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Ninouschkaya

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Tout ce qui a été posté par Ninouschkaya

  1. Je suis soufflé par étroitesse d'esprit sur le forum. Toutes les fausses couches sont différentes, comme les grossesses. Il me semblait évident qu'on est pas toutes à égalité devant les réalités gynécologiques..mais ça a l'air dur à concevoir pour certains. Je n'ai qu'une question : pourquoi a-t-on droit aux arrêts maladie si implicitement on trouve normal d'en être sanctionné ? Ça énerve le patron ? Oui mais gérer du vomi et du sang l'énerve aussi.
  2. C'est marrant, en me basant sur les quelques bribes qui me restent de la bible...je dirai : mère/monnaie d'échange/fouteuse de merde
  3. Oui après, je suis d'accord avec toi sur le faits que le progrès n'est pas un bien en soi. Le scientisme, devrait aujourd'hui être dépassé, puisque l'on sait qu'on vit à crédit (au niveau environnementale), on est embarqué dans un système financier tellement complexe qu'il est de plus en plus dur à appréhender pour l'esprit humain...Et pour la bétise, je dirai pas qu'on est plus bête aujourd'hui, mais plutôt qu'on a une sorte de culte de la bétise. Je pense qu'on est bercé par des contenus (TV, Films) qui sont brandis avec fierté comme étant "sans prise de tête". Quand je tombe sur les vidéos Youtube de vieilles émissions comme "Apostrophes"...je les trouve géniales, et pourtant aujourd'hui on a peine à croire que ça passait à des heures de grandes écoutes. Aujourd'hui ont dit "les gens ont besoin de se relaxer en rentrant du boulot, alors Hanouna c'est parfait". Pareil pour le savoir, aujourd'hui, il est essentiellement valorisé à travers le prisme de l'employabilité : cette filière est bien, ça recrute bien dans ce secteur... J'ai parfois l'impression que le savoir n'est plus une fin en soi, et c'est dommage. Mais la encore, je ne blâme pas les gens, plutôt une espèce de titanesque tendance marketing qui érige le vide, la consommation et la débilité en valeur reine. Donc pour l'agressivité, je suis bien d'accord. Les gens sont à cran, et puis la retenue est devenue désuète. JE ne pense qu'aujourd'hui soit pire qu'hier, mais il est pas sur qu'on aille pas dans le mur non plus
  4. Euh...tu sais que certaines législations sur les viols sont assez récentes (viols conjugaux, politiques publiques qui s'immisce dans la sphère privée pour lutter contre l'inceste, la maltraitance...) ? Je dis pas que les gens étaient plus cons, que dis juste qu'il y avait des valeurs un peu frileuses sur ces questions. Mes parents ont eu les coups de règles parce que gauchers, et ils ont pas l'air de trouver ça génial. Ma mère s'est mariée à 19 ans, enceinte, à l'époque on lui a fait les pires réflexions du monde. Lis les témoignages sur les avortements clandestins (dans les familles ouvrières, on ne restait pas avec 2 enfants qu'avec l'abstinence) . Mon père a connu l'époque où les siadaïques étaient montrés du doigt comme des gens "avec un maladie du PD" et personne ne cillait. Je n'invente pas ces faits. Je ne juge pas, mais dire que c'est mieux...j'aime bien les années 60 niveau design, musiques, courants artistiques divers... Mais ne tombons pas dans la naïveté non plus Sinon, les flics sont toujours indifférents à la détresse dans certains commisariat/gendarmerie de campagne. S'ils font aujourd'hui des progrès, c'est parce qu'on les forme et qu'ils sont obligés de travailler avec d'autres professionnels de ces questions. Je t'assure qu'encore aujourd'hui, on demande à des fillettes de moins de 15 de se justifier sur leur tenue, leur comportement lors d'une agression. Et là je sais de quoi je parle. J'ai déjà du plusieurs fois expliqué le code pénal à des gendarmes ancrés dans de vieux réflexes, sermonnant la victime, rendant son témoignage extrèmement difficile...
  5. Une expérience individuelle n'a vraiment une grande pertinence sur des questions comme la sécurité. Ce sentiment de "c'était mieux avant" est une illusion, c'est ridicule, je n'ai que 22 ans, et les 20/30 ans de mon entourage tiennent le même discours pessimistes en évoquant ceux qui ont 16 ans aujourd'hui. quand j'étais au collège on était la pire génération, mes parents (qui n'ont pas 20 ans) on leur a dit la même chose. C'est juste qu'on vieillit, qu'on a plus la primeur sur le monde d'aujourd'hui....on devient has been. J'ai 22 ans, et je trouve que la musique qui passe en boîte est horrible, il y a 5 cinq je la trouvais mieux...parce que j'étais plus jeune, et qu'à l'époque j'étais plus enthousiaste. Mais la musique n'était pas meilleure. Mes parents, ils trouvent que le monde est nul, il connaissent pas la moitié des acteurs qu'ils voient à la télé...ils ont décrochés. On peut dire peut être qu'économiquement c'était mieux avant. Mais perso, en tant que jeune femme, j'aime mieux aujourd'hui. J'ai ma contraception, ma légitimité au travail (enfin c'est relatif, mais j'aime mieux maintenant qu'il y a 30 ans). C'est un débat de vieux jaloux, les gens aiment le temps de leur premier printemps. Moi-même je le vis, je sermonnes mes neveux, ma petite soeur, comme on sermonne encore...comme dirait mon père "Y a 5000 ans que la jeunesse est dégénérée" Fin de l'histoire. NB: Charmante attaque ad hominem basée sur l'âge, effectivement, regrettons le temps des vénérables aînés Tu sais qu'à 22 ans on a la capacité d'entendre et de comprendre le récit de gens plus âgés ? J'ai 22 ans, je me suis documentée sur la question, prends le temps de lire les sources, au lieu d'essayer de me rabaisser (sans succès). Je ne sais pas tout sur tout, mais en sciences sociales je me démerde assez bien, je ne vois pas en quoi mes propos (étayés par des sources scientifiques) seraient risibles face à tes ressentis.
  6. Ca relève du mythe. Le pire c'est dire que la société était moins dangereuse....les meurtres, et viols sont en baisse constantes depuis plusieurs décennie. Par contre notre tolérance à la violence et au danger est moindre aujourd'hui, donc on pense que c'est de pire en pire.... Source pour ceux qui vont hurler : http://www.scienceshumaines.com/notre-societe-est-elle-plus-violente_fr_25031.html https://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=DS_322_0115 Exemple : les viols ! pensez vous vraiment qu'il y avait moins de viols ? En tout cas, c'est pas le sort réservées aux victimes à l'époque qui devaient le permettre de porter plainte, et d'être considérées en tant que tel. La peur du scandale, l'opprobre sur les femmes impures, le viol conjugal non puni... Aujourd'hui, l'horreur est omniprésente dans les médias, et ça crée une vraie psychose (peur de l'inconnu dans la petite ruelle...faut atterir, ceux qui vous volent, vous violent, vous tuent, dans 90¨% des cas sont des proches, de votre famille ou de votre amical. Les stats sont peut être un peu plus digne de confiance que les unes raccoleuses. L'insécurité n'augmente pas, le sentiment d'insécurité par contre....
  7. Concernant ce soi-disant discours féministes que tu mentionne à travers ta dernière phrase... En tant que féministe, justement je suis pas d'accord. Je pense que c'est la société patriarcale qui conditionne les femmes à voir le sexe comme un mal nécessaire (sans chercher à lui dire, que ça peut être épanouissant, si elle le pense, c'est une salope selon ces même valeurs), et les hommes à voir le sexe comme une gloire à extirper aux femmes, à force de promesses et de manoeuvre diverses. Et dans le chemin vers l'égalité, le but est justement de combattre ces préjugés alors non l'orgasme féminin n'est pas difficile à comprendre, (et non la faute ne revient pas toujours au partenaire maculin, pour jouir il faut apprendre à connaître son corps, mettre fin au tabou de la masturbation féminine, ne plus voir le corps féminin comme un objet sexuel/reproducteur), oui les femmes aussi ont des envies (mais on se fait discrète, parce que l'opprobre n'est jamais loin pour celle qui se revendique trop libre), non on obtient des faveurs sexuelles d'une femmes, ce n'est pas un mécanisme (du type insérer fleur / insérer pénis). Si le but était l'épanouissement sexuel de tous, laisse moi te dire que tout le monde serait pour l'égalité : Comme on dit chez moi, celui qui traite ses conquêtes de salopes, il n'a pas à se plaindre que sa se bouscule pas au portillon
  8. Oui on est complètement d'accord. C'est pour ça quand dans ma première réponse, je soulevait l'idée que ça n'a rien d'étonnant qu'un homme ne retrouve pas son idée de la féminité chez toute les femmes. Ce qu'il cherche c'est pas les qualités de la femmes en générale, mais certaines qualités que lui aiment chez les femmes. Et rien de mal à ça, mais du coup quand on essaie de dire "les femmes devraient être + féminines" et que chacun entend pas la même chose par "féminité"...on s'y perd
  9. Pour toi c'est ça le problème avec la féminité, c'est que chacun le projette comme il veut. Y en a pour qui la féminité est liée au rôle de la mère, d'autre au rôle de la séductrice.... Et franchement, il n'existe pas de définition exhaustive et objective, alors je trouve bien chacun aie son idée.
  10. Euh...beh là encore c'est pas question d'être homme ou femm, c'est question de se soucier de son partenaire ou non... donc ça dépend des moments. J'imagine que dans le cadre d'une piteuse aventure limite honteuse, les gens se fichent d'une plaisir de l'autre, alors que si c'est une relation importante, on veut être à la hauteur... M'enfin la femme comme bête à plaisir ...j'ai de gros doutes quand même. Combien de femmes on un orgasme à chaque rapports ? Même question pour les hommes ? Bon on pourrait s'arrêter là, ça se passe de commentair. Même si souvent, le partenaire n'est est par pour grand chose, même avec de la bonne volonté. Je connais beaucoup de femmes qui subissent le cul, parce qu'elles sont éépanouies, sexuellement excitées par leur partenaire. Alors oui elles dont sûrement étoile de mer, mais ça m'étonnerait qu'elles s'attendent au 7e ciel. Hors ces cas, quand on aime quelqu'un ou dans un niveau moindre qu'on le désire beaucoup le fait de donner du plaisir est en soit une source d'amplification des sensations. Enfin bref, moi je pense que tu es dans le faux. Peut être que les jeunes filles ont ce genre d'attentes...mais bon la réalité étant ce qu'elle est, elles ont des chances de déchanter. Encore une fois, je pense pas qu'il y est de bon ou de mauvais coup plusieurs facteurs rentrent en ligne de compte : est-ce qu'il y a beaucoup d'affection/d'estime dans la relation. Est-ce qu'on se sent à l'aise avec ? Est-ce qu'on est excité (y a des avec et des jours sans) ? Est-ce que connait soi-même son propre corps ? Pas de miracle je pense.
  11. Je maintiens que la douceur n'est pas la même chose pour tout le monde. Pour moi, les gens doux sont calmes, posés, pertuellement épris de recul, de bienveillance. D'autre diront qu'être doux, c'est être délicat dans ses mouvements/ son comportement. D'autres encore, associeront cela à une forme de faiblesse. Ce qui m'énerve, c'est que la féminité quoi que tu en dise varie beaucoup dans la perception que les gens en ont : il y en a qui ne supportent pas les cheveux courts et trouvent cela laid chez une femme, d'autre qui se damneraient pour une bombe à la coupe garçonne, d'autres qui aiment les corps fins, d'autre qui aiment la chair, certains pensent que les tatouages sont un tue-l'amour, d'autres qui trouvent ça sexy... Chacun a ses goûts et c'est tant mieux, mais le mot de féminité n'a pas un sens universel, et contrairement à ce que tu dis, il y a autant d'icône de la féminité/ de la virilité qu'il y a de personnes pour les fantasmer. Je n'irai pas jusqu'à te rappeler la définition du Larousse, mais elle est ce qu'elle est : la féminité est ce que l'on considère comme un trait de caractère des femmes. Cette perception varie forcément d'une personne à l'autre... ce que je voulais montrer en intervenant, c'est que c'est un débat aussi vain que "c'est quoi la beauté ?" "Votre définition du bonheur ?" C'est bien pour écrire un pavé publié chez PUF. D'autant que ce qui m'a fait tiquer, c'est que l'auteur du topic se plaint que les femmes ne soient pas féminines..non, elles ne sont pas féminines au sens où il l'entend. Le fait qu'il ne trouve que peu de femmes remplissant ses critères montre bien qu'il a son propre idéal de féminité, et que dans le cas présent le mot féminité ne renvoie pas à des traits associés aux femmes, mais aux traits que lui aime chez les femmes. C'est son droit d'avoir un genre de femme, des attirances perso...mais c'est pas les femmes qui ont un problème, c'est la notion qui est hyper floue, et que son jugement le concerne lui, et pas les autres. Personnellement, j'aime les robes, les collants, les talons, alors aucun pequin de base n'est jamais venu contesté ma féminité...mais pour moi c'est pas ça la féminité. Et je ne me sens pas plus douce, que d'autres hommes ou femmes. Dans la vie il y a l'apparence, les rôles sociaux (plus créés par l'espace social que par le cerveau humain) que nous endossons, et puis il y a l'humain...quand on apprend à connaître les gens, on se rend compte que les plus doux ne sont pas ce qu'on croient, que les plus forts peuvent avoir l'air inoffensif....Ce me semble évident. Combien fois les mythes (que tu m'accuse de nier) se sont avérés faux ? A un moment, il faut juste prendre du recul sur les images et la taxinomie de notre société, et considérer chaque humain comme un être à part. D'ailleurs Swam a reconnu que son idée est subjective, et je ne lui en fait pas le reproche. Moi-même, j'ai mes propres critères concernant mes attentes chez les hommes qui me plaisent...et il est clair que je ne peux les retrouver chez tous, c'est ainsi. C'est ce qui donne du piquant à la vie, et à l'amour aussi.
  12. Déjà je ne vois même pas ce que tu entend par "fond de caractère "... C'est sûr que je ne suis pas discrète, c'est sûr que je ne me tasse pas sur moi-même pour minauder avec une voix sucrée. C'est la vie et j'en suis heureuse. Et je ne prétend pas analyser la pychologie des forumeurs à distance
  13. Donc la douceur c'est s'occuper d'un nourrisson ? Alors je pense que tous les gens sensés et équilibrés peuvent faire preuve de douceur Ta remarque sur l'absence de différence entre une femme et une femme féminine, c'est exactement là où je voulais en venir : faire une distinction entre les deux ne sert a rien, à part faire un jugement de valeur entre les femmes/ et les femmes qui correspondent à tes normes/ aux normes sociétales. Très franchement ces histoires de part de féminté/masculinté c'est vraiment de la psychologie de comptoir. Ce serait bien plus simple de dire : il ya des gens délicats/ des gens grossiers/ des gens endurants/ des gens fragile. Lafâme est une humain comme les autres. Après, si tu as une préférence pour les talons, les robes rouges, les mains qui sentent le lait pour bébé, tant mieux, mais celles qui n'entrent pas dans ces critères n'ont pas à subir un jugement sur la base féminine/ pas féminine. Féminité et masculinité sont des concepts fourre tout, chacun y met de ce qu'il veut, le beauf moyen va donc y insérer les stéréotypes les plus courants du sens commun : Charles Ingalls pour la virilité, Sa môman pour la femme respectable, sa prof de lycée pour la femme désirable.... C'est totalement subjectif, donc je vois pas trop l'intérêt du débat, du jugement de valeur permanent sur des critères aussi inconsistants que chimériques. Tu parles du virer le mot du dictionnaire...bah regarde la gueule de la définition larousse, tu as le sens 1 (celui que je donne) et le sens 2, très vague dans lequel on met ce qu'on veut et qui varie en fonction de "sagesse" populaire : féminité nom féminin Ensemble des caractères anatomiques et physiologiques propres à la femme. Ensemble des traits psychologiques considérés comme féminins : Elle manque de féminité. Merci Larousse.fr
  14. Alors, petit indice : si y a peu de femmes qui rentrent dans ta définition de la féminité, c'est sans doute parce qu'elle est fantasmée. Cela dit, j'imagine qu'après ton évaluation quand tu te seras fait "une idée assez précise", je pourrais enfin connaître mon taux de féminité (14.002 % ? ) C'est un concept, un ressenti. Y a pas d'indicateurs précis, de critères quantifiables... pour ça, y a d'autre sujet, tu peux faire de l'économétrie si ça te tente. Tu parles de douceur ? C'est quoi la douceur ? Le fait de se caresser doucement en chantonnant ? La douceur de la peau ? Parler avec une petite voix calme ? Faire des calins ? Etre gentil ? Ca aussi c'est flou. On va dire une chose : celles qui naissent avec des organes génitaux féminins, et qui sont satisfaites de cette identité biologique, elles font preuve de féminité. Même en survêt, même sans enfant, même en jurant. J'aime pas du tout ces jugements...dire à un homme qu'il n'est pas masculin, à une femme qu'elle n'est pas féminine c'est lui dire : t'es un raté, tu ne sais pas être toi même. A quoi ça sert à part à exclure des gens ce genre de question ? Est feminin(e) celui/celle qui se ressent comme telle, et si les autres ne trouvent pas, ils n'ont rien à redire.
  15. Monsieur, c'est quoi assumer sa féminité ? :D
  16. Oh mais que vois-je dns mon fil d'actualité, ça tombe à pic: L'limpuissance comme idéal de beauté féminin Morceau choisi, pour les jeunes insouciantes trop épanouies pour avoir la force mentale de lire un pavé :cool: : "Selon la théorie misogyne de l’époque, c’était la laideur, et surtout la frustration sexuelle qui en résultait, qui poussaient certaines femmes à militer pour leur droit de vote ; comme si le fait de s’intéresser à la politique ou de revendiquer des droits était tellement contre-nature pour les femmes qu’il fallait avancer une explication de l’ordre de la psychopathologie et/ou de l’anomalie pour expliquer ce comportement." A propos de l'Angleterre du début de XXe
  17. Je sais pas en tant que jeune je vais te dire que les plus vieilles feministes que je fréquente ont 30 ans :smile2: Sinon Vilaine, je pense que tu te trompe un peu quand même. Un tout petit peu hein...parce que l'amertume, moi je la sent pas trop personellement. PAs besoin d'être aigrie pour être agacée par le manque de respect, ou encore le mépris dans le travail. Généralement dès que t'as un cerveau ça te fait réagir (et même ce en ayant plusieurs orgasmes par jour). Ca se saurait si le bonnet C et la jeunesse était une voie parfaite vers l'inscouciance et le bonheur. NB: Encore une fois, vision hyper stéréotypée du féminisme...vous savez qu'il existe des féministes pro sexe ? D'autres plus prudes ? Je ne sais que te conseiller pour t'épanouir et t'éviter le cul de sac
  18. L'argument de la victime qui doit faire attention à l'endroit où elle se rend ne tient pas pour moi, quand (comme beaucoup l'on déjà dit dans les posts précédénts), les viols sont souvent commis par l'entourage proche, dans des lieux familiers, ou encore peuvent être commis sur des enfants/de très vieilles femmes. C'est juste au mieux de l'égoïsme, au pire une réelle jouissance tirée de la déstruction de l'autre. Quant au poncifs sur "les femmes qui fantasment sur le viol" , n'importe quel adulte avec un vie sexuelle saine, sait qu'on peut se mettre en scène, avoir des pratiques transgressives, en en discutant ouvertement avec son partenaire, et sans que ce soit le signe d'une quelconque emprise psychologique. Les gens qui pratiquent le SM, et d'autres trucs ne rencontrent que rarement des accusations de viols, parce que tout est très cadré, avec un code en cas de changement d'avis... Et pis même...n'importe quel mec normal sait que même si la file est déjà dans le lit, et qu'elle change d'avis, on arrête tant pis. Je sais pas, si mon partenaire se sent mal, ça ne me viendrait pas l'idée de le tenir cloué au lit pour "finir" parce que sinon je suis trop frustrée. Faut éduquer les gens, qu'ils comprennent que les autres ont une volonté, des envies/des réticences pouvant être déroutantes, ou frustrantes, mais ce ne sont pas des consommables. Si vous ne comprenez pas ça, il existe ceci
  19. Je vois pas bien en quoi on peut encore parler de sacralité (mais je ne demande qu'à être éclairée). D'après le post initial, je pense que tu parles de cette dichotomie que les gens ressentent entre le peuple et "ceux" qui sont de l'autre côté, du côté du pouvoir. Et alors, on a des choses à dire. Parce que finalement c'est de la défiance, de la perte de confiance dans le pouvoir...et elle est plus ou moins justifiée par des milliers d'éléments. Le fait qu'on soit dans une démocratie (France) où chacun peut être éligible ou électeur, pourrait balayer cette vieille opposition entre peuple et élite dirigeante. Mais finalement, on se rend compte que ça marche pas : en terme de participation ou d'action politique (et surtout, parmi ceux qui accèdent au pouvoir au niveau du gouvernement), on retrouve finalement beaucoup, beaucoup de gens qui partagent un capital financier et culturel très élevé (voir les électeurs hors/dans le jeu chez Anne Muxel). Pour être en plein de dedans, je peux t'assurer que tout le monde ne peut faire une carrière politique facilement...les stages introuvables et non rémunérés de certaines institutions, ou même la simple volonté font que tu retrouves finalement beaucoup les classes supérieures au pouvoir. Mais ce n'est qu'un point d'explication. Claude Lefort avait introduit l'idée de "lieu vide du pouvoir", et c'est une idée intéressante, parce qu'elle explique toute la défiance, le rejet, le conspirationnisme qui peuvent peser sur l'image de la classe politique. Pour lui, le fait que notre démocratie n'est plus de "chef" unique (comme c'était le cas en Monarchie absolue) peut finalement s'avérer difficile pour la population, qui ne parvient pas à savoir clairement qui est au pouvoir, et en conclut qu'on ne lui dit pas tout, que certaines choses sont cachées... Et on retrouve un peu cette idée chez Rosanvallon, qui parle de crise de la légitimité dans les démocraties modernes : les citoyens veulent exercer un contrôle en amont et aval sur l'action des représentants, afin que ceux ci restent fidèles aux promesses faites à l'électorat. Et finalement, dans la réalité, on en est très loin. A part le vote sanction qui interviendra au bout de plusieurs années, le peuple n'a que peu de moyens d'influer sur le cours des décisions (référendum rares, formes de politisation alternatives encore peu reconnues..). Même au niveau européen, on se rend compte que le vote (forte abstention) n'est pas réellement un moyen efficace de choisir la politique, puisqu'il existe quantité de comissions d'experts absolument pas élus, qui ont un vrai rôle en terme de prise de décision. Donc, les citoyens se plaignent du pouvoir alors qu'ils pourraientt se l'appropier...oui, sur le papier.
  20. Je me dis des trucs du genre "Tiens, tiens tiens...faut encore racheter du masque cheveux..." J'essaie de rester pragmatique : avoir des cheveux propres et démêlés...pour le reste, j'ai pas de sous pour me faire refaire alors ...:smile2:
  21. Ninouschkaya

    Le Q.I. du forum !

    133 puis 145 puis 158 puis 132....bon, selon la série, j'oscille entre Eve Angeli et Yoda
  22. La technique pour jamais être une boniche, c'est de montrer quand t'en a pas plus quelque chose à faire que les autres. Quand mon mec a salis plein de vaisselle, je ne fais rien, j'attends...bah le lendemain c'est nickel. Voilà Ca a fait ses preuves (bon après, faut pas être de mauvaise fois, quand ça te dérange tu range...mais si ses chaussettes qui trainent pendant la nuit te dérange, revoit ton seuil de tolérance).
  23. Le fait qu'on est plus de choix tient aussi beaucoup des représentations de la société sur le sexe. Même si les choses évoluent, le schéma reste globalement: Pour les hommes : baiser 3 fois par jours est capital, tu dois être fort et prolifique, si possible avec un nombre variées de femmes, c'est la compèt' de ta vie : un fion éclaté, c'est des point en plus pour ta virilité. Pour les femmes: faire l'amour c'est un sacrifice qu'il faut faire par amour, idéalement avec le futur père de tes enfants, parce que les coups pour rien, ça veut dire que t'es une putain. Evite de dire que t'aime le sexe ou de cèder facilement : tu dois lutter contre le déshonneur qu'est le coÏt. Par voie de conséquence, le désir féminin est (semble ?) plus rare que le désir masculin (qui semble omniprésent et ultra commun). Donc on fait notre tambouille, avec la même mine dégoutée depuis toujours, parce qu'on veille à pas trop devenir des bitch. C'est la théorie de mon père, sur les machos qui se tirent une balle dans la pied parce que a) ils veulent niquer b) ils méprisent la fille qui accepte donc c) elles acceptent de moins en moins.
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