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Docteur CAC

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Tout ce qui a été posté par Docteur CAC

  1. Ce n'est pas parce-qu’on est pas d'accord que ce n'est pas justifié ... C'est différent... Cette critique relève simplement de la manœuvre idéologique parceque l'on tente de faire dire à une modalité de réunion plus que ce qu'elle ne veut dire simplement pour contenter sa propre idéologie. En quoi la votre est mieux ? Avec ce que fait l'UNEF qu'est ce qui empêche quelqu'un de faire autrement ? au pire si cela vous est insupportable ? Personnellement les modalités d'une réunion dans un espace privée m'importe peu d’autant qu'elles ont quand même un sens d'un point de vue psychologique. Personnellement qu'on ne prenne même pas le temps de prendre cela en compte dans le cas dans le cadre du racisme me choque bien plus. Que l'on profite de cela pour réclamer la dissolution d'un syndicat me choc tout autant. Enfin, je suis assez choqué aussi du niveau d'intériorisation du racisme dans la société française et notamment celui de la majorité envers les minorités. je ne suis pas victime du racisme personnellement mais je vois surtout le résultat désastreux de la parole raciste claire( au moins celle la elle est limpide) mais aussi des réflexions et remarques intolérantes sur la moindre différence à ce qui est catégorisé être "le bon français". Ce que je trouve navrant c'est de devoir rester dans un groupe d'appartenance de la couleur de peau pour libérer la parole parce qu'ailleurs ca n'est clairement pas écouté ou mésestimé. Avec ce sujet ou d'autres d'ailleurs. Bha non ... et si ca a le malheur de ne pas appartenir à votre système de pensé ... Perso moi je représente personne si c'est votre propos, a part moi. En faite vous êtes une exégèse macro d'une pensée à partir de ce cas ? bravo ... Qu'en fait on a sitôt fait de mettre le Fn dans la boucle non ? que lier les deux notions ca vous arrange et ca fait sérieux ? Et en quoi des réunions de l'UNEF m'évoquerait une pensée sur l’assimilation en France ? La lubie identitaire aura bien fait sont travail pour perdre un temps fou sur cette question sur laquelle on ne verra pas de bout et extrémiser tous les débats. Ca sera sans résultat positif, sans régler aucun sujet de long terme. Et au final on comprends pourquoi aussi ca va pas en France : L'UNEF peut importe ce que l'on peut en dire mais eux sont sur le terrain et traite des sujets/ des problématiques pendant que ceux qui devrait faire quelque-chose ne font rien, que ceux qui critiquent ne font rien. Se mobiliser, prendre du temps, discuter, prendre des actions, ca a au moins le minimum de mérite de faire plus que de critiquer alors même quand on est pas d'accord on essaye de regarder ce que l'on fait et de voir si on fait bien de critiquer les autres (systématiquement ?);-) Quand je me regarde avec mes contemporains, je me dis : au final je ne suis qu'un primate parmi d'autres primates à peine dressé sur ses pattes arrières...
  2. Ça nécessite déjà de ne plus personnifier le pouvoir politique avec le figure tutélaire et providentielle du président de la république.
  3. Il y a un problème avec le journalisme non ? Faire de l’ad hominem n'aidera pas, si ?
  4. Direct parceque cela concerne l'UNEF ? mais cela ne concerne pas les mêmes acteurs, au mème endroit... un peu de bon sens. En fait vous avez surtout du mal a critiquer raisonnablement ce qui a été monté en épingle et vous avez besoin d'invoquer d'autre cas concernant l'UNEF pour vous rattraper sur le cas en l'espèce. Sauf que ces cas ne sont pas discuté ici et arrive comme un cheveu sur la soupe. Perso je ne suis pas pour défendre l'UNEF mais franchement le niveau de réaction est démagogique et montre bien qu'il y a autant d'idéologie que ce que l'on cherche a critiquer. Donc pour moi ce n'est pas un argumentaire. Vous mélangez tout encore une fois, je ne crois pas que les groupes de parole était un moment violent ou qui incité a la violence, Si ? ha donc , ce n'est pas suffisant de mettre des cas non discutés ici encore faut-il que vous y mettiez d'autres organisations que l'UNEF. On peut quand meme vous dire que vous faites surtout du sophisme avec vos associations ? ***** Cette façon de faire c’est symptomatique de la qualité du débat et certain s'en plaigne mais ne font clairement pas beaucoup mieux. perso je le dis clairement, les groupes de parole dans les modalités que l'UNEF a fait ne devrait pas choquer tant que cela... Je suis beaucoup choqué par que le racisme ordinaire et quotidien de la société française. Et je suis aussi plus choqué par l'aveuglement dans les discours qui laisse dire au bout du bout qu'être française au final c'est être blanc. Combien de fois j'ai pu entendre qu'un tel n'est pas français en fonction de sa couleur de peau... et bien souvent par des blancs. Ou le fameux "je suis pas raciste mais ..." et la avalanche de cliché a la con. Le redressement moral de la France passera par la aussi ! et nous sommes au XXIème siècle et j'aimerai que la couleur de peau ne soit pas un sujet identitaire excluant. Et ce n'est pas la Droite qui aidera en la matière ! au contraire elle élargira la fracture et confortera au final cette idée la. je ne sui pas pour la police de la pensée ou extremisation des positions de chacun (du fait du sentiment d’être baillionné ou peu écouté). J'aimerai surtout une grosse prise de conscience de tous car aucune loi ne pourra changer les chose, ou un gouvernement changer ce qu'il y a dans la tete des gens
  5. Est-ce que dénoncer le "politiquement correcte" n'est pas également une expression fourre tout ? On ne deviendrait pas aussi peu rigoureux que ce que l'on cherche a dénoncer par simplicité et idéologie ? N'est ce donc pas une sorte de position rhétorique ? "je désigne la position de l'autre comme "politiquement correcte" comme argument autosuffisant pour la dénoncer et la remplacer par ma position sans la fonder plus solidement" L’hypocrisie est de mésestimer l'impact que cela a sur les gens d'être sans arrêt renvoyé a sa couleur de peau et les dégâts que cela occasionne. Et je trouve très étrange que l'on reproche à ceux que l'on déterminé très souvent par des traits raciaux, d'utiliser la même rhétorique. Et il ne faut pas ensuite s'étonner du cercle vicieux que cela provoque. vous pouvez lire dans le meme genre Amartya Sen ( a lire "Identité et violence" et "l'idée de justice") Il ne me semble pas qu'il puisse y avoir un camps a choisir mais de laisser la liberté de choix à l'individu. Sauf que lorsqu'il s’agit de dénoncer le discours racialiste "des noirs" ce n'est pas pour laisser le choix de ce qui relève de l'identité mais pour mieux exclure (identités non contrastées vs identités contrastées chez Amartya Sen) et y imposer sa définition très souvent conservatrice.Ainsi je trouve tout aussi étrange de considérer que quelque ici puisse légitimement définir l'absolue de l'identité française et que sa définition prime sur la définition des autres d'autant quand on utilise les mêmes arguments raciaux... parce que quelqu'un qui me dit qu'il n'est pas "bien pensant" ou dans la "bienveillance" ne va pas laisser de choix ou "ne pas choisir un camps", sur ces sujets il aura très vite fait également de réduire l'identité française à être "de race blanche", de tradition chrétienne, que la normalité c'est l'hétérosexualité. En gros il limitera lui même cette définition à son groupe d'appartenance sans laisser aucun choix, en minant l'ouverture d'esprit quand il sera mis devant sa contradiction". Mais donc ce n'est exactement ce qu'il reproche à ceux du camps adverse de sa pensée ? en quoi cela serait-il mieux plus légitime ? Absolument rien... Oui oui sauf que les mots qui répare, je ne vois pas lesquel... Je ne crois pas que l'on construit de bonnes conditions aux dialogues avec cet appel sans arrêt à l'autorité sur tout les sujets, ce qui devient un peu ridicule et nébuleux. A force d'en réclamer partout on se demande à quoi cela peut bien servir ? On polarise la question de la couleur de peau depuis des décennies dans le débat de l'appartenance française, dans une société a majorité blanche, ce qui rends population noir minoritaire victime dans un contexte historique lourd en défaveur de la pop noir(quand même il ne s'agit pas d'inverser les rôles ou de mettre les choses au même niveau), ce qui va forcément renforcer l'autorité du groupe d'appartenance qui ne verra de problème avec la couleur de peau et qui avec le temps va forcément extrémiser chaque camp. La crispation identitaire est aussi le résultat de pratiques et de discours (mème quotidien sur la question), il s'agit aussi pour tous de voir quel discours il peut tenir aussi au quotidien et quel comportement il a face a cela. Et il serait aussi le temps d’être un peu plus dans l'écoute sur ce type de sujet qui ne se résoudra pas comme par magie. Et que le temps consacrés a cette question dans le débat public est trop important par rapport à d'autres sujets (notamment l'économie) qui sont bien plus structurels et importants. Ca ressemble a un argument d'autorité, je ne vois pas bien quoi en faire... Vous reliez votre argumentaire à un autre cas non discuté ici, vous n'en n'avez pas assez avec ce sujet pour décrédibiliser l'UNEF ? Vous savez que relier des sujet qui n'ont pas de lien direct ensemble c’est de la rhétorique ? Sur le sujet qui nous intéresse ou est votre histoire d'indigénisme ? concrètement ? Vous êtes du genre à pas piffrer la gauche, le syndicalisme et la question du racisme et ca vous rends un peu succinct dans vos réflexions ... mais on est bien d'accord que cela ne fait pas des arguments ?
  6. au moins on pourrait s'attendre à ce que cela soit un peu plus constructif ! Faut arrêter de faire croire à l’extrémisme chez la FI mais c’est un autre sujet. Je ne comprends pas ce que vous demandez à un syndicat étudiant ou alors tout est bon à la polémique et au montage en épingle. Quand on laisse la présidente de de l'UNEF s'expliquer ça devient beaucoup plus clair. Revenons à l’article cité sur lequel vous réagissez, j'en reviens a ma question : qu'attendez vous d'un syndicat étudiant ? Je me demande si vous êtes allé a la fac mais elle devient le premier espace de liberté scolaire et citoyen. Honnêtement je l'ai vécu moi même et c'est quand même une libération de pouvoir sortir de l'autorité scolaire assez ennuyante, sans but concret, sans possibilité d'opinion. Alors je ne comprends l’interviewé de l'article car je ne vois pas pourquoi un syndicat étudiant ne devrait s'occuper que de la question étudiante dans les universités . Et si vous voulez que l'on discute de la place des syndicats à l'université on peut aussi en discuter ... Les étudiants se posent des questions dans plein de domaine (sexualité, éducation, social, discrimination), c'est donc normal d'avoir ces thèmes qui arrivent sur leurs tables non ? ... doivent-ils ne pas les traiter parce cela frise la morale et les idées de certain ? Je pense qu'a force de tout juger sur sa morale et ses idées politiques, on ratiboise tout espace politique. Ca devient un peu trop systématique à Droite en ce moment. Et cette manière de s'offusquer dans une rhétorique qui dépasse les besoins du débat, sans respecter de manière élémentaire les personnes qui ne pensent pas comme soit et cela commence déjà par les mots employés et les mots que l'on souhaite imposer qui s’apparentent à de l'argumentum ad hominam.
  7. Au final toute ceci a été bien monté en épingle.
  8. Non absolument pas car j'ai toujours le droit de leur dire d'aller se faire cuire un œuf. Que voulez vous que les religions vous dises ? Que l'homosexualité c'est la meme chose que l'hétérosexualité ? Qu'un chrétien vous dise que l’ Islam c'est la meilleure religion ? Qu'il ne faut pas prier ? aller a l'église ? absolument manger du poison le midi ? pas mettre des crèches partout même dans les mairies ? Le religieux peut tout a faire avoir un discours autre que celui la mais la pratique séculaire des religions tend à l'exclusion de ceux qui ne suivent pas le dogme et la morale. Avoir judiciarisé la simple pensée et/ou la pensée simple est une aberration ! La limites de cela c'est quand la pensée entre en action pour contrevenir au droit, a partir de ce moment cela ne relève plus de la tolérance et de liberté de penser. C'est autre chose. Penser ne devrait pas être réprimé car elle n’empêche a elle seule aucun droit de s'exercer, c'est meme la base du débat démocratique : on peut discuter, ne pas être d'accord mais nous ne sommes ni chez les bolcheviques ni chez les fascistes ni chez les dogmatiques religieux !
  9. En quoi je n'accepterais pas de vague ?
  10. Dire j'aime pas les religions ou meme j'aime pas l'islam ne relève pas du phobique. Cela relève de la liberté de pensée, ou du droit d'être contre.
  11. non merci. ___ Personnellement je suis bien content de ne pas être musulman en France. Ou d'"être quelque chose" qui ne suscite pas autant de "réaction". Il y a aussi le phénomène de réduire quelqu'un qu'a un seul attribut a bien pourri le débat public.
  12. C'est trop vague philosophiquement et cela ne donne pas de réponse. Mon cheminement est de pouvoir comprendre : 1/ pourquoi la question identitaire occupe un champs de discussion aussi grand ? pour quel résultat ? A la première question : je réponds succinctement : peur de la pauvreté, peut du déclassement dans le contexte du village monde et d'une certaine impuissance face aux événements. Parler d’identité permet de revenir a quelque chose de "simple" (je n'ai pas dit simpliste) et connu, de rassurant ou chacun peut définir a son niveau ce qui lui convient/conviendrait, et recréer un sentiment d’appartenance à un collectif. 2/Pour quel résultat ? personnellement je me pose la question de la finalité de tout ceci, il me semble que cela ne réponds pas vraiment au problème posé. il me semble même que plus on se pose de question identitaire plus on semble créer deux pôles extrêmes de moins en moins concret pour maintenir une discussion. En gros j'ai l'impression que cette discussion n'ayant pas de fin , car pas de réalité concrète elle devient de plus en plus excluante jusqu’à polariser les positions jusqu'au "grotesque" Soit on est un raciste xénophobe nationalise soit un islamo-gauchiste. Le questionnement originel est intéressant mais au même titre que d'autres. 3/ Comment dépasser cela ? Ma réponse : revenir a ce qui est l'essence de la société pour définir le plus grand sujet commun diviseur (PGSCD) D’où ma référence a Rousseau sur le point de création d 'une société : "ceci est à moi". La force ne peut pas être à la création de la société ou même le maintien de son existence puisque la force (et ce qui en découle comme autorité) existe à l'état théorique de nature de l’Homme (Hobbes/Rousseau) et assure déja une domination et une subsistance. La force existe donc avant la société et existera après toute organisation sociale. L’État a le monopole de la violence certes mais légitime si la violence est contrainte par son caractère légitime c'est qu'elle n'est ni le facteur premier ni le facteur prédominant sur le reste (cqfd). Partir de la reconnaissance d’une propriété privée n'a pas ce désavantage : l'un ne peut exister sans l'autre. Tout n'appartient pas à tous ou au plus puissant. Il est donc absolument nécessaire de déboucher à accord commun qui va régir les rapports sociaux, accepté par tous et reconnu par tous, "la violence perpétuelle" s’arrêtant au moment ou la société se crée. (si je continue je poursuis avec Kant mais ce n'est plus le propos pour moi). Ma conclusion est donc de penser que si la reconnaissance de la propriété privé est bien le point de création de la société alors la question identitaire n'est pas la question qui doit occuper la majeure partie de notre temps mais celle de l’organisation de la propriété privée et de ce qui en découle l’organisation économique. Vous prenez un exemple sans en souligner le contexte. il s'impose par la force mais aboutit et se maintient par sa légitimité... A cette époque ceux qui se battent pour le royaume d’Angleterre n'ont pas de prétention directe, ou le légitimité écrasante par rapport aux autres. Le doomday book n'est qu'une évaluation comptable, pas une évaluation de sa force. On oublie un peu vite la question de la légitimité du pouvoir pour ne retenir que la force.
  13. Bien sur et moi non plus et ce n'est que mon avis et pas la façon dont il faudrait faire les choses.
  14. la structuration d'une société c'est son organisation économique. Ce n'est pas la culture, la morale, la religion qui a créé "la société" c'est lorsqu'un Homme a dit "ceci est moi" et que les autres l'on accepté. Et si c'est la propriété d'un bien et sa répartition qui a créé la société, c'est que c'est ce sujet qui est le plus important... C'est donc pour moi étrange que l'on minimise l'importance d'une discussion sur la manière d'organiser la propriété pour énormément parler d'identité, d'autorité, de bien/de mal, de religion.
  15. Je parle d'intime conviction quand il s'agit de juger des gens dans un tribunal pour définit une culpabilité ou innocence dans le cadre d'un crime. Je ne retire même pas a quelqu'un de juger avec uniquement ses émotions, si elle pense que c'est la meilleur choses a faire pour "créer" son intime conviction ... A cette personne d'elle en accord avec elle même. Mais personnellement je pense que lorsqu’il est possible de le faire, lorsque nous ne sommes pas victime directe/et même indirecte, que nous pouvons prendre de la hauteur sur les choses, je pense qu’il faut mieux utiliser son cerveau préfrontal que reptilien, sur la durée l’espèce humaine en retirera plus de positif. je ne pense pas que cela soit ni réalisable ni nécessaire. Il faut peut être aussi penser contre soit même au moins autant que l'on pense "contre" les autres.. j'ai mes idées mais je prends mes informations de plusieurs médias, orienté a l'inverse de ma conscience politique pour absolument éviter le biais de confirmation. Que la justice passe sur ce cas, ce prof le mérite mais je m’interroge sur les limites du réflexe a créer de la norme juridique à chaque faits divers. A quoi bon se déluge d'émotion si la finalité de tout ceci ne débouche pas sur quelque de constructif collectivement ?
  16. La réponse est dans la citation : "Faut quand même un peu redescendre et ne plus réagir qu'uniquement a l'émotion" la subjectivité ne se fondent pas seulement que sur l'émotion ? Personnellement je ne pense pas. les jurés jugent selon leur intimes conviction, encadrés par des professionnels rappelant leur rôle et les principes non ?(dont celui que le doute doit profiter à l'accusé) les jurés sont dans la salle d'audience entendant la défense et l'accusation, ont accès aux pièces du dossier, c'est bien plus légitime de donner un avis circonstancié, on est loin du citoyens-commenteur extérieur non ?
  17. visiblement on en arrive a cela : https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/islamo-gauchisme-600-noms-de-chercheurs-dont-une-vingtaine-de-toulouse-livres-a-la-vindicte-sur-internet-1988527.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1DKd6bX7erwlHeu6bM6biyfwK4EsuYfZBZIxeStpZgkOAuSmvk1BslLhw#Echobox=1615226468 Est-ce bien normal ? Il est pas difficile de faire mieux que le RSI en France...
  18. ce n'est pas la question de savoir si mentir c'est bien ou pas. y'a toujours cette manie de taper plus fort parce-que cela n'a pas marché avant... Alors si ca importe que la gamine a 13 ans, si ca importe qu'au final elle a menti et diffamé mais si ca importe de qu'elle n'a décapité personne. Mettre en face les gens en face de leur responsabilité ne commence-t-il pas par mettre une juste qualification aux actes ? Je ne me limite pas a défendre que ce que ma morale tolère ou ce/ceux qui éveille(nt) en moi de la sympathie, du sentiment, positif ou négatif pour au final mettre tout ce qui me gène dans un meme sac. La justice ce n'est pas de la morale. Faut quand même un peu redescendre et ne plus réagir qu'uniquement a l'émotion. Cela ne résoudra pas le problème si vous condamner uniquement cette gamine pour l'exemple, même très sévèrement. Le problème n'est pas simplement qu'une gamine a pu mentir ou qu'un père est un "extrémiste religieux", c'est l'"écosystème"/l'environnement qui n’arrête pas de manière proportionnée cette eau de boudin qui a mené a la mort d'un homme.
  19. La bienpensance a de multiples formes vous savez. Une forme de bienpensance, c'est aussi de toujours se croire légitime de réclamer justice comme si on était soit même victime sans avoir les éléments factuels pour juger. Je suis dans l'empathie mais je ne suis ni auteur, ni victime ni juge... chacun sont rôle... J'aimerai que les divergences d'opinion puissent se résoudre plus normalement et pas dans la violence et la surenchère autoritaire. la société n'est pas une planche de bois et les gens des clous plantés plus ou moins de travers en fonction de ce qu'ils font.
  20. Le problème n'est pas d'avoir une opinion mais visiblement de penser que cela fait une qualification pénale, jugement et condamnation. Facile de juger, la, sans pièce, sur un forum. Admettons des mineurs pénalement responsable, dans la salle d'audience, pas sur que d'envoyer des "momes en prison" est si réparateur que cela. Personnellement moi, ca me marquerait comme cela me manquerait qu’un prof meurt pour des bêtises. Avec les réseaux sociaux, notre manque de recul sur nos opinions, la monté de la violence en général et le manque de discernement, les menaces, les propos injurieux, le dérapage devient assez récurrent même pour ceux qui s'en plaigne. En restant dans son opinion, sans écoute, on braque l'autre et on devient des professionnels du biais de confirmation sur de l'"impression", du "vu a la TV", de la contrariété de principe".
  21. Je ne le dirais jamais assez mais la connerie, la violence, le mensonge ce n'est pas l'histoire d'une religion, même quand on s'en rapporte, mais une excuse. C'est aussi rageant de voir une religion prise en otage comme cela. Cette tragédie parceque l'on mélange tout dans un institution comme l'école, c'est quand meme dramatique. Mais quels moyens faut-il pour pouvoir faire sereinement des cours ? Franchement je ne comprends commnt on peut en arriver la et que cela finisse comme cela sans que personne n'intervienne. Je n'ai pas le dossier sous les mains, les éléments factuels mais il faut caractériser pénalement les faits entre tous les acteurs et le droit existe ! Mais avant d'en arriver la il faut aussi travailler sur comment répondre autrement que pas le pénal et la justice ! Et je ne sais pas ce qu'il existe actuellement mais avoir un référent gendarmerie/police, ca me parait le minimum pour systématiser faciliter les dépôts de plaintes pour propos menaçants, violence. Le suivre et responsabiliser les parents. Il faut proposer une solution réfléchit collectivement pour trouver un bonne équilibre entre liberté individuel, minimum de discipline, atmosphère de travail empathique et agréable.
  22. Docteur CAC

    Sarkozy.

    Je viens de mettre la main sur le jugement ... Alors la retranscription des conversations téléphoniques entre les deux loulous est lunaire... S'il existe, Il n'y a pas que pour les dealers que le sentiment d'impunité existe. Je n'ai pas tout lu... je poursuivrais...
  23. Je n'ai pas employé cette séparation mais une classification extrémiste ... Vous reprenez mes paroles a votre compte pour poser une opposition manichéenne aussi ridicule. Perso je suis de gauche et ne suis pas d'accord avec la droite. Il y a bien des gens a droite et à gauche un peu trop nostalgique de dérive autoritaires/racialiste mais pas tous ... et heureusement... mais de la dépeindre mes opposants de cette façon ce serait honteux de ma part ! Le désaccord n’empêche pas le respect. Et la, il faudrait quand se rendre compte à quel point nous en sommes ! L'islamo-gauchisme est une rhétorique, pour amener un argument de pente glissante et ca devrait être contré par tous !
  24. C'est quand même un peu n'importe quoi ... Normalement l'aspect rhétorique de ces mots devrait être relevé par tous ... De droite ou de gauche. Donc maintenant le clivage politique c'est fasciste a droite et ami des terroristes de l'autre ?
  25. Docteur CAC

    Présidence

    Vous savez il n'y avait pas de piège... Ça m’aurait intéressé d'avoir des choses concrètes et dire sur quel principe les gens se fondent pour étayer leurs idées. La question n'était pas d'être d'accord ou non mais de suivre le cheminement.
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