peu la tarte à la crème qu'on leur lance régulièrement. Ce n'est pas nier le sectarisme historiquement bien avéré chez certains, que de constater de fort nombreuses exceptions chez d'autres.

La plupart des interventions publiées jusqu'ici illustrent qu'il y a moyen de discuter de sujets intéressants en Religion et Culte sans polémiquer. Cela dit, quel est plus exactement le but du sujet proposé par @Melimelo67? Une fois établi, en tout cas du point de vue seulement biblique, qu'en quelque sorte les Arabes sont antérieurs aux Juifs (mais pas aux Hébreux), quid ?

Il suffit d'en être averti : le même adjectif peut souvent désigner une nationalité, une langue et/ou une religion. Quelqu'un peut en même temps être Polonais et juif (de religion juive) ; ou être Juif (d'ascendance juive) et ne parler que l'arabe ; ou être Belge et francophone ; etc.

De même les Latins, par exemple, sont d'abord les habitants du Latium, mais leur langue s'étant propagée dans tout l'Occident, les Européens occidentaux sont en quelque sorte des Latins, relevant à l'origine de l'Église latine, tandis que la formule “les Grecs” peut aussi s'appliquer à ceux qui appartiennent à l'Europe orientale, ou à l'Église orthodoxe grecque.

Eh bien non ! La tradition (non-biblique) lui attribue une première femme moabite et une seconde égyptienne. C'est d'Ismaël et de ses deux épouses que descendent ceux qu'on appelle Arabes.

Il ne faut pas confondre l'Arabie, avec ses habitants, les Arabes, et le “monde arabe” actuel, c'est-à-dire arabophone, dont fait partie l'Irak d'aujourd'hui. Les Arabes descendent d'Ismaël; les Irakiens descendent des Chaldéens.

Cela est vrai: Abraham était de la ville d'Ur, en Mésopotamie (l'Irak actuel); il était chaldéen. Mais à partir du moment où il avait passé (en hébreu: abar ou habar) le fleuve, il est devenu «hébreu», lui et ses descendants. Le terme «juif» est plus tardif. D'Ismaël.

Abraham, le père d'Ismaël, n'était pas arabe, mais hébreu.

Oui, c'est exactement ce que je faisais ressortir : Agar, la mère d'Ismaël, n'était pas arabe, mais égyptienne.