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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Après ça, tout ce qu'on pourrait dire serait dérisoire. Merci.
  2. Mais qu'il est bête ! -- Mais je l'admire moi, Heidegger ! Je le vénère ! Je l'aime, moi, Heidegger ! -- Il se peut que tu l'aimes Heidegger, en attendant, lui, il te dit merde ! PS J'ai rien nié du tout, je vais même dans ton sens ! Cependant pour que je sois mieux convaincu, il faudrait plus tartiner... Me décrire l'angoisse, me la susurrer... M'y inviter... L'angoisse, pour moi c'est pas qu'un mot : je veux la vivre !
  3. Je pensais à ça hier : Notre esprit." L'expérience mentale". Son isolation en nous du reste du monde, même de notre corps. Son existence... abstraite, son développement ou sa "mise en action" incompréhensible à lui-même. Sa ponctualité : c'est un "point de vue" mais un point de vu dynamique, agissant. Incompréhensible. "L'expérience mentale" est son état permanent, mais sans barrière, sans garde fou. Elle permet tout (peut-être). Comment s'y fier ? Comment ne pas dire n'importe quoi à son sujet ? Comment "de l'intérieur" distinguer une idée fausse d'une juste ? Un impression (sensation, sentiment) légitime , vraie ou honnête, d'une fausse, fabriquée, "parachutée" ? [ Je veux dire que notre esprit a un en soi. et que cet en soi, c'est notre cerveau ! Cet en soi on le connaît un peu : les neurones, l'électricité, la chimie? Mais l'expérience que nous avons de notre esprit n'est pas cet en soi. Nos sentiment vécus n'ont rien de chimique ! Ce que nous connaissons de notre esprit, ce que nous expérimentons, c'est son "pour soi" (ce qu'il est pour nous!) notre expérience mentale c'est son phénomène. Comme il fonctionne pas comme il est (en soi-neurones). Mais on peut bien imaginer que notre esprit phénomène, agissant va puiser des éléments, des "idées" où elles seraient stockées dans son "substrat" (en soi neurone) pour les manipuler à sa façon. Bien sûr il ne s'agit là que de la partie visible, consciente de l'iceberg ! Un immense inconscient "travaille" aussi en sous main.] C'est là, compte tenu de cet immense inconscient (dont le fonctionnement proprement "matériel" de l'en soi de l'esprit) que "l'expérience mentale" peut s'acérer bien incomplète. Sujette à caution. Bien hasardeuse... Pour l'angoisse, il faudrait essayer d'aller plus loin, plus profond. tenter de l'analyser, de la décortiquer,comment elle apparaît, à la suite de quoi, comment elle fonctionne, d'où elle vient, dans quel cas précis. La raconter , la conter au plus précis. (Je pense à la page de Sartre sur la racine de marronnier pour sa nausée) Le mot "angoisse" ne suffit pas. Ce n'est qu'une étiquette. Pareil pour le "rien".
  4. Blaquière

    La violence

    Je ne sais pas qui est de mauvaise foi, toi ou moi ! peut-être les deux ! Il y a sans cesse du dérapage ! Moi je dis : dans "ce texte sacré juif", ce qui veut dire "ce texte considéré comme sacré par les juifs". Toi tu dis "dans ce texte sacré" je ne pense pas chipoter en disant que ça n'a pas du tout le même sens : C'est comme si tu voulais me piéger en disant "ha tu vois tu as dit toi-même que c'était un texte sacré !" Comme si tu voulais montrer que j'ai tort parce que je suis en contradiction avec moi-même! Ce serait une bonne démonstration si c'était le cas. Mais je n'ai jamais dit qu'il s'agissait de textes sacrés dans l'absolu. Ils le sont pour les religions concernées et sans doute pour toi. Pas pour moi. Je nee t'autorise pas à dire que parce que je l'ai dit, tu peux me l'asséner ! Puisque je ne l'ai pas dit ! Tu sembles prendre ce qui t'arrange dans ce que je dis, l’interpréter à ta façon, et ignorer le reste. Mais c'est sans doute ce que nous faisons un peu tous. C'est le principe de toute polémique ! (Polémos : tous les coups sont permis !) Et puis en venir à dire dans une discussion que "ce n'est pas le sujet", c'est carrément être mauvais joueur ! C'est aussi un bon "coup" ! On ne peut pas se contenter de ne soigner que les symptômes, c'est le mal qu'il faut comprendre, conviens-en et là, le mal de la "violence" c qui la fabrique, c'est Dieu ! (Une conception moralisante du vivant). Il s'agit de comprendre les mécanismes des frustrations qui induisent des comportements violents en réponse.
  5. Blaquière

    La violence

    @DroitDeRéponse : Dans ce texte sacré , ils le crient Qu'est-ce que vous voulez qu je réponde à ça ? Pour vous le texte est sacré il est donc l'incarnation de la vérité, pour moi, ce n'est qu'un texte de propagande, de manipulation... Vous avez beau dire qu'il n'étaient pas tous juifs, sans doute mais Jésus, Jacques son frère, Pierre, Paul, Jean... l'étaient. Vous ne trouverez jamais une parole contre "les juifs" dans la bouche de Jésus (Ils n'ont pas osé?!) Ils s'en prends au pharisien, aux sadducéens... et même subtilement au Baptiste ! Jamais au juifs. Son optique était d'être un juif parfait. Après sa mort, c'est quand ses adeptes on compris qu'ils n'y avait rien à faire ou trop peu du côté juif, qu'ils ont décidé d'ouvrir au païens, aux grecs, aux "gentils" !... Ça c'était vraiment gentil !
  6. Blaquière

    La violence

    Le principe (ou le sens) du bouc émissaire --et là tu seras sans doute d'accord avec moi-- c'est "tuer" la mal en soi-même. (le mal = la haine, -la violence-) le chrétien est juif, et il doit tuer le juif en lui ! Comme le juif a tué le chrétien en lui en la personne du Christ. C'est tout du semblant ! On fait semblant d'êtr violent, on fait seemblant que l'autre -le sacrifié- est l'instigateur de notre propre violence... tout cela est amené, construit, ficelé par la société. Qui s'invente un ennemi en même temps qu'elle veut le détruire. C'est pas pour rien qu le religieux qui est la société (une forme de société primitive) nous invente coupables...
  7. Blaquière

    La violence

    Je ne prends que cet exemple qui va bien avec le sujet de la violence et l'idée de bouc émissaire : Sérieusement, vous y croyez à ça ? que la foule ait hurlé qu'elle voulait être aspergé de son sang ? INVENTION ! C'est comme dans l'évangile de St Jean (surtout) quand il est dit "les juifs" : ça na pas de sens ! Ils étaient tous juifs ! Jésus et les. apôtres. Pour moi, la présence de ce terme "les juifs" est le parfait signe d'une manipulation postérieure de la part de ceux qui ont écrit les évangiles. Pour bien séparer le christianisme naissant du judaïsme dont il n'était qu'une variante, par exemple. L'histoire du sang du Christ qui rejaillira sur les enfants de ce qui l'on condamné est à l'évidence le "formatage", ce qui autorisera et permettra le futur antisémitisme. Et vous pouvez me croire, je n'ai pas plus de sympathie pour el judaïsme que pour le christianisme ou l'islam, sinon moins. Puisque les autres en ont découlé.. Pour répondre clairement à : "pourquoi la foule devait elle crier vouloir être aspergée de son sang ?" Tous simplement : elle ne l'a pas crié ! Maintenant pourquoi a-t-on dit qu'elle l'avait fait ? Pour séparer définitivement les deux religions, les rendre incompatibles. Il faut penser que les tout premiers membres de la secte chrétienne étaient tous juifs... Je n'invente rien : L'Ancien Testament Chrétien EST le texte sacré juif ! Il était impératif que les adeptes se distinguent... d'eux-mêmes. C'est un peu schizophrénique cette naissance du christianisme... Et sans doute l'est-il resté... L'islam, c'est pas mieux ! "Nous devons tout aux juifs, nos ancêtres et les juifs sont nos plus grands ennemis, en résumé nous sommes plus juifs que les juifs et c'est pour ça qu'il faut éliminer les juifs ! !" Un truc de fous...
  8. Blaquière

    La violence

    Je comprends bien que depuis deux mille ans qu'on fait monter la mayonnaise, il semble que tout ça avait une importance formidable. Je pense que ça n'était pas le cas. Ça n'intéressait pratiquement personne cette "affaire Jésus Christ"... Son jugement s'il y en a eu un, sa condamnation ? Sa crucifixion ? L'obscurité qui se fait à sa mort... Le voile du temple qui se déchire ? Inventions ! Littérature ! C'est une mise en scène dramatique des évangélistes. La foule ? ils était peut-être 15 ?! C'est comme l'entrée phénoménale et historique dans Jérusalem... allez, Une bonne vingtaine ?! 20 ans après à part quelques purs et durs de la secte, tout le monde avait oublié. Imaginez une foule immense comme on voudrait nous faire croire, mais tout le monde en aurait parlé, ce serait resté dans les annales, les archives.... Là ? Rien ! Il faudra attendre 50 ans pour que quelqu'un en parle. Parce que quelques types genre Saint Paul ont fait pendant des années une propagande du tonnerre ! Il s sont fabriqué un public, petit à petit... Je le trouve bigrement efficace ce St Paul ! Pas fainéant du tout ! Il avait juste attrapé un coup de soleil sur le chemin de Damas...
  9. Blaquière

    La violence

    "Caïn sera pas forcément celui que l'on pense" Oui ! et à tel point que Caïn... c'est Abel ! C'est Abel qui a commencé la violence en égorgeant son plus bel agneau ! Quand Caïn offrait à Dieu ses BONS légumes ! Or quand Caïn tue Abel, Abel n'est qu'un bouc émissaire ! Le vrai coupable la cause du mal, c'est Dieu qui en bon loup sanguinaire, préfère le sang et le gras d'un agneau à une salade verte !... Toutes ces histoires bibliques sont parfaitement délirantes. Moi, Dieu, je m'eusse cuisiné le cuisseau d'agneau d'Abel avec autour les Zaricots de Caïn en garniture et tout le monde était contentent ! [ Bon pour le banettes (haricots verts) je précise qu'il faut les faire cuire à l'eau en premier, puis les égoutter, bien les sécher pour ensuite les faire revenir à la sartan (poêle à frire) à l'huile d'olive. Que ça s'arrape (s'accroche) légèrement au fond en tournant.... Il n'est pas impossible qu'avec cette préparation, Dieu eût préféré les légumes. Il faut croire qu'autour de Lui personne ne sait cuisiner... Il faut savoir s'entourer, quand on prétend à la magistrature suprême ! Mais c'était pas le but de préférer les légumes car alors, toute l'histoire recommençait à l'envers et Abel tuait Caïn... Non pas d blague : il faut manger EQUILIBRé !] Plus de culpabilité, et depuis, l'humanité vivrait sur du velours... SANS CHOLESTÉROL ! Croquant, gourmand ! "Bèn salat bèn pébrat et si régalavoun lou moundé !" (Bien salé, bien poivré, et les gens se régalent) Comme quoi, si Dieu était né près de chez nous au lieu de chez les sauvages dans le désert, les choses auraient tourné autrement !...
  10. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Et voilà, Babylone !
  11. Moi... Puisque c'est moi qui regarde et qui suis où je suis, je vois quelqu'un qui vient vers moi...
  12. Je me souviens bien de YJankélévitch, avec sa grand mèche tournante de cheveux raides, ça lui donnait un petit air coquet et raffiné... Une coupe qui n'allait pas de soi....
  13. C'est pas juste ! JE M'INSURGE ! En espagnol, tu dis des chiffres et c'est beau comme un poème ! Ochocientos cincuenta y ocho... Ochocientos sesenta y tres ! es la tempratura del horno, ahora ! Y un poquito mas tarde subiré hasta mil ! Esto es el calor de mi co-ra-zon !
  14. Sans doute ! Mais je pensais à un truc : C'est qu'il y a nécessairement deux personnages en jeu ! Non seulement celui sur le seuil mais aussi, celui qui regarde, celui du point de vue; NOUS. le "sujet sensé savoir" et qui justement ne sait rien ! Celui-là est, c'est sûr à l'intérieur. Et il n'est pas représenté. Et il n'est pas sensé y être ! Je pense à Duchamp qui disait que pour qu'il y ait oeuvre (d'art) il faut être deux celui qui la crée mais aussi celui qui la regarde. On est donc "contraint" en un sens à s'identifier au seul personnage visible et représenté. Tout en se souvenant qu'on est déjà à l'intérieur. Est-ce qu'on veut sortir, donc, ou rester là où on est ? Optimisme et pessimisme c'est peut-être un peu gros comme trait. Mais pourquoi pas ? Mais c'est aussi à double tranchant...Si on veut sortir c'est soit qu'on est épris de liberté, ce qui st bien, mais aussi qu'on n'est pas bien comme on est... ce qui est moins bien.... Pareil si "on rentre" : c'est soit qu'on est bien dedans, comme on est soit qu'on a l'esprit enfermé, prisonnier et qu'on ne peut pas se libérer... Optimiste ; je sors, je vais aller mieux, pessimiste, je rentre ça va aller plus mal ?
  15. Tu devrais envisager plus de possibilités différentes... Je dis pas que j'y arrive vraiment, en tout cas j'essaie... sans vouloir toujours se donner le beau rôle. Il faut tout lire !
  16. La première question à se posr c'est est-ce que le personnage entre ou sort ? Moi je l'ai vu entrer avant de me poser la question. Et j'ai pensé aussi comme Pila : la démesure. C'est trop grand ! On se sent manipulé pour qu'on nous extorque une réaction... Ça n'existe pas des endroits comme ça... On veut nous faire nous sentir tout petit. Si on sort c'est qu'on va/veut se libérer et donc qu'on était enfermé... Si on rentre c'est qu'on était libre (trop libre?) et qu'on va/veut s'enfermer... D'un autre côté êtrer enfermé dans un endroit immense, c'est pas vraiment être enfermé. L'intérieur plus que grand (ou en même temps) est surtout très rigide, très rectiligne...
  17. J'applaudis des deux mains ! Il faudrait pouvoir "rendre à la raison ce qui appartint à la raison et au sentiment/ à l'émotion ce qui revient au sentiment!" Continue à chercher !
  18. Oui ! C'est l'explosion de la tonalité ! Il n’empêche que les modes majeurs et mineurs pour une oreille à peine avertie et intuitivement pour les autres à coup sûr ont des "couleurs" bien différentes,. En ce sens, les "tons" d'Heidegger-Alio, seraient bel et bien quelque chose de réel, de "préhensible" mieux qu'intuitif... Mais j'y pense, avec ces musiques sérielles et dodécaphoniques, "hors ton" est-ce que justement on ne sort pas du SENTIMENT ?! Et quasiment a priori de l'émotion ? ... Je dis a priori, car l'émotion pourra par la suite se faire un mélange perso d'une situation particulière et d'une musique sans émotion. Celle-ci rappelant l'autre)
  19. Tu as choisi la bonne image ! Une image à double sens. L'empreinte. ou "l'impression" qui peut être qq chose de très concret, une marque (quoi qu'en creux donc une absence!) Ou "l'impression" évanescente comme quand on dit "j'ai l'impression que". Imaginaire, seulemnt possible, Un sens figuré... mais sans figure. On pourrait dire que Heidegger, dans ce ton, comme dans l'étant recherche ou tente de réinventer l'Être qu'il a perdu par sa réflexion philosophique. Ceci dit ce que tu dis est passionnant !
  20. Il n'y a pas plus flou comme notion que le "ton" que ce soit en peinture ou en musique... (Ce n'est pas la tonalité en musique qui est une chose précise en musique et où les différentes tonalités antiques et/ou médiévales sont réduites à deux maintenant : majeur et mineur) On parle aussi de teintes, de couleur... les uns disent la couleur, les autres l'intensité, le dégradé, le mélange... J'attends donc avec impatience ton image ! Je suis sûr que tu vas nous sortir un truc remarquable ! Excellent tu as écrit 2 secondes avant que j'envoie ; je rêvassais ! je vais lire ton allégorie !
  21. Ça me fait penser à un présocratique et je suis bien marri de ne plus savoir lequel, qui disait : "Attends qu'un homme soit mort pour dire qu'il fut heureux." (En espérant ne pas avoir trop déformé...) J'ai retrouvé ! Démétrios de Phalère "Attends la mort d'un homme pour le proclamer heureux."
  22. Blaquière

    La violence

    Détresse du présent... Des tresses du présent. Oui le présent se tresse et se détresse sans discontinuer. Et il perd des filinsn ses filins du passé, en gagne de nouveaux venus d'on ne sait où. Comment la tresse peut tenir sans début et sans fin ? Elle est pourtant solide. Il me semble Et bien enchevêtrée.
  23. Votre remarque est intéressante. En effet il apparaît impossible pour beaucoup dont dans doute @hell-spawnde s’adresser à quiconque sans connaître au préalable son genre (sexe), son âge, voire sa couleur de peau, sa religion, sa fonction sociale, etc. Ce sont des personnes qui ont besoin de DÉTERMINER l’autre pour pouvoir communiquer et ce même sur un forum où les échanges sont purement mentaux sans même qu’il y ait un quelconque enjeu. Ce type de personnage se sent insécurisé s’il ne peut pas objectiver l’autre, l’enfermer dans un cadre rigide et donné. Oui remarque très intéressante ! Mais, je ne vais pas aussi loin. La distinction homme/femme me suffit, mais elle m'est presque indispensable au début d'une relation. Soit il s'agit d'un homme, et je dois et m'assurer de son concours et l'assurer du mien, si d'aventure NOUS devions nous défendre de l'attaque inopinée d'un tigre au dents de sabre... Soit il s'agit d'un femme (ou d'un enfant) et il me faut d'entrée les rassurer. Qu'ils comptent sur moi. Qu'ils sachent que si une horde de mammouths déferle, je saurai les mettre à l'abri... Après ce premier contact, on pourra parler de la pluie, du beau temps, de la taille des silex, d'une recette de cuisine ou de sentiments ... à égalité (!) La sécurité, c'est à moi de l'assurer aux autres en premier... Je suis un chasseur cueilleur des cavernes au fond de l'âme !...
  24. Blaquière

    Macron : mort de rire !

    Tu parles sans savoir, mais je te pardonne, c'est idéologique ! Pour toi le riche est forcément vertueux et le pauvre vicieux ! Tout ce que j'ai versé, toute ma vie, c'est bénéf total pour les caisses ! Jamais de docteur, jamais d'interruption... Jamais de chômage... J'ai plus qu'à espérer d'être vachement malade maintenant pour me récupérer un peu ! (Ne vous en faites pas pour moi quand même : JE SUIS RICHE ! Mais j'ai travaillé ! Et ça paye pas ! Ma grande fierté (ou vertu) c'est de n"avoir jamais exploité personne.)
  25. Blaquière

    Macron : mort de rire !

    Maintenant je vais vous dire un secret... C'est pas en travaillant qu'on devient riche. (Ni en faisant un bon travail !) Si vous voulez être riche, il faut faire travailler... LES AUTRES ! (Et qu'il travaillent pour vous, bien sûr !) Il faut SE valoriser le travail des autres... Là on est d'accord !
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