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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    C'est la malédiction d'Internet Et je le dis tout net : Malgré nous notre rime S'anime plus bas que la ceinture C'est une forfaiture ! Adieu petits zozieaux Gentes fleurs, Clairs ruisseaux Simple bonheur du cœur... Nous voilà poursuivant la chimère stérile, servile, Celle qui se déploie au dessous du nombril !
  2. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Oui ressuscitez-moi ! Je sens déjà l'émoi de la rés-érection ! Sans plus d'affectation
  3. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Je suis le président ! Et ma prothèse va ballant... Bali, Balo, (On parlait de salaud ) Était un fier galant et je suis moi, piteux amant !
  4. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Une réponse qui s'était perdue : Et vous me démasquâtes : J'écris trop à la hâte ! Je l'avoue je suis sôt Ce depuis le berceau et même jouvenceau Car tous mes vains assauts sont ceux d'une patate ! Si c'est sûr je suis sot Je ne suis point pourceau...
  5. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Vous êtes belle ici, moi jadis je fus beau : Le temps est un salaud !
  6. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Coupable je le suis, car enfin, oui, moi j'ose Et je vais bien trop loin, jusqu'à ce que j'explose ! Et vous avez raison : je ne pipe plus mot! Je resterai de glace, et jouerai l'eskimo... Qu'est-je dit ? L'eskimo ? Que fait-on d'icelui A l'entracte qui luit ? L'allusion est palpable: Me revoilà coupable...
  7. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Ne vous tourmentez point ! Faut pas en faire un foin ! Mezzo maso ne suis : que pour la galerie... Et ma seule ambition : que le public en rît. En fait de ver, Henri 4 était le galant, Il rimait le coquin à coups de bistouquette De votre cœur riant seul je veux la conquête : Mon ver n'est pas violent, il n'est que flatulent !
  8. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Me voilà barbotant dans cette eau débordante Et je m'y crois surfant sur quelque déferlante... Je le dit, je le sais ce n'est qu'un rêve fou ! C'était pour étouffer dans mon cou le grisou... Le grisou s'est éteint, me voilà pantelant, Mon pantalon trempé et trempé jusqu'aux os, Le cul mouillé itou : ça c'est du truculent ! Se baigner tout vêtu ? Mais faut être maso ?!
  9. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    De Vernis les bisous Comme un coup de grisou Ont chauffé l'atmosphère ! Je ne sais plus que faire... Au secours les pompiers ! J'en tremble sur mes pieds ! Et je me précipite comme météorite à l'eau de ma baignoire Quel terrible déboire !
  10. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Ce serait bien de rimer avec le post précédant d'un autre et de lancer une nouvelle rime ? On chercherait à balancer une rime introuvable !
  11. J'ai aussi pensé : ça, ça se chanterait bien !.... C'EST DÉJÀ FAIT ! Merci en tout cas ! Pour le poème et Ibañez ! Ça ressemble à une comptine pour les petits !...
  12. Blaquière

    Poemes de forumeurs

    Quelle belle cueillette nous fîmes : quelques hyménomycètes, (Pour la rime!) des hypholomes, Pour gastronomes des helvelles, de superbes coulemelles des géasters fimbriés, et un hydne imbriqué des polypores versicoles arboricoles (?!) ma foi fort appétissants. Poil aux dents !
  13. Blaquière

    Les chasseurs

    Oui, et puis le gros gibier il a de plus gros nerfs, DONC, il souffre plus ! A l'opposée, une fourmi... ou une mouche, ça souffre presque pas. Même quand je lui arrache une patte, elles ne crie pas ! Je vais essayer avec deux, pattes, puis trois... puis...etc. Je vais voir à partir de quand elle crie.
  14. Et si Dieu n'existe pas, n'est rien : zéro à zéro, la balle au centre! Il faut chercher ailleurs.. chercher où notre raisonnement est bancal... " Conscience universelle qui transcende la conscience individuelle et empirique, qui est aussi la condition de possibilité et cet horizon sur lequel toute conscience empirique peut apparaître et s'apparaître à elle même" Cela revient à affirmer dès le départ que "notre conscience individuelle et empirique" (donc on est sûr qu'elle existe) n'existe qu'en tant que partie d'une "conscience universelle" hypothétique, fantasmée. (Ou pire qu'en tant que conscience "dégradée", "dévaluée" "déchue" ! C'est un point de vue très religieux!) Si c'était le cas, bien sûr que l'horizon de notre conscience serait cette conscience universelle. Mais si cette conscience universelle n'est pas il n'y a QUE notre "conscience individuelle et empirique" . Ses conditions d'existence n'ont pas à être nécessairement une conscience universelle. Pourquoi faire de notre conscience a priori "une partie" ? De la même façon que les conditions d'existence d'un triangle sont l'existence d'un plan et de droites, mais que ni le plan ni les droites ne sont un triangle. Il faut (à mon avis!) considérer la triangle et notre conscience, comme des événements, des avènements, des "créations" pas comme des héritages. (!) "l'existence est à la lettre impensable et n'est donc pas un objet." : On pourrait aussi bien dire le contraire : l'existence est impensable parce qu'elle est un objet, elle est ce que l'objet a de "plus objet". (Il s'agit d'un "objet tout court", un objet du monde, pas d'un "objet de pensée" qui par définition est pensable. (Question de vocabulaire). Elle n'est pas objectivable car tout l'être du monde renvoie à ma conscience Là je sens comme une contradiction. "l'existence n'est pas objectivable" ? Elle est l'objet ! On vient de dire qu'elle n'est pas pensable soit ! (je suis d'accord) Mais si cet "être du monde" (on retombe sur le terme d'être qui dit tout et n'importe quoi !) est l'existence et qu'il renvoie à ma conscience, c'est qu'ils (l'existence et/ou l'être du monde) sont pensables par elle, par ma conscience ! (contradiction, donc) l'idée est que tout ne saurait être pensé par la partie, et je suis une partie. Là, je crois qu'on retrouve exactement l'idée de Descartes qui dit que puisque je suis fini, je ne peux pas penser l'infini. Et que donc mon idée d'infini vient "d'ailleurs"... "On abandonne, et c'est le propre de tout existentialisme, l'idée d'un moi ou d'une conscience qui serait une substance, pour lui substituer l'idée d'une transcendance, la conscience." Il faudrait ici mieux définir les concepts de substance et surtout de transcendance. Que la conscience ne soit pas une substance, (dans plus ou moins le sens d'un objet matériel, comme le corps ou les corps chimiques), On sera volontiers d'accord. Ni de l'électricité d'ailleurs ! On en arrive à l'idée de transcendance ? Soit ! C'est à dire ? Le contraire d'une immanence ? A savoir que la conscience ne serait pas issue d'elle-même ? C'est plus que vraisemblable. Mais on a l'habitude de donner à la notion de transcendance un autre sens que simplement celui de "venir d'ailleurs" ou de n'être pas sa propre cause (auquel semble se tenir Sartre) à savoir celui de venir... "d'en haut" En un mot de Dieu. Pourquoi, l'origine de la conscience, pour être transcendante et venir d'ailleurs que d'elle même, (n'étant pas sa propre cause, sa propre origine), ne viendrait-elle pas tout simplement ... du corps ? Nous connaissons bien les deux : et notre corps et notre conscience !
  15. Oui et d'autant plus qu'il y a deux formes d'aliénation. A deux niveaux. Une aliénation choisie, acceptée, quand on décide de "suivre le courant", de ne pas dépasser les bornes (culturelles, assignées), que l'on n'est QUE ce que "l'on" voudrait qu'on soit". Avant ou sans prise de conscience d'une liberté possible. Mais avant ce choix, le fait que ce choix soit (!) est une liberté obligée. Être condamné, contraint à être libre, que l'on soit obligé de passer par ce choix, est une aliénation. Un paradoxe, un oxymore ! Une liberté aliénante ?! Encore faut-il remonter à ce niveau, à cette possibilité de choix avant de la penser aliénation, comme nécessité, comme obligation. Je dirai qu'il s'agit plus d'une aliénation formelle que réelle. (Pour la liberté) On n'a pas la possibilité d'échapper à ce choix puisque ne pas choisir la/sa liberté, c'est à coup sûr choisir l'aliénation. Est-ce que pouvoir ne pas choisir l'aliénation (à coup sûr) est une aliénation ? Je l'ai dit : seulement formelle ? Au niveau du sens, (par opposition à la forme, celle du mot terrifiant d'"aliénation") choisir n'équivaut pas à ne pas choisir. Est-ce que tout paradoxe n'est que formel ? C'est un autre sujet.... Mais je comprends comme ça l'existentialisme façon Sartre : "être contraint d'être libre"... On peut bien l'appeler "l'aliénation de la non-aliénation"... ça ne changera pas grand chose...
  16. Je sais : toute la Gaule a été envahie sauf un petit village qui résiste : je vous envie !
  17. Je vois que vous en êtes à 266 pages... Alors, vous avez la réponse ? L'Univers, il est stupide ou intelligent ? LES FRANÇAIS VOUDRAIENT SAVOIR !
  18. Si tout ce que je fais m'engage totalement, mais que je peux toujours le remettre en cause, c'est sans doute vrai, mais c'est aussi contradictoire. Et la suite peut le résoudre dans la mesure où ce que je suis, n'est que ce que je parais être. Une comédie intime. La/ma transcendance en prend un coup !... Pour les modalités, c'est un peu ce que j'essayais de dire l'autre jour sur les modes d'appréhender le monde. "J'ai fait, mais il m'appartient aussi de le remettre en cause." Il faut pas trop me le dire ça ! Je me prends déjà pas assez au sérieux ! Et je crois même pas vraiment à ce que je crois ! Je ris ! Je vais essayer de continuer, de poursuivre quand même .... "Il existe une certaine force qui me tire et qui fait que je ne puis jamais m'arrêter." je comprends plus ça comme une inertie du vivant que comme une "force vitale" en tant que telle. Enfin, cela dépend des moments et de la transposition plus ou moins réussie des "pulsions de base"... La transcendance devient toute petite, là...
  19. Je vais te faire rire ! Quand tu as mis ce poème de Lorca (la luna llena) j'ai pensé, vas savoir pourquoi : je vais le mettre en musique ?! C'était comme un réflexe ! Et paf, le post suivant tu mets Amancio Prada qui le chante ! J'étais grillé !!! D'un autre côté je me suis dit "à la place je vais RIEN FAIRE : ouf !"
  20. On ressent incontestablement plus "de choses" dans cette version. La précédente traduction m'avait laissé bien plus froid... C'était du mot à mot, ici on sent plus esprit poétique qui va plus loin, il me semble. L’aurore sur le lit nous a rejoint, Ses bouches sur le jet glacial D’un sang sans fin qui coule. => L’aurore nous unit sur le lit, toute blanche, bouche appuyée contre le jet glacé d’un sang interminable qui s’épanche. J'apprécie d'autant mieux que si j'avais essayer de traduire je n'aurais certainement pas fait mieux que la première version !
  21. Si par malheur, il nous revient un nouvel Hitler, y'en a plus de 50 % pour ne pas dire 80, qui ont défilé aujourd'hui qui iront les vendre. Avec moi ils craindront rien, ils pourront compter sur moi. Ça m'est déjà arrivé... Et j'étais seul...
  22. Finkielkraut Il me fait l'effet d'un perdreau qui va faire l'ouverture de la chasse et qui se prend des plombs... C'est dégueulasse (j'aime pas les chasseurs) mais on pouvait s'y attendre...
  23. Moi, je suis prudent, j'attends les chiffres ! Demain, on aura les manifestants : on était 500 000 ! Le chiffre du ministère de l'Intérieur : 1 million !
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