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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. J'ai suivi ton lien et voici la conclusion de l'article en anglais : "Notre examen des sépultures du Pléistocène supérieur et de l'Holocène précoce dans les Amériques a abouti à l'identification de 429 individus provenant de 107 sites (tableau S6). Parmi ceux-ci, 27 individus sexués de 18 sites sont associés à des outils de chasse au gros gibier (Fig. 4). Y compris WMP6, 11 des individus de 10 sites sont identifiés comme des femmes. Seize individus provenant de 15 sites, dont WMP1, sont identifiés comme mâles." On comprend bien que l'on cherche absolument à prouver que les conceptions actuellement à la mode (une femme=un homme ou qu'il n'y a pas de différence entre les deux) étaient absolument la réalité aux époques préhistoriques. Pourtant sur quoi se base-t-on pour déterminer le sexe des os fossiles ? ""Des caractéristiques crâniennes et mandibulaires robustes indiquent un individu masculin.." et : "The qualitatively gracile nature of the femoral diaphyses is consistent with a female individual. (La nature qualitativement gracile des diaphyses fémorales est cohérente avec un individu féminin.) Il semblerait donc que même si les femmes allaient chasser à ces époques, elles n'en était pas moins moins costaudes physiquement que les hommes. ce qui démontre plus une nécessité vitale momentanée (qui n'était pas la règle puisque non suivie sur le long terme d'une évolution physique nécessaire) pour "la tribu". Je ne dis pas non, mais je doute et je crains qu'on cherche à nous convaincre, à nous "manipuler" en fonction de la mode actuelle plus qu'à chercher la vérité. Mon point de vue est que l'histoire (ici la préhistoire !) n'est pas (pas souvent, jamais ?) un compte rendu objectif des événements passés mais une reconstruction de ces événements. J'enfonce une porte ouverte ! Mais il faudrait toujours garder ça à l'esprit...
  2. On nous a menti jusqu'à présent et il faut rétablir la vérité ! On aura : Alexandrette LA grande ! Attilette ! Charlemagnette (au barbu fleuri !) Louis Quatorzette et enfin : Napoléone était une femme !... Et vu ce "qu"elles" ont "toutes" emmerdé le monde, ça m'étonne pas !
  3. Que ce soit pour notre 'trois pièces' ou les deux 'flotteurs' de ces dames, JE SUIS PAS D'ACCORD DU TOUT !
  4. J'haine la Haine Et j'aime l'Amour ! J'aime un peu les baleines Un peu moins la mauvais haleine Et pas du tout Oradour ! Je joue mes cantilènes : Je suis qu'un troubadour ! Là je suis un peu à la traine... Je sens que je vais faire un four !
  5. Ouais ! Parce que nous on est qu'Amour ! C'est simple moi j'aime trop l'Amour ! Et Pouah la haine je l'haine trop !
  6. C'est quoi ces conneries ? Je n'ai aucun passé esclavagiste, antisémite ou colonial honteux et je suis fier d'être français et je le reste ! Merde !
  7. E, 1969, je travaillais à la distribution de la librairie Hachette et j'ai distribué... ça : J'étais resté scotché ! Et là, je l'ai recherchée, retrouvée et je reste... scotché !
  8. Acquises c'est certains mais souvent c'est surjoué et ça finit à côté de la plaque... Dans les deux sens. Ce qui entraine comme une reconstruction au troisième degré un peu délirante des caractères. Disons qua c'est amusant ! Je donne un exemple. En ce moment on voit beaucoup d'homosexuels au gouvernement par exemple. Un homme c'est dur (premier degré !) La caricature habituelle d'un homosexuel (garçon) sera une sorte de mollesse ou de mièvrerie (2ème degré), alors par réaction ils se font plus durs qu'il devraient l'être ou qu'il est nécessaire (troisième degré !) Je le redis : c'est amusant... Le fait est que tout cela est centré sur le moi. Et surtout son apparence, son image... Alors qu'on s'en fiche du moi : c'est le travail objectif accompli qui devrait compter... Et on finit par en être à 1000 km... On reste dans la com, c'est bien connu. Notre Première Ministre semble bloquée, elle au second degré... Elle se cantonne à son look autoritaire. c'est sûr que c'est son rôle, mais du coup toute séduction disparait. C'est con, ça mais voilà : pour un homme la séduction reste d'être fort et calme (sûr de lui) et pour une femme plutôt d'être féminine voire douce et intelligente... Ce qui remet les pendules à Zéro ! Tiens, Sandrine Rousseau qui est intelligente a compris ça : elle est toujours souriante !... Mais ses positions sont toujours si excessives qu'elle rend tout le monde furieux ! Moi, je l'aime bien pour son sourire ! Du coup je trouve souvent qu'elle a raison ! . Attal et Macron, je leur filerais des baffes ! Aurore Bergé, elle, c'est une vipère ! Mais peut-être que ça peut séduire certains ?... En tout cas, on a le spectacle : pas de quoi s'ennuyer !
  9. Ouais, ben moi je suis pas d'accord ! On dit UNE chaise et UN tabouret ! Rien à voir ! T'as bourré qui ? Et sur LA table ou sur LE gay Ridon ? Je l'as bourré/e soit dans MON champ ! soit MA parcelle... Avec LE soc de MA charrue... J'en ferai un tableau avec MA brosse ou MON pinceau M'a traité sous LA jambe Oui mais j'ai pris MON pied... ...etc. Oui mais y'a toujours des morceaux, des bouts qui dépassent...
  10. En revanche l'introduction qu'il a faite une vingtaine d'année plus tard est très intéressante et très claire... Je lis toujours l'introduction après avoir lu le livre !
  11. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Il ne suffit pas de s'adonner à n'importe quelle activité, sport, art, course, moto, maçonnerie (gratte-ciel ou temple grec !) ...etc. encore faut-il qu'elle soit soutenue au moins symboliquement par nos pulsions les plus basiques ou primaires (vitales et sexuelles) par imitation... Je suis émerveillé de voir à quel point tout cela se tient ! J'ai dit là pour le vélo, mais regarde le golf : il s'agit de rentrer une petite balle ronde au fond d'un petit trou grâce à une longue baguette ! D'accord, ça, c'est un peu prétentieux ! (la longue baguette !) Et le formidable c'est que personne au grand jamais ne pense à la symbolique, à la ressemblance trop évidente... Pas question : le golf c'est sérieux ! La preuve c'est que ça fait de l'argent ! Ni le foot ni la course, ni l'architecture du clocher du village... De la Tour Effel ! Le Basquet, le foot, la course (Toutes les courses : arriver le premier, ça c'est le syndrome du spermatozoïde ! Alors qu'on devrait s'en foutre : puisqu'on est là c'est qu'on a déjà tous gagné ! Mais non, il faut encore gagner, gagner les gagnants !) Les gratte-ciels (celui qui aura le plus haut) ou les fusées, les missiles (TOUT !) ... J'imagine des extraterrestres qui ont quelques millions d'années d'avance sur nous et qui sans doute nous observent... Nous sommes, c'est sûr, sur leurs meilleures chaînes... comiques ! -- (-3","'_-(jkerp9__-"gzyeu%^%ùù¨^ >rdqZ324_ç7__-7 ? Je traduis : -- "Vous savez pas le dernier truc qu'ils ont trouvé ?!!!" --
  12. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Et moi qui vois directement au fond des choses, je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que je vois quand sur la route passe le "peloton" : (et je n'y suis pour rien : juste je constate...) @le merle
  13. je relis "L'envers et l'endroit" de Camus. J'y trouve de belles pages. Bien écrites. Sincères sans doute. Mais aussi des idées, des pensées qui pour moi ne correspondent à rien. Que je ne ressens pas. J'y retrouve un certain pessimisme forcené de certains amis Pieds Noirs...
  14. Blaquière

    La langue d'oc

    Je réalise que vous ne savez pas les antécédents de cet adage : C'est un bonhomme du Luc qui va visiter sa famille à Brignoles... le dimanche ils vont tous à l'église et le curé y va d'un prêche "safrané" : -- Mes pauvres enfants brignolais ! Dieu voit tous vos errements : Et vous en serez gravement punis !" (en provençal, bien sûr ! ) C'est là que notre homme du Luc se lève et y va de son : -- Iéu m'en fouti siou dau Lu !
  15. Blaquière

    La langue d'oc

    Ils viennent de dire à la Météo qu'au Luc (centre Var) il va faire 41 ° !!! J'en profite pour vous rappeler l'adage : "Iéu m'en foti siu dau Luc !" Prononcer : yiou m'in fouti siou doou Lu ! Moi je m'en fous je suis du Luc !
  16. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Dans la même série que Mickey et Dingo ! La motivation du cycliste : (Ne tapez pas !)
  17. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    "Prouver mon existence" ? La vache ! J'ai dû faire quelque chose de mal !
  18. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Là je me suis surpassé ! Peinture à l'huile : Mickey et Dingo... (Que ceux qui ont des yeux, voient !) Je me demande si je ne l'ai pas déjà mise ici (j'aime bien choquer...) Hier, en veine d'inspiration, j'ai sorti : "La vraie poésie c'est péter à table !" (Chez moi ils ne me prennent pas au sérieux... )
  19. Blaquière

    un jour... un poème

    Merci ! Belle analyse ! Replacer des écrits dans leur contexte historique devrait toujours être notre premier souci. Emile Debraux c'est plus tôt : un chansonnier de la première moitié du XIX ème. Je suis tombé dessus par hasard : Deux petits livres d'époque retrouvés dans une malle !... A l'époque, le "dieu" des chansonniers, c'était Béranger... du coup "L'Emile", personne ne le connait... Ses chansons m'on fait penser à... Brassens ! Je me suis amusé à leur inventer des musique (exprès pour elles) vu qu'à l'époque la mode état d'écrire un texte sur le même mètre qu'une chanson déjà à la mode... A mon avis certains de ses textes son top, top, niveau ! Je veux pas jouer les vieux cons, mais Debraux c'est "l'esprit ou l'illustration parfaite de la chansons française intemporelle"... avec des vrais textes... Exemple : Je trouvais sans m'en rendre compte Les plaisirs longs et long les jours Quand chez nous survint un vicomte Qui me conduisit à la cour Et quoi qu'il ait abusant ma simplesse de pourpre et d'or affublé mes lambeaux Je sens que le soulier me blesse Ah rendez-moi mes vieux sabots ! J'adore : c'est "le petit joueur de fluteau" de Brassens ! Ce qui me fait dire que les deux étant éloignés de 150 ans, et ne se connaissant pas, il existe bel et bien un... "esprit de la chanson française'" ! Et le dernier couplet (que j'ai à peine retouché par-ci par-là je crois) Copier coller d'un fichier qui traine sur mon ordi : Lam Rém Adieu Marquis, adieu Vicomte LamCe lieu m’est fastidieux séjour DOJe pars sans demander mon compte Vivre mes jours loin de la Cour, (bis DO>Lam Je sais vos cœurs et vous dis sans tristesse En quatre notes et guère plus de mots : Lam Je sens que le soulier me blesse ) bis Ah ! rendez-moi mes vieux sabots ! ) La parenté avec Brassens est flagrante quand on ne regarderait que les titres : "Le grand chêne" ! Ou encore : "laissez-moi vivre à ma manière !" Qui préfigure "non, les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux !" J'ai déjà mis ici sur le forum qq part (?) : "les coquilles d'huitres" et "les dindons" de Debraux...
  20. Blaquière

    un jour... un poème

    Tel soit le Dit Ils te niquent, tes père et mère. Ils le cherchent pas, mais c’est comme ça. Ils te remplissent de leurs travers Et rajoutent même un p’tit chouïa – rien que pour toi. Mais ils furent niqués en leur temps Par des fous en chapeaux claques, Tantôt sérieux et larmoyants Et tantôt à s’traiter d’macaques. L’homme refile la misère à l’homme. Ça devient très vite abyssal. Tire-toi de là, mets la gomme, Et n’essaie pas d’avoir des mômes. Merci ! C'est dur les textes "engagés" qui disent de choses... définitives... C'est la "volonté" de dire, de prendre parti qui accroche. Et qui peut tourner au rustique (je fais ma mijaurée !) : "Nique" ,"nique"... ''fuck, fuck" J'ai l'impression que ça se veut si fort que ça risque de laisser froid.. Depuis deux jours je me dis qu'on nous rabâche qu'on est en "démocratie" mais en réalité, c'est pas ça : on est tout simplement en "ploutocratie". Le peuple, l'ensemble des gens, notre société (les anglais ou nous, on est dans le même bain) tout est simplement dirigé COMMANDé par les riches, les possédants. Et qui bien sûr dirige en fonction de leur intérêts. C'est les "chapeaux claques" qui sont aujourd'hui remplacés par d'autres... "néolibéraux" par exemple, mais c'est les mêmes. "Man hands on misery to man." Oui ! mais le premier "man" c'est le riche et le deuxième, c'est le pauvre. Ils ne sont pas symétriques... Est-ce que c'est une loi universelle, nécessaire, éternelle ou est-ce qu'on peut envisager de la changer ? le " Et n’essaie pas d’avoir des mômes." me fait un peu un effet nihiliste, désespéré total... Il brouille un peu le côté révolte.
  21. Blaquière

    un jour... un poème

    Je traduis avec google : Ceci est le verset Ils te baisent, ta mère et ton père. Ils ne le veulent peut-être pas, mais ils le font. Ils te comblent des défauts qu'ils avaient Et ajoutez-en un peu plus, rien que pour vous. Mais ils ont été foutus à leur tour Par des imbéciles en chapeaux et manteaux à l'ancienne, Qui la moitié du temps étaient soppy-stern Et à moitié à la gorge l'un de l'autre. L'homme transmet la misère à l'homme. Il s'approfondit comme un plateau côtier. Sortez le plus tôt possible, Et n'ayez pas d'enfants vous-même.
  22. Blaquière

    Paroles de chanson

    Les dingues et les paumés crient trop près de la sortie Dans leurs chambres blindées, et pleurent des mandragores Ils accouchent de scorpions, leurs fleurs sont carnivores Et leurs aéroports jouent avec leurs manies Et quand leurs monstres À 4h du matin se transforment en téléphone derrière un bunker Quand leurs voix se cherchent sous la pluie Et s'invitent à calter dans leurs yeux-mescal qui s'appellent en se gueulant "come on" Et masquant leur nostalgie se font boire le sang se changent en revolvers Ils voient des rois-fantômes Ils voient se dérouler Les dingues et les paumés Et de leurs visions perdues Crachant l'amour-folie sur des flippers en ruine de leurs nuits-métropoles Ils croient voir venir Dieu jouant du rock'n'roll Essayant d'accrocher la fin d'une inconnue Les dingues et les paumés dans leurs banlieues by night se traînent chez Hölderlin, relisent les Borgia Puis s'enfoncent comme des rats Suivis d'un vieil écho Et lorsque leurs tumbas retournent dans leurs bras Ils tournent dans un cachot avec la gueule de baby-doll un regard en moins à leur khôl, jouent à guichet fermé Et glacés sont comme les joueurs chez les dealers du coin Et courant Ramasser leurs jetons décapités Puis s'offrent des mygales à la place du cerveau Les dingues et les paumés s'arrachent leur placenta Et se greffent un pavé au bout d'un bazooka En se faisant danser au bras d'une autre mort Piétinant dans la boue jusqu'au dernier mambo Ils ont cru s'enivrer des chants des loups frileux Don Quichotte Sur l'hôtel enfumé des dernières fleurs du mal Ce sont Les dingues et les paumés de Maldoror Et maintenant, ils sacrifient leurs fibres nerveuses s'écroulent en riant du boycott de leur reine Puis ils disent "viens chez moi, mon salaud" Mon cheval écorché n'est plus au fond d'un bar Et cet ange m'appelle un valseur maso dans leur ombre animale qui me gueule M'invite à faire danser l'aiguille de mon radar de solitude pour tes walkyries Reprends tes maladies honteuses ! Source : Musixmatch Paroliers : Claude Mairet / Hubert-felix Thiefaine / Blaquière On mélange n'importe quoi n'importe comment et de temps en temps on tombe sur une truc intéressant...
  23. Blaquière

    un jour... un poème

    Cette histoire de chiffonnier m'a fait penser à cette autre chanson d'Emile Debraux (début XIX ème)... LES CHIFFONNIERS PERVERS C'est si l'on veut un pamphlet mais au second degrés presque une absurdité : l'idée c'est que tout va mal à l'époque, (mais aussi aujourd'hui !) à cause de la liberté d'expression, de la presse... c'est la faute donc au PAPIER (le papier est coupable ! Le seul coupable !) puisque c'est sur lui qu'on écrit !) Et DONC les vrais coupables sont ceux qui permettent la fabrication de ce papier ! Toute la faute incombe donc aux... Chiffonniers !!! (à l'époque c'était surtout avec les chiffons et pas avec le bois qu'on fabriquait le papier....) Donc si tout va mal (si les idées nouvelles font leur chemin) C'EST LA FAUTE DES CHIFONNUIERS ! LES CHIFFONNIERS PERVERS C’est vous, ô chiffonniers pervers, Par qui la France, Hélas est en souffrance ! C’est vous, ô chiffonniers pervers ! Dont les chiffons ont perdu l’univers. Si vos maudits corbillons N’eussent aux vieux haillons Évité l’bourbier, En aurait-on fait du papier ? Sans papiers nos fouille-boue Seraient-ils venus à bout Par leurs cancans D’exciter le peuple au boucan ? Sans papier, jamais on n’eût Effrontément mis à nu Ce bon vieux temps Où l’on pendait si bien les gens ! C’est vous, ô chiffonniers pervers, Par qui la France, Hélas est en souffrance ! C’est vous, ô chiffonniers pervers ! Dont les chiffons ont perdu l’univers. Si l'on y réfléchit et qu'on replace sa chanson dans son époque, Debraux avec humour (et au second degrés) critique la mode romantique de l'époque (début XIXème) qui après la Révolution, voulait redécouvrir le moyen-âge comme une sorte d'âge d'or... Ca part dans tous les sens ! la Révolution (le boucan du peuple) c'est la faute aux chiffonniers, et la redécouverte du moyen-âge (le contraire !) c'est aussi leur faute !
  24. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    On est d'accord. Dans mon idée, c'est (c(était) simplement la ressemblance, le fait que les trois contiennent V,I,O,L. Et ce pourrait être l'évolution d'une sublimation. Qui irait de l'instinct ou la la pulsion les plus vils, à la création la plus subtile, musivale. Le digérant c'est celui qui mange le paysage. Dont l'intérieur correspond à l'extérieur. Mais c'est aussi vrai que notre "intérieur" se construit en fonction de notre environnement. Quand on dit aimer un paysage, par exemple, est-ce qu'on voudrait pas un peu le manger ? (pour le rendre sien définitivement ?...) La nuit des temps c'est effectivement des sarcophages... Il y a très longtemps, plus de 20 ans, j'avais visité les ruines d'une ancienne chapelle. Dans la colline au nord du département. Tout autour, dans la roche -horizontale- sur laquelle elle était bâtie, il y avait des tombes creusées dans le roc. bien sûr elles étaient toutes vides et étaient de cette forme que j'ai reproduite. Il y avait même des formes de toutes les tailles, des toutes petites sans doute d'enfants... comme si le monde des morts était un monde en tout point parallèle à celui des vivants, mais pétrifié... pour la nuit des temps...
  25. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    J'ai retrouvé ces dessins que j'avais fait à l'ordi, à la souris ! et je les ai un peu "arrangés' à mon goût de maintenant... La nuit des temps : (Il faudrait l'imaginer en grand format...) Le "digérant" : Viol, violent, violon :
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