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- Date de naissance 06/06/2002
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vous pouvez développer svp, pour enrichir le débat.
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cela dit juste qu'il n'y a pas besoin de faire l'hypothèse d'un univers objectif, c'est une hypothèse de trop, on ne pourra plus rien expliquer. Les hypothèses au départ se retrouvent à la fin et donc on ne peut pas avancer. Les hypothèses comme cela sont inprouvables, inutiles et néfastes pour la connaissance. Alors que si on ne fait pas l'hypothèse d'un univers extérieur, on peut l'expliquer, c'est à dire la sensation d'univers, l'apparence d'univers, la conscience d'univers.
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pas du tout si tout est la conscience tout est illusion, et c'est pas grave que tout est illusion, c'est grâce à cela qu'on peut communiquer, qu'on peut s'aimer,...
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encore une sans argument
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encore une critique sans argument, les physiciens essayent d'étudier le réel alors qu'il n'y a rien de réel, c'est cela qu'il faut comprendre en premier, pas de faire des équations c'est pas ca le problème. Pourquoi est ce que je refuse de comprendre l'univers alors que c'est SOI ? Pourquoi si tout est la conscience, j'ai l'impression qu'il y a de la matière ? C'est ca des vraies questions à ce poser, c'est en posant les bonnes questions qu'on trouve les réponse. Une fois qu'on a compris les causes métaphysique à partir de certitudes absolues, les effets en découlent et s'expliquent très simplement, il y a pas de problème. Observer l'univers ne permet pas de comprendre l'univers car ce n'est pas un objet physique d'autant plus que le physicien (en tant qu'égo qui fait partie de l'univers, il est dedans donc il a aucune objectivité) mais la forme de la conscience à un moment donné. Et si vous avez un doute la dessus, posez vous cette question : est ce que je peux avoir conscience de quelque chose qui ne soit pas dans la conscience ?
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les critiques ne font pas évoluer le débat, débattez sur le fond
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ce qui est certain c'est la sensation d'univers (conscience) mais dire en plus de cette sensation un univers extérieur à cette conscience est une hypothèse invérifiable, inutile et néfaste pour la connaissance.
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je suis bien d'accord avec vous, nous sommes jamais un état mais l'évolution elle-même et rien d'autres. Il y a cette évolution car il y a un but. La science matérialiste et l'élite font exactement le contraire : ils se croivent tous l'ego avec le mental donc une étape de l'évolution. Ils veulent confirmer l'ego et par conséquent la matière or c'est une démarche qui n'amène à rien (à part des armes, pouvoir,..). Car ce n'est pas en étudiant l'illusion que je vais comprendre le processus créateur d'illusions qui est la conscience, il faut faire abstraction de cela et donc se poser de vraies questions : pourquoi la conscience à la place du néant, nécessité absolue ? Pourquoi si tout est la conscience, j'ai l'impression qu'il y a de la matière ? pourquoi je refuse de comprendre l'univers si tout est SOI ? Je suis veut dire qu'il n'y a rien d'autres que ce je suis, donc le contenant.
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vous ne prouvez rien en disant cela, car moi je peux expliquer pratiquement tous les phénomènes physique, spirituel, métaphysique,... alors que la physique ne sait même pas pourquoi les planètes et particules tournent sur elle même et pourquoi il y a l'énergie et pourquoi il y a la conscience et au final pourquoi il y a des particules, d'où vient l'eau des planètes, pourquoi il y a la gravitation, la liste est longue, Par exemple la libration lunaire ou de mercure est parfaitement explicable avec le magnétisme mais pas du tout avec la gravitation seule.
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Descartes avait compris que pour expliquer l'univers, il fallait se baser sur des certitudes absolues auxquelles personne ne peut nier, ou alors cela mettra le temps qu'il faudra pour les accepter. Il en avait trouvé une : Je pense donc je suis, c'est une certitude. Il y en a d'autres qui sont listées ci dessous. Avec toutes ces certitudes, vous allez comprendre les causes, c'est à dire pourquoi dans l'instant présent il y a la conscience à la place du néant, nécessité absolue. En se basant sur ces certitudes on peut construire une science beaucoup plus scientifique que l'hypothèse de base sur l'objectivité de l'univers extérieur à la conscience. Une fois que l'on a compris les causes, les effets viennent ensuite et alors ils sont explicables alors que l'inverse est impossible : étudier l'univers ne donne aucune explication sur le pourquoi de l'univers donc ses causes. Les sept certitudes de base : 1. Je suis. la sensation d exister est une certitude. la sensation seulement, pas sa forme. mon impression d exister est une impression qu' il existe un univers. cela signifie que l existence est une dualité. je dis je suis parce que je me sens en opposition avec ce que je sens que je ne suis pas. je ressens que l infinité tout autour de moi est à l extérieur de moi, n est pas moi. cet objet de la conscience me fait dire je suis. 2. Je suis est le tout. il n y a rien dans l univers qui ne soit pas contenu dans cette sensation d exister : tout ce que je peux expérimenter est une sensation de je suis. partant, si je veux être un scientifique, je dois reconnaître que rien n existe en dehors de soi, puisque tout l univers est ma sensation. donc, je suis, oblige de dire : je ne suis pas un corps. car mon corps est une sensation parmi d autres, et toutes sont contenues dans je suis. je ne peux pas être en même temps matière ou corps qui sont des formes de la sensation et le ressenti lui même. ce sont deux personnes différentes, et le premier pas dans l initiation est de distinguer ces deux aspects : ce que je suis, et ce que je me ressens être. je suis la conscience des choses, pas les choses elles mêmes. 3. Donc tout est esprit. tout est une partie de l esprit, de mon esprit. la matière elle même est une sensation de l esprit. maintenant, vous ne pouvez plus penser comme un physicien. si vous avez encore un doute quelconque, reposez vous la question suivante : puis je être conscient de quelque chose qui se trouve à l extérieur de la conscience ? la réponse est non. je ne le peux pas. si je sens ou si j observe quelque chose, il est évident qu' elle est à l intérieur de la conscience. si elle était à l extérieur de mon esprit, je ne pourrais pas en être conscient, sinon il faudrait dire où s arrête la conscience et où commence l univers. la physique quantique est obligée d admettre cela. tout l univers, tout ce qui peut être conscientisé, est spirituel. il n y a aucun moyen de prouver l existence de quelque chose de matériel ; alors que vous pouvez être sûr de l esprit. soyez donc vraiment scientifique. rejetez les hypothèses. rejetez la matière en tant que telle. 4. je suis une sensation d univers, tout de lui est mon esprit, et la sensation est présente. je suis le présent et seulement le présent. aucune sensation n existe dans le passé ni dans le futur. même la mémoire est un ressenti du présent. elle ne prouve pas le passé. rien ne peut réfuter le fait que seule la réalité de l être dans le présent immédiat est certaine. encore une fois, rejetez toute hypothèse pour pouvoir élaborer des certitudes qui puissent régir votre vie. 5. Le présent n existe pas, il est nul. il n a aucune durée. ce qui a une durée est toujours divisible, vous pouvez toujours y trouver quelque chose d une durée moindre. le présent n est pas divisible. il ne fait que séparer le passé de ce qui n est pas encore. ce n est qu' un point sans substance, qui ne contient rien. les physiciens accordent parfois au présent une certaine durée, histoire de faire exister l univers. ceci est scientifiquement interdit. 6. Conclusion : le tout est néant. quelles que puissent être nos impressions contraires, l évidence montre que tout est illusion. les grands mystiques en ont toujours témoigné mais ne l ont jamais démontré. la seule réalité est le processus d illusion lui même, le fait qu' il y a illusion d univers. cela est, et cela se dit je suis. Le fait que le tout soit néant s exprime sous la forme l infini égale zéro, autrement dit, il n existe pas d infini effectif. bien que nécessaire et inévitable, ce tout est et reste une nécessité, un but, jamais une réalité. la notion d infini, qui est première, engendre celle de nullité, qui est seconde. la nullité permet l infinité. sans nullité, pas de tout, ce qui serait absurde. l infini s avère être le but, la nullité le moyen. ces deux principes ne peuvent être confondus. pourrait on dire : la nullité est le but ? cela n a pas de sens. on peur dire le néant est le but. mais la nullité n est pas le néant. la nullité est un principe qui peut s appliquer à toute chose. pas seulement à l infini. on peut dire, par contre, rien est le but ou est une nécessité, parce que rien et néant, cela peut être synonyme. le néant contient donc bien deux principes qui ne peuvent être confondus. dès l instant qu'ils ne sont pas confondus, ils se distinguent. ils se distinguent bien que personne ne soit là pour les distinguer. ils se distinguent donc par eux mêmes. cette distinction est l essence de la sensation d être. nous sommes la nullité qui se distingue de l infinité . seule la nullité se distingue de l infinité, puisque l infinité, elle, ne s en distingue pas. il s ensuit que l infini contient le zéro, mais que le zéro ne contient pas l infini. c est clair. et ce schéma est la définition du je suis : un point au centre d un infini, qui se distingue de lui en s y opposant, mais qui néanmoins est là pour le permettre. et le permettre, c est s unir à lui. devenir l infini devient le but de l être, ou plus exactement, de ce qui se croit être l être. car l être, ce n est pas le centre. c est l opposition centre infini, soi univers, et le je suis contient donc l univers tout en s identifiant seulement à son centre. la conscience se croit le centre, et tente de s unir à l infini. non seulement la conscience (impossibilité de l infini en tant qu' état) est née, mais aussi l amour (nécessité de l infini car il faut un tout). notre évolution, celle de tout l univers, est cette recherche éternelle d infini. il n y a pas d autre énergie que cette nécessité du néant. 7. L amour est le seul chemin qui puisse conduire de l existence illusoire à la réalité du néant. le fait d aller vers l infini signifie s unir à tout. c est pourquoi l amour emplit toute vie apparente, il n y a rien d autre. pour s unir à l infini, il faut parcourir toutes les étapes, c est à dire s identifier à tous les états intermédiaires entre zéro et infini. et la conscience se vit dans l amour, sous toutes ses formes. aimer, c est devenir ce que nous sommes par nécessité. telle est l évolution. tous les êtres existent, ils sont une seule nécessité pour le zéro de servir l infini. et ils le font. nous avons le sentiment d évolue d une forme vers une autre, vers un but inaccessible que nous appelons dieu, parce que nous savons que c est notre réalisation, mais nous savons aussi que nous ne l atteindrons jamais. l infini est et reste un but pour la nullité, éternellement indispensable. il n y a donc pas de limites pour la conscience, ni en temps, ni en qualité. voilà comment on explique l existence. et cette existence est nécessairement ressentie comme matière, puisque la volonté de s unir est perpétuellement limitée. a chaque étape, elle n est pas infinie. la matière est le sentiment d être limité. il faut bien cette impression de solidité pour ressentir cette limite. pour illustrer et montrer que l infini est impossible et nécessaire : il n y a pas de nombre infini mais il est nécessaire qu'il y est une infinité de nombres.
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merci de m'avoir mentionné, je ne l'ai pas précisé mais la pensée dominante des physiciens est encore le matérialisme mais c'est vrai de plus en plus ce paradigme disparaît. L'épistémologie est très importante selon moi car sans philosophie pas de science.
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mes connaissances sont bien plus puissante puisqu'elles sont basées sur des certitudes absolue que personne peut remettre en cause, les effets viennent ensuite alors que si on prend les physiciens qui se basent sur l'épistémologie qui dit que l'univers est extérieur à la conscience est une hypothèse à jamais donc tout ce qui suit sont des hypothèses également. Les sept certitudes de base : 1. Je suis. la sensation d exister est une certitude. la sensation seulement, pas sa forme. mon impression d exister est une impression qu' il existe un univers. cela signifie que l existence est une dualité. je dis je suis parce que je me sens en opposition avec ce que je sens que je ne suis pas. je ressens que l infinité tout autour de moi est à l extérieur de moi, n est pas moi. cet objet de la conscience me fait dire je suis. 2. Je suis est le tout. il n y a rien dans l univers qui ne soit pas contenu dans cette sensation d exister : tout ce que je peux expérimenter est une sensation de je suis. partant, si je veux être un scientifique, je dois reconnaître que rien n existe en dehors de soi, puisque tout l univers est ma sensation. donc, je suis, oblige de dire : je ne suis pas un corps. car mon corps est une sensation parmi d autres, et toutes sont contenues dans je suis. je ne peux pas être en même temps matière ou corps qui sont des formes de la sensation et le ressenti lui même. ce sont deux personnes différentes, et le premier pas dans l initiation est de distinguer ces deux aspects : ce que je suis, et ce que je me ressens être. je suis la conscience des choses, pas les choses elles mêmes. 3. Donc tout est esprit. tout est une partie de l esprit, de mon esprit. la matière elle même est une sensation de l esprit. maintenant, vous ne pouvez plus penser comme un physicien. si vous avez encore un doute quelconque, reposez vous la question suivante : puis je être conscient de quelque chose qui se trouve à l extérieur de la conscience ? la réponse est non. je ne le peux pas. si je sens ou si j observe quelque chose, il est évident qu' elle est à l intérieur de la conscience. si elle était à l extérieur de mon esprit, je ne pourrais pas en être conscient, sinon il faudrait dire où s arrête la conscience et où commence l univers. la physique quantique est obligée d admettre cela. tout l univers, tout ce qui peut être conscientisé, est spirituel. il n y a aucun moyen de prouver l existence de quelque chose de matériel ; alors que vous pouvez être sûr de l esprit. soyez donc vraiment scientifique. rejetez les hypothèses. rejetez la matière en tant que telle. 4. je suis une sensation d univers, tout de lui est mon esprit, et la sensation est présente. je suis le présent et seulement le présent. aucune sensation n existe dans le passé ni dans le futur. même la mémoire est un ressenti du présent. elle ne prouve pas le passé. rien ne peut réfuter le fait que seule la réalité de l être dans le présent immédiat est certaine. encore une fois, rejetez toute hypothèse pour pouvoir élaborer des certitudes qui puissent régir votre vie. 5. Le présent n existe pas, il est nul. il n a aucune durée. ce qui a une durée est toujours divisible, vous pouvez toujours y trouver quelque chose d une durée moindre. le présent n est pas divisible. il ne fait que séparer le passé de ce qui n est pas encore. ce n est qu' un point sans substance, qui ne contient rien. les physiciens accordent parfois au présent une certaine durée, histoire de faire exister l univers. ceci est scientifiquement interdit. 6. Conclusion : le tout est néant. quelles que puissent être nos impressions contraires, l évidence montre que tout est illusion. les grands mystiques en ont toujours témoigné mais ne l ont jamais démontré. la seule réalité est le processus d illusion lui même, le fait qu' il y a illusion d univers. cela est, et cela se dit je suis. Le fait que le tout soit néant s exprime sous la forme l infini égale zéro, autrement dit, il n existe pas d infini effectif. bien que nécessaire et inévitable, ce tout est et reste une nécessité, un but, jamais une réalité. la notion d infini, qui est première, engendre celle de nullité, qui est seconde. la nullité permet l infinité. sans nullité, pas de tout, ce qui serait absurde. l infini s avère être le but, la nullité le moyen. ces deux principes ne peuvent être confondus. pourrait on dire : la nullité est le but ? cela n a pas de sens. on peur dire le néant est le but. mais la nullité n est pas le néant. la nullité est un principe qui peut s appliquer à toute chose. pas seulement à l infini. on peut dire, par contre, rien est le but ou est une nécessité, parce que rien et néant, cela peut être synonyme. le néant contient donc bien deux principes qui ne peuvent être confondus. dès l instant qu ils ne sont pas confondus, ils se distinguent. ils se distinguent bien que personne ne soit là pour les distinguer. ils se distinguent donc par eux mêmes. cette distinction est l essence de la sensation d être. nous sommes la nullité qui se distingue de l infinité . seule la nullité se distingue de l infinité, puisque l infinité, elle, ne s en distingue pas. il s ensuit que l infini contient le zéro, mais que le zéro ne contient pas l infini. c est clair. et ce schéma est la définition du je suis : un point au centre d un infini, qui se distingue de lui en s y opposant, mais qui néanmoins est là pour le permettre. et le permettre, c est s unir à lui. devenir l infini devient le but de l être, ou plus exactement, de ce qui se croit être l être. car l être, ce n est pas le centre. c est l opposition centre infini, soi univers, et le je suis contient donc l univers tout en s identifiant seulement à son centre. la conscience se croit le centre, et tente de s unir à l infini. non seulement la conscience (impossibilité de l infini en tant qu' état) est née, mais aussi l amour (nécessité de l infini car il faut un tout). notre évolution, celle de tout l univers, est cette recherche éternelle d infini. il n y a pas d autre énergie que cette nécessité du néant. 7. L amour est le seul chemin qui puisse conduire de l existence illusoire à la réalité du néant. le fait d aller vers l infini signifie s unir à tout. c est pourquoi l amour emplit toute vie apparente, il n y a rien d autre. pour s unir à l infini, il faut parcourir toutes les étapes, c est à dire s identifier à tous les états intermédiaires entre zéro et infini. et la conscience se vit dans l amour, sous toutes ses formes. aimer, c est devenir ce que nous sommes par nécessité. telle est l évolution. tous les êtres existent, ils sont une seule nécessité pour le zéro de servir l infini. et ils le font. nous avons le sentiment d évolue d une forme vers une autre, vers un but inaccessible que nous appelons dieu, parce que nous savons que c est notre réalisation, mais nous savons aussi que nous ne l atteindrons jamais. l infini est et reste un but pour la nullité, éternellement indispensable. il n y a donc pas de limites pour la conscience, ni en temps, ni en qualité. voilà comment on explique l existence. et cette existence est nécessairement ressentie comme matière, puisque la volonté de s unir est perpétuellement limitée. a chaque étape, elle n est pas infinie. la matière est le sentiment d être limité. il faut bien cette impression de solidité pour ressentir cette limite. pour illustrer et montrer que l infini est impossible et nécessaire : il n y a pas de nombre infini mais il est nécessaire qu'il y est une infinité de nombres.
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les physiciens sont basés sur épistémologie qui est la suivante : la matière est extérieur à la conscience. Or ceci est impossible à prouver, donc une hypothèse à jamais car ce qui est certain est la sensation d'univers (conscience) mais dire que plus de cela il existe un univers extérieur est hypothèse car je ne pourrai jamais dire scientifiquement où s'arrête la conscience et où commence l'univers. D'autant plus que le physicien fait partit de l'univers, il est dedans donc c'est finit il a pas d'objectivité, donc toutes ses théories qui sont basées la dessus sont des hypothèses également.
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vous dites : je confonds magnétisme et gravitation, mais vous n'expliquez rien en disant cela. Les expériences montrent que la gravitation serait une résultante du magnétisme et non une force indépendante. Et j'ai d'autres éléments qui le montrent également : Si j'éloigne un aimant par rapport à un autre qui est fixe, celui que j'éloigne va être freiné : deux fois plus de distance quatre fois moins d'attraction. La question est la suivante : si les deux s'éloignent en même temps, c'est à dire si les pôles en attraction s'éloignent simultanément l'un de l'autre, vont-ils se freiner ? Logiquement avec la loi, cela ferait quatre fois plus de distance seize fois moins d'attraction donc plus de freinage ? Si je freine manuellement l'aimant B, il va accélérer pour maintenir sa vitesse avec l'aimant A, son synchronisme. Les deux s'entrainent mutuellement à partir du repos absolu. Deux situations différentes nous permettent de comprendre : 1°. L'aimant A tourne grâce au moteur. S'il démarre suffisamment lentement, l'autre (B) se trouvera entraîné à son tour. Si B ne tourne pas, ou s'il tourne à une vitesse différente, les aimants parfois s'attirent, ou se repoussent, et l'aimant B va et vient alternativement: L'ATTRACTION ET LA RÉPULSION entre eux sont égales. 2°. Après quelque temps, les deux aimants, c'est extraordinaire, tournent à la même vitesse, et synchronisent leurs mouvements : à chaque demi-tour, il y a toujours attraction entre les pôles de A et de B. À partir de ce moment-là, il y a ATTRACTION PERMANENTE ENTRE LES DEUX AIMANTS : ils restent toujours aussi proches l'un de l'autre que possible. B ne s'écarte jamais de A, la RÉPULSION EST INVISIBLE, bien que cette force de répulsion existe toujours, puisque ce sont des aimants. Si l'on tape un peu sur B pour essayer de l'éloigner de A, il résiste et revient vers lui ! Comme s'il y avait gravitation entre eux. La preuve est faite que lorsque des aimants tournent, ils doivent être synchronisés pour s'attirer l'un l'autre. Sinon, ils ne le font pas, ils restent indifférents.
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il y a pas consensus sur ce phénomène et d'autant plus que les physiciens sont de moins en moins matérialiste. C'est à dire qu'en physique quantique on s'aperçoit qu'il faut un acte d'observation (la conscience) pour que la particule est une réalité et donc par conséquent que tout l'univers est une réalité. Il n'y a rien d'extérieur à la conscience et c'est cela que les physiciens s'aperçoivent de jour en jour. La vraie question : pourquoi si tout est la conscience, j'ai l'impression qu'il y a de la matière ? Autre expérience : Nous allons maintenant construire une boussole verticale, pour une démonstration encore plus performante: l'aiguille peut osciller à la fois à la verticale et à l'horizontale ; elle est en équilibre parfait sur son axe. Mise à l'horizontale, avec son axe vertical comme dans une boussole classique, elle indique parfaitement le Nord avec la pointe bleue (son Sud). Mais placée à la verticale, lorsque son axe est horizontal et permet à l'aiguille de se balancer sur un plan vertical (dans la direction Est-Ouest afin d'éviter la déclinaison magnétique), la pointe bleue pique du nez en direction du centre de la Terre, alors que son Nord pointe vers le ciel. Étrange. Donc, apparemment, la pointe bleue est bien plus lourde que la blanche. Renversons maintenant les polarités. La pointe blanche est alors la plus lourde, et la bleue semble chercher le ciel. Notre boussole ne montre ni le Nord galactique, ni le Nord géographique, mais pointe vers le centre de la Terre, comme une pomme qui tombe sous l'effet de la gravité. Maintenant nous pouvons êtres surs que la GRAVITÉ et le MAGNÉTISME sont une seule et même chose. Rien qu'un seul champ d'énergie. Le noyau de la Terre est un aimant bipolaire complet, et non une masse de matière qui attire toujours tout ce qui se trouve à portée de son champ, comme l'affirmait Newton. Si c'était le cas, l'aiguille de la boussole verticale n'aurait aucune raison de se placer verticalement, et de se retourner quand on change les polarités. Elle serait toujours horizontale puisque aucun côté n'est plus lourd gue l'autre. Le noyau de la Terre est capable de reconnaître les polarités; il attire les polarités « opposées» et repousse celles de même charge (bien qu'elles soient pareilles). Sinon, notre boussole resterait toujours à l'horizontale, dans la direction Est-Ouest, et la gravitation aurait toujours été la même, quelle que soit la polarité. Dans une boussole normale, le centre de l'aiguille est placé sur un point qui la maintient à l'horizontale. Mais vous pouvez faire une expérience très intéressante ; si vous inversez les polarités de l'aiguille (en passant un aimant plus gros dessus par exemple), vous verrez que la partie blanche, qui est alors la polarité Sud et qui indique le Nord de la Terre, pique du nez alors que l'autre bout s'élève. Étrange, non? Toutefois, rien n'a changé, si ce n'est les polarités. Pour comprendre ceci, il faut savoir que la partie blanche de l'aiguille a été fabriquée plus lourde que la partie bleue; ceci est nécessaire pour qu'elle puisse rester à l'horizontale. Les fabricants de boussoles tiennent compte de cela sans vraiment savoir pourquoi. Le pôle Nord est toujours plus lourd, PARCE QUE LE PÔLE NORD DE L'AIGUILLE, qui indique le Sud de la Terre, EST REPOUSSÉ PAR LE PÔLE NORD DE LA TERRE; et il faut un surpoids pour la maintenir à l'horizontale. Ceci démontre que l'orientation de l'aiguille est fonction des pôles de la Terre, et non du Nord galactique ou d'une grosse masse de fer quelque part sous Terre.