Blaquière

C'est le pack ! les deux vont ensemble. Pas le choix !

La preuve c'est l'IMMENSITE DE L'UNIVERS ; Il n'est ni à notre échelle ni à celle d'un quelconque dieu. L'idée qu'un dieu existe c'est vouloir donner une raison d'être au monde qui n'en a pas. Le monde en soi est absurde. C'est à chacun de nous de s'inventer une petite raison d'exister. En fait nous n'avons le choix qu'entre ces deux options : C'est soit ça : soit ça : Er il n'y a pas de détail : Soit l'un soit l'autre ! Hugh ! J'ai dit !

Dieu, c'est lui : il est sur un plafond de la chapelle Sixtine : Mas je ne comprends pas la légende : "Dieu créant le soleil et la lune"... Le soleil je le vois bien, mais la lune elle est où ? .

Je crois qu'on a déjà tout sous la mains mais qu'on ne veut pas le voir...

On est d'accord ! Mais le "complexe" naît de la prise de conscience de cette faiblesse par rapport à une "toute puissance originelle" (hypothétique) de l'époque où on était le "seul être vivant du monde" ! Pour des animaux, la faiblesse est une réalité objective, mais chez nous la psychologie s'en mêle ! Alors, l'instinct de meute pourrait se comprendre comme le moyen de restaurer cette première toute puissance. et le besoin de vaincre la meute adverse, comme une revanche de ce premier échec (la perte de la toute puissance initiale). Ce n'est pas le tout d'être heureux : encore faut-il que les autres soient malheureux ! Chaque meute a besoin d'une meute adverse, d'une meute ennemie. Pas objectivement mais... psychologiquement ! Bien sûr la meute c'est bon pour le peuple, le vulgum pecus ! Mais il y a fort à parier qu'un complexe d'infériorité soit à la base de toute ambition...

J'essaie de tomber sur du solide. Du basique. Et je pense que peut-être, l'instinct de meute part d'un complexe d'infériorité de la toute petite enfance dont la prise de conscience est venu détruite une première et absurde toute puissance. On a tous été au départ un dieu unique, absolu, sans le monde et sans les autres.... C'est l'égoïsme primordial (et nécessaire) du vivant. La meute permettrait alors de restaurer cette toute puissance ? Dans quelle mesure pourrait-on se satisfaire de se sentir et se savoir irrémédiablement faible ?

Non, jamais l'humain n'avouera être vaincu ! Être croyant c'est péter plus haut que son cul ! (Victor Hugo ! )

Tu sais tout de même que Moïse n'a jamais existé *? Et que c'est une invention, comme le père Noël ? *Ni Abraham, d'ailleurs...

Ca c'est comme Dieu : c'est juste une hypothèse. "est ce que je peux avoir conscience de quelque chose qui ne soit pas dans la conscience ?" Certes, mais cela ne dit pas qu'il n'y a rien hors de MA conscience...

Que tout soit, que tout soit ! "Travaillez, prenez de la peine c'est le FOND qui manque le moins ! "

Mais non ! C'est la rétroaction positive ! la chaleur induit les réactions nucléaires qui à leur tout induisent la chaleur !

Je n'arrive pas à croire qu'il n'y a pas de chronologie et que tout est équivalent. Puisqu'il est question de création. Freud arrive en bout de course. Au commencement est le "mystère" de l'élasticité de la membrane : sans elle pas de pression différenciée entre le dedans et le dehors... et donc pas de vivant. Une cellule a une membrane, une étoile géante pas. Et un atome non plus. Je me méfie de la ressemblance et du symbolique. (Le flagelle ressemble à une onde parce qu'il triche pour avancer ! Il fait avec ce qu'il a.) Il est alors question d'échelle et de grandeur (absolue), il me semble. Et le "moyennement petit" ne serait pas équivalent (par homothétie) de l'infiniment petit ni de l'infiniment grand. On cherche toujours à simplifier. Mais non : tout ne se vaut pas. Même si dans un univers grand comme une goutte d'eau, persisteraient relativement ces rapports (infiniment petit infini, infiniment petit petit et infiniment petit moyen !). Là je te suis ! (Pour ce que je crois avoir compris ! )

Google traduction : Dans les temps les plus sombres Les peurs les plus sombres se font entendre Et depuis les endroits les plus sûrs Viennent les mots les plus courageux Certains mènent une vie tranquille Pour garder ce vieux monde effrayé à distance Les chiens hurlent dans la rue dehors Alors ils ferment les rideaux (J'espère qu'ils partiront !) Et c'est la pression de tous les côtés Descendant autour de nos oreilles Coincé dans cette pièce sans porte Gratté les murs pendant des années Tout ce que nous avons à montrer c'est la poussière sur le sol Et voilà Ça vient Un nouvel âge sombre J'attrape ton regard Avant qu'ils ne tombent au sol Nous manquons de temps : souffle et vapeur On s'épuise ! Ils brûlent des sorcières Sur la colline du châtiment Preuve mourante au pouvoir de l'autorité Pour exiger c'est la volonté Dans les temps les plus sombres Les peurs les plus sombres se font entendre Et depuis les endroits les plus sûrs Viennent les mots les plus courageux Et c'est la pression de tous les côtés Descendant autour de nos oreilles Coincé dans cette pièce sans porte Gratté les murs pendant des années Tout ce que nous avons à montrer c'est la poussière sur le sol Et nous nous sommes cassés les doigts Briser notre foi Nous avons brisé le cœur tant de fois Ils ne peuvent plus être brisés Gratté les murs pendant des années Tout ce que nous avons à montrer c'est la poussière sur le sol Et voilà Ça vient Un nouvel âge sombre Ça vient Ça vient Un nouvel âge sombre Ça vient! Ça vient! Un nouvel âge des ténèbres... Il y aurait à réfléchir... C'est pas mal, pas nul du tout, mais je ne suis pas d'accord avec tout... O

Moi aussi au départ j'avais un préjugé favorable pour Macron parce qu'il était jeune (bien que n'ayant pas voté pour lui, bien sûr !). là j'ai largement déchanté et j'en suis revenu à mes classiques : "le temps ne fait rien à l'affaire : quand on est con, on est con !"

Tu es plus toi que nature ! Là on a droit à un collector !

On pourrait, plutôt que de s'inventer (une substance, un moi, un je, a priori) se contenter pour commencer d'observer les manifestations de notre conscience. On y trouverait trois sortes de modes. Trois états. -- La conscience pleine -la notre en ce moment : l'éveil - -- Une semi conscience -le rêve- (Dont on fait tous l'expérience) -- Une absence complète (?) -le sommeil profond- pendant laquelle le temps, la durée même sont abolis. Le néant. (idem) Une substance peut-elle tantôt apparaître et tantôt disparaître ? Difficile à imaginer en dehors de la magie ! En revanche quand la conscience est là, éveillée, présente, active, elle se souvient d'avoir été par delà son absence pendant le 'dernier' sommeil profond... Ce qui me fait dire que si la conscience et un phénomène momentané, une production temporaire elle a cependant accès à une mémoire certainement inscrite "qq part". Je pense à un disque vinyle qui tourne et produit une musique. il s'arrête et la musique n'est plus produite. Mais n'allons pas trop loin dans la comparaison : car toute la musique est déjà inscrite sur le disque ! Ce qui n'est pas la cas de la conscience qui... s'improvise !) On pourrait comprendre le "je" comme cette conscience -ou cet esprit- pendant le temps qu'il fonctionne (qu'il est produit) qu'il est le sujet actuel, "décisionnaire" et le "moi" comme une banque de donnée, la mémoire à laquelle il a accès... Mais qui n'a pas d'existence indépendante qui ne peut apparaître sans qu'il s'y applique... Le moi, ce que l'on ressent être est entraîné, activé par et pendant la dynamique du je, du sujet. Pendant l'éveil. Je ne sais pas si j'ai fait avancer le shmilimili...mili...

Merci pour ton témoignage poignant. j'ai eu (un peu) la même réaction même si ça n'était pas la guerre ! pendant longtemps j'étais toujours là-bas ! Je me souviens d'avoir été choqué par un copain avec qui j'étais en Allemagne. Il s'était tout de suite mis à jour ! il fredonnait les dernières chansons sorties... moi je ne pouvais pas. J'étais bloqué là-haut ! il chantait "avec ma gueule de métèque..." Moi je ne pouvais pas sortir de "Paris s'éveille !" C'est con, mais la vie ici (en 69 et dans le civil) me semblait comme superficielle, fausse. Y'a des gens qui veulent toujours "être dans le coup" alors que moi, "j'accuse le coup" ! Rien ne passe facilement. Pardon si je t'ai remué tout ça...

"il y à la passion d'un métier dangereux" Peut être que tu touches là qq chose d'essentiel... Le risque... risquer sa vie autrement dit tout à chaque instant... On parle d'adrénaline... C'est ce que vivent pas mal de gens en ce moment, avec ces guerres qu'on nous montre en spectacle... En tout cas ils y sont contraints. c'est pas leur choix. On dit aussi (c'est un thème du cinéma américain avec ceux qui sont revenus du Vietnam) qu'on n'arrive pas souvent à en sortir, à en revenir "normal". Adrénaline et testostérone... Toi tu l'as connu en vrai avec un vrai risque dans une vraie guerre. D'autres comme moi à l'armée avec seulement un risque minimum mais pas nul de tomber d'un arbre ou d'une escalade de 30 mètres de haut pendant ces putains de stages commandos ou autres... Je me souviens simplement d'avoir eu une envie terrible un besoin forcené de fuir ce milieu de fou... j'essaie d'imaginer que pour certains ça pourrait être comme une drogue, un addiction pour employer le mot à la mode... Tout ou beaucoup doit dépendre de ce qu'on a pu vivre avant... de notre évolution jusque là, de notre psychologie... Un risque permanent, une pression constante peut aussi faire basculer dans la folie dans l'inimaginable. L'esprit est manipulable. On a vu les horreurs inconcevables commises par le Hamas en Israël. je me souviens que mon grand père racontait qu'il avait vu pendant la guerre en Palestine contre les Turcs, (mince, c'est le même pays !) un copain, un bon Provençal sortir d'une maison avec un Bébé planté au bout de sa baïonnette... -- Maï siès coumplétamènt fouèlé ! (Mais tu es complètement fou !) -- Aquèou aou mès vèndra pas tuar moun pichoun ! (Celui-là au moins viendra pas tuer mon petit !) La folie cherche souvent à se fonder, à se justifier par un semblant de raison. Et les/des Israéliens comme les/des Palestiniens doivent en ce moment tenir ce genre de raisonnement...

Et le bruit court que Trump veut supprimer tous les fonctionnaires !... (Ou les remplacer tous par des hommes à lui ?)

"la kabbale de Louria ou celle de Tsabattaï Tsevi" Je ne connaissais pas. Je cherche et : "une pure intuition lumineuse et constitue la condition permettant qu'une pensée puisse jaillir dans l'espace. Seule l'apparition de cet espace primordial (tehiru) donne naissance aux structures de la création. Mais la lumière primordiale s'est alors aussitôt retirée, laissant au sein de l'espace une lumière obscurcie, vide de toute pensée et qui, telle une force de « décréation », n'a plus qu'un rôle destructeur." ...Etc. lumière obscurcie !!! (pitié, pas ça !) Ma réaction : c'est du baratin, du pipeau complet... Je laisse tomber.

C'est intéressant (le mot est faible !) ce "besoin" de préserver du mystère ! Et d'un autre côté tu le combats ! Comme ton juste argument de trouver magique le principe d'émergence pour l'esprit (ou plutôt la conscience) par rapport à un cerveau matériel, uniquement physique. je n'avais pas pensé à ça sous cet angle. On pourrait aussi parler d'effet de seuil, ce qui n'expliquerait pas mieux ! Et serait peut-être contraire à la réalité si l'on considère qu'on pourrait comparer différent degrés (progressifs) de conscience des animaux à nous. Et non une absence ou un présence absolues. Une autre façon de voir les choses serait de considérer le cerveau matériel-physique comme l' "en soi" de l'esprit qui en serait le "pour soi", le phénomène. Les deux étant la même réalité vue ou comprise sous des angles différents. Je ne sais pas si ça résout grand chose ! D'un autre côté le phénomène d'émergence n'est pas toujours magique. Nous savons qu'une foule ou une société pourtant formée d'individus est tout autre que la somme (en valeur absolue) de ces individus. En ce sens, une multiplication (grand nombre) de neurones (mais il n'y a pas que le nombre, l'organisation cérébrale -résultat d'une fonctionnalité biologique impliquée dans l'évolution-) peut -et ne peu que- jouer un rôle.

He suis venu me relire avec angoisse ! je me disais c'est archi nul ce que tu as écrit ... Et puis non pas... complètement ! je change juste un peu la fin : L'amandier sous la pluie aujourd'hui En sue des gouttes d'eau à gogo chaque goutte est un monde toute une mappemonde où se mire le nôtre je suis l'apôtre Des papiers gras ! Un fier-à-bras ! I have a dream ? la frime ! I have a drink ! (A ta santé je trinque !) Et puis en relisant : (Rayons Hugues Capet !) > A bas Hube Capet !

I have a dream C'est que ce monde toujours se fonde sur la bonne rime La rime idoine Pivoine ! Imagine all the people (Et le pis c'est Saint Paul) Ou Mahomet fumant le calumet De la paix ! (Rayons Hugues Capet !) Et n'oublions personne : (Ma rime sonne) Moïse ? C'est la mouise ! Napoléon ? Au violon ! Hitler, Staline Chauffeurs de michelines. (Z'ont déjà la casquette parfaite.) De Gaulle ? Je rigole ! Poutine se débine Et Macron Quart de micron. Assez de politique Jouons le poétique ! La terre sans propriétaire La lune Plus de thune Et l'industrie Sans le tri ! Les poubelles se ramassent à la pelle... Le verre à part Et les cartons épars ! Les vieux journaux en tas phénoménaux ! Les épluchures coincées dans les brochures... les emballages... mais quel gaspillage ! Et ce vieil ordi qui rouille... Et son vieux clavier sans papouille ! Tous ces objets au rejet ! Tu vois, je n'ai rien oublié : Tous ces trucs bousillés... Ces trucs irréparables C'est effroyable ! L'amandier sous la pluie aujourd'hui En sue des gouttes d'eau à gogo chaque goutte est un monde tout une mappemonde où se mire le nôtre Des papiers gras je suis l'apôtre ! I have a drink.. A ta santé je trinque !

Ca c'est un genre de mets a cul plat ! En te lisant j'ai pensé à la richesse (à la quantité) des rimes en "ouille" ... Une fois à Paris (je ne sais plus où) on nous a servi des... "Orgueils de béliers"... Faut aimer.

Merci ! Je l'adore aussi !