Bonjour tout le monde !
« La direction nous avait interdit de communiquer avec vous, lui confiera un professeur croisédans le bus, par hasard. ......Rien ne permettait de penser que Marion allait mal », a sèchement répété le principal, arrivé en septembre 2012 dans ce collège de 600 élèves. Il n’a eu cesse de s’abriter derrière sahiérarchie. »
Quand un prof est pédophile, alcoolique ou simplement atteint d’une maladie mentale, l’omerta se met en place et l’administration se cachederrière un empilement de niveaux hiérarchiques pour.....ne rien dire. Quand un élève est en difficulté scolaire il rentre dans la case « professeur principal », mais quand il est harcelé ou simplement humilié il n’y plus personne. Rien de bien nouveau dans cette archaïque institution qui n’a pas encore compris qu’avec les réseaux sociaux tout se sait sur tout le monde,qu’il faut réagir très vite et non pas jouer à l’autruche, la tête dans le sable car ce ne sont que des gamines et gamins en construction et pas des bestiaux à nourrir avec l’entonnoir à savoir