-
Compteur de contenus
22 812 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
13
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par zenalpha
-
1 même toi...si je fais la somme de l'ensemble de tes particules élémentaires, je pourrai te definir comme un boson ou comme un fermion mdr... Julien Bobroff utilise évidemment cette image amusante pour le caractère social d'un individu (boson) ou asocial (fermion) Derrière cette blague, il explique qu'évidemment, on en a rien à faire du spin d'ensembles macroscopique dont les effets quantique ne se manifestent pas... 2 oh...j'ai juste copié coller sur ce point la rédaction ...mot a mot de... Serge Haroche ! T'es quand même un sacré comique ! Tu t'egares jeune padawan Traiter de connard Serge Haroche... Tu envoie les erreurs que tu as trouvé dans les textes de Rovelli et d'Haroche toi même oh seignererie celeste
-
40 ans de passion, des milliers d'heures de passe temps, une bonne centaine de livres. Apres nous avons la chance d'échanger ici avec la crème de la mécanique ondulatoire qui nous chante de belles ballades On est un peu balladé... mais ça me fait prendre l'air Une chanson a la gloire de la belle mécanique ondulatoire pour faire plaisir J'ai 5000 pages à écrire sur la mq, faut bien une pause musicale
-
@azad2B, @Hérisson_ Temps est venu de vous faire découvrir un jeune ami du Québec avec lequel je ne suis pas toujours d'accord mais qui est toujours exceptionnel Je pense qu'il pourrait vous intéresser, j'ai visionné parfois avec intérêt et toujours avec sourire une bonne part de ses capsules 3,2,1 ... décollage
-
Non...pas du tout...ce n'est pas l'absence de spin la raison... L'hélium 4 est ce qu'on appelle un superfluide (en deça d'une basse température) Son "comportement étrange" est lié au fait que les bosons se distinguent des fermions par leur moment cinétique intrinsèque Les spins des bosons sont des entiers, les spins des fermions (en gros la matière) sont des demi entiers. Par exemple, le photon est de spin 1 (son moment cinétique le long de sa direction de propagation peut prendre la valeur h/ ou -h/ (h barre, constante de planck réduite) Les systèmes composites formés de plusieurs particules liées entre elles obéissent au principe d'indiscernabilité quantique. On peut en physique classique distinguer des atomes d'un même élément, par exemple des électrons gravitant autour d'un noyau atomique ne serait-ce qu'en les numerotant... En physique quantique, cette discernabilité, même theorique disparaît. Il n'y a plus de trajectoires mais seulement des fonctions d'onde decrivant la probabilité de se trouver en plusieurs points. Ces ondes associées se supperposent, sont associées et il n'est plus possible même en principe de déterminer quelle "particule initiale" est restée "cette particule initiale" lorsqu'au final d'une interaction, on en retrouverait une de même caractéristique après "ce mélange des fonctions d'onde" De cette impossibilité...les physiciens ont déduit deux manières de distribuer des particules identiques entre différents etats Dans l'une, devinée par Bose et étendue par Einstein a la categorie des particules qu'on appelle LES BOSONS un nombre arbitraire de particules peut se trouver dans le même état sans qu'on puisse les distinguer les unes des autres en quoi que ce soit. Ça explique le "caractère gregaire", a se rassembler, des bosons (de Bose). Des particules au spin entier ou multiple des entiers (1, 2, 3...) Pour les fermions, au contraire, entrevue d'abord par Pauli puis explicite par Enrico Fermi et Paul Dirac, cette même règle débouche sur le principe d'exclusion. Toute particule de spin 1/2 ou a composante 1/2 (1,5 2,5....) ne peut se retrouver qu'isolement dans un état quantique donné. Si tes pieds ne traversent pas la terre mon cher @Hérisson_ tu sauras désormais que c'est essentiellement grace au principe d'exclusion de Pauli Bref... Alors que la Règle bosonique va favoriser à basse température le rassemblement dans l'état d'énergie la plus basse un ensemble de bosons (statistique de bose Einstein), la statistique de fermi dirac oblige les fermions a se repartir à tous les niveaux d'énergie accessibles sans jamais qu'une particule n'occupe un même état. Cette partition BOSON / FERMION est une caractéristique essentielle de la physique des particules (si tu t'y interesses un jour...qui sait ?) L'Helium 4 ... est donc un SYSTEME COMPOSITE qui répond à l'indiscernabilite quantique, évidemment.. Il s'agit d'un BOSON puisqu'un système composite est bosonique si le nombre total de particules élémentaires qui les composent est PAIR (la somme de spins demi entier est alors entier...) Alors qu'un système quantique composite est un fermion si le nombre de particules élémentaires de spin demi entier est IMPAIR L'hélium 4 possède deux protons, deux neutrons deux électrons, c'est un boson Les ensembles de bosons possèdent des caractéristiques quantiques très spéciales en effet... Leurs particules, nous l'avons vu..se comportent de façon collective et font que ces systèmes peuvent manifester au niveau MACROSCOPIQUE de la superfluidité C'est donc le cas de l'hélium 4 liquide à très basse température dont la superfluidité a été découverte dans les années 30. Ce mécanisme se manifeste également dans la supraconductivité de certains metaux mais ne melangeons pas tout... Comment ça se passe ? Les longueurs d'onde de matière augmentent lorsque la masse des particules et leur vitesse diminue, ce qui rend les phénomènes quantique plus important Ça explique qu'on refroidisse à ... l'helium 4 les accélérateurs de particules par exemple mdr. Un gaz d'helium est constitué d'atomes dont la longueur d'onde est de 0,6 angstrom C'est encore petit devant les distances inter atomiques.. Mais...si on comprime le gaz et qu'on le refroidit, on atteint beaucoup plus facilement qu'avec l'oxygène par exemple des situations ou les effets quantique se manifestent liés au fait que ces distances inter atomiques deviennent de l'ordre des longueurs d'onde L'helium liquide 4 devient superfluide à 2,17 kelvin et grimpe macroscopiquement le long des parois du récipient qui le contient en s'ecoulant sans viscosité sous forme de fontaine liquide Propriété...bosonique...macroscopique...expliquée... Le boson de Higgs a clairement un spin 0, "naturellement" et il n'est pas superfluide... Ai je été superfluide dans mes explications ? Me semble que dans vos formations de grand professeur...vous ayez fait différentes impasses... On les brade les diplômes de physique aujourd'hui ? J'ai cette chance de globalement comprendre vos formalismes mais j'aurai toujours un doute en recrutant un physicien de formation désormais... Ad hominem et beudeuh beudeuh...le travail en équipe vous connaissez ? Plutot qu'un boson collectif ...seriez y pas plutot bozo le clown tout seul dans votre cirque ? Bin faut en sortir...je vous attends dehors pour une bonne bière.
-
Un grand classique d'à peu près toutes les conférences d'Alain Connes que je suis quasiment depuis sa médaille Field dans ce domaine. Pour la multiplication méfie toi car AxB est différent de BxA On retrouve ça dans les anagrammes et si tu considères hérisson, on peut remodeler les lettres et former seniors avec h manquant J'analyse ça comme une très vieille conception de physiciens classique dit "seniors" qui n'entendraient rien au h de la constante de Planck La non commutativité est délicieuse et cache bien des vérités sur notre monde Je te conseille "le théâtre quantique" d'Alain Connes Il fait figurer sur sa couverture la mention "l'horloge des anges ici bas" qui est une illustration de ces délicieuses anagrammes Tu pourras aussi lire le spectre d'Atacama et Triangle de Pensées, voir une de ses conférences et lui serrer la main. Tu seras presque au niveau ou j'en suis du culte que je voue à cet immense homme très sympathique
-
Bonsoir Professeur @Hérisson_ Ayant bien compris que vous étiez expert pour distinguer les corpuscules des ondes...et ayant bien noté que "la mécanique ondulatoire" exclue la relativité générale...j'ai besoin de vos lumières qu'elles soient ondes ou corpuscules... Carlo Rovelli définie page 11 du livre "et si le temps n'existait pas" Maxwell ainsi : "Maxwell a eu le génie de comprendre que la lumière n'est rien d'autre qu'un mouvement ondulatoire rapide des lignes du champ, l'une des variétés du rayonnement électromagnétique. Dans le cas des ondes radio, l'oscillation est lente, dans le cas de la lumière, elle est rapide, mais il s'agit d'un seul et même phénomène, une déformation périodique du champ électromagnétique" Le problème concerne le pave suivant nommé Relativité Générale "La profonde révolution dans la compréhension de l'espace a lieu en 1915 avec Einstein. Celui-ci est fasciné par les travaux de Maxwell et il cherche pour sa part a expliquer la force gravitationnelle. il comprend qu'il faut introduire un champ gravitationnel similaire au champ électromagnétique. il doit donc y avoir aussi des "lignes de Faraday" gravitationnelles qui relient les masses entre elles, qui occupe tout l'espace et qui peut bouger, vibrer, faire des vagues. Einstein introduit le champ gravitationnel et écrit ses équations appelées aujourd'hui les équations d'Einstein sur le modèle des équations de Maxwell" https://fr.wikipedia.org/wiki/Équation_d'Einstein Dites moi Professeur @Hérisson_, pouvez vous appeler Rovelli pour expliquer que vous avez contraint la relativité générale aux corpuscules ? Sans faire trop de vagues car il aurait les boules.... Grand comique va ! je me demande si un seul de vos écrits n'est pas une farce ?
-
Ok mais je n'ai jamais prétendu l'inverse...(ni même concernant mon génie !) Qu'en dit Serge Haroche / toi dans son livre "la lumière révélée" ? Déjà il va replacer l'electronvolt DANS le système.... ou alors il l'est moins que toi mdr "Notons que les ordres de grandeur exprimés en nombre impliquant des puissances de 10 aussi élevées ont conduit les physiciens a choisir des unités atomiques plus pratiques. Le joule est remplacé par l'electron volt, le travail d'un electron subissant une chute de potentiel de 1v qui est egal a 10E-19 J. L'énergie du photon de lumière jaune de 3.10E-19 J prend alors la valeur plus pratique de 1,85 eV" En fait...je fais allusion a l'electronvolt parce que je suis encore ... mort de rire... de ton exposé "du quantique au classique" Lui cite ce point (electronvolt) en poursuivant très précisément par le paragraphe suivant que je trouve beaucoup mais beaucoup plus intelligent et pertinent que ton exposé sur ce sujet ...exposé dont je ris encore ! (et j'ai pas fini ! ) "Explorons maintenant de façon plus fondamentale la frontière entre le classique et le quantique en analysant la dynamique d'une particule a partir des idées de Feynman. Nous pouvons écrire la variation de son action A sur un petit segment de ligne d'univers sous la forme dA=(E-pv)dt. la variation globale delta A de l'action de la particule quand elle suit un chemin entre deux événements séparés par une distance quelconque est l'integrale de ce chemin des incréments dA. Pour une particule non relativiste, E est en général la somme de son energie potentielle U qui dépend par exemple de sa hauteur dans un champ de gravitation et de son energie cinétique mv2 / 2 = pv /2. L'incrément dA s'écrit alors (U+pv/2-pv)dt = (U-pv/2)dt La variation de l'action de la particule est donc simplement l'integrale de la difference de ses energies potentielle et cinetique le long de sa ligne d'univers. Cette integrale depend évidemment du chemin suivi. Rappelons nous maintenant que la particule évolue d'après le principe de superposition à la fois sur tous les chemins reliant les deux points d'espace temps considérés. L'amplitude de probabilité en x+delta x à l'instant t + delta t si elle était en x à l'instant t est la somme de nombres complexes dont les phases sont les quantités delta A associées à tous les chemins reliant ces 2 points. Cette règle qui s'applique au calcul des diagrammes de Feynman est analogue a celle de Huyghens Fresnel qui prescrit comment sommer les vecteurs de Fresnel associés a la propagation de la lumière entre 2 points. Seules comptent dans cette somme les contributions des chemins de phase stationnaire c'est a dire ceux pour lesquels delta A ne varie que de l'ordre de h sur des trajectoires voisines Pour des systèmes quantique microscopique un grand nombre de chemins satisfont cette condition. La particule les suit tous a la fois. Elle se comporte comme une onde et les effets quantique sont importants Lorsque par contre, la particule est macroscopique, son action delta A mesurée en unités de h est un nombre énorme de l'ordre d'une puissance de 10 très élevée. Elle suit alors seulement le chemin d'action extremale car les contributions a l'amplitude de probabilité de tous ceux qui s'en écartent se brouillent complètement par interférence destructrice. On retrouve ainsi paradoxalement a partir du principe de superposition quantique, le principe de moindre action de la mécanique classique qui rappelle celui de Fermat en optique. La mécanique quantique est ainsi a la physique classique ce que l'optique géométrique des rayons lumineux est a l'optique ondulatoire. Les effets de...DIFFRACTION ET D'INTERFERENCE de la lumière ne deviennent importants que lorsque la taille des obstacles présentés aux rayons lumineux devient de l'ordre de la longueur d'onde. DE MANIERE ANALOGUE LES INTERFÉRENCES QUANTIQUES NE S'OBSERVENT QUE SI LES ACTIONS DES SYSTÈMES ETUDIES SONT DE L'ORDRE DE PLANCK h J'ai suivi ici un argument développé par Feynman dans les années 40 qui inventa sa méthode des diagrammes a partir d'une réflexion sur l'importance de la constante de Planck dans la définition de la frontière entre le monde classique et quantique" Bref...tu aurais beaucoup de plus value a t'intéresser à l'electrodynamique quantique de Feynman et au modèle de la physique des particules qui a resulté de la quantification des forces de la physique Je me suis juste amusé à marquer ton ignorance du sujet par ce petit rappel, parfaitement exact... de l'electron volt. Tu ne comprends pas...que tu me divertis...et tu m'intrigues tout autant Je me dis... comment peut-on avoir une formation scientifique et se désintéresser de la physique des 70 dernières années ? Je ne sais pas...autre mystère... de la MQ... Et je me dis...que vas tu comprendre si je vulgarise les expériences d'electrodynamique en cavité ? Les miroirs sont les plus performants du monde et tu auras la l'occasion de réfléchir comme jamais
-
Oui, mais la..c'est plutôt TON erreur et pas la mienne. Le corporatisme a ses limites aussi. En revanche, ma définition est ... bonne..
-
Soit 1 electron volt en physique des particules Si ça t'intéresse un jour, on sait jamais.... Je te sens mal parti mais bon...
-
Pour approfondir cette rapide introduction historique à la mécanique quantique 2:26 Anecdote (Laurent Schwartz) 3:38 Le problème du corps noir 5:53 Max Planck : sa constante, son refus de l’interprétation de l’entropie par Boltzmann 8:21 Problème de la flèche du temps : irréversibilité des phénomènes 10:40 Qu’est-ce qu’un corps noir ? Interaction lumière – matière 12:12 Analogie : équipartition de l’énergie dans un gaz, remarque sur le rôle des collisions 17:26 Dépendance en température du spectre du corps noir 19:41 Historique du corps noir (Kirchhoff, Stefan, Wien, Rayleigh, Jeans) 23:02 Catastrophe ultraviolette ; origine de l’expression 25:17 Position de Planck dans le débat énergétistes – atomistes 26:59 Acte de désespoir de Planck : introduction d’une nouvelle constante, quantification de l’énergie E=h*nu (1900) 30:56 Exemple de corps noir : le Soleil 33:02 Efficacité de la formule de Planck, rayonnement cosmologique 35:10 Explication de la formule de Planck, modes dans une cavité, analogie avec un piano ; quanta d’énergie 40:48 Conséquences de l’hypothèse des quanta, résolution de la catastrophe ultraviolette 44:26 Einstein, l’inventeur des quanta
-
LA CATASTROPHE ULTRAVIOLETTE Rappel épisode précédent : Bien assise sur la dichotomie onde particule de la physique du 19eme siècle, la physique classique fonctionnait à de rares details près. Ce sont ces détails et pour la mécanique quantique, cette catastrophe ultraviolette, qui allait ouvrir la brèche... Vers les années 1880, plusieurs physiciens s'intéressent au rayonnement émis par un corps chauffé. La couleur, donc la longueur d'onde, varie avec la température Du rouge à l'orange puis au jaune et au blanc, à mesure que la température s'élève En fait, ces couleurs que notre oeil perçoit, sont la superposition de différentes longueurs d'ondes émises par le corps chauffé L'ensemble de ces rayonnements constituent le spectre du corps pour la température à laquelle il est porté Pour le fer, aux environs de 600 degrés le rouge domine alors qu'il paraît blanc à 2000 degrés car toutes les composantes de la lumière visible s'additionnent. Au delà...la majeure partie du rayonnement nous échappe car il se situe dans l'ultraviolet En 1893, Friedrich Paschen et Wilhelm Wien aboutissent après 3 ans de travail a la loi formulée par Wien : la longueur d'onde de la lumière dont la puissance dans le rayonnement émis par un corps noir est la plus grande est inversement proportionnelle à la température D'abord l'infrarouge puis le spectre visible jusqu'à l'ultraviolet et au delà Complétant cette loi, Lord John Raylegh en propose une seconde : "la puissance rayonnée est proportionnelle a la température absolue et inversement proportionnelle au carré de la longueur d'onde" Le rayonnement thermique est donc d'autant plus intense que la longueur d'onde est courte. Dans un premier temps...pour les longueurs d'onde de l'infrarouge au vert, les résultats suivent les prévisions Mais pour le bleu, le violet...et surtout pour l'ultra violet, l'expérience contredit la théorie qui conduit à des valeurs beaucoup trop grandes et presque infinies. C'est Paul Ehrenfest, un compagnon de route extraordinaire d'Einstein, qui malheureusement tuera son fils mongolien en 1939, Wassik, avant de se donner la mort, qui qualifia ce phénomène de "catastrophe ultraviolette" Max Planck émet en décembre 1900 cette...curieuse hypothèse...à propos des vibrations qui traduisent la chaleur d'un corps...il postule par...désespoir...qu'elles ne se répartissent pas suivant toutes les valeurs possibles (selon la loi ordinaire qui régit le hasard) mais selon une loi bien déterminée Si E représente l'énergie d'une vibration et Nu sa fréquence, il existe une certaine constante h telle que E / nu est toujours 2x h..ou 3xh...ou tout autre multiple entier de h Il ne se produit pas de vibration pour d'autres quantités d'énergie PREMIERE INTRODUCTION DE L'IDEE DE DISCONTINUITE DANS LE DOMAINE DES ONDES (ici du rayonnement) Au lieu que les échanges d'énergie entre l'objet chauffé (matière) et rayonnement qu'il émet (lumière) se fasse de manière continue, comme si se deversait un "liquide énergétique" depuis un "récipient", Planck imagine que cette énergie se déverserait comme de petites billes...de plus en plus grosses a mesure que la fréquence s'élève de l'infrarouge a l'ultraviolet. En bref...Planck...qui n'y voit pour le moment qu'une astuce mathématique...pose en réalité et tel que le comprend Einstein le principe que les échanges d'énergie entre la matière et le rayonnement s'effectue par paquets, par quantités bien quantifiées : le quantum naît...au mépris des lois classique traditionnelles Planck ne l'admet d'ailleurs pas et si ce qu'il considère être un artifice de calcul le dépite énormément, il constate que la conséquence est la disparition de la catastrophe ultraviolette, l'adéquation du formalisme a l'expérience et il travaillera longtemps dans le sens inverse de sa découverte considérée classiquement comme une hérésie Einstein...encore lui...comprend immédiatement l'impact physique et ses conséquences... Suite au prochain épisode...
-
Cette expérience a été l'objet de différentes interprétations classique afin de sauver le concept d'ether Stokes le premier...qui imaginait un ether statique sur Terre et meme par Lorentz et Fitzgerald avant... la relativité de 1905.. Évidemment...faut connaître...
-
Page 459 Serge Haroche - la lumière révélée "L'expérience de Michelson montrait que la théorie de Maxwell de la lumière ne satisfait pas au principe de la relativité du mouvement galiléen" Prend ta plume et dis lui que ce nobel 2012 emploie des formulations merdique Tout ce que tu écris est si...ridicule...
-
Merci pour ta contribution Elle arrive bien sûr Mais un élève doit apprendre à suivre le pas de son professeur
-
Elle est exceptionnelle puisqu'en raccordant la mécanique quantique a la relativité restreinte, en extrapolant la notion de particule au concept de champ (à chaque particule son champ), elle pose l'état actuel des connaissances en terme de physique des particules au travers du modèle standard Et on voit, encore une fois, sauf pour les physiciens d'un autre siècle combien le langage est inapproprié. On a pas affaire fondamentalement...a une physique des particules... comme le decrit le terme littéralement et abusivement ... mais à une physique d'excitation et d'interaction des champs au travers... des quanta de ces champs... Par ailleurs cette vidéo explicite très bien la relation entre le spin des particules et les symétries qu'elles décrivent en accord à celles tolérées par la relativité Elle décrit un peu moins l'apport de la relativité pour ce qui concerne les effets relativistes liés aux vitesses des particules Et elle ne lève pas derrière la symétrie de nos modèles la richesse amenée par les concepts de brisure de symétrie A cet égard, la brisure de symétrie du champ de Higgs devra être explicitée Ce modèle trouverait explication naturelle si tu etais totalement incompétent Et c'est la juste explication. En réalité, si on te borne un travail précis sur un de tes domaines de compétences précis, il est possible d'attendre un bon résultat Mais tu as besoin que ce cadre la te soit donné, tu n'as aucune vision d'ensemble Nous étant dit ce que nous pensions sincèrement l'un de l'autre, peut-être devrions nous nous rencentrer sur...le sujet. Évidemment, je suis souvent amené à te corriger Est ce si grave ?
-
Du modèle général de la physique classique que j'ai présenté fin 19eme, lord Kelvin dans sa conférence à la Royal Institution pointait deux nuages sur la physique de l'époque Le premier nuage concernait en effet l'expérience de Michelson qui montrait que la théorie de Maxwell de la lumière ne satisfaisait pas au principe de la relativité du mouvement galiléen, en gros, la non confirmation de ce substrat materiel appelé éther luminifère qu'Einstein allait refuter en 1905 avec la relativité restreinte. Le second nuage est plus en rapport a la mécanique quantique : les équations de Maxwell combinées à celles de l'equipartition de l'énergie, principe issu de la thermodynamique classique conduisait a un modèle absurde incapable de décrire les propriétés les plus évidentes du spectre de la lumière rayonnée par les corps chaud et débouchait sur la "catastrophe ultraviolette" que je vais expliciter Et se faisant...on verra comment Einstein a directement contribué à lever ces 2 nuages, il recevra d'ailleurs le nobel non pour pas dans sa reponse au premier nuage donc par la relativité...mais pour sa réponse apportée concernant son autre papier de 1905, l'annee miraculeuse, "un point de vue heuristique sur la production et la transformation de la lumière" où Einstein fît d'une pierre deux coups : donner l'interprétation incomprise du rayonnement thermique qui debouchait sur la catastrophe ultraviolette et interprèter les caractéristiques de l'effet photoélectrique. Avec la relativité et la mécanique quantique, on mesure l'impulsion d'Einstein dans la compréhension qui débouchera bien sûr sur la théorie quantique des champs dont je viens de linker une excellente vidéo Qui est ... ma cible finale pour la bonne compréhension de la mécanique quantique..pas la mauvaise qui ruisselle des animaux de tous poils du forum
-
1 Non, tu es....totalement...lourdé...je le pense très sincèrement. 2 Oui, ... fin 19eme. Sauf que lorsque tu présentes aujourd'hui la MQ comme une théorie ondulatoire contrainte aux manifestations microscopiques (sic !!!) et la relativité restreinte et surtout...générale comme du domaine de la physique des corpuscules, je suis...totalement...mort de rire. Le...champ gravitationnel est une notion que tu ne sembles pas connaître... la RG comme science du corpuscule j'en ris encore 3 Disons que ton inculture la reduit a ce formalisme... La réalité est que le formalisme matriciel de Heisenberg est plus fécond pour ce qui concerne un autre développement que tu n'as pas non plus l'air de connaître : les algèbres de Von Neuman et tous les débouchés concernant la géométrie non commutative et les espaces topologiques associés, donc la geometrisation de la mécanique quantique En un mot te concernant : bèèèhhhh, comme d'hab quoi 4 si je comprends bien..tu resumes l'essentiel de la MQ par une équation simpliste tirée de la diffusion des rayons X et gamma par les électrons mises en évidence par Compton en 1922...et pourquoi pas les expériences de Millikan sur l'effet photoélectrique ou celles de Davisson et Germer sur la diffraction des électrons si on s'intéresse à l'influence de l'académie des sciences américaines dans les concepts naissants de la MQ ? Tu prends une équation de détail...que tu connais...pour la generaliser sur un domaine...dont tu ne connais...rien Et je le pense sincèrement 5 pourtant je ne le crois pas te concernant. Je le constate...ton résumé de la MQ est pitoyable 3/20 Commentaire : flatte son ego, rate l'essentiel ou l'art de mettre en valeur le peu qu'on connait sans vision d'ensemble. Travaillez mon petit
-
-
A la fin....du....19ème siècle, et comme l'indiquait @Hérisson_ avec...son siècle de retard..., la quasi totalité des phénomènes relevait de 2 types d'explication : soit de la théorie de l'electromagnetisme de Maxwell, qui rendait compte des effets magnétique, electrique et des interférences lumineuses soit de la théorie de l'attraction universelle de Newton, base de la mécanique, et plus particulièrement de l'astronomie ces 2 théories s'étaient finalement partagé les domaines essentiels de la physique en définissant les concepts d'ondes et de corpuscules. un corpuscule idealisé par un point donc une position, une trajectoire auquel on attribue une masse dépendant de la quantité de matière rassemblée (planète ou ... le futur photon si on le definissait comme Newton l'aurait fait ...comme un corpuscule classique) une onde qui n'est plus un mouvement DE la matière (comme la trajectoire d'une bille) mais un mouvement DANS la matière ou ne se transmet plus la matière mais l'energie. La distance entre deux "rides" est alors nommée longueur d'onde (representé par la lettre grecque Lambda) et le nombre de "rides" qui passent durant une unité de temps est appelé fréquence (représenté par la lettre grecque Nu), la lumière pouvant être a contrario de Newton et dans ce modèle être vue comme une onde (Huygens) Les physiciens avaient donc supposé a la suite de Fresnel l'existence d'un milieu matériel qui aurait supporté les ondes lumineuses, l'éther luminifère... théorie invalidée par la relativité restreinte en 1905. Partant de ces premisses, la physique...classique inspirant encore largement @Hérisson_ et d'ailleurs...inspirante encore pour beaucoup d'ingénieurs et de physiciens ...classique....expliquait les phénomènes d'interaction a partir de ce double schéma. Et donc deux corpuscules pouvait agir l'un sur l'autre soit directement, par impact, soit indirectement par l'entremise d'un champ. Concrètement, deux électrons pouvaient parfaitement avec cette vision classique du monde être perçus comme pouvant entrer en collision...ou encore passer suffisamment près l'un de l'autre pour que...leurs....trajectoires continues...respectives soient déviées par le champ électromagnétique (deux charges négatives se repoussant) De la même façon qu'un astéroïde pouvait être dévié par le champ gravitationnel d'une planète ou s'ecraser sur celle-ci Et bien assise sur la dichotomie ondes corpuscules ainsi définie, cette physique fonctionnait... à quelques rares details près... Détails qui allaient fissurer cette ... jolie fable classique pour introduire les premisses de la mécanique quantique. A suivre....la catastrophe ultraviolette....
-
On pourra aller au parc d'attraction business is business https://www.lepoint.fr/insolite/etats-unis-dieu-fait-de-la-concurrence-a-mickey-10-05-2013-1665299_48.php
-
Comme les physiciens ont leur espace de sensibilité à propos ... du problème de la mesure, tout mystique de tous poils, créationnistes mais aussi juifs, chrétiens, hindouiste et autres religions donnant crédit à ... l'âme... a le même espace de sensibilité à propos du Darwinisme Un sondage gallup de 2012 montre que 46% des américains pensent que Dieu a créé les humains sous leur forme actuelle dans les 10 000 dernières années, 32% pensent qu'il y a eu évolution orchestrée par Dieu et seulement 15% donnent crédit à l'évolution et a la sélection naturelle Si la relativité et la mécanique quantique ne pose guère de souci...le darwinisme est le nerf de la guerre des opinions Pourquoi ? Parce que, si on donne sérieusement crédit à Darwin, l'évolution nous prive....du concept de l'âme... Y aurait-il un...moment...au cours de l'évolution où...un premier Sapiens...se serait vu doter de la première âme indivisible, immuable et immortelle susceptible d'etre pesée par le divin quand les parents en auraient été dépourvu ? Une mutation génétique qui aurait soudainement doté à un animal une substance immuable sans prise au changement et même à la mort...pour le salut de nos âmes ? Darwin est le lieu scientifique de la guerre du salut de nos âmes... D'ailleurs cette guerre est déjà perdue. Qui ne donne pas ici une pseudo supériorité a l'homme du règne animal et végétale en transférant l'âme au concept de conscience ? Qui s'émeut du génocide de Sapiens envers ses semblables vivants en détruisant les espèces et l'ordre naturel de la vie ? L'humanisme n'est il pas un retrait de l'homme vers une considération abstraite et conceptuelle qui nous distingurait de l'animal ? Voici ... ce que nos âmes...n'ont jamais gagné dans nos vies...le respect de LA vie
-
Comme je le disais, cette définition est fausse... tant sur le fonds....que ... sur la forme !!! La mécanique quantique y est abordée très precisement comme si il ne s'agissait que d'un phénomène classique ondulatoire, ce qui est une première grossière erreur... Et comme si la manifestation ondulatoire de la fonction d'onde la condamnait a n'en manifester ses effets qu'à des niveaux définitivement condamné au microcosme, et local, puisque defini par une distance, ce qui est une seconde grossière...erreur Malheureusement, comme le discours se base sur des relations qui font sens, comme la constante de Planck, il va me falloir du temps....afin d'expliquer ce qu'il en est réellement de cette constante, et du temps afin de preciser les mécanismes qui interviennent dans la séparation quantique / classique et notamment dans ce qui est appelé aujourd'hui la decoherence d'un système quantique. Mais avant de guider pas a pas, au travers du prisme historique cette suite logique, je commence par une conclusion et des illustrations qui, nous le verrons, réfutent totalement cette frontière quantique classique....naïvement...fort naïvement...proposée...par notre @Hérisson_ du dimanche ou plutôt du début 20eme siècle, figé dans le temps. Hors Série Science et Vie Octobre 2020 - JUSQU'A QUELLE ECHELLE LA MÉCANIQUE QUANTIQUE S'APPLIQUE T'ELLE ? "D'un point de vue mathématique, rien n'indique que la théorie quantique ne puisse pas s'appliquer à des objets macroscopiques. En fait, l'absence de phénomènes quantique a notre échelle est une question d'interaction. Plus un système est gros, plus il interagit avec son environnement et plus il laisse s'échapper des informations qui font disparaître les particularités quantiques. Prenons l'intrication : meme très éloignées, deux particules intriquées se comportent comme deux parties d'une entité indivisible. Dans un système contenant davantage de particules, celles-ci ont une plus grande probabilité d'interagir avec leur environnement, ce qui detruit l'intrication. Ainsi, pour que des phénomènes quantiques se manifestent, il faut que le système, QUELLE QUE SOIT SA TAILLE, soit complètement isolé. Se dessine alors une LIMITE TECHNOLOGIQUE : comment isoler un système macroscopique ? Depuis le début des années 2000, les scientifiques redoublent d'ingéniosité expérimentale pour prouver que des systèmes de grande taille peuvent rester intriquer. Le dernier record est tombé : en mai 2020, une equipe internationale est parvenue à intriquer 15 000 milliards d'atomes de rubidium PREUVE QUE LA FRONTIÈRE ENTRE LE MONDE CLASSIQUE ET QUANTIQUE N'EST PEUT-ÊTRE PAS FONDAMENTALE" ILLUSTRATION de ce principe 1- concernant l'intrication quantique https://trustmyscience.com/physiciens-parviennent-intriquer-15-milliards-milliards-atomes-milieu-chaotique/ 2- concernant la supperposition d'état https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/quantique/une-superposition-quantique-obtenue-avec-le-plus-lourd-objet-jamais-mesure-pourquoi-c-est-important_138131 https://www.science-et-vie.com/science-et-culture/la-premiere-bacterie-quantique-47932 3- cela fait également belle lurette que les Effets quantique (au dela de la taille du système quantique) concernait déjà le macroscopique La superfluidité : https://www.pourlascience.fr/sd/physique/lhelium-solide-un-superfluide-3011.php Ou la supraconductivité : https://www.futura-sciences.com/sciences/videos/supraconductivite-secrets-levitation-quantique-857/ Je vais donc vous emmener petit à petit et jusqu'à l'explication du mécanisme de decoherence dans un monde...beaucoup beaucoup plus subtil....et beaucoup plus intéressant bien sûr
-
Mouais...enfin suffit juste de te relire sur ce fil pour observer l'effet girouette du retournement de veste plus rapide que Lucky Lucke. Ton labo est un espace de com'
-
Dison qu'avant, on était certain que Raoult disait des conneries. Aujourd'hui, c'est incertain
