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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Dans "racisme", il y a "rat" Il y a "ci" Il y a a"rassis" Il y a "meuh!" Et puis, il y a "isthme" ... Comme dans schisme, prisme, chrisme... "C'est peut-être un détail pour vous?" "Mais pour moi, ça veut rien dire du tout !"
  2. Blaquière

    La République En Marche

    Mais comment tu fais pour être toujours dans le mauvais camp ? Tu dois avoir un truc ?!!!
  3. C'est bizarre de faire un tel ramdam dur ces 8 milliards alors qu'on ne parle jamais des 40 qu'on a donné aux entreprises qui devaient créer 1 voire 2 millions d'emplois... Qu'on a toujours pas vus.
  4. M'enfin ! Vous ne savez pas ce que c'est une drogue ? C'est pour se calmer qua les fumeurs fument ! S'ils ne fumaient pas ils vous auraient déjà égorgés ! Dites merci au tabac ! Ils en mourront, sans doute, mais vous, les non fumeurs, vous lui devez la vie !
  5. 10 euro le paquet, c'est une mesure pour les pauvres ! 300 euros par mois, ils vont plus pouvoir fumer. En revanche, les riches... oui ! ça va être une hécatombe ! Macron a trahi son électorat ! "C'est la phase, terminale Groupons nous et demain !..."
  6. Aporétique ! aporétique !... Vous y allez un peu fort ! Aporétique ! Et la tendresse, vous en faites quoi ?
  7. Blaquière

    La République En Marche

    Mon Dieu, j'en reviens pas ! Je croyais que Macron dans son casting avait choisi des tueurs, mais là je vois des neuneus ! Macron cité approximativement mais l'essentiel y est : "Dans les gares on croise de gens il y en a qui on réussi et d'autres QUI NE SONT RIEN !"
  8. Blaquière

    Mes mémoires

    Mais en bref et résumé : l’Amour, le vrai, le seul, il vient d'en haut et pas d'en bas. Il est... interplanétaire ! Il est extra-galactique !
  9. Gna gnj, gna gna... Va ! Je ne te hais point !
  10. T'es pas obligé de persister ! J'enregistre tout de même le "désolé" : On ne se retrouvera pas demain matin à 6 heures sur le pré ! Il y a quand même une subtilité minimum à maîtriser. Dire à quelqu'un "tu dis des conneries" (je sais que j'en dis, moi aussi comme tout le monde) ce n'est pas la même chose que de le traiter de con. Traiter quelqu'un de con, ça montre une intention de l'insulter. Dire "là, tu dis des conneries" ce n'est que l'intention de discuter. d'aligner des arguments. Le but étant de démontrer qu'il s'agit de conneries. De bêtises pour rester poli. Etc. Etc. ("Vrai", sans "s" : si tu joues au con avec moi, tu gagneras pas !)
  11. Blaquière

    Mes mémoires

    MON AMOUR INTERPLANÉTAIRE L'âge est une variable importante pour ces histoires de sexualité. Mais pas la seule à avoir voix au chapitre : il y a la mémoire aussi heureusement ! Qui collationne, enregistre. On dit aussi se souvenir. Se souvient-on exactement de ce qu'on ressentait il y a très longtemps ?... A 15 à 16 ans par exemple... Devinez ? J'étais amoureux ! (Comme tout le monde !) Et je m'en souviens très très bien. Comme si c’était hier. Vraiment. C'était un amour... pour le décrire... purement... sentimental ! Ou intellectuel, spirituel ? On disait « platonique » à l’époque. Puisqu’on n’avait pas encore lu Platon (ce pédé!). Le sexe n'y avait pas sa part ! Du tout : ça je m'en souviens bien. C'était de l'amour... absolu... immatériel, impalpable, éthéré, indicible, indescriptible... Imprescriptible ! Il était tout, l'essentiel de ma vie. Mettre de la sexualité dans cet amour m'eût paru monstrueux. C'était ses yeux, sa façon de baisser les paupières, de tourner la tête, la courbe de ses joues, tous ses gestes... C’était… ELLE. Un amour tellement extraordinaire que je l’ai immédiatement reconnu comme... extra-terrestre ! C’était évident. Je venais d’une autre planète pour la retrouver ! Elle s’était perdue par ici, je veux dire sur cette planète. Sans doute était-elle tombée amnésique suite à cette chute imprévue ? Je ne sais plus exactement. Ça reste flou ! Ça l’a toujours été d'ailleurs. Mais en un mot, ma mission c’était elle ! C'était la retrouver. Je jure que c’est vrai ! J’en ai d’ailleurs parlé à mes copains de l’époque que ça n’a pas tellement étonnés. Ils ont trouvé mon histoire acceptable, faut croire. Quand chacun vit dans son propre de délire jusqu’au cou, et tente de surnager, on est peut-être moins critique envers celui des autres ? Mais ce mythe me permettait de comprendre la nature totalement exceptionnelle de cet amour. Son caractère extraordinaire. Extraordinaire égale extraterrestre ! Je l’ai déjà dit. Je venais de Sirius, elle d’un village près de Brignoles et on venait de se retrouver au collège : logique ! Cet amour était en moi un confluent. Celui du courant de l’enfance, de mes dix ans, 1957, l’année du premier Spoutnik, le « Bébé Lune » comme on l’avait appelé dans Paris Match – quand j’étais persuadé qu’adulte, j’irai certainement passer mes vacances sur Mars ou sur Pluton – avec celui de l’adolescence où on commence à sentir qu’il y a comme un mystère chez les filles... Et je voulais sans doute accumuler les deux... J’y étais allé d’ailleurs sur Pluton. J’avais été malade ou opéré d’un kyste, et donc contraint à la station couchée ou assise plusieurs jours… Quand ma mère avait été opérée, elle, d’une hernie, à cause d’un grand écart en passant la pièce dans le magasin, mon père, « bricoleur de génie » (selon sa formule) lui avait fabriqué une tablette à quatre petits pieds biseautés, plus un petit rebord tout autour sauf sur le devant, pour qu’elle puisse manger dans le lit. Or à quelques mois ou années de là pour devoir rester couché, moi aussi, j’avais hérité de la tablette du génie. Que j’avais transformée en tableau de bord de fusée interplanétaire. Avec un écran en carton, découpé perso : une boite. Plus un rouleau et des images qui défilait derrière en tournant le bouchon. Un compas à la pointe piquée dans le bois de la tablette dont on pouvait faire varier l’écartement d’avant en arrière pour amener l’autre branche en face de la graduation désirée suivant la vitesse choisie pour le vaisseau spatial. J’avais fait tout un film dessiné sur la bobine de l’écran que je faisais défiler. Il y avait la terre s’éloignant en plusieurs vues, de plus en plus petite, Mars et Saturne, bien sûr. Mais j’avais déjà de l’ambition (!!!) : c’était sur Pluton que je voulais aller ! Je voulais explorer Pluton, la planète la plus éloignée ! J’avais calculé qu’il fallait attendre quelques chose comme cinq ou six heures pour qu'un message aille de Pluton à la Terre. Douze heures donc pour recevoir une réponse. Encore qu’en ce temps là, les heures passassent plus vite. J’y avais rencontré des monstres terrifiants sur Pluton. Au fonds de crevasses insondables... Et je les avais pris en photo ! J’en « revois » un nettement, avec sa grande gueule noire ouverte et des dents pointues très très longues : l’ordinaire des voyages spatiaux de l’époque… Ce qui m’avait fourni une « chute » heureuse pour cette histoire interplanétaire. Parce qu’il faut bien à un moment ou à un autre se demander « mais que diable allait-il faire sur cette planète ? » Donc, la raison de mon voyage sur Pluton en était devenue évidente, quasi indispensable par cette conclusion : « Que de belles photos ils avaient ramenées de là-bas ! » (textuel!) Je n’avais pas calculé à combien de millions voire de milliards de francs pouvait revenir chaque photo de monstre avec ses longues dents… Il est vrai que le savoir n’a pas de prix. Ni le goût de l’aventure. (Et quand on aime pour peu qu’on ait moins de 20 ans, on compte encore moins !) Je ne vous cacherai pas que lorsque récemment, des astronomes on décidé de rétrograder Pluton en décidant qu’il ne serait plus désormais une vraie planète en titre, moi qui le connaissais si bien, ça m’a un peu chagriné... Mais revenons à nos amours... On comprendra mieux que pour quelqu’un qui avait l’habitude de sillonner le système solaire en long en large et en travers, mon premier amour ne pouvait qu’être encore (un peu)... spatial ! La puberté m’avait tout de même permis de passer du niveau solaire au niveau galactique. Bref, quand ça a été fini, quand à la rentrée des vacances de Noël, elle m’a dit « C’est fini, avec toi, maintenant je suis avec Charly !»(1) (Et je suis sûr que ces deux cochons avaient même dû s’embrasser SUR LA BOUCHE au cinéma), Ce que nous n’avions pas pu faire pendant le film Alamo, parce que les surveillantes nous avaient séparés. Bref, quand ça a été fini, j'en serais mort. Une envie de disparaître. Un effondrement. Je me suis retrouvé sur une planète, un, qui n’était pas la mienne, deux, avec une atmosphère, limite irrespirable : je suffoquais ! Et trois, « le père Goriot » je m’en foutais complètement ! Que faire ? Retourner sur Pluton ? Ben non ! C’était pas prévu dans Balzac !… Ça a marqué pour moi la fin de l’espace ! Ma mission Plutono-platonique interplanétaire aux yeux doux ayant capoté, mon intérêt pour les filles allait devenir peu à peu nettement plus terrestre. Voire sexuel. Et quand à quelques années de là cinq ou six tout au plus – en 69 – , le premier homme allait mettre son pied sur la Lune, moi, pourtant ex-pilote chevronné de vaisseau spatial, venu de quelque système lointain et atterri ici par pur accident, j’en avais plus rien à foutre du tout de ces couillonnades. J’avais parfaitement compris que les extra-terrestres ne me seraient jamais d’aucun secours, d’aucune utilité et que c’était à moi de me débrouiller tout seul. Et que les Charly du côté obscur s’il s’en présentait d’autres, la seule solution c’était de leur « péter la gueule ! » J’avais bien pleuré, ça m’avait fait grandir. J’étais devenu le Rambo de l’Espace !… Epigloque plutôt-platonicien : Et là, je me demande si la sexualité (quel que soit notre âge), intervient vraiment dans l'Amour en général ? L’amour avec un grand « A » ? En est-elle la composante essentielle ? Que néni ! L'Amour c'est autre chose ! C'est psycho-machin, psychique, ça oui, mais sexuel ? Sans doute pas ! Bien sûr, il s'en accommode du sexe s’il le faut ! Et la sexualité, elle, elle voudrait bien y contribuer ! Mais un peu sur le mode de l'imposture. Parce qu'il faut faire avec. Peut être que l'amour est une sorte d'insurrection de l'individu contre l'espèce ? (Puisque la sexualité lui, est indispensable à cette espèce.) L'amour c'est l'affaire de l'individu, du sujet, c'est subjectif. La sexualité, c'est le contraire : c'est l'espèce qui s'impose et l’impose, qui la commande. L'individu s'y jette, si noie... à son corps défendant. A corps perdu et défendu. Les deux, l'amour, la sexualité, suivent chacun leur chemin. Et les deux chemins peuvent se croiser... On peut le souhaiter. Mais en bref et résumé : l’Amour, le vrai, le seul, c’est... interplanétaire ! C'est galactique ! (1) Pourquoi je n’ai jamais vu le slogan « Je suis Charlie » d’un très bon œil ?!
  12. Doucement, mignon ! Moi je blague, je plaisante mais je t'insulte pas !
  13. @jeandin Ezéchiel c'était quand ? On va dire 500 av. J-C ? Il a donc vu un Boeing ou un Airbus comme tu viens de nous le démontrer admirablement.... Et l'homme qui conduisait cet Airbus, il était venu d'une planète située à 20 ou 30 années lumières minimum à bord de son Airbus ou de son Boeing ? Penses-tu que quand nous irons visiter nos systèmes planétaires voisins (dans 100, 200 ou 1000 ans), si nous y allons un jour, nous irons avec des engins munis de nos moteurs à réaction actuels ? Si c'est le cas pourrons jamais les atteindre ?... Si ces "hommes" venaient du futur, ou d'un autre dimension (j'ai l'esprit large) il bénéficiaient très certainement pour ce faire, (vu que nous en sommes encore très loin) d'une technologie et d'un savoir que nous ne pouvons même pas imaginer. Un moteur à réaction actuel, serait pour eux l'équivalent d'un silex percuté (même pas taillé !) pour nous... et encore !... A moins qu'ils aient utilisé un avions du XX-XXI ème siècle exprès pour que TU le croies le reconnaître aujourd'hui et t'induire ainsi en erreur ? Oh ! Ils sont malins ces extra-terrestres ! Presque autant que Dieu : leur dessein est quasiment imprévisible !... (Et leurs dessins et leur destin, je te dis pas...) Moi qui viens de la planète Zig-Goui-Goui, je peux te dire que pour moi, un Airbus, c'est un char à boeufs ! On en rigole d'ailleurs CHEZ NOUS : on dit "un char à bus !" ou un "Air de boeuf"... (En provençal qui est la langue officielle sur Zig-Goui-Goui ça donne : "ün nervi dé buou")... Si tu voyais nos moteurs ?!!! C'est simple : Tu ne saurais même pas que c'est des moteurs ! Et je dirais même mieux : nous n'avons même plus besoin de moteurs.
  14. "Du temps où vivait le grand Pan Les dieux protégeaient les ivrognes Un tas de génies titubants Au nez rouge, à la rouge trogne..."
  15. Dieu est un concept qui sert à ne plus se poser de questions. C'est un concept magique : C'est quoi Dieu ? Aucune idée ! Mais c'est Dieu et pis c'est tout !
  16. Blaquière

    un jour... un poème

    C'est marrant, ça, j'essayais juste de parler de l'amour à côté (philo, métaphysique, page 13 !) et de cette forme d'allégeance... "Je vis au fond de lui comme une épave heureuse " On ne lit pas assez les poètes en philo ! (Ils sont nettement moins lourds que les psy !)
  17. Pour l'Amour, il faudrait essayer d'aller plus loin... Aimez-vous, aimons-nous... c'est bien, mais encore ? Comment ça se passe ? "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil", ça suffit ? Jésus "accomplit" la loi Mosaïque qui dit : "tu ne tueras point !" en allant Beaucoup beaucoup plus loin genre : "il faut aimer ses ennemis !" Et il précise même "quel mérite à aimer ses amis?" Or, il ne suffit pas de vouloir aimer pour aimer. Comme exemple on peut prendre "l'amour passion". Il ne se décide pas. Il peut se construire (à notre insu ) se fabriquer mais il ne crie pas gare. Il répond à une demande difficile à définir. Et correspond le plus souvent à une sorte d'effondrement psychique. Un effondrement ou mieux, un refoulement de l'ego (ou de la personnalité ou de l'identité). Et se porte sur l'Autre qui "bénéficie" en un sens d'un retour du refoulé !... L'Autre, l'aimé devenant le centre de soi. C'est ce que je pense, comprends d'expérience sans en être très sûr... Alors, aimer ses ennemis, aimer tout le monde, (le message du Christ), me fait un peu l'effet d'un slogan publicitaire pour accrocher le chaland... Par l'impossibilité de le réaliser, "Aimons-nous les uns les autres et la haine sera bien gardée !" C'est le mode d'emploi qui manque. (Mis à part le masochisme et le syndrome de Stockholm )
  18. J'ai lu trop vite et ça a donné : De profundis clamavi te duodénum !
  19. Blaquière

    La République En Marche

    La France en Marx : j'adore ! Bravo !
  20. Blaquière

    La République En Marche

    Tu at malle ékri, quézaco sa sékri : "qu'es aquo"
  21. Blaquière

    La République En Marche

    Macron, c'est comme dans Frankenstein ! C'est une créature. Une créature de la finance. (Tout a été fabriqué dans son cas. En premier lui, en second sa notoriété. En trois son parti...) Il y aurait donc un espoir c'est que comme la créature de Frankenstein, il échappe à son créateur ! Mais dans Frankenstein, il y avait eu des prémisses (ou des raisons à cette échappée) : ils s'étaient trompé de cerveau !... Là il faudrait donc que Macron se reformate de lui-même... Y'a combien de chances pour que ça arrive ?
  22. Blaquière

    La République En Marche

    Et puis les abeilles elles sont pas En Marche : elles volent, alors on s'en fout !
  23. Blaquière

    La République En Marche

    La prudence serait peut-être de se taire... (quitte à ne pas moins en penser) On est en pleine épuration...
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