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Tout ce qui a été posté par zenalpha
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C'est sûr que ça ne doit pas être facile de ... "modérer" Mais justement "modérer" n'est pas censurer ni mettre de l'huile sur le feu. Sans compter que des topics passionnants restent ad vitam eternam fermés une fois fermés Et que la modération qui consisterait a retirer ponctuellement quelqun d'un topic pour le ... modérer devient une décision permanente Bref, on tombe dans la médiocrité permanente Traiter un cas ponctuel et particulier en tirant une généralité définitive puis s'y attacher comme la tilque pour montrer qu'on est comme l'idiot du village qui ne reconsidère jamais sa décision La possibilité de retirer un intervenant d'un topic est médiocre Comme du reste la possibilité donnée d'ignorer un intervenant sur une section....débat... Il est bien dommage que ce cercle fermé de modérateurs s'auto congratulent en cercle fermé C'est le privilège du petit chef
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L'univers est-il stupide ou intelligent ?
zenalpha a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Philosophie
Oui, ce sujet est passionnant. Dans cet ordre d'idée d'un univers qui n'aurait pas été créé mais....qui est...il y a ce modèle hartle-hawking de l'univers sans bord et se demander l'origine de l'univers serait comme se poser la question de savoir ce qu'il y a au nord du pôle nord, une question mal posée (lire y a t'il un grand architecte dans l'univers) Einstein percevait une intelligence infiniment plus profonde que la notre dans la manifestation de l'univers et nous comparait a un enfant plongé dans une grande bibliothèque ordonnée dont il ne comprend pas tous les ouvrages sauf qu'ils répondent à une intention Quant aux Bogdanov, ils ont tiré de l'état d'équilibre KMS la conviction d'un code initial un peu comme un Compact Disk gravé d'information qu'on aurait pas branché dans la source d'énergie du lecteur pour que l'histoire ordonnée puisse se dérouler Le temps joue dans toutes les conceptions une dimension fondamentalement ouverte et bien davantage que notre expérience sensible de la flèche du temps. Hasard ? Ou nécessité ? Faites vos jeux rien ne va plus -
L'obscurantisme, en quoi consiste-il ?
zenalpha a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
C'est sûr qu'à partir du moment où on désigne Dieu comme explicatif de tout, à l'origine de tout, juge de tout et cause première de sa propre présence divine, on détient la "grande vérité". Mais decider d' utiliser son ordinateur branché sur le réseau électrique alimenté par une centrale nucléaire alors que Dieu vous demande de s'occuper des abeilles est alors hypocrite Dieu est peut-être actionnaire de la compagnie électrique... Ça bouffe à tous les râteliers... -
Un exemple d'argument où tu perds le lecteur... véracité pour "application" et vérité pour "ce qui est" Ah bon ? D'ou vient cette règle ? Quelle différence fais tu entre la véracité d'une assertion et son caractère vrai ? Qu'est une "application" ? Je ne comprends rien à cette phrase ------------ Un autre : "je dis que l'univers existe puisque nous le constatons par les sens" D'une part, certaines choses non constatées par les sens existent.... D'autre part, les sens sont trompeurs. Quand Etienne Klein explique que la physique n'est pas la bureaucratie des apparences, il invite à ne pas se fier aux sens mais à déduire des lois qui, dans leur formulation initiale sont très contre intuitives voire jamais observées (ex : deux corps de masse différentes tombent à la même vitesse) Plus philosophiquement, si la réalité que nous percevons était une totale reconstruction de notre esprit, à la matrix par exemple, la réalité perçue ne saurait être une réalité fondamentale validée par nos sens. Les couleurs sont une reconstruction d'ondes électromagnétiques données et d'ailleurs, une même couleur peut-être la combinaison de plusieurs fréquences différentes sans qu'on ne puisse les dissocier Du reste, qu'est-ce qu'exister ? ----------------' "J'ajoute que toute chose existante peut être définie par ses attributs" Ou pas... Définir un objet comme par exemple une chaise, c'est définir une fonction de l'objet en oubliant certaines caractéristiques non exhaustivement enumerable La nature de son bois, l'agencement précis de la cellulose, la manière dont l'arbre s'est développé, l'existence d'une photosynthèse dans les plantes, les lois physique autorisant la vie de l'étoile qui produit la lumière etc etc... -------- "Par conséquent l'existence relève de ce qui est" Qu'est l'existence pour toi comparativement à l'état d'être ? Je peux très bien dire qu'être, c'est exister ou qu'exister, c'est être si je définis ces 2 notions comme synonymes Or tu proposes un raisonnement pour arriver à cette même conclusion Qu'est ton point de départ : être Qu'est ton point d'arrivée : exister Quelle différence et comment passes tu de l'un a l'autre ?
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Ok prenons le premier paragraphe Précisez dès le départ votre définition de l'être et le périmètre précis de ce qui est, prenez des exemples le cas échéant Précisez la différence entre "être" avec ce que vous qualifiez d'existence dans la mesure ou l'emploi de l'un ou de l'autre paraît interchangeable amenant un raisonnement circulaire ou l'un renvoit a l'autre n'amenant pas de progression dans le discours Reprecisez ce qu'est la substance parce que definie comme ce qui est par soi-même on a du mal à distinguer la substance de l'être et rebelote la circularite Précisez ce qu'est "la vérité de l'être" parce qu'on ne comprend pas ce que serait la non vérité de l'être ou la vérité du non être. Une vérité d'ailleurs, c'est quoi pour vous ? Definissez là Bref on aimerait comprendre la première conclusion ou nier l'être revient à nier l'existence alors que vous injectez soudainement la notion de conscience Ré expliquez moi ce premier pave qui déjà me perd
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Hello J'ai lu d'autant plus attentivement que la grève sncf me fait jouer les sardines en boîte. C'est un texte plus qu'ambitieux..., qui relie des interrogations disparates de la philosophie aux mathématiques en passant par la physique avec des références morales. Ces liens piochent des grandes interrogations et je perçois des influences diverses ici et là. C'est difficile de donner un avis parce que je ressens votre intérêt et votre implication. C'est un aspect positif que j'aime entretenir Mais vous perdrez votre lecteur parce que ces ponts, que vous construisez et qui forcément vous conviennent satisfont votre logique dans votre cohérence personnelle qui vous fait sens mais ils s'écartent et très rapidement d'ailleurs de la distance qui vous sépare de vos lecteurs On passe donc d'un pont de concepts à un gouffre avec le lecteur Il y a pas mal de notions mal définies par rapport à leur utilisation académique et votre logique de construction sémantique à partir de ces briques fragiles n'est pas toujours rigoureux, à lecture extérieure personnelle du moins. N'oubliez pas que l'explication consiste à faire adhérer donc à partir de votre auditoire et de sa propre logique pour l'amener... a la votre. Ici, on vous perd, on retrouve un fil à creuser mais aussitôt on vous reperd. Bref, même si je ne trouve pas chez moi un écho, je pense que vous aurez du mal à en trouver ailleurs. Peut-être faudrait-il un texte moins ambitieux, plus ciblé, plus decoupé pour vous assurer au fur et à mesure si ce n'est d'une adhésion car ce n'est pas le lieu au moins d'une marque d'intérêt On est trop loin de mes schémas mentaux philosophiques et scientifiques pour que votre propos puisse générer un feedback précis. Sur chaque ligne il y aurait à préciser ou discuter et votre texte est long. En tout cas gros travail
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Valeur....de ...vérité La vérité ne peut être definie si on ne qualifie pas les modalités de réponse d'une assertion à une situation donnée Comme je le disais, il n'est vrai qu'a un point ne passe qu'une seule droite qu'en géométrie euclidienne Une vérité prend la valeur vraie dans ... un cadre... et faux ... dans un autre. Oui, j'irai voir votre essai mais je suis dubitatif Il y a tellement de conceptions personnelles sur ces sujets.... En matière de ... vérité... je lis plutôt les physiciens de tous poils D'autant que le temps en physique... Prenez Hawking qu'il envisage un temps imaginaire dans son modèle ou Rovelli pour qui le temps n'existe pas ou Lee Smolin qui évoque un temps absolu universel ou encore Connes pour qui le temps émerge de la non commutativité du quantique Bref, qu'est ce que redefinir l'axe du temps ? Je suppose que vous parlez de flèche du temps. Dans ces domaines, mieux vaut publier dans des revues type Arxiv puis éventuellement vulgariser par un ouvrage. Mais en philosophie, ou même sur un forum comme celui-ci, ca reste du débat sémantique peu profond de mon point de vue. J'irai vous lire.
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Justement, la physique classique est sur une logique classique selon laquelle la valeur de vérité peut être vrai, faux ou indefini. Alors que la physique quantique n'est pas compatible au tiers exclu. Tu ne peux pas conclure sur le chat de Schrodinger qui est un état macroscopique classique sur base d'une particule quantique autorisant une supperposition d'états Il y a le livre "le théâtre quantique" d'Alain Connes qui retrace le retour d'une femme physicienne après un voyage quantique dans l'espace de Hilbert A lire sans modération sur ce sujet
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En mathématique, au sens large, y compris en géométrie, on définit une valeur de vérité dont les modalités sont différentes selon qu'on adopte la logique classique ou intuitionniste. Mais une vérité factuelle dissociée d'une vérité conceptuelle, ce n'est pas defini
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La valeur de vérité a une définition très précise en mathématique. En géométrie euclidienne a un point extérieur à une droite passe une parallèle, c'est vrai En géométrie hyperbolique en passe une infinité, c'est tout aussi vrai Et en géométrie elliptique n'en passe aucune, bingo ça aussi c'est vrai Si je conceptualise la droite parallèle comme une notion absolue, dont la valeur de vérité est fixe, ce qu'on a cru pendant longtemps avec euclide, on est simplement dans l'erreur Aucun relativisme la dedans
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L'obscurantisme, en quoi consiste-il ?
zenalpha a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
C'est bien la complexité de ce sujet. Un "savoir ancien" détenu par des "sachants initiés" et détenteur du "seul savoir" permettait de laisser les hommes dans l'ignorance d'une mine de connaissances insoupçonnées Ce savoir subjectif qui frise d'ailleurs le... "non savoir" objectif... a pour vertu de ne pas susciter des problèmes de responsabilité personnelle ou collective trop important. On ne risquait pas de débattre du péril nucléaire par exemple Les connaissances qui s'accumulent appellent une responsabilité qui est bien lourde. C'est bien symbolisé par le fruit de la connaissance qui, une fois croqué, nous isole du jardin d'eden où nos deux cocos vivaient en slip en copulant. Ça m'aurait contenté la vérité L'obscurantisme, c'est un peu ce processus qui vise à masquer la connaissance objective pour la substituer par un dogme inefficace mais protecteur, une déresponsabilisation encadrée par un nuage de fumée. C'est un peu le territoire interdit de la planète des singes où la grande vérité, qui est une énorme connerie, a une vocation de régulation souhaitée afin de ne pas être débordé Ne mange pas la pomme sinon...mais mange mes salades. Pourquoi pas ? -
Tant mieux si nous rapprochons des points de vue. A ce propos, le concept de vérité est extrêmement dépendant du cadre dans lequel on interprète un fait. Est il vrai qu'à un point extérieur à une droite ne passe qu'une parallèle ? Et bien tout dépend de la géométrie Pire, non seulement il existe des 'vérités' indemontrables au sein d'un cadre logique donné s'il est suffisamment complexe mais Alain Connes démontre même au travers des topos de Grothendieck que c'est le concept même de vérité qui est friable. D'ailleurs Grothendieck relevait souvent chez ses interlocuteurs des raisonnements y compris mathématiques dichotomiques quand il relevait des subtilités ne permettant pas réellement d'établir une valeur de vérité donnée. J'aurai beaucoup de mal a définir ce que je suis dans la mesure où tellement de mes composantes y compris psychologiques me sont inaccessibles Un beau sujet
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Hello Je place peut-être à titre personnel une différence entre être et exister. Etre à une dimension passive et constante alors qu'exister a une dimension dynamique. Exister, c'est évoluer, changer, changer même...qui on est, évoluer du qui on était vers le qui on sera et donc susceptible de transformer un être par ses actions. Les philosophies existentialistes s'appuient sur cette dynamique et cette potentialité qui est en nous. Mais la principale critique (positive) que je ferai est qu'il manque la dimension relationnelle "comme si" nous pouvions pleinement "être" sans interaction à l'altérité de l'autre. Ces relations se sont inscrites bien sûr dans les philosophies orientales mais aussi dans une vision plus moderne où on ne peut plus parler d'être ni d'objet en partant de la substance ou d'attribut mais au travers des relations a l'environnement A l'extrême, la mécanique quantique ou même la relativité générale amènent à considérer davantage la relation et l'interaction qu'une forme d'existence en soi et absolue.
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De notre point de vue en effet. L'égalité...des droits n'est pas une égalité...en tout. Je soupçonne un biais cognitif de rapprochement entre inégalité et injustice au sens illégitime Comme si il fallait demander un quota sur un 100 mètres pour aller aussi vite qu'Usain Bolt. On a des talents parfois inégaux, des différences physique et parfois culturelles et ce qui est illégitime est de faire "comme si" ces différences n'existaient pas Alors que ce sont d'elles qu'on doit tirer notre excellence Mais on ne peut l'être en tout. Une féministe pourrait imposer un quota de femmes sur une finale de 100 mètres avec un handicap a faire porter aux hommes du genre un sac de patates a porter et des souliers à clous dans la semelle. Au lieu d'exceller dans toutes ces disciplines où nous ne sommes pas a leur hauteur. Un peu de quota peut-être pour réguler les injustices flagrantes Mais pas cet egalitarisme idiot.
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L'univers est-il stupide ou intelligent ?
zenalpha a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Philosophie
Les ajustements fins ou "fine-tuning" sont un motif d'étonnement universellement partagés dans la communauté scientifique. Je ne parle pas du principe anthropique mais des ajustements de ces constantes. Elles se mesurent, ne peuvent être déduites ou prédites d'aucune théorie, et pourtant la moindre variation, minuscule variation d'une de ces valeurs auraient des conséquences catastrophiques Nous le savons par les simulations à partir des théories qui cadrent aux observations. Ce qui change, c'est la priorité que cette question a dans l'odre des questions à solutionner (matière noire, énergie noire....) afin d'améliorer les modèles Et pour ceux qui donnent une tentative de réponse, les implications de ces dernières... D'un côté les tenants du multivers, comme les cordistes (voir vidéo Brian greene) pour qui, nous ne sommes que les heureux vainqueurs d'un loto cosmique testant toutes les combinaisons Et de l'autre, les tenants d'un code originel intelligent signe d'une intelligence beaucoup plus profonde que la notre comme Einstein, Trinh Xuan Thuan ou...les bogdanov (désolé du rapprochement éh éh... Hasard ou nécessité ? On a rien changé de la question posée même si l'origine de ce multivers depuis le vide quantique ne nous dit rien....sur l'origine du vide quantique... De même que "Dieu" dans une définition du dieu cosmique à la Spinoza d'Einstein, en renonçant à la question de la question de son origine est aussi un renoncement a la méthode de l'explication causale donc à l'explication tout court... L'origine est toujours la conséquence d'un processus qui l'a précédé et la causa sui, un aveu d'ignorance fondamentale. Et pour cause puisque tout celà nous dépasse même si ce que nous savons est très impressionnant -
L'univers est-il stupide ou intelligent ?
zenalpha a répondu à un(e) sujet de Francis-Charles dans Philosophie
Une conception des cordes intéressante -
Hello @Marzhin Nous effectuons logiquement des regroupements sur base de caractéristiques générales d'où ressortent des mots tels que patriarcat ou matriarcat De mon point de vue, cette facilitation dans la conception des ressorts d'une société évacue certaines fluctuations. On a vu par exemple une femme pharaon, ou des femmes souveraines en occident et bien souvent on considère des critères tels que le lieu de vie (ex matrilocal) ou la transmission du nom et des biens (ex matrilineaire) dans cette qualification Mais quels sont les attributs du pouvoir qui caractérisent ce pouvoir ? Est-il sexué et sur quelle(s) base(s) Soral souligne par exemple l'impérialisme capitaliste et inscrit le féminisme dans le marxisme comme une manipulation "bourgeoise" étendant le marché et le salariat sous forme de manipulation complotiste des femmes par des hommes et des bourgeoises. Je n'y crois guère. Ces réalités inégalitaires prennent différentes formes et l'égalité...des droits me semble être la seule purement objective. Voilà pourquoi il sussure du bout des lèvres quand même la légitimité de ce combat. Les traditions, les moeurs, les coutumes, les mentalités (du pain sur la planche) sont plus difficiles à faire évoluer car hautement subjectives et sociétales J'ai du mal a comprendre que les différences hommes-femmes à l'origine de leur complémentarité soient gommées par un egalitarisme forcené dogmatique et non célébrées C'est l'actuel combat féministe dont cette même logique générale, de mon point de vue s'appuie sur un ... caprice dont le moteur est le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière Je veux bien admettre que le dernier privilège concerne la transmission du nom....et encore.... Moi, je trouve que notre société est avant tout victimaire J'ai un collègue homme par exemple qui a travaillé toute sa vie dont la femme a développé un petit commerce qui ne fonctionnait pas Il a donc payé la maison avec ses seuls revenus, financé en partie la création du commerce et parfois aidé sa femme. Malheureusement il divorce "Le régime de la communauté de biens" le sépare de la moitié de la valeur de son domicile qu'elle n'a jamais financé, de ses enfants car la mère reste dans les esprits le centre de la famille (elle avait le temps de s'en occuper...) et de ... 100 000€ de pension compensatoire Ce régime standard de notre système patriarcal dont le nom comme les esprits naïfs généralement masculin est donc....une machine à spolier totalement le plus gros contributeur du foyer Quelle prestation durant 20 ans mérite la desappropriation totale du plus gros contributeur du foyer ? Je dirais que cette machine, légalement incompréhensible.... sournoise car peu expliquée et coutumièrement très souvent au bénéfice des femmes laisse sans voie l'homme nu des cavernes qui a laissé tout ce qu'il possédait y compris sa dignité N'est ce pas une forme admirable de notre conception du mariage fait normalement de complémentarité et de...partage ? Allons dire à ce père de famille, séparé de ses enfants dont la mère bourre le bourichon contre lui et spolié de sa vie que la société est patriarcale et masculine. Il y a les baisés qui sont bien souvent des hommes.
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La surprise comme l'ennivrement, le reanchantement de sa vie a peut-être une dimension volontariste qui nécessite de changer de processus. L'action plus que la réflexion, l'engagement plus que la méfiance, le risque plus que l'eprouvé. Sortir de sa zone de confort peut aussi être provoqué par une crise Pour Reeves, volontairement optimiste, il est l'heure de s'ennivrer
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Ces humains vénéré par des humains.....
zenalpha a répondu à un(e) sujet de massartchristian2@gm dans Philosophie
C'est l'abandonner Comme on aimerait qu'une femme s'abandonne dans nos bras. Je ne vénère personne néanmoins Dans le même temps je n'ai pas la foi non plus. C'est peut-être rationnellement une limite puisque la raison est limitée
