Aller au contenu

Scrongneugneu

Membre
  • Compteur de contenus

    6 144
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Scrongneugneu

  1. Pas du tout ! Ce n'est qu'une comparaison au regard de l'audace...Green Peace a fait énormémént d'actions dans le monde Occidental, mais s'est bien gardé d'aller en Russie, en Chine ou a Cuba...Quand au Pape et les cathos, facile de leur "taper" dessus, ils ne vous clouerons pas en croix...dans une autre religion...la question se pose.
  2. Si elle avaient vraiment de l'audace ( parce-que là c'est facile ) qu'elles aillent faire la même chose dans une mosquée...En attendant, l'anti-catho, c'est aussi de l'homophobie...
  3. Même Sarko, dont les "AS" du volant voulaient voter contre lui à cause des limitations de vitesse, n'y avait pas pensé...
  4. Qu'est-ce-que tu fout dans mon pays ! La France accueille une partie de la misère du monde et possède le plus grand nombre d'associations humanitaires...Je te suggère donc d'aller à Cuba ou en Corée du Nord, mieux, la toundra, le désert saharien ou la forêt guyanaise...c'est pas mal non plus.
  5. Ah bon ! Parce-que lui n'est pas un néo-aristocrate ? Dans notre cher gouvernement et nos assemblées par ailleurs, aucun n'est spécialiste en économie...et çà se remarque. Alors, regarde un peu comment font les pays dit "emergeants". Même les Chinois confient leur destin aux entrepreneurs. De même pour le Brésil et l'inde, pour ne citer qu'eux. Le bla-bla d'usage pour militant convaincu consistant à justice, égalité, fraternité, consitant à fustiger les créateurs de richesse et les faire fuir, nous conduit tout droit à vivre "à la cubaine". A moins que le socialisme ne consiste qu'à fabriquer des pauvres et des intellectuels, au frais des contribuables, chargés de diffuser la bonne parole, pour être sûr d'être réélu...
  6. Je maintiens qu'en tant qu' "homo-sapiens simplexe" plus il y a de gay, mieux je me porte, car çà fait moins de concurrence, en revanche, les lesbiennes, c'est du gachit...
  7. Je suppose qu'il est de bon ton de haïr les catholiques...
  8. Pourquoi donc éviter de râler si nous avons un point de vue différent ? Personnellement étant d'origine "sudiste" et à l'époque sur ma carte d'dentité était marqué : cheveux noirs, yeux marrons, teint bronzé...et ça ne m'a jamais dérangé. Où est le problème ? Un chat restera toujours un chat, un noir restera noir et un blanc sera toujours un blanc. Dans la police, il me semble que dans le cadre d'une recherche par exemple, la description est " de race blanche, ou noir, ou jaune...avec la description des carctéristiques principales, yeux, cheveux, talle...". Que faudra-t-il dire maintenant...? Et ce n'est qu'un exemple...Y a quand même d'autre priorité que çà, non ?
  9. Je n'ai jamais songé à être un anti-gay...car çà me fait moins de concurrence...Néanmoins, un anus étant un organe servant à faire ses besoins et non avoir la visite de ses "amis", me fait dire qu'en tant qu'homme normal, ma préférence va nettement aux femmes, car je préfère être dans un nid douillet que dans la merde...Mais il semble que ma normalité ne soit plus la règle...
  10. Croire qu'un avantage acquis est définitif, et le faire croire au quidam de base relève d'un pure rêve. Tous nos curseurs sociaux sont aux rouge. Le drame, c'est que nous avons tous l'illusion ( et je me compte dans le lot ) que tout va bien, que tout va continuer sans soucis, mais, cette illusion n'est que suite à emprunt concourrant à augmenter la dette Française. Croire aussi qu'il suffit de se dire "que des sous y en a", se servir et le distribuer, sera suffisant relève aussi du rêve. Puis croire que l'on va faire tourner la planche à billet, ou ne pas rembourser la dette pour qu'elle soit effacée, ou taper les riches pour que tout soit réglé, là c'est carrément utopiqoue. Quelle solution alors ? Bien que ce soit aussi utopique, je vais quand donner la mienne. Que tous les responsables et représentants socio-économiques se mettent autour d'une table en mettant de côté toute idéologie et se mettent enfin à parler vrai afin d'établir une feuille de route accéptable. Parait que 80% des français sont prêt à faire des efforts...à condition que ce soit les autres qui le fassent. Si on met de coté la politique et l'déologie, ces 80% là, accèpterons d'être concernés par les efforts...Les pays du "Nord" l'on fait et ils s'en sont sortis, pourquoi pas nous ?
  11. Ce qui est sûr, c'est que je ne prendrais pas le thé avec Mme Parisot. Elle représente les grands patrons qui managent chacun des milliers de salariés. Dans ces grands groupe, un salarié est anonyme et n'est qu'un pion. A contrario, même si ce n'est pas toujours idyllique de travailler dans une PME, mon patron appellait chacun par son nom...les secrétaires et moi-même par le prénom...à ma connaissance, en tout bien, tout honneur...Quand même plus agréable que de n'être qu'un numéro. Ceci dit, revenons au sujet de la pénibilité...et à ce que je connais. Aujourdhui, il est quand même plus agréable de manier un engin de chantier avec un "joy-stick", un siège réglable, avec amortisseur, un casque, du chauffage, une ceinture pour se protéger des chocs éventuels...au lieu d'avoir un gros "tracteur à tout vent", rembourré aux noyaux de pêche, avec des grosses pédales et des manettes que seul un "déménageur" pouvait manier. Par ailleurs, pour tout ce qui est travaux courrants, on privilégie les manipulations par engins. Exemple : pose de pavés...toute la préparation est effectuée par engins, jusqu'à l'apport des pavés sur pallettes au plus près...l'humain n'intervient manuellement qu'à ce moment. Mais il y a la climatologie...c'est aussi pris en compte par la fourniture de vêtements adaptés d'une part et intempéries sans travail, mais payées, puis rattrapage d'heures perdues si nécessaire d'autre part. Ce que je veux dire, c'est que les conditions de travail , avec les moyens modernes et à 35h, n'ont rien de comparable avec les 40h des anciens. De plus, les ports de charges sont limités ( moi, j'ai connu 25 kg pour les hommes et 15kg pour les femmes...parait que c'est moins ). Mais, est-ce que les moyens sont donnés partout...çà c'est à voir et à régler. Pour finir, parait que 40% des ASH ( aide soignante hospitalière ) chargées de manipuler les malades, grabataires en Maison de retraite ou Etablissements spécialisés sont en invalidité lors de leur départ en retraite. Pas normal, car il existe des aides à la manipulation ( genre chariot élévateur avec sangles ) obligatoires dans les établissements de soins. Que font les inspecteurs du travail et les CHSCT ? Pourquoi donner un agrément à ce genre d'établissement ? On peut faire tous les bla-bla que l'on veut, dans notre beau pays, il suffit d'exiger l'application des règles et des conditions de travail...et la pénibilité passerait au second rang, avec age de départ en retaite identique pour tous, avec une adaptation de genre pas pénible tant d'heures, pénible tant d'heures, très pénible tant d'heures ( très physique ).. Mais çà...c'est du rêve...
  12. Au regard du privé, les avantages sociaux ainsi que la pénibilité des fonctionnaires et surtout des régimes spéciaux n'ont rien de comparable. En 43,5 années de travail ( pardon, moins mon service militaire qui compte comme travail ), j'ai changé 3 fois de métier, dont un obsolète qu'était la faïencerie...licencié, avec 6 mois se salaire. Est-ce possible pour un fonctionnaire ou un régime spécial ? Dans le privé, nous dépendons à 90% d'un patron...et nous devons rendre des comptes sur notre travail...Quand je suis devenu chef d'atelier, je passais annuellement "au tribunal" pour bilan des objectifs fixés et projets...et les enseignants, une évaluation tous les 5 ans...en gros pas de compte à rendre sur le réel travail et les résultats. Idem pour les personnels du cher trésor public ( avec lesquels j'avais des relation courtoises car ma "dernière entreprise" était réglo. ) qui me disait que leur avancement en salaire et grade était automatique...çà c'est motivant ! Quand à l'inpection du travail...jamais de surprise, toujours sur rendez-vous, arrivée 8h30, pause déjeuné, depart 16h30, et tout se traitait au niveau des bureaux de la direction...Une seule fois le tour des ateliers pour trouver que le local contenant les produits dangereux devait avoir l'ouverture des aérations un peu plus grandes, et que dans certains véhicules de chantier les trousses de secours étaient incomplètent. Mais il est vrai aussi que dans mon rôle, je faisais "la chasse" au port du casque, port de la ceinture de force pour les conducteurs d'engins, de casque anti-bruit...bref, respect des règles de sécurité et conditions de travail. Je maintiens que tous les patrons ne sont pas des pourris ( mon estimation se situe aux environs de 80%, c'est donc les 20% qui dévaluent cette fonction ), mais aussi que les conditions de travail et la pénibilité n'ont rien de comparable avec ce que j'ai connu à la base...l'inexistance de l'application du code du travail. Pour finir, haïr le MEDEF connait pas ( j'étais dans une PME ), dire que c'est eux qui dirigent le pays connait pas non plus...mais je vois les dégats des politiciens qui s'occupent d'économie...Quand aux syndicats ? Arriver à une table de négociation en disant "on faira tout pour les faire plier" ou mieux" si on pas çà, çà et çà" on quitte la table...Ben çà, c'est du compromis...82 employés, 2 représentant des personnels, j'étais aussi à la table de rencontres et négociations ( obligatoires ) en tant que responsable technique, mais comme c'est du privé, où chacun dépend du travail founit, même si parfois il y a eu des discussions musclées...un compromis était toujours trouvé. Je te rassure quand même il est arrivé de multiplier certaines rencontres car il y a eu des solutions délicates à trouver...
  13. Ce n'est pas ta haine des patrons qui améliorera les choses. Nous sommes tous interdépendants. Quand on cherche un boulot n'est-il pas auprès d'un patron que l'on s'adresse ?OK pour que celà se passe au mieux dans le cadre d'un donnant-donnant. Le problème de notre pays c'est ce mille-feuilles de textes et de contraintes que nous essayons tous de contourner. De surcroit nous avons des syndicats hors du temps qui se trompent de siècle. A moins d'avoir une position de fonctionnaire confortable te permettant de fustiger le patronat, ou SNCF, ou EDF dont le monopole permet de fixer les tarifs et les avantages sociaux payés par le reste de la nation. Et puis c'est quoi la pénibilité aujourdhui ? Un magasinier ou un cariste n'a rien à voir avec les années 50. Regarde ce que dis le code du travail et compare ( et ne me sort pas que des patrons refusent d'équiper leurs personnels ). Ah, oui c'est vrai, les fonstionnaires et assimilés ne dépendent pas du code du travail mais d'un statut ( ultra-protecteur ). Pénibilité morale ? Les chefs d'entreprises, les directeurs, les médecins...pour ne citer que ces catégories ont un travail moralement pénible ( je provoque bien sûr...). Et bien d'autres. La véritable pénibilité d'aujourdhui, c'est les noeux qui les gens se font au cerveau où la moindre contrariété, le moindre incident ou déboire personnel doit faire l'objet de médiatisation avec l'aide d'un psy concourrant à la morosité ambiante.
  14. Vu la médiatisation, la Florence s'en tire bien parcequ'à l'insue de son plein gré, elle a quand même fricotée avec un joyeux preneur d'otages. Pas grave, elle faira un bouquin car même Sarko et Moi Président sen sont mélé...En gros, à moi la gloire...
  15. Heureusement qu'il ne s'est pas fait une "tête de noeud"...car parait-il, un bon militaire a 1 muscle et 2 cerveaux... Ce qui ne m'empêche de soutenir notre armée, qui malheureusement n'aura plus de peinture, ni même de pinceaux pour le camouflage...Juste une remarque, en 1981 le budget des armées Française était de 3,5 % du PIB, quasiment équivalent à l'éducation nationale, aujourdhui, c'est 1,9 % pour l'armée et 5,2 % pour l'éducation, sans compter la participation des communes et des conseils généraux Y a de quoi se poser des questions sur l'efficacité des 2 entités...A-t-on les moyens de nos ambitions pour envoyer notre armée ? Quand l'éducation, si c'est hors sujet, est-ce-que beaucoup de moyens rend plus efficace ?
  16. Un sujet de société, même sensible doit avoir sa place dans un débat. Eviter le sujet sous prétexte de risque de baston est totalement stérile. Ce qui est en jeu, c'est pourquoi ces gens là sont sans papier, que viennent-ils faire ou que font-ils en France ? De plus, tous nos régimes "solidaires" ( retraites, Caf, sécu, chomage, aides en tout genre...) sont déficitaires et compensé par des emprunts d'une part, et il n' y a pas du travail pour tous ( du moins pour ceux qui veulent vraiment travailler ) d'autre part. Donc, on peut comprendre que çà énerve quelques uns. Mais comprendre ce n'est pas excuser pour autant. Voilà, voilà... Pour ma part, clandestins, suceurs de prestations pour cause d'entrée sans papier qu'on ne peut pas virer ( des associations aident ces gens là à venir et les accompagnes ), délinquance et trafic sous prétexte qu'il n'y a que çà pour s'en sortir ( de la part d'étrangers bien sûr ) sont à exclure de "mon pays".
  17. Même si ce n'est pas simple, dans mon témoignage, et mon esprit simple, je disais que tout est comme les lois...quand il y a des abus, il y a des lois...quand il y a une trop forte concentration d'immigrés dans une zone, un enfant nait en France, de parents maitrisant mal la langue et ignorants la culture, aura obligatoirement le grand écart à faire...et il peut se sentir mal dans sa peau. Différent, je suis...et mon teint disons coloré...m'a amené queques "soucis" pour mon intégration chez les "bougnats". Pas évident dans cette zone du massif central où, même pour les "locaux" la vie était rude à cette époque ( années 50 ). Depuis, je suis Français et l'armée m'a pleinement rassuré, car au moins, dans cette "institution" les différences sont gommées. Je maintiens mes dires. En France, pays libre et où il fait bon vivre ( même si ce n'est pas l'idéal pour certains ) que ceux qui ne sont pas content aillent ailleurs ! J'y suis bien, et je chante la Marseillaise quand je vais voir un match de rugby de l'équipe de France...
  18. Je ne comprend pas trop où se situe le problème. Connaitre ses origines et ses "ancêtres", et le pourquoi ses parents ont immigrés dans ce pays me semble normal. Ce qui semble génant, c'est l'intégration en tant que tel. Etant issu de ce que l'on appelle la diversité par ma mère, je n'ai pas eu ce problème identitaire, parce-que ma mère a fait le choix de fuir son pays d'origine, et qu'elle a tout fait pour que je m'intègre dans ce pays libre. Ce qui ne l'a pas empêchée de m'instruire sur mes origines. Point important, c'était dans une zone avec une faible concentration migratoire conduisant a une parfaite intégration. Mes études ont été un peu compliquée au départ conduisant à un redoublement de classe, ce qui ne m'a pas empêché à terme d'avoir un BTS. Mon sentiment d'aujourdhui, c'est comme une loi, si elle éxiste, c'est parce-qu'il y a des abus. Dans une zone, s'il y a une concentration d'immigrés, dont les parents de surcroit ne parlent pas ou peu la langue du pays devient très compliqué pour l'enfant. A l'école ont lui inculque une culture, et à la maison et dans son entourrage une autre culture. C'est ce problème qu'il faut traiter. Je suis Français et fier de l'être...et même je dirais que ceux qui ne sont pas content de ce pays libre, au mode de vie super à mon sens, se "cassent" d'ici.
  19. Je veux bien considérer ton point de vue, néanmoins, les Français n'ont pas été dérangé par l"invasion" des Américains en 1917 et 1944, ni par ailleurs le fait que ceux-ci s'engagent ( en gros qu'ils aillent se faire tuer pour notre bien être ) dans divers théatres. Là, c'est autre chose. Et c'est bien une partie de l'avenir qui s'engage...à moins que tu souhaites être du coté de celui qui tient la Kalach. pour asservir et traficoter sans scrupule...
  20. Un jour, ado, lors d'un débat improvisé sur la société, j'ai eu l'audace de poser, à mon prof de français, la question suivante ( en ce temps là, ce n'était pas mixte ) Pardon, Msieur, mais à votre avis qu'est-ce qui mène le monde ? Vous voulez vraiment mon avis ? Oui, relayé par mes camarades de classe. Bon, d'accord...il va au tableau, dessine grossièrement un sexe d'homme, un sexe de femme et un billet de banque...puis il entoure le tout d'un cercle...voilà c'est çà qui mène le monde ! Puis il a tout effacé, pour nous libérer en refusant tout commentaire...en rajoutant ( je n'invente rien et sa sensibilité était pourtant communiste ), "dans 20 ans, reposer-vous la question"...
  21. Puisque tu insistes sur la partie sociale et les larmes sur le devenir de la petite. En effet, il y a d'autres moyens de régler ce problème. Néanmoins, en social il est dit ( et çà fait partie de la formation des éducateurs ) : "laisser dévier une situation, c'est l'autoriser ". Pour exemple : une femme frappée par son compagnon qui ne porte pas plainte, c'est lui autoriser à poursuivre. Autre exemple : un enfant est maltraité par ses parents et constaté, ne pas le signaler, c'est aussi autoriser les parents à continuer etc.. Et on arrive au sommet des "autorisations" où ( vu sur A2 suite à cette affaire ) un Maire d'une petite commune ayant une cantine scolaire ne porte pas plainte envers les parents qui ne paient pas et "efface" 6 000 euros d'impayés. C'est aussi autoriser les parents à ne pas payer la cantine. Mieux, car le Maire a rajouté : c'est de l'argent en moins pour l'entretien de la commune. Pas grave, pourrait-tu dire, la solution a été trouvée, "c'est aux autres" de payer"...Belle mentalité ! Ceci n'étant qu'une supposition, bien sûr, je m'insurge car les devoirs des parents ne sont plus. Je suis né au milieu du siècle dernier au "fin fond de la cambrouse" ( Massif Central ), mon école primaire ( 6 ans car la maternelle n'xistait pas ) était à 7km et j'allais à l'école en vélo avec mon cartable et ma petite gamelle ( l'hivers, c'était à pied car pour mes parents pas question de louper ). Pas de ramassage scolaire, pas de cantine...la débrouille...40 en classe et quand l'instituteur arrivait...les mouches volaient, on se levait, et silence absolu...et la honte eut été de la part des parents de mal s'occuper de son enfant, car, à cette époque, tout manquement, toute déviance ( mal vêtu par exemple ) était signalé et même dénoncé aux autres parents. Mais çà, "c'était avant"...
  22. Pas de blèmes Noisette. J'ai une compagne qui travaille dans le social et ce que vous dites est vrai. Néanmoins, notre société est pervertie par les droits et non les devoirs. Les droits de l'enfant s'ils sont incontournables sont mis en avant pour défausser les parents de leurs devoirs. T'as fait un enfant...t'assumes...point barre. Mais, à chaque fois qu'il y a un "défausse" parentale, c'est à la société de palier...c'est à dire grace aux impôts que paient les autres de préférence. Aujourdhui, je dois faire partie du cas d'éspèce, qui, avec sa femme a élevé 3 enfants, qui ont sacrifié des loisirs et consacrés du temps pour le bien des siens. Pour info, nous avions droits aux allocs familiales, mais à rien d'autre car juste au dessus du plafond de droit, donc payant plein pot les études supérieures des enfants nous conduisant à des sacrifices perso. Et pour peu de curiosité, regardez ce plafond avec 3 enfants...C'est pas bien haut... Pour finir...Que ce soit la cantine, les "vieux" que l'on jette en maison de retraite...pour s'en débarrasser, les enfants qui "font des conneries" mais, par médias interposés on dit qu'on y est pour rien, les logements impayés avec...mon bon monsieur, j'ai un enfant, vous ne pouvez pas me mettre dehors etc, etc...En gros, tu met un enfants tenu à bout de bras pour faire pleurer...et...la société prend en charge....avec le fric des autres. En arrivé là exprime le ras le bol de certains élus et responsable qui provoquent pour que soit enfin traité ce problème de responsabilité parentale...Mais réaction des pouvoirs publics, associations et "mamies" ...faut punir...pas les parents...
  23. Qui çà "on" ? Je suppose que c'est à la société, c'est à dire avec le pognon que gagnent les autres qu'il faut s'en occuper. Tu fais un enfant, t'assumes les conséquences de ses actes. La loi est claire : au delà de 21 ans il est responsable, moins de 18 ans, les parents sont entièrement responsables, et de 18 à 21 ans, il a le droit de vote, il a le choix de vie, mais les parents sont responsables pécunièrement et juridiquement s'il ne peut s'assumer. ( Exemple : s'il a des revenus parcequ'il travail, ce sera pris sur ses revenus, mais à concurrence des possibilités, c'est à dire si pas assez, les parents doivent payer le complément ). Le problème, c'est que cette loi ( une parmis tant d'autres ) n' est pas ou peu appliquée, donc ignorée des parents, encore davantage s'ils sont issus de l'immigration, donc pas formé ou informé de nos lois.
  24. Le véritable scandale vient des parents. Que font-ils des allocs ? Ah oui, portable, clopes, internet...Pas grave, suffit d'être scandalisé et la société prendra en charge...Avec ma lorgnette, je propose une chose simple ( les ceusses qui pensent que tout alloc ou aide est un complément de revenu à n'utiiser que pour son propre profit vont hurler ). Toute alloc, prime rentrée scolaire, bourse...sont à verser sur un compte uniquement destiné à l'enfant. Les moyens modernes permettent aux organismes et commerçants de savoir si ce compte est approvisionné et uniquement à destination de fournitures scolaires, vêtements de sport, cantine, certains loisirs... Les vrais salopards, puisque ce mot a été employé...sont les parents...
  25. Correction. Bien compris " l'éclairage ", et je ne vois pas d'insultes de ta part. Ce que je crois, c'est qu'il est tout aussi facile de "casser" une idée ou faire valoir un point de vue sans forcément utiliser des mots tels que "pauv'con" par exemple, limitant tout raisonnement et rendant toute discussion excessive dans les propos. En revanche, je reste interrogatif sur la qualification d'un propos et non de celui qui dit le propos à partir du moment où le sujet est précis et où l'on doit dire son point de vue. Si les paroles s'envolent, l'écrit t'engages et tu assumes tes écrits. On peut dire d'un romancier que son derniers ouvrage n'est qu'un tas de bêtises, car ce n'est que de la fiction. Ce n'est pas lui qui est en cause, mais son roman. Par contre, si j'écris : "ces propos ne sont qu'un tas d' iioties" en commentant un propos d'un forumeur, c'est bien lui que je traite d'imbécile quelques part. Bon, aller, va, c'est comme des couples de parents, 100 parents, 100 manières différentes d'élever ses enfants et gérer la famille.
×