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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Ce qui me me gène énormément dans cette maxime qui semble si appréciée, c'est qu'on ne saurait la distinguer de "deviens ce que tu crois être"... Et qui débouche donc sur son exact contraire. "Deviens ce que tu n'es pas". Dans ce sens, tout le monde systématiquement a gagné, et elle ne sert donc à rien. N'apporte aucune clairvoyance. De là vient sans doute le consensus : elle ne dit rien ! Tout le monde est d'accord ! Elle dit : "tout baigne : ne change rien !"
  2. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    J'avais compris ton idée ! Mais si l'eau elle-même, si l'eau, elle-seule avait réellement cette capacité de mémoire, d'émotion, toute la vie aurait été inutile... Et impossible. Elle se serait heurtée dès ses balbutiements à plus fort qu'elle... Mais j'admets : on y croit ou on n'y croit pas... C'est un point de vue très "spiritualiste".
  3. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    Il faut se souvenir des détails du rêve... Ça en devient plus savoureux... Tout avait commencé par cette observation de ma part... (Nous étions tous attablés pour attendre le car, en haut à l'angle extrême du rempart. Sans doute était-ce donc un car volant pour quelque voyage aérien ?) Revenons à ma remarque : -- Tiens, il y a des "moueïssolles" ici aussi ?" ("Moeïssolle c'est le mot provençal pour moucherons".)... La demoislle assise à ma gauche en est surprise : -- Mais qu'est-ce donc qu'une "mou-é-i-so-leu" ? (Notez la malice de mon inconscient pour attirer l'attention de la demoiselle ! De mon inconscient ou de "notre" inconscient. Cadeau !) Me voilà donc parti dans tout un développement linguistique sous les yeux admiratifs de cette demoiselle... Et que c'est un moucheron, une moeissolle : et que ce mot est bien plus joli, plus beau, plus sonore que l'autre, français (bof !) et patati et patata... Parce que "provençal", c'est mon moi fantasmé, mon moi unique, mon moi "qu'à moi"... Le raisonnement, l'enchaînement est implacable ! D'abord, que les moueïssolles viennent sur le vin, et qu'il n'est de meilleur vin que mon vin de noix à moi ! D'où la nécessité d'en détailler la recette... Que signifient ces moucherons, MES moucherons, ces toutes petites bestieulettes tournant autour de MON vin d NOIX ? Décidément, mon inconsient en connaît un bout, question reproduction de l'espèce ! Ô innocentes demoiselles ! Prenez garde au vieux Blaquière s'il vous propose de goûter à son si doux, son si liquoreux vin de noix ! Auprès de lui, le meilleur ds Portos vous semblera si fade ! Si-fa : le "diabolus in musica" ! Ô-inno, Οινώ (en grec) = le vin ! Putain, la classe : je rêve en grec ! καρυδιά κρασί, c'est le vin de noix en grec, presque le "vin du coeur" !... Je me doutais bien qu'il y avait de la poésie dans mon rêve !
  4. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    "En effet le « cerveau » n’a de cesse que de dévoiler la réalité dite cachée, c’est un réflexe obligé ( comme quoi le cerveau édicte des règles qui s’imposent à la conscience )." Est-ce si sûr ? Pourquoi, comment le cerveau ou l'esprit chercherait à dévoiler ce dont il ignore l'existence ? C'est tout le problème de l'inconscient qui gène tant les philosophes ! Le problème posé par l'inconscient c'est que pour la conscience (le champ du philosophe), il n'existe pas ! Il n'a pas a avoir de représentation, donc ?... Je rajoute ; @Aruna En restant dans la conception de Schopenhauer , (le monde comme volonté et représentation) La volonté est-elle représentable ? N'est-c pas un a priori "hors tout" ?! Tout-à-l'heure en sortant d'un rêve sans grand intérêt, j'ai pensé : Ce rêve, c'est moi, tout seul dans mon sommeil qui l'ai inventé ? Qui l'ai donc voulu ? Ai-je le moindre souvenir en moi d'avoir voulu inventer et vivre en rêve cette histoire ? Non ! Il y a donc nécessairement deux volontés différentes en moi.... Qui s'ignorent.... (?) Ne jouons pas aux devinettes ! Il m'a semblé en même temps que ces deux volontés sont d'une part ma volonté d'individu qui est peu ou prou ma volonté consciente (n tout cas que je suis en mesure de justifier) d'autre part une volonté de l'espèce, que l'individu ressent comme étrangère à lui, mais pourtant au service de laquelle il semble être... Si je rapporte ce schéma au monde inerte (qui paraît-il se marre !) je me pose la question : comment se fait le partage de la volonté de l'espèce et de la volonté individuelle de ce caillou ? En clair : à quoi rêve ce caillou ?! Ma "volonté individuelle" consciente qui s'exprime de façon relativement rationnelle et ma "volonté d'espèce" qui s'exprime de manière symbolique.... en me mentant, donc (au sens large)... Là, il faudrait que je parle de mon rêve ! J'en ris encore ! J'expliquais à une demoiselle... comment je faisais mon VIN DE NOIX ! Mon conscient réfléchissait sur la vraie recette, (des vraies noix qui macèrent dans du vrai vin rouge) tandis que mon inconscient tentait de fourguer en douce mon VIn de NOIX à la demoiselle, si vous voyez ce que je veux dire ! L'inconscient a donné un os à ronger au conscient... un "os" : on n'en sort pas !
  5. Ce que je trouve un peu absurde dans cette idée que l'humanité viendrait d'ailleurs, c'est que c'est pour répondre à la question "d'où venons-nous" (au sens de "comment la vie ou l'humanité est apparue ?), Si la vie est venue toute faite d'ailleurs, (a priori, j'ai rien contre) ça ne résout toujours pas le problème de comment elle est apparue, alors, dans cet ailleurs. Ça ne fait que reculer le problème d'un cran. Quand j'étais gamin, j'avais cette idée en tête que des "extraterrestres" pouvaient venir nous "sauver" ! En devenant adulte, j'ai pensé que si tant est que nous ayons à être sauves, c'était à nous-mêmes de le faire. En ce sens, penser que l'humanité ou la vie "viendraient d'ailleurs", "ressemble" à une idée enfantine. Il semblerait d'ailleurs que bien des "briques du vivant", (des molécules organiques, des acides aminés -sous réserve-) existent déjà dans l'espace. L'idée d'une origine extraterrestre de la vie, objectivement n'est pas tout-à-fait absurde... C'est la motivation qui pousse à dire "on vient d'ailleurs" qui me paraît louche...Un peu comme un reliquat d'un besoin de merveilleux, de poésie (ça a été dit) voire de religiosité... Ce qui se recoupe un peu avec la mentalité américaine, peut-être ?
  6. C'est donc parfait ! Nous avons donc le même point de vue sur l'obscurantisme !
  7. J'ai de la peine à comprendre où tu veux en venir.... Déjà, la double négation de la première phrase, que tu sembles poser en exemple de clarté débouche sur un sens assez obscur : "ne posent pas... que ne devrait pas être..." Qu'est-ce qui est, qu'est-ce qui n'est pas, qu'est-ce qui doit ou ne doit pas ?... Maïmonide ? Au secours !
  8. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    C'est peut-être le phénomène de douleur et sa généalogie qui est le principe même du vivant, du sujet, de l'esprit et à leur origine.. Comme dirait @Boutetractyxreqs ! La nature "invente" la douleur pour l'individu et la reproduction pour l'espèce... et tout le reste en découle...
  9. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    J'en profite pour lire des trucs sur Schopenhauer que vous avez cité. Impressionnant son "idéalisme athée" ! Pourquoi idéalisme ? Parce que toutes nos facultés intellectuelles découle d'une volonté... incompréhensible, puisque a priori. Que cette volonté soit la marque du vivant, qui construit ses représentations du monde, en fonction d'elle, c'est tout-à-fait acceptable. Tant qu'on reste du côté du sujet, c'est bon. Ce qui est plus difficile à avaler, c'est de penser cette volonté du côté du monde inerte. (Si c'est bien ce qu'il suppose.) Ne pense-t-il pas aussi que le monde en soi (des objets extérieurs) peut être effectivement connu (par notre esprit) grâce à cet objet immédiat (par rapport à notre esprit) que constitue notre propre corps ? On tombe sur le concept du noumène kantien (différent du monde en soi, ce que je confondais jadis) (puisque) pourtant encore une certaine représentation du monde ? Ou un noumène comme "agrégat" de la volonté du sujet et de la volonté du monde ? De nature mixte ? Il y a bien une étrangeté, une importance du principe de volonté. Pour ce qui est du vivant, sans doute pourrait-on tenter de lui imaginer, de lui trouver, deviner, une origine mécanique ? (susceptible de transformer cet idéalisme en... matérialisme !) Pour l'ensemble du monde, on serait contraint de postuler un "bain spirituel" généralisé qui ne dirait pas son nom ?! Et là, adieu le matérialisme !
  10. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    Tu dérailles encore ! Tu t'es fait une idée de moi et tu ne peux pas l'effacer ! C'est exactement le contraire que j'ai dit ! Nos sens notre perception sont issus d'une nécessité fonctionnelle, mais notre esprit va au delà... J'ai vu la même chose que toi. Tout ce que tu dis se passe à un niveau symbolique du sens du monde et de la vie. D'une vision du monde pour nous, par rapport à nous et pas du mon monde en soi, du monde sans nous. "Tu ne sais pas Blaquiere qu’un homme ou qu’une femme même réduit à rien reste un humain qui tente jusqu’au bout de donner du sens" Où t'es allé pêcher ça ? Que je pense comme ça ? Tu es dans le performatif ! Comme dans ma crainte (extraordinaire) supposée de la mort ! Il ne suffit pas de dire et de répéter une chose pour qu'elle soit vraie. Ne rejette donc pas sur moi tes propres craintes. Essaie plutôt de comprendre pourquoi tu voudrais que je sois comme tu me décris. (Si j'ai bien lu, c'est la volonté qui est pour toi un mystère là tu pourrais bien avancer !) Tu es vraiment un cas ! Je vais ailleurs, j'ai un truc à écrire... Je vais m'amuser.... PS ; c'est toi qui a craqué ! tu es resté gentil trop longtemps, ce matin à me répondre raisonnablement, ça devait bouillir, dedans ! il fallait que ça pète ! je ris !
  11. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    Bonne remarque ! Je comprends très bien, Mais ne faudrait-il pas distinguer le cerveau en soi de l'idée du cerveau que nous nous faisons, du cerveau pour nous. La faculté de l'esprit est de pouvoir former les idées qu'il veut. et même si en lui-même il n'a véritablement accès qu'à l'idée qu'il se fait du cerveau, il n'en est pas moins capable de "croire" que quelqu chose existe dont cette idée n'est qu'une représentation. On retombe presque sur Descartes ! Puisque je sais que mon esprit existe, puisque j'y suis, c'est bien qu'il est produit par quelque chose. Quand bien même je ne saurais rien de cette chose.
  12. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    Je pense à un truc ! Le monde, comme le cerveau, dans son opacité existante, (ce qui est voilé), ça nous reste voilé, parce que... on s'en fout ! ça n'a pas d'incidence sur nous en tant que vivant. Ce qui nous importe, c'est le "pour soi", le pour nous. La nature exacte du bruit, son "en soi" son étude physique, la "Titinette" s'en fout, ce qui compte a priori pour elle, c'est d'échapper à un danger possible. Toutes nos constructions intellectuelles vont/sont au delà.
  13. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    Je continue ! () L'esprit serait donc l'expression d'un cerveau (matériel) dont la vraie réalité inconnaissable reste cependant vraisemblable. L'expression ou l'émanation ou la production, de ce cerveau. La question qui se pose est ; de quelle nature est cette expression "spirituelle" ou ... MENTALE (!!!) que je ne sens ou ne ressent que de l'intérieur d'elle-même. Depuis elle-même (par réflexion). Je n'en sais rien ! J'en suis réduit aux hypothèses, et je ne veux l'imagine (à partir du principe que rien n'est magique) que sous forme matérielle au sens large : électrique, magnétique, photonique ? Qui resterait compatible avec la nature physique, chimique et électrique du cerveau qui la produit. Cette nature exacte (et ses modalités) sera connue plus exactement, plus précisément lorsque nous serons capables d'en reproduire une semblable artificiellement. Ce qui ne saurait trop tarder. Encore faudra-t-il découvrir puisque le support productif de cet esprit est un cerveau matériel, qu'on peut examiner ,les différents niveaux de son élaboration. Les structures, s'il s'agit d'une juxtaposition de structures, d'effets d'ensembles, leurs étendues... Mais d'ores et déjà, il nous revient de constater que la nature des idées (intellectuelles) et de la pensée en général est qu'elles se développent en tant que représentations. De la même façon que nos sensations sont déjà des représentations, des émanations du monde par le truchement de médias (non seulement nos sens, mais aussi les vibrations sonores, optiques, etc. qu'ils reçoivent.), et pas le monde lui-même. Mais il serait vain de penser que tous ces mécanismes sont "hors sol" et uniquement pour la beauté de l'art ! Ils se sont développés au cours de l'évolution en rapport avec leur fonctionnalité. et leur fonction est d'informer le vivant sur le monde qui l'entoure et lui permettre d'agir en conséquence (effectivement !). Je le vois quand je promène ma petite chienne minuscule. il m'arrive avec mes grosses tatanes, de faire un bruit dans les feuilles mortes que moi j'ignore. La "Titinette" entend le même bruit (je le suppose), la sensation est la même, mais elle, elle la perçoit -en plus- comme un danger et ça la fait dans la seconde, sursauter, faire un écart en arrière ! On a là des deux premières constructions, ou interprétations du monde : sensation + perception. Qui entraînent une réaction.
  14. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    Tout cela revient à dire que notre esprit ne peut évoluer qu'à l'intérieur de lui même. Ce qui est vrai. Il n'a accès qu'à du matériel "spirituel" pour construire ses pensées. Du matériel prédigéré ou déjà transposé, transformé en "idées" par des mécanismes "neuronaux" (constructions sensibles ou intellectuelles). L'esprit est comme le pour soi (le pour nous) d'un en soi qui serait (hypothétiquement) le cerveau. Un en soi inconnaissable, comme tous les en soi. Oui.
  15. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    JOKER ! "MENTAL" ça dit tout, ça dit rien, ça mélange tout ! C'est du vocabulaire ésotérique, du vocabulaire de gourou !...
  16. Je comprends bien ce que tu veux dire, et tu as à mon avis raison. Mais il ne faut pas focaliser sur un mot (appartenance) ou plutôt nuancer. Il y a des appartenance globales, absolues, totalitaire et de petites appartenances. "Tu ne tueras pas", "ne convoiteras pas le bien de ton prochain", "c n'est pas ce qui entre dans ta bouche qui te rend impur mais ce qui en sort"... "aimer son prochain". "être miséricordieux"(!) Tout ça j'aime bien! Ce sont de petites appartenances. Toutes religieuses et je ne suis pas le moins du monde religieux. Le matérialisme (qui s'ouvre sur l'esprit) en est une autre. (S'il est vrai que la plupart de nos idées ne sont que d'emprunt, pas vraiment nôtres. Libre à nous de les faire nôtres) L'idéal serait de se construire une identité à la carte ! Mais qui en est capable ? Ça devrait être une démarche, une recherche indispensable impérative pour chacun d'entre nous. Il faudrait pouvoir se construire sa morale personnelle. Par des emprunts ici ou là... Le plus souvent, la société, pallie en partie à notre incapacité. C'est la loi. La "vraie république" reste encore le plus souvent à construire quand ce n'est pas son ébauche qu'il faut défendre... et souvent contre des ennemis mal déterminés. (Pas toujours ceux qu'on croit et ignorés à cause des plus visibles.)
  17. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    On a appris dès la classe de philo la différence entre sensation et perception. Ce n'est qu'une affaire de définitions. La sensation serait l'information brute telle qu'est est reçue par les sens, La perception cette sensation après avoir été "retravaillée" par notre ... cerveau ou notre esprit. Il n'y aurait donc pas pour notre esprit de sensation brute, puisqu'elles sont toutes retravaillée par l'esprit... à part pour un bébé à sa naissance ?! Mais surtout à part lors d'une réflexion (analyse) a posteriori. (Ce qui est manifeste en musique par exemple, dans nos tentatives de reproduire des musiques antiques ou médiévales, parce qu'on ne peut pas faire en sorte de ne pas avoir déjà entendu les musiques actuelles ou classiques et leur type d'harmonisation.) La sensation c'est la vibration de notre tympan et des "osselets" de l'oreille interne, ou l'image au fond de notre rétine transmise par le nerf optique au cerveau. Juger des sons ou d'un mélange de couleur comme harmonieux, (le mot sert pour les deux !) ou un mur comme obstacle c'est une affaire de perception, au delà de la sensation. Rajoutée à la sensation. On pourrait dire de façon imagée que la sensation, comme information, c'est le monde qui fait irruption en nous. (Par l'intermédiaire de nos canaux sensoriels qui sont ce qu'ils sont.) Le son en tant que tel n'existe pas dans la nature, sans doute (mais seulement pour certains vivants) mais il n'en est pas moins vrai que les vibrations que nous interprétons dès nos sens en tant que sons, existent dans cette nature et elles y sont produites. Le son est une lecture par notre corps (cerveau) de ces vibrations, il n'est pas créé par ce corps : seulement interprété. La perception c'est le traitement de ces informations, qui fait entrer en jeu nos expériences, nos cultures, nos besoins, nos intérêts... etc. On n'a pas vraiment à choisir entre sensation et perception. Un chose est l'une, autre chose est l'autre. Mais les deux sont déjà à des degrés différents des interprétations. (Du monde.)
  18. Blaquière

    conte philosophique

    J'ai dit "j'ai peur", mais c'est pour rire !
  19. Blaquière

    conte philosophique

    La réalité va souvent plus loin que la fiction. et ça n'est pas pour critiquer ton conte mais pour le confirmer ! Je te disais hier que les petits dormiraient ici cette nuit... ce qui fait qu'après le dîner, on a joué... à l'ordi. Le plus jeune me dit "pépé, je t'invite dans mon monde !" (Le plus grand y était déjà.) Donc j'arrive... mais au bout d'un moment, mon personnage ne pouvait plus bouger... j'y voyais tout noir... "Mais qu'est-ce que vous m'avez fait ?" Et les petits, se marraient, mais se marraient... Et ils criaient "Bon anniversaire pépé! Bon anniversaire !"( Et bien sûr, ça n'était pas mon anniversaire, c'était juste une farce !) Je prends ma "pioche" et je frappe partout et finis par y voir un peu clair, et là, je constate : Il m'avaient enseveli sous une montagne de "GÂTEAUX" ! Je précise : Ils n'avaient jamais fait ça, et surtout je ne leur avais pas raconté ton conte sur le grand père qui aimait les gâteaux... Alors ?
  20. Blaquière

    conte philosophique

    Tiens, là justement il faut que j'aille chercher les deux pitchouns à la musique, ils dorment ici ce soir... Je vais la jouer chtroumpf grognon : J'AIME PAS LES GÂTEAUX ! (Non, je blague !)
  21. Qu'ils sont beaux! Ils donnent envie de rire de plaisir ! Avec leurs grosses têtes et leurs oreilles parallèles !
  22. Blaquière

    Le corps et l'esprit

    Ce que tu affiches comme un désir de comprendre qui devrait être absolument respectable en soi n'est qu'un faux semblant ! J'ai suivi tes raisonnements, tes réflexions. Parfois d'accord, parfois pas. Je mes disais oui, ça c'est pas bête, puis, non ça c'est faux... (en tout cas je ne le comprends pas comme ça.) J'ai cru que tu voulais réellement comprendre... Je me retrouve un peu déçu. Et puis, à la fin, ta conclusion, tu es parti en vrille ! Tu voulais arriver à ta conclusion qui te pose comme supérieur. Tu as sauté sur la première occasion : "la vérité à géométrie variable" ! Il faut que tu trouves un autre nom. "L’efficacité" peut-être ? Pourquoi pas ! L'emploi même de ce mot de vérité à valeur absolue, par définition dévoile un trait de caractère. Ce qui t'importe c'est d'avoir de bonnes raisons (démontrés) pour mépriser les autres. Comme un complexe de supériorité. Je ne vais pas perdre une seule seconde à chercher d'où il peut bien venir.Tout ça ne m'intéresse pas. Tiens, perso, j'essaie toujours de comprendre ces mécanismes (de l'esprit). Ce matin, j'ai pensé à un truc. Ton idée que le concept de cerveau était un bon moyen de shunter la division inconscient/conscient m'a plu. Mais est-ce bien nécessaire ? Si l'on considère que le conscient (comme la conscience) n'est jamais que ponctuel. (c'est ça mon idée!). Le conscient n'est qu'un point. Le "reste" qu'on nomme généralement le conscient n'est que du préconscient. Puis l'inconscient serait à diviser en deux -à distinguer) : l'inconscient "structurel" (le coeur qui bat, par exemple et tous les mécanismes fonctionnels du corps dont on n'a pas conscience) Et l'inconscient "symbolique", je dirai, résultant des processus de refoulement... Le "conscient ponctuel", je le vois assez proche du "je", (comme expression du vouloir) ponctuel lui aussi, mais à considérer comme une résultante de l'ensemble des mouvements du vivant... etc.
  23. "Pourquoi ce serait pas bien de croquer la pomme : dans la pomme y'a de la pectine !" (Jean-Claude Van Damme)
  24. Mais non ! Y'a eu relation charnelle, mais ça compte pas ! C'est pourtant simple ! Ils pensaient à autre chose en LE faisant...
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