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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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La liberté, c'est regarder sa fatalité en face et se dire
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Don Juan dans Philosophie
En marge du sujet : L'Être qu'on se plaît à dire absolu, évident, au sommet de toutes les instances, n'a pas d'en-soi, n'est qu'un pour-soi... Et n'est que la possibilité d'être pensé... la possibilité de supporter quelque attribut. -
La liberté, c'est regarder sa fatalité en face et se dire
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Don Juan dans Philosophie
Je crois qu'on est d'accord et que ce n'est qu'une question de vocabulaire. Ce que vous appelez notre Être je l'appelle (en partie) notre Conscience. Et il n'est pas faux que notre conscience est une évidence que nous arrivons guère à expliquer. Mais il y a plus (ou moins) dans cette notion d'être. Si je prends votre dernière phrase : "Vous pouvez faire parler vos proches sans qu'ils soient présents, par une simple simulation cognitive, parce que vous avez enregistré et induit leur essence et que vous êtes capable de l'animer." Tout y est dit sur l'être ! A savoir qu'il est imaginaire, qu'il n'existe qu'en tant qu'idée et pas réllement. "J'ai enregistré et peu induire leur essence et l'animer" oui ! J'ai enregistré et peut induire (régurgiter) l'idée que je me fais d'eux, et je suis capable d'animer virtuellement cette idée. Ce que j'appelle leur être n'est que l'idée que je me fais de cet être... Eux, n'ont pas bougé. -
La liberté, c'est regarder sa fatalité en face et se dire
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Don Juan dans Philosophie
à +, Blaquière. -
La liberté, c'est regarder sa fatalité en face et se dire
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Don Juan dans Philosophie
T'inquiète, on en fait tous des fautes ! Mais là c'était créatif, et quand j'ai essayer de "conjuguler" cette nouvelle forme, ça m'a fait des surprises c'était amusant mais je vois aussi que ça te fait rire, c'est ce qui compte notre esprit souvent a ses recoins... Souvent j'écris "ils on", O, N ! quand je me relis, je me dis c'est pas possible que j'aie écrit ça... Mais si ! -
La liberté, c'est regarder sa fatalité en face et se dire
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Don Juan dans Philosophie
Ça c'est un truc de féniant ! "C’est la blague géniale que vous improvisez spontanément après que votre interlocuteur vous ait tendu une perche inconsciente." Bon, je sors ! -
La liberté, c'est regarder sa fatalité en face et se dire
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Don Juan dans Philosophie
Je connaissais pas cette conjugaison, mais Bon Dieu que je l'adore ! J'ai ton Téton Laiton Etons Zétons Tétons ! -
Tu es dur avec moi ! En fait mon raisonnement est surtout basé sur l'idée que adapté = spécialisé. ce qui n'est pas faux.... Le plus adapté = le plus "conforme". Survient un changement important du cadre de vie et le trop spécialisé est foutu. Le moins spécialisé, le moins adapté, reste le plus universel. Ce serait celui-là le surhomme ? (On peut se dire que dans l'esprit de Nietzsche, le surhomme c'est bien celui qui ne s'en laisse pas compter par son environnement immédiat. Par "la pensée du tout venant". Ce qui est bien la moindre ds choses.)
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@Don Juan Je ne les vois pas antagonistes, ou pas plus que le yin et le yang. Tu as plus que raison ! J'avais mal jugé : Mieux que pas antagonistes, la sélection naturelle et la destruction naturelle, sont précisément la même chose ! il ne s'agit pas de gagner, mais juste de ne pas perdre ! La sélection naturelle, c'est "un moins pis aller" ! C'est tirer son épingle du jeu, laisser perdre les autres... C'est le petit poisson qui passe au travers des mailles du filet. Le mieux adapté sera foutu à tous les coups ! C'est le plus inadapté des adaptés qui s'en sortira... (Là je m'arrête : j'ai le cerveau qui fume !)
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La Zalouzie, pour moi, c'est comme le football : c'est invivable ! Et ça me fait souffrir ! Mais souffrir ! En vérité, je suis humain, trop humain... Dès lors, je suis toujours pour le plus faible. C'est normal. Et celui qui perd est forcément le plus faible ? Ce serait inhumain d'être pour le plus fort, ce serait indigne ! Et quand le perdant sa refait et qu'il gagne, je me dois de changer de camp et de soutenir son adversaire, l'ancien gagnant qui est devenu perdant ! C'est logique ! Du coup je suis toujours du côté du perdant ! Toujours, toujours, perdant ! Pour la jalousie, c'est pareil ! Si qq'un est jaloux de moi, c'est qu'il est plus faible ? Et je me dois donc d'être pour LUI contre MOI ! C'est vraiment pas une vie, que ma vie ; je vous le garantis ! C'EST PARCE QUE JE SUIS... TROP FORT ! (Que je perds tout le temps...)
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Tu es zalouze T'es qu'une bouze En blouze ! Sans bagouze Et sans flouze ! La barbouze Andalouse Ou de Toulouze T'es trop tartouze T'en vaux pas douze A Douze Ni à Mulhouze T'es la ventouze Une gouze En partouze Ta pelouze En penthouze Digne d'une tantouze Ell' me file le blues ! J't'expédie en Soyouze !
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Moi z'aime bien être zalouzée parce que ça prouve que ze suis plus zolie et plus zintélizente que les zautres ! T'es une fille et t'aime pas être zalouzée ? Non, mais allô, quoi !
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Pardon pour la faute : j'avais écrit "je crois qu j'ai un peu bifurqué, là" j'ai changé "bifurqué" par "égaré" il fallait donc lire "je crois que je me suis un peu égaré" et non pas "je crois que j'ai un peu égaré" ! "Ah le Var ! Barjol, j'ai du quitté ce pays dare dare!." Je te comprends !
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Oui ! L'un tire l'autre pousse ! ca peut faire un équilibre... C'est pas d'un pt de vue moral qu'il faudrait juger, mais physique. Il y a la force centrifuge et la force centripète* (j'adore ce mot !) les deux sont antagonistes ou s'équilibrent. *Dans le Var, il y a un gros village "Barjol" réputé pour sa fête des "tripettes". (Je pense que ça doit avoir à voir avec la charcuterie ?) "Les Tripettes de Barjol", c'est un must absolu ! J'y suis jamais allé, mais bon, c'est une évidence... Je crois même qu'il existe une danse des tripettes : il faut sauter sur place ! ça doit être pour mieux digérer les tripes ?... GRANDIOSE ! : Cette année-là il y avait même les "escopétaïrés" de St Tropez, il me semble avec leurs tromblons ! C'est pas du "surhomme", ça ?! Bon, je crois que j'ai un peu égaré, là...
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En voyant le pseudo de @Zerethoustre, j'ai pensé à un truc rogolo Finalement, le surhomme, le héros absolu, ce serait... Zorro Thoustra ! Et, et... Zorro est arrivé-é-é !,
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C'est peut-être l'intelligence humaine qui a pipé les dés de la sélection naturelle. Avec elle, ce n'est plus le plus fort qui gagne, le plus capable, le plus adapté, mais le plus faible, le plus malin, le moins adapté ! C'est un changement de "référentiel". Il ne s'agit plus d s'adapter soi aux conditions naturelles mais d'adapter la nature à nous. La nature telle qu'elle est, qu'elle était ne peut qu'être détruite. mais cette transformation du milieu naturel est aussi un principe naturel. Les bactérie anaérobies (je crois que c'est comme ça qu'on dit) on produit en déchet assez d'oxygène pour ne plus pouvoir vivre... Comme les amibes dans une goutte d'eau croupie qu'elles polluent en se multipliant jusqu'à ne plus pouvoir vire et mourir toutes... La preuve qu'il n'y a aucun plan préétabli est bien là. J'y vois deux forces antagonistes La sélection naturelle et la destruction naturelle...
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Je trouve cette formule grandiose ! (Sans rire ! même si je ne l'approuve pas forcément, bien sûr !)
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Le problème, c'est pas la démocratie, ni les droits de l'homme, qui sont en soi de bonnes choses, mais leur détournement par la manipulation des esprits qui les empêche de penser librement. La solution serait un enseignement généralisé des vraies connaissances. En attendent, il s'agit de dénoncer les manipulations... Toc, toc, badaboum !
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Sans doute, mais je suis un peu fatigué de voir cette mode qui consiste à donner un bâton pour se faire tabasser...
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Tu as raison ! A bas la démocratie ! Vive la dictature ! Vive Hitler ! Vive Pinochet ! Vive Staline ! Vive Mao ! Vive Pol Pot ! Vive Franco !
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Bien sûr, il y a le conditionnement social, celui du langage (puisqu'on pense avec des mots qui traînent derrière eux tout ce qu'on leur a déjà fait dire), le conditionnement de toute notre civilisation, religions comprises. Mais j'ai lu dans J-P zéro (avant J-P 1 et J-P II) , là je blague ! qu'il s'inquiète aussi d'un conditionnement, comment dire ? plus personnel, plus individuel. Dont il faut (faudrait) pouvoir se libérer. Un conditionnement, familial en quelque sorte qui se renforce de toutes sortes de traditions, encore. Positif ou négatif d'ailleurs. Ainsi, "on est, on fait ce qu'on attend que nous soyons, que nous fassions". (Ou le contraire d'ailleurs.) Et c'est d'autant plus ravageur pour un espoir de liberté vraie qu'on en est gratifié ! On trouve notre juste place qui a été bien préparée pour nous ! Gratifiés par ceux qui nous imposent d'être ceci ou cela dans le premier cas, et par soi-même dans l'autre, persuadé qu'on s'est libéré alors qu'on s'est contenté de s'opposer. Je vais bosser un peu , je me contenterai de mes 75 % pour le moment
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Je crois que tout le "système" de Sartre est fondé sur la liberté. L'existentialisme; c'est ça : rien d'est dicté d'avance. Tout est à construire et c'est à nous d'en décider. Et pourtant on se heurte à ce mur que nous ne sommes que le résultat d'une infinité de conditionnements divers et que nous ne pouvons donc pas être libre. Notre liberté serait comme une colombe qui s'envole de tout ce fatras, (dans le sens inverse de celle qui tombe sur Jésus depuis le ciel) et prend son envol pour s'inventer la liberte... Le "libre choix" est un peu une remise à jour du "libre arbitre' religieux dont le but est de nous rendre responsables et donc toujours potentiellement coupables et punissables. (J'aime pas trop ce que je viens de dire !)
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La Parque en barque Et pendant que notre conscient (Je me fais grandiloquent !) En gesticulant de ses rames Pense conduire sa barque La Parque Nous concocte des drames Sur les flots tumultueux D'un inconscient brumeux ... Signé : Souphloque
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Laïque ! On a dit LAÏQUE !
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Mon ÂME ? Le conscient, l'inconscient ? Survint un troisième larron (Dieu) Qui saisit Maître Aliboron !
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L'inconscient c'est le réel. Il est la matière brute de la psyché; il est comme son en-soi. le conscient en est comme la surface, l'interprétation, la partie émergée, le pour-soi, le "pour la conscience", l'interprétation, souvent fausse. C'est une conception de Lacan. Ça ne voulait rien dire au début pour moi, et puis, c'est devenu (presque !) évident ! Il faut penser pour essayer de comprendre que les pulsions, 'le foyer des pulsions, leur origine, leur "énergie") qui sont ce qui nous meut, ainsi que la fabrication de nos émotions, nos désirs (profonds) tout cela se forge à un niveau inconscient. C'est ça, notre réel, nos "données de bases" : c'est pas du... baratin !
