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deja-utilise

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  1. deja-utilise

    La virilité

    Je me suis posé cette question dans un autre contexte également, la réponse qui m'est venue, c'est que le fait de mettre de la distance entre soi et la victime, nous déresponsabilise de nos actes, ils sont plus facilement appliqués sans réflexion. Comme dans ce test de lâcher de bombes, pour comprendre comment on ( les soldats ) a pu le faire pour Nagasaki et Hiroshima, si l'on met des visages humains des victimes à coté du bouton pour déclencher le largage, les personnes testées sont très hésitantes, voire refusent de la faire sur simple ordre/commandement, alors qu'elles n'hésitent pas si sur l'écran ne figure que des graphismes minimalistes comme un cercle avec une croix qui s'approche du centre et où l'on doit appuyer. ( Ce qui rejoint un autre débat sur l'impact des jeux vidéos violents mimant la réalité ). Je replace ma remarque préalable au bon endroit: Avant d'approfondir, pouvons nous commencer par situer la notion de virilité?
  2. Je les trouve plutôt "graves" ceux-là! Pas toi? Comment leur en vouloir, en cette période de troubles importants, ils expérimentent un peu tout, naïfs, coincés à la fois entre le désir de s'affirmer et tout prendre par dessus la jambe, un flottement d'indécisions permanent, ballotés par des pulsions contradictoires, les nerfs à vif de par leur sensibilité exacerbée. Toutefois, je constate ici sur forumfr, si l'age du forumeur n'est pas farfelu, que des adultes éprouvés s'emploient à en faire un usage conséquent également, n'est ce pas aussi dans notre façon d'être d'humain que de s'adapter?
  3. On pourrait avoir le même positionnement face à une voiture, soit on cherche à comprendre son fonctionnement, on l'entretien mécaniquement, et lorsqu'elle est en panne on tente de la réparer par soi-même, mais on peut tout aussi bien ne rien faire de cela, ne pas savoir le principe de fonctionnement, ne pas l'entretenir correctement et la confier à d'autres pour solutionner l'avarie. Que l'on y soit confronté un jour est une chose, que l'on sache même maladroitement y faire face par soi-même en est une autre. Mais effectivement, face à l'adversité, nous ne réagissons pas identiquement, là où certains se grandiront d'autres s'échoueront, ce qu'il faut, c'est ne pas regretter ses choix ou ses non choix, au moment où il est déjà trop tard, il est d'ailleurs remarquable de constater que lorsque des personnes frisent la mort, elles changent de paradigme de vie! Je suis conscient que le questionnement est un processus irréversible, qu'une fois qu'on y a mis le doigt, tout le corps finit par y passer, que l'on se retrouve "broyer", que ce qui semblait évident/aller de soi avant, ne l'est plus, que tout peut être vu différemment, plus en profondeur, relativement ou plus justement, autant l'inconnu fait peut au plus grand nombre, autant la vérité est tout aussi repoussante pour une majorité, car ne faisant pas partie de leur prérogatives de vie, bien plus tournées vers la sustentation du soi, de la jouissance immédiate et beaucoup moins par une éthique, indissociable d'une approche philosophique.
  4. Oui, maiiiiis... Regarde avec Lamarck discrédité en son temps, avec son transformisme ou détriment de l'évolution, et depuis avec l'épigénétique les choses ne sont pas aussi tranchées finalement, cela fait plus d'un siècle!
  5. http://www.forumfr.com/sujet615968-reforme-de-l-enseignement.html
  6. ( http://www.education.gouv.fr/cid67139/questions-reponses-sur-la-reforme-des-rythmes-a-l-ecole-primaire.html ) En quoi la réforme des rythmes scolaires va-t-elle favoriser la réussite scolaire de tous les élèves ? Avec des enseignements regroupés sur seulement quatre jours par semaine, les écoliers français subissent actuellement des journées plus longues et plus chargées que la plupart des autres élèves dans le monde. Or cette extrême concentration du temps d’enseignement est inadaptée et préjudiciable aux apprentissages. La réforme des rythmes scolaires permettra de mieux répartir les heures de classe sur la semaine, d'alléger la journée et de programmer les enseignements à des moments où la faculté de concentration des élèves est la plus grande. Les élèves seront ainsi plus attentifs pour apprendre à lire, écrire et compter, moins fatigués et plus épanouis. La réforme conduira en outre à un meilleur équilibre entre temps scolaire et périscolaire. Quel sera le bénéfice de cette réforme pour les enfants ? La semaine de 4 jours et demi vise à assurer un plus grand respect des rythmes biologiques des enfants car nous savons que leur réussite à l’école primaire dépend pour une part essentielle des conditions dans lesquelles se déroulent leurs apprentissages. Les nouveaux rythmes scolaires permettront en effet une meilleure répartition des heures de classe sur la semaine, un allègement des journées et une programmation des enseignements aux moments où la faculté de concentration des élèves est la plus importante. Elle conduira également à un meilleur équilibre entre temps scolaire et temps périscolaire et garantira la complémentarité et la cohérence des activités proposées aux enfants tout au long de la journée. Il s’agit ici d’améliorer les conditions de réussite de tous les élèves et de renforcer leur plaisir d’apprendre et d’être à l’école. L’ajout d’une matinée de classe permet-il réellement de réduire la fatigue des enfants ? L’ajout d’une demi-journée de classe par semaine est une préconisation des scientifiques spécialistes des rythmes de l’enfant. Il s’agit de retrouver un rythme équilibré permettant à l’enfant de s’épanouir et de mieux apprendre. Le matin étant le moment de la journée où l’élève est le plus attentif, la demi-journée du mercredi donnera du temps pour un apprentissage plus efficace des fondamentaux. Elle évitera en outre la rupture de rythme en milieu de semaine, que l’on sait source de fatigue et préjudiciable aux apprentissages. Quant aux activités périscolaires (sports, arts, culture, etc.), elles permettront aux élèves de se découvrir des compétences et des centres d’intérêt nouveaux et de prendre plus de plaisir à apprendre et à être à l’école. Comment sera organisé l’emploi du temps des élèves dans le cadre des nouveaux rythmes scolaires ? L’emploi du temps des élèves sera organisé selon les grands principes suivants : les élèves auront toujours au total 24 heures d’enseignement obligatoire par semaine ; ils iront à l’école 4 jours et demi par semaine, dont le mercredi matin ; ils n’auront pas plus de 5 heures 30 d’enseignement obligatoire par jour, ni plus de 3 heures 30 par demi-journée ; ils auront une pause méridienne d’au moins 1 heure 30. Cette nouvelle organisation permettra aux élèves d’avoir des journées de classe de 5 heures 15 en moyenne au lieu de 6 heures actuellement. En pratique, les nouveaux rythmes scolaires ne compliqueront pas l’organisation quotidienne des familles car, si elles le souhaitent, leur enfant pourra continuer à être pris en charge au minimum jusqu’à l’heure actuelle de fin de la classe (16h30 dans la plupart des écoles). D’autres activités, conçues pour compléter l’enseignement scolaire, seront en effet proposées aux élèves sur le temps libéré. Sur ce sujet, consultez également la question : Quelles seront les activités proposées aux élèves sur le temps libéré grâce à la nouvelle répartition des heures d’enseignement sur la semaine ? La réforme va-t-elle modifier le nombre d’heures d’enseignement par semaine ? Non, la semaine comportera comme aujourd’hui 24 heures d’enseignement. Il s’agit seulement de répartir ces heures différemment afin de respecter davantage les rythmes d’apprentissage et de repos des enfants. Conformément aux préconisations des scientifiques spécialistes des rythmes de l’enfant, le travail scolaire sera étalé sur 4 jours et demi - dont le mercredi matin le plus souvent - au lieu de 4, ce qui permettra d’alléger les autres journées en moyenne de 45 minutes et d’éviter la rupture de rythme en milieu de semaine, que l’on sait préjudiciable aux apprentissages. Les communes pourront-elles demander des dérogations aux grands principes d’organisation du temps scolaire ? Oui, les communes pourront solliciter des dérogations à certains des principes fixés par le cadre national. Ces demandes de dérogation devront être justifiées par les particularités du projet éducatif territorial - l’élaboration d’un projet éducatif territorial sera donc une condition préalable - et présenter des garanties pédagogiques suffisantes. Elles pourront concerner la mise en place d’une demi-journée d’enseignement le samedi matin au lieu du mercredi matin, l’augmentation de la durée de la journée d’enseignement au-delà de 5 heures 30 ou celle de la durée de la demi-journée pour la porter à plus de 3 heures 30. Le principe des neuf demi-journées d’enseignement et celui des 24 heures d’enseignement hebdomadaire ne pourront faire l’objet d’aucune dérogation. Les élèves seront-ils toujours pris en charge jusqu’à 16h30 si la classe se termine plus tôt ? Oui. Si leurs familles le souhaitent, les élèves bénéficieront d’une solution de prise en charge au moins jusqu’aux horaires de sortie de l’école pratiqués aujourd’hui (16h30 dans la plupart des écoles). Ils pourront notamment accéder à des activités périscolaires proposées par les communes. Sur ce sujet, consultez également la question : Quelles seront les activités proposées aux élèves sur le temps libéré grâce à la nouvelle répartition des heures d’enseignement sur la semaine ? Si les familles préfèrent retrouver leurs enfants dès la fin des enseignements obligatoires, il leur sera possible de venir les chercher. Vais-je devoir changer le mode de garde de mes enfants ? Non, car les élèves dont les familles le souhaitent demeureront pris en charge au minimum jusqu’à l’heure actuelle de fin de la classe (16h30 dans la plupart des écoles). Les familles auront même moins de temps de garde à organiser puisque celles qui font actuellement garder leurs enfants le mercredi matin n’auront plus à le faire. Les activités pédagogiques complémentaires sont-elles obligatoires pour les élèves ? Les élèves ne sont pas obligés de participer aux activités pédagogiques complémentaires dans la mesure où ces activités ne relèvent pas du temps d’enseignement obligatoire et s’ajoutent aux 24 heures d’enseignement hebdomadaire. Il est nécessaire de recueillir l’accord des parents ou du représentant légal des enfants qui en bénéficient. En revanche, les élèves qui sont inscrits à ces activités s’engagent à y être présents. Les activités périscolaires proposées par les communes sont-elles obligatoires ? Non, les familles ne sont pas obligées d’inscrire leurs enfants à ces activités. Celles-ci sont facultatives, mais chaque enfant doit avoir la possibilité d’en bénéficier. Quelles seront les activités proposées aux élèves sur le temps libéré grâce à la nouvelle répartition des heures d’enseignement sur la semaine ? Les plages horaires libérées par la nouvelle organisation de la semaine seront utilisées pour mettre en place des activités conçues pour compléter l’enseignement scolaire. Des activités périscolaires seront proposées par les communes (notamment via le redéploiement des activités actuellement prévues le mercredi matin). Ces activités sportives, culturelles, artistiques contribueront à l’épanouissement des élèves et au développement de leur curiosité intellectuelle. Par ailleurs, des activités pédagogiques complémentaires seront organisées par les enseignants, à raison de 36 heures par an. Elles se dérouleront en groupes restreints d’élèves et permettront d’aider les élèves rencontrant des difficultés dans leurs apprentissages, d’accompagner le travail personnel ou de mettre en place une activité prévue par le projet d’école. Comment garantir que les activités périscolaires seront suffisamment encadrées ? L'État a créé un fonds d’amorçage de 250 millions d'euros afin de permettre aux communes d’organiser au mieux les activités périscolaires et, si nécessaire, le recrutement d'animateurs supplémentaires. Sur ce sujet, consultez également la question : Comment sera financée la réforme ? Y-aura-t-il suffisamment de place dans les locaux de l’école pour organiser les activités périscolaires ? L’utilisation des locaux scolaires devra être optimisée en fonction de la diversité des activités périscolaires proposées, sachant que tous les élèves de l’école ne seront pas nécessairement inscrits aux activités périscolaires. Les communes pourront également utiliser des locaux autres que les locaux scolaires (conservatoires de musique, centres d’animation, installations sportives, etc.), sous réserve que les élèves soient confiés, à la sortie de l'enceinte scolaire, à un ou plusieurs animateurs, que le déplacement ne soit pas trop long et que le parcours puisse s'effectuer en toute sécurité. Comment sera financée la réforme ? Un fonds exceptionnel, doté de 250 millions d’euros, accompagnera les communes dans la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires. Ce fonds sera mis en place dans le cadre de la loi pour la refondation de l’École et aidera les communes à redéployer les activités périscolaires existantes (notamment celles organisées actuellement le mercredi matin) et à en proposer de nouvelles. Il s’agit de permettre la prise en charge de tous les enfants au minimum jusqu’à l’heure actuelle de fin de la classe (16h30 dans la plupart des écoles). Le fonds concernera, pour l’année scolaire 2013-2014, l’ensemble des communes qui auront décidé de mettre en œuvre les nouveaux rythmes scolaires à la rentrée 2013. Les communes urbaines ou rurales les plus en difficulté bénéficieront d’un soutien financier plus important pour l’année scolaire 2013-2014 et pourront percevoir une aide pour l’année scolaire 2014-2015. Mon enfant pourra-t-il continuer à pratiquer des activités extrascolaires le mercredi matin ? Dans le cadre des nouveaux rythmes scolaires, les 24 heures d’enseignement seront dispensées sur 9 demi-journées incluant le mercredi matin. Cette matinée de classe du mercredi constituera donc un temps obligatoire pour tous les élèves, sauf pour ceux scolarisés dans une commune ayant demandé et obtenu une dérogation afin d’organiser la demi-journée supplémentaire le samedi matin. <a name="8">Les modalités d’accueil seront-elles identiques pour toutes les écoles ? Les grands principes de l’organisation du temps scolaire s’appliqueront à l’ensemble des écoles mais des adaptations seront possibles, à l’intérieur de ce cadre, afin de prendre en compte les contraintes et les atouts des différents territoires et de leur permettre de mener à bien leurs ambitions éducatives. Les modalités d’accueil pourront donc différer d’une école à une autre, mais les services départementaux de l’éducation nationale veilleront à la cohérence de l’aménagement du temps scolaire dans les écoles d’un même territoire (notamment pour tenir compte des contraintes en termes de transports scolaires). L’organisation du temps scolaire dans les écoles sera fixée par les services départementaux de l’éducation nationale à partir des projets qui pourront leur être transmis par les maires et par les conseils d’école. ( http://r.search.yahoo.com/_ylt=A9mSs3AN9xFUmmIA04hjAQx.;_ylu=X3oDMTE0dTRpZzA3BHNlYwNzcgRwb3MDNwRjb2xvA2lyMgR2dGlkA01TWUZSMDlfMQ--/RV=2/RE=1410492302/RO=10/RU=http%3a%2f%2fwww.ladocumentationfrancaise.fr%2fvar%2fstorage%2frapports-publics%2f054000291%2f0000.pdf/RK=0/RS=arS1Meq0oJ6qTailELRCUxzm15A- )
  7. Maximes d'Épicure: V: Il n'est pas possible de vivre avec plaisir sans vivre avec prudence, et il n'est pas possible de vivre de façon bonne et juste, sans vivre avec plaisir. Qui ne dispose pas des moyens de vivre de façon prudente, ainsi que de façon bonne et juste, celui-là ne peut pas vivre avec plaisir. VIII: Nul plaisir n'est en soi un mal, mais les causes productrices de certains plaisirs apportent de surcroît des perturbations bien plus nombreuses que les plaisirs. Sentences: 20 Parmi les désirs, les uns sont naturels et nécessaires, les autres naturels et non nécessaires, les autres ne sont ni naturels ni nécessaires, mais proviennent d'une opinion vide. 65 Il est vain de demander aux Dieux ce qu'à soi-même l'on est capable de fournir. Reich, Wilhelm? ( « À partir de janvier 1942, attaqué de toutes parts, traité de charlatan par les psychiatres et de schizophrène par le milieu psychanalytique américain, Reich s'enfonça dans la folie. » )
  8. Désolé pour le manque de promptitude! Est ce que je remet en cause cette expérience?, tout d'abord ce ne sont pas les expériences que je remets en cause, si tu te rappelles, mais leurs interprétations, pour le décalage temporel dans l'expérience spécifique du "boeing" qui emporte une horloge atomique pendant que sa "soeur" a été synchronisée mais restée sur la terre ferme, ou du système GPS, ou de l'avance du périhélie de Mercure, sont donc des résultats donnés qui ne sont pas contestables en soi. Je n'ai pas développé assez mes idées pour faire une quelconque prédiction, ni qualitative et encore moins quantitative. Ce que j'ai remis en cause dans la relativité restreinte et donc générale, c'est l'invariance de la vitesse de la lumière ( en plus de son non franchissement ), mais je retiens le principe d'équivalence ( accélération gravitationnelle équivalente à une force dynamique ou accélération par rapport à un référentiel ), disons dans le sens où je l'entends moi même, c'est à dire que la masse inertielle est identique à la masse gravitationnelle. Si l'on repartait d'une expérience avec des lois classiques tout en introduisant le décalage temporel à cause de la vitesse finie des OE et/ou des ondes de gravité et en tenant compte du principe d'équivalence, je ne sais pas ce que cela donnerait, j'y ai déjà songé pour les astres, mais comme les mouvements sont tangents à des ellipses, même ramené ponctuellement à des cercles, sur des orbites différentes, cela donne une composition du mouvement très compliquée pour introduire l'influence du décalage des ondes de gravité à vitesse également finie, par contre qualitativement lorsque les corps se rapprochent, les ondes auraient tendance à se "compresser"/densifier ( gravité plus forte? ) et lorsqu'ils s'éloignent à se "décompresser"/raréfier ( gravité moins forte? ), ce qui devrait avoir des conséquences sur les objets subissant ces ondes, mais lesquels exactement, je ne sais pas encore, et sans doute jamais, car je ne mes sens pas à la hauteur de la tâche même si cela m'intéresse au plus haut point! Pour les horloges, il y a aussi les OE qui interviennent dans le phénomène avec le couplage de ces dernières avec le champ de gravité ( plutôt voyageant dans l'espace spatio-temporel "déformé" ), pour l'heure je ne vois pas, ce que je sais c'est qu'il y a un lien entre OE et onde gravitationnelle, puisqu'elles sont présupposées aller à la même vitesse, ce qui ne peut pas être l'oeuvre d'un pur hasard, pas plus pour "l'anti-gravité", car d'un point de vue mathématique rien n'empêche d'avoir une "bosse" au lieu d'un "trou/puits", et pourtant on a jamais observé un tel phénomène, sauf à considérer comme je le fais, que la gravité et la matière noire ne sont que les deux facettes d'un même processus. Tu es sans doute déçu de ma réponse évasive, mais je ne peux pas aborder de front des développements aussi poussés, alors que j'en suis encore aux prémisses de mes remises en cause, et donc très loin des débouchés physiques possibles, rappelant que le décalage des horloges est une conséquence de la RG, alors que je ne fais que remettre en cause l'interprétation d'un des postulats, la partie calculatoire pouvant être fort juste, alors même que l'idée directrice est fausse, en science ça ne serait pas la première fois, par exemple un dogme de la biologie vient de tomber, celui que les hormones sont principalement à l'origines de nos différences sexuelles au niveau des cellules non somatiques, et donc de l'organisme entier, en fait c'est faux! Ce sont les cellules elles mêmes qui sont différentes dans leur fonctionnement, car exprimant tout ou partie du chromosome X ou Y, en clair on constatait bien des différences mais on les attribuait/interprétait pas correctement, voilà l'idée.
  9. Oups! :D ( c'te honte, pour te paraphraser ) Il fallait lire concision, bien sûr! Faudra sans doute désinfecter matin et soir quand même...
  10. Merci... merci... merci ( réplique dans Barbapapa, de Barbabella chanteuse ). Comme Tison, de formation ( supérieure ) uniquement, je ne suis pas chercheur par convictions personnelles! Voici un condensé de la réponse, en substance:
  11. Sans jouer les linguistes que je ne suis pas, je dirai plutôt que les émoticônes sont nés des SMS, puis pour égailler/enjoliver ces symboles de ponctuations détournés, sont apparus les smileys plus "vivants" dans des structures de conversations les acceptant/supportant. Je serai un tantinet plus catégorique, en disant que l'échange nécessite la différence! Inévitablement, oui.
  12. Tiens! Blaquière a sa réponse sur les émotihardcores.
  13. On ne se connait pas plus que cela, on finit par connaitre quelques bribes de la personne à travers ses écrits, et donc de cerner grossièrement le personnage derrière l'avatar, avec les discussions qui s'enchainent, et donc a priori pas à l'extérieur de ce forum ou Irl. Je peux comprendre que lorsque l'on vient sur un espace où les gens ont l'habitude d'échanger entre eux, il peut être plus délicat de se positionner, mais on ne mange personne, toutes les bonnes "âmes" sont les bienvenues, je me rappelle de mon introduction ici même, qui s'est bien passée globalement, il y a de toute façon toujours des incompréhension. Voilà. Ce qui suscite une réaction en nous, n'est pas systématiquement l'apanage d'une "pensée bien articulée", l'homme n'est pas un animal que de raison, heureusement et malheureusement à la fois, tout dépend sur quoi porte notre réaction. Très bien, et te remercie de ces remarques obligeantes. J'y suis sensible. Nota: Je t'ai piètrement répondu sur le topic de la sexualité, as tu vu? Que de questions DdM! Mes intentions n'étaient pas de rentrer dans une dimension philosophique, mais de montrer les deux faces qui peuvent être défendues par les "protagonistes", et qu'il suffit d'ouvrir les yeux, pour accepter/comprendre/saisir le positionnement de l'autre, même si ce n'est pas le nôtre, que le trottoir d'en face est toujours en face, même lorsque l'on change de coté! :smile2:
  14. Mais tu m'as piqué mon expression! ( le "oui mais" j'suis spécialiste ) Je ne suis pas d'accord avec toi ( donc discutons ), même ici lorsque quelqu'un se plaint, c'est qu'il a envie d'être entendu, pris en considération, une manière de se sentir exister, je me doute bien, que pour certains, c'est devenu chronique, une seconde nature, mais pour celui ou celle pour qui ce n'est pas une habitude, cela démontre un besoin, un trouble à faire cesser. Il est quand même rare de gémir gratuitement, sans aucun but, aucune raison, même éloignés du cas présent, par exemple l'individu qui est mal dans sa peau, pourra obtenir quelques considérations, si l'on est attentif à ses complaintes. Que la plainte ait une vocation ne fait donc aucun doute, qu'elle soit mal placée/inappropriée/récurrente est une autre question. On ne fait jamais quelque chose pour rien! D'un point de vu, très subjectif, on peut effectivement attendre tout et n'importe quoi, nous sommes tous différents après tout. Mais si l'on se replace sous l'angle de la discipline, et je pense que depuis le début, c'est cette approche qui était défendue, on ne peut pas faire totalement comme bon nous semble, d'ailleurs le simple fait que je respecte la grammaire, l'orthographe et la syntaxe, comme toi, démontre parfaitement qu'il y a des règles implicites qui permettent l'échange, ces échanges ne peuvent pas être sortis d'un contexte ou environnement particulier, il y a un minimum à garder pour que nous puissions dialoguer pour se comprendre, les jeux sur les mots ou les tournures, les seconds degrés etc, sont coincés dans une marge somme toute étroite, sinon, nous risquons l'incompréhension, la lassitude, le rejet, il y a donc un effort consenti minimal à fournir pour discuter, il en va de même lorsque nous nous affairons à une tâche particulière, il faut un peu d'ordre/de règles, et pas accepter l'anarchie comme base/précepte, ce qui n'exclut pas quelques libertés, tout est une question d'équilibre. Par exemple faire de la cuisine est une activité très libre, néanmoins il y aura un critère à prendre en considération, c'est qu'à la fin dans ce cas, ce soit mangeable/comestible, autrement ce n'est plus faire de la cuisine, et bien en philo c'est pareils, si l'on fait autre chose, il faut juste nommer l'activité différemment, dans le cas contraire il faut respecter l'approche caractéristique de ce domaine, si nous mettons des étiquettes à des catégories d'objets, d'évènements, de phénomènes ou d'activités, c'est pour que nous puissions avoir une vision commune, convergente, autorisant de ce fait, la compréhension mutuelle, d'avancer dans le même sens, d'être "productif"/constructif.
  15. Comme les causes ne sont pas les mêmes, j'évite de faire un lien trop fort, en utilisant une expression du type " mur de lumière ", simplement un parallèle, que ce que l'on perçoit n'est pas nécessairement la réalité, surtout quand on ne cherche pas plus loin. Il n'y a pas que les phénomènes relativistes ou quantiques qui me posent de graves problèmes d'acceptation, même dans la physique classique il s'y trame des évènements pour le moins incompréhensibles, je pense particulièrement à l'attraction coulombienne ( les charges électriques de charges opposées ), impossible d'imaginer ce qui peut physiquement attirer réellement les objets, pour la répulsion je peux l'entendre/l'envisager, mais l'attraction à distance me laisse complètement perplexe! D'échanger des vecteurs de la force électromagnétique, me laisserait plutôt penser à un éloignement qu'à un rapprochement, si j'envoie une balle à un individu, cela me projettera en arrière, en même temps que cela le fera reculer à la réception!?
  16. Théorie de l'évolution Darwinienne, il évolue à défaut de mourir!
  17. C'est vrai que cela fait du bien de vider son sac, exhorter ses petits malheurs, mais est-ce blâmable? Tout un chacun n'arrive pas à se détacher de ses liens affectifs avec le monde qui l'entoure, mais je pense qu'il y a aussi des personnes qui écoutent réellement ce que les autres ont à dire, peu-être pas à chaque fois, tantôt on a besoin d'un oreille attentive, tantôt on se sent à même d'entendre les autres, on profite ainsi des expériences des autres, cela rapproche aussi, cela nous rend en tout cas plus humain, à mon sens, que de se regarder de loin!
  18. Nous croyons tous en quelque chose, cela semble vital pour notre santé psychique, la question qui revient souvent, c'est sur quoi porte cette croyance, et quelle légitimité pouvons nous lui donner pour nous même ou les autres. Pour les services rendus à la personnes, cela me semble amplement suffisant comme justification. Ne vaut-il mieux pas un croyant heureux, qu'un athée malheureux? ( pour les athées ) Ne vaut-il mieux pas une âme égarée mais béate, qu'un croyant parjurant? ( pour les croyants )
  19. Bonsoir, Je t'ai répondu un peu avant sur l'infini absolu, en substance, il n'y en a pas, c'est une construction de notre esprit, comme éternité ou perfection. Mais l'un n'empêche pas l'autre, encore une fois, c'est justement lorsque l'on cherche à tout rationaliser que l'on s'aperçoit que ce n'est pas possible, que l'on met le plus en relief les choses. Par exemple, l'amour, n'a rien de rationnel, certains auront la chance de connaitre ce sentiment, comment le faire comprendre à celui qui ne l'aura jamais connu? Certainement pas par la raison, lorsque l'on dit il vaut mieux un dessin qu'un long discours, parfois il vaut mieux vivre les choses par soi-même pour comprendre pleinement, ce qu'un échange verbal n'aurait fait que pâlement effleurer, les sensations se vivent, elles ne se discutent pas, au même titre que la douleur ou la plaisir du chocolat en bouche, on ne peut pas le transmettre par le langage. Dans la même lignée, celui qui éprouverait un sentiment profond pour ce qui laisse totalement indifférent un autre, aurait les plus grandes peines à se faire comprendre, c'est ce qui arrive lorsqu'une odeur ou une musique ancienne nous renvoient à une nostalgie du passé, que seul nous pouvons décrypter ou en ressentir les effets, qui pourtant laisseront de marbre un autre. Comment argumenter/démontrer une émotion/un sentiment/ressenti? On ne peut que l'évoquer, la susciter chez l'autre par analogie, c'est uniquement cette effet miroir qui nous permet de comprendre nos semblables, mais on ne peut pas s'attendre à une convergence systématique. C'est vrai que cela m'y fait penser, quand je te lis, et pour ma part, la sagesse n'est pas nécessairement cognitive, elle est aussi émotionnelle, humaine, etc... C'est à dire que nous en avons tous une vague idée, sans vraiment savoir comment s'y prendre, comment y tendre, il y a une part indicible, indescriptible, et pourtant ce terme parle à chacun de nous, sans doute un peu différemment, comme Dieu aussi finalement.
  20. Merci zenalpha pour ta réaction neutre. J'ai peur que tu n'es pas saisi où se situait mes objections, mais je ne peux pas t'en vouloir, de toute façon je ne suis même pas capable moi-même de développer mes propres idées jusqu'au bout... c'est terrible/affligeant. Je me souviens, tu me l'avais dit lors de notre discussion sur les "paramètres fins". Pour rappel, après l'échec de la mise en évidence du vent d'éther, avec le fameux interféromètre de Michelson-Morley, Einstein a postulé l'invariance de la vitesse de la lumière, c était déjà une "constante" dans les équations de Maxwell pour l'électromagnétisme, entre temps Poincaré avait formulé les transformés de Lorentz pour concilier les faits et les équations de Maxwell. Mon souci n'est pas d'ordre expérimental, ou de précision des mesures, puisque cette expérience a été reproduite régulièrement jusqu'à nos jours, avec plusieurs ordres de grandeurs de précision supplémentaire, sans rien "déceler", mon propos est plus d'ordre de l'interprétation et des éventuels biais, comme celui de la composition de la vitesse de la lumière avec les miroirs réfléchissants ou semi-réfléchissants, ou encore que la mesure porte sur un déphasage de fréquences et non sur une vitesse elle-même, partant du principe que la relation entre vitesse/fréquence et longueur d'onde est immuable, c'est surprenant que l'on ait envisagé de remettre le temps en cause avant d'avoir fait le tour d'autres possibilités moins "traumatiques". Je ne pense pas particulièrement à des phénomènes supraluminiques, ce que j'essaie de dire, c'est que toutes les tentatives pour accélérer des corpuscule reposent d'une manière ou d'une autre sur les OE, ces dernières étant réputées avoir une vitesse fixe et constante ( dans des conditions déterminées ), il me parait tout à fait normal et prévisible, que nous ne puissions pas mouvoir un objet bien plus "massif" avec de petites particules nommées photons, plus rapidement qu'elles, ce qui en retour "confirme" expérimentalement qu'aucun objet ne voyage plus vite, et comme dit avant avec les billes de polystyrène en guise de photons, au mieux on atteint cette vitesse de projection, mais au prix d'une énergie considérable, puisqu'il y a toujours des frottements/ralentissements ( ce qui fait perdre un peu de vitesse, qu'il faut récupérer en dépensant beaucoup d'énergie puisque le transfert est d'autant moins efficace que les vitesses sont proches, donnant l'illusion que cette vitesse est une limite infranchissable, un peu comme en son temps le mur du son pour les avions mais pour d'autres raisons ). Ce qu'il faut voir, c'est leur genèse, à toutes ces notions, qui s'appuient sur des expériences, qui ont été interprétées d'une certaine manière à chaque fois, j'en propose juste une autre lecture, car j'émets des doutes, des objections, des réserves qui ne trouvent pas réponse, puisque la plupart des physiciens considèrent que c'est de l'acquis, ce que je refuse d'admettre, puisqu'à mes yeux nous n'avons pas du tout fait le tour des questions, comme par exemple en MQ, où l'on ne cherche pas à savoir le pourquoi, le comment, mais seulement d'admettre que cela est ainsi, en part d'effets observables, sans en rechercher la cause, entre autre la dualité onde-corpuscule reste dans l'état, le fait qu'une charge qui est accélérée rayonne est écarté dans le modèle atomique, puisque l'atome est stable c'est mis à la trappe, qu'un électron puisse passer par deux fentes en mêmes temps ne perturbe pas plus les physiciens, alors qu'il y aurait sans doute des explications rationnelles/classiques à ces évènements, mais on ne cherche pas/plus, on fait avec, pour moi, c'est tout bonnement inadmissible, de refuser de savoir plus avant, c'est à l'encontre même de la démarche du chercheur, en l'occurrence la physique. Que l'on se comprenne bien, je ne remets pas en cause les résultats rigoureux que l'on obtient, mais ce que l'on croit comprendre, ce que l'on admet comme principe/postulat, sans rechercher la cohérence totale de nos acceptations. Je ne cherche pas à convaincre, mais à discuter de ces approches et objections, que je soulève. C'est bien un problème d'interprétation qui est le fond de mes interrogations, je prône une vision très informationnelle, à l'image de ce que Shannon avait fait, mais qui peut être étendu à la physique et pas uniquement aux signaux. Imaginons une seconde qu'un objet aille plus vite que la lumière un cours instant, que vais je mesurer? Les OE qui émanent de lui ou qui sont renvoyées, à l'instar des ondes sonores d'un mobile en action, nous ne pourrons que mesurer au mieux la vitesse du son, ce qui pourrait nous laisser croire, que le mobile se déplace réellement à cette vitesse et d'autre part que cette vitesse est une limite, puisque les autres objets animés renverraient les mêmes mesures limites, mais comme nous avons d'autres moyens de mesures que le son, nous nous rendons compte que c'est la propagation des ondes sonores qui sont limitées, mais comment faire avec la lumière, puisque c'est ce qu'il y a de plus véloce, de connu? Puisque l'on utilise ces dernières pour nos mesures de vitesse, pire on le fait en mesurant des décalages dans les fréquences "d'émission" et de "réception" ( un signal comme référence comparé à celui que l'on veut mesurer )
  21. Bonsoir AK, Ane a K, Anna Kro ( hip! à la tienne! ), AnnaKine ( et que la force... ), bonsoir Anna disais je, Excellent, j'adore. :D ( j'adore que tu boudes, c'est trognon ) Tu as parfaitement raison, je dérive complètement, bon je m'en étais quand même aperçu, mais je croyais que cela te convenait également, puisque le sujet est pour l'heure clos. Mais revenons à la plainte: Finalement, on est plus proche de l'accord que du désaccord, non? Mais je comprends très bien ta position, je ne la renie pas, simplement elle ne fonctionne pas toujours, il faut à minima une adéquation. ( Il faudrait que tu la places au bon endroit, ou aux bonnes personnes, celle de ne pas complexifier les lois, car en France on est quand même champion du monde à ce jeu ) Tu disais que c'est en forgeant que l'on devient forgeron, oui pour sûr, mais si t'arrives avec des ballerines et un tutu, c'est pas gagné, donc pour devenir forgeron, il faut être équipé pour, ensuite on apprend sur le tas, c'est pareil en science ou en philo, avant même de faire quoi que ce soit, il faut s'assurer qu'on est dans le même "sens"/état d'esprit ( comme en math, tu dis pas j'ai trouvé sans rien prouver, ça fait parti du "jeu" que de démontrer et pas uniquement affirmer, d'ailleurs la personne s'est rétractée d'elle-même au sujet des nombres premiers ), ce qui n'empêche pas une certaine liberté, des approches nouvelles, atypiques, etc, de toute façon 95% de ce que l'on sait on le doit aux autres, peu importe le moyen employé, nous sommes tous redevables de nos aïeuls. P.S.: À la vision de ton avatar, je t'informe gentiment/amicalement, que les femmes fumeuses ont 70% de "chances" de plus que les hommes fumeurs d'avoir un cancer du poumon! Et... oui!
  22. Merci pour tes réponses, et si tu veux bien jouer le jeu, j'en serai ravi, mais attention toutefois, mon propos concerne les postulats de la physique, donc ses fondements mêmes! Je ne crois pas avoir écrit ou sous-entendu une telle chose, soyons franc je ne maitrise pas La RG, quelques vagues notions entre les reliquats de fac et mes lectures grand public, mais surtout si j'en sais si peu, c'est avant tout parce que je ne suis pas d'accord avec le postulat de la relativité restreinte, qui stipule C comme une barrière physique infranchissable, bien que je reconnais le principe d'équivalence, puisque j'en avais fait la découverte en terminal par mes propres moyens, bien avant d'entendre parler de ce principe, en effet, j'avais été estomaqué du lien non explicité entre la masse gravitationnelle dans l'attraction gravitationnelle newtonienne et la masse de la force "inertielle" dans la deuxième loi, j'y avais donc déjà fortement réfléchi. D'ailleurs je ne suis pas plus satisfait de la mécanique quantique, que je connais bien mieux, non pas sur le coté prédictif, mais sur le plan explicatif des phénomènes, puisque l'on a tout simplement abandonné de le faire, on se contente d'accepter, ce que je refuse, personnellement je suis resté "coincé" avec les physiciens qui objectaient contre ces nouvelles physiques, car les arguments n'ont jamais été véritablement levés, plus ce que je vais rajouter. Pourquoi suis je certainement un des rares physiciens à remettre en cause pas tant la vitesse limite de la lumière que le non franchissement de celle-ci, car j'estime que nous n'avons pas fait le tour de la question, que la lumière qui est aussi une onde, ait une vitesse déterminée, ne me gêne pas véritablement, puisque c'est le cas de toutes les ondes, mais ce qu'il l'est bien plus, c'est de croire qu'elle est une constante de la physique, qui plus est, qu'aucun corps ne peut la franchir, et pourquoi, et quels sont les preuves? On me répondra qu'il y a eu les expériences d'interférométrie qui ont "prouvé" l'invariance, or on oublie que c'est une fréquence que l'on mesure et pas directement une vitesse, deuxièmement qui a pensé à imaginer que l'appareil pouvait interagir avec les ondes électromagnétiques lumineuses, qu'il y ait comme une sorte de composition des vitesses avec les miroirs!? Maintenant qu'est ce qui me fait penser que C n'est peut être pas si infranchissable, d'une part je postule que ce n'est pas la vitesse des objets que nous mesurons, mais l'information que l'on a sur eux, dit autrement on mesure dans 100% des cas une onde électromagnétique ( par exemple une observation astronomique ), ce qui renvoie à l'invariance de la lumière, ensuite comment s'y prend t-on soit pour accélérer en "laboratoire", après l'avoir observé on essaie de le produire le mouvement, sauf qu'à ma connaissance on utilise systématiquement des OE ( ondes élec. ) pour les mettre en accélération, et si ces dernières sont limitées, il en ira de même avec les objets que l'on cherche à accélérer! C'est comme de vouloir accélérer une voiture en lui lançant des billes de polystyrènes à la même vitesse, sur un circuit fermé en limitant les frottements au maximum, on se rend bien compte que plus le véhicule s'approchera de la vitesse de projection, moins le transfert d'énergie sera efficace, il faudra augmenter l'intensité ( le nombre de billes ), mais nous buterons tôt ou tard sur la vitesse de lancement des billes dans le meilleur des cas, ce qui explique pourquoi d'une part que nous n'arrivons pas à accélérer des particules plus vites que les OE, mais qu'en même temps l'énergie nécessaire pour les accélérer croit exponentiellement, puisque les pertes de vitesse sont inévitables et le transfert contre productif, tout comme dans mon exemple classique. Comment peut t-on concevoir disons qu'une navette spatiale voyageant à 0.9C et envoie un signal lumineux en avant, "voit" celui-ci filer à la vitesse C? C'est là que l'espace temps fait son apparition, pour maintenir cette vitesse invariable, il n'y a pas d'autre alternative que de jouer sur le temps, ce qu'Einstein a fait, mais d'autres avant lui, comme Poincaré ou Lorentz. Je ne suis pas complètement convaincu! ( Einstein avait une vision géométrique du monde, très jeune il avait redécouvert des théorèmes seuls, alors que j'ai une vision très mécaniste de celui-ci ). Et le décalage temporel qui existe dans des horloges voyageant sous des potentiels gravitationnels différents, comme je reconnais l'équivalence accélération dynamique et gravité, la vitesse finie du signal, ainsi que l'influence de la gravité sur les photons, il n'y a rien d'étonnant qu'il existe un décalage, dont je ne suis pas capable de prédire l'ampleur, car c'est toute une physique qu'il faut reconstruire, ce que je n'ai pas fait, et sans doute incapable de faire. Comment expliquer également, puisque j'y suis, le fait qu'une OE puisse atteindre une vitesse colossale sur une distance aussi minuscule? Car tout se joue entre deux orbitales électroniques. N'y a t-il pas un lien incompris entre les ondes gravitationnelles et les OE, puisque l'on considère qu'elles ont la même vitesse, ce lien ne pourrait-il pas être dû aux propriétés du vide? Ou au contraire à la matière? Si la matière émet des photons, ne peut-elle pas émettre autre chose! Comment expliquer l'inertie? Hormis l'explication, très satisfaisante, de E. Mach? On explique la gravité de la RG par la déformation de l'espace-temps, soit, mais nous n'avons pas d'autre moyen de se la représenter que de faire appel à la mécanique newtonienne, l'avais tu remarqué, comme un drap tendu avec une boule dedans. Comment faire un lien entre masse gravitationnelle, inertie et accélération de l'expansion de l'Univers, si ce n'est que de supposer que c'est le même phénomène qui est à l'oeuvre? Si j'imagine un instant que la matière émet quelque chose en permanence, que je nomme parodiquement le graviphoton, et comme l'a supputé Mach ( pour l'inertie uniquement ), que les grandes masses de l'Univers arrosent le cosmos de cette particule par émission, il y aura une pression de radiation, d'autant plus forte que la masse réceptive est importante, ( dans la mesure où le captage ne serait pas 100% efficace, puisque la matière est toujours constituée essentiellement de vide ), d'une part cela expliquerait que plus un objet est massif, plus la gravité y est forte ( puisque le coté opposé à l'espace fait office de filtre, la matière elle même, il y a donc un déséquilibre de pression ), que puisque la gravité est une question d'émission, les masses très éloignées ont tendance à s'écarter, d'autant plus qu'elles sont loin les unes des autres, ensuite l'inertie serait cette lutte contre tout ce flux de pression venant de toutes parts. Cette vision est certes naïve, j'en suis conscient, mais c'est une représentation, un modèle explicatif, comme tant d'autres en physique, par contre j'arrive à expliquer des phénomènes différents, avec la même idée. Ne peut elle pas aussi expliquer la masse manquante, la fameuse, matière noire, si la gravité n'est pas ce que l'on pense, alors, les lois à des échelles différentes pourraient bien êtres dissymétriques, pouvant expliquer les écarts observés!? Ensuite, il y a la mécanique quantique, mais dans ce domaine, il y a déjà des pistes faites par des chercheurs, qui rejoignent mes idées, celle d'information, je les laissent donc expliciter, mieux que je pourrais le faire ( j'aurais encore d'autres choses à dire sur la méca. quant., mais cela fait déjà assez long, je pense ) : http://www.pourlasci...ssion-32441.php http://www.pourlasci...lites-23564.php http://www.agoravox....physique-151736 http://lib.convdocs....78.html?page=16 Merci de m'avoir lu, ce ne sont que des ébauches bien évidemment, à l'opposé de ce qui est devenu la physique classique, mais comme je pense que nous avons fait fausse route dès le départ, et vu les difficultés aujourd'hui pour recoller les morceaux ( MQ et RG ) ou expliquer ce qui nous échappe ( énergie sombre, matière noire ), quand bien même les mesures sont excellentes, la partie calculatoire peut être satisfaisante, mais pas les explications ou les justifications. L'effet tunnel/le saut quantique, peut se comprendre classiquement, il suffit de faire le parallèle avec la cinétique des gaz ou le mouvement brownien, il y a toujours une particules qui en a statistiquement plus que les autres, et donc les moyens de franchir ce qui été une barrière pour la grande majorité, il en va de même avec les vagues scélérates, la combinaison de petites vagues pouvant conduire à un monstre. L'intrication quantique, a une explication récente, ce serait un trou de vers dans l'espace temps, les particules resteraient en faite l'une à coté de l'autre dans cette perspective, ce ne serait que notre façon de voir, qui les verrait s'éloigner. La dualité onde-corpuscule, reste bien évidemment mystérieuse, sauf à imaginer que ce sont les "vibrations" de la matière qui donne l'impression que les particules se comportent des deux façons, par exemple dans les fentes de Young, il faut des fentes très étroites, ce qui favorise le passage de la particules près des bords, et si la matière des bords inculquait un mouvement à l'objet qui passe à sa portée!? À chaque fois que l'on veut constater une interférence, nous sommes obligés de passer par de la matière, n'est ce pas cette dernière qui influerait sur les résultats des mesures, plutôt qu'une propriété intrinsèque aux objets!? Ce qui pourrait expliquer le lien entre masse et longueur d'onde, puisque plus l'objet est massif, moins il sera perturbé, mais reste la lumière, toujours la lumière, à chaque fois, ce sont les OE qui sont au noeud du problème, et comme toutes les informations dont nous disposons sont données par ses OE, il est peut-être temps de faire toute la "lumière" sur ce vecteur, qui pourrait être le responsable de tous nos maux, un virus passé inaperçu. Le vide n'étant pas si vide que cela, il ressemblerait plus volontiers à un océan, d'où peut ponctuellement sortir tout un bestiaire, mais dans le respect des incertitudes d'Heisenberg, comme ce serait le cas des animaux d'une mer, plus ils sont massifs, moins de temps ils pourront rester hors de l'eau lors d'un saut. Le premier principe de la thermodynamique n'est pas réellement violé. D'ailleurs ce principe d'incertitude lui même, n'est pas si mystérieux à un coefficient près, puisque si l'on considère que tout objet possède une longueur d'onde propre liée à sa masse ( De Broglie ), mais qu'en même temps, d'un point de vue purement ondulatoire, pour connaitre la position il nous faut au moins une demi longueur d'onde, on arrive rapidement aux inégalités à un facteur près. Et tu me vois satisfait que tu écrives que dans le monde quantique tout est en agitation, puisque c'est ce que je disais, et que pour les figer c'est extrêmement compliquer ou impossible absolument. Il y a déjà longtemps que la vision laplacienne ne tient plus, et c'était avant les avènements de la MQ ou de la RG, cela a commencé avec Poincaré et le sytème des 3 corps, c'est à dire un système chaotique. Cf la vision bayésienne donnée avec les liens au-dessus. Je reste quand même persuadé, que c'est l'information que nous avons des objets qui nous perturbe, et pas fondamentalement les objets eux-mêmes. Que nous sommes incapables de l'exploiter correctement, et qu'un jour on comprendra que la MQ, n'est pas aussi étrange que cela, surtout lorsque l'on arrêtera de se cacher derrière un formalisme mathématique hermitien hermétique. Quand on parle statistique ou probabilité, c'est le signe clinique que nous ne comprenons pas quelque chose, ou que cela nous dépasse, comme en son temps Boltzmann ou Einstein l'on fait avec les gaz ou les poussières, alors qu'aujourd'hui avec la puissance de calcul on peut appréhender le problème avec la force brute, car les phénomènes physiques sont connus. Comme dit avant, certainement maladroitement, je n'ai absolument pas digéré le temps relativiste, j'aurais donc les plus grandes peines avec une autre approche, je ne sais plus où j'ai lu cela, mais un physicien "praticien", semble lui aussi vouloir reprendre/revoir ce temps relativiste, tant mieux... Je ne doute pas de ce que l'on arrive à faire avec nos outils mathématiques, ce qui m'intéresse au plus haut point, c'est ce que cela veut dire concrètement, physiquement dans la réalité, et si les hypothèses posées sont effectivement valables, ou juste une façon de justifier la partie calculatoire des résultats, car il peut il y avoir un décalage important entre ce que nous mesurons, interprétons et formalisons et la réalité "objectives", mêmes si les mesures sont convergentes!
  23. Ce qui ne change rien à ce que j'ai écrit, je n'ai pas stipulé que le mouvement, l'évolution ou la progression devait être continue, de plus, je rappelle que nos horloges les plus précises fonctionnent sur des phénomènes quantiques, enfin l'équation de Schrödinger contient la variable temps, et quand bien même nous ne sommes pas capables de connaitre avec autant de précision que l'on veut les couples de valeurs que prennent le temps/l'énergie ou la position/la vitesse, il n'en demeure pas moins, que le temps "s'écoule" aussi en mécanique quantique, que des phénomènes se produisent par "saut" n'a pas d'incidence sur le paradoxe soulevé, le principe de causalité s'applique aussi, l'émission radioactive ne se produit pas avant que l'atome radioactif ne se soit scindé, il n'y pas de flash lumineux avant qu'un électron et un positron ne se soient rencontrés! Si tout est fixe, rien ne peut donc arriver, si il n'existe aucune cause, il n'y aura aucun effet. L'effet ( Big Bang -> temps ), la cause ? Autant l'apparition de la vie, même si elle nous échappe se positionne dans la temporalité, et donc qui dit évolution, dit possibilités, qu'avant même le temps et donc l'évolution du système, nous ne pouvons pas concevoir le franchissement de la frontière de l'immuabilité. C'est l'exact opposé de ce que certains scientifiques cherchent à faire en refroidissant des atomes, nous tendons toujours plus vers le zéro absolu, sans y parvenir, il nous est impossible de stopper entièrement toute fluctuation. Bien sûr que quelque chose nous échappe, mais sans doute, vaut-il mieux chercher à rectifier/modifier dans ce que nous connaissons déjà plutôt que d'imaginer une nouvelle physique avant le Big Bang, car nous sommes encore loin de maitriser toute la compréhension des évènements, même avec les progrès considérables depuis la sortie de la savane.
  24. Où que porte notre regard, il y a évolution, je ne parle pas de ce que l'on perçoit à des années lumière du phénomène, telle une nébuleuse comme suspendue dans l'espace, sur la durée d'observation. Tout est en mouvement, inexorablement, soit par gravité, soit par inertie, soit par l'énergie sombre ou encore par dilatation/expansion de l'Univers! Et si l'on regarde plus précisément, nous avons également tout ce qui file à travers le cosmos, particules, rayonnements, ondes gravitationnelles, et les fluctuations quantiques du vide! Le temps n'est qu'un concept qui nous permet de représenter le mouvement, l'évolution, donc sans temps, pas d'évolution, si pas d'évolution, pas de temps à mesurer: ce qui implique que l'un ne va pas sans l'autre, dit autrement, le temps ne peut pas apparaitre ad nihilo, puisque pour le créer il faut que quelque chose se soit mis en mouvement, qui n'existait pas avant l'apparition du temps!!! ( Donc tout aurait dû rester parfaitement immuable ) C'est un peu le pendant du paradoxe du menteur.
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