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January

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Tout ce qui a été posté par January

  1. Je ne comprends pas ce que ça a à voir sincèrement. Ici on a un petit centre, épicerie, boulange, crèche, etc. et un bar resto, évidemment. Pas de pharmacie et pas de médecin, ça, c'est en ville, à 8 bornes. C'est comme ça depuis toujours un peu partout (1200 habitants). On va pas mettre une maison médicale dans tous les patelins, enfin.. Je ne comprends pas la comparaison. Et je ne sais pas ce que dit ce type, mais là il dit vouloir faciliter etc etc. bah l'un n'empêche pas l'autre, de réfléchir aux déserts médicaux, aussi.
  2. Les fantasmes ! Il y a une amende pour avoir servi quelqu'un de manifestement ivre. Si le client se tue, ça peut aller plus loin, je ne sais pas si c'est déjà arrivé, si ça a déjà été appliqué, mais il peut y avoir homicide involontaire dans ce cas.
  3. On ne met pas du plomb dans la tête des mômes avec de la violence, clair, mais c'est surtout hs en regard du topic. C'est bon, on a dit ce qu'était le sujet, reprenons maintenant.
  4. Il y a l'article. Système GB Vs système français. C'est ça le sujet aussi. Et on doit se rendre à l'évidence : c'est comme ça qu'ils sont arrêtés en france, la suite aussi elle est pareille, une seule différence : la Grande Bretagne emprisonne les mineurs de 13 ans, ici, on les place en CEF. Et en GB, ça ne fonctionne pas du tout - peu de le dire - alors qu'ici, en privilégiant l'éducatif au répressif, on a des résultats.
  5. mais qui torture des gens ? c'est lunaire là.. je comprends plus rien. sérieusement il faut voir toute la scène. Et la série. Parce-que, je répète, dans la série, c'est pas le gamin au final le plus important.
  6. Oui et ensuite toute la série est basée sur la famille. Ces familles, ces proches, dont on ne parle jamais. On ne voit que le délinquant/criminel, on ne parle jamais des proches et on les plaint encore moins. Et les fantasmes que les gens se font sur ces familles ! ... C'est très clair dans la série, pour moi c'est ça qui est montré.
  7. bien sûr que si. Il est coupable, et on le sait dès la fin du premier épisode...
  8. et ce qui est dit c'est donc que ça se passerait comme ça en France, avec des policiers probablement moins lourdement armés.
  9. Avant d'intervenir, ce qui serait un minimum de respect pour l'auteur et son sujet, ce serait de lire la source et de quoi il est question ! Merci.
  10. Merci de rejoindre les nombreux sujets déjà ouverts traitant de l'IA.
  11. Ah d'accord. Bien mieux comme ça. Comme tu avais dit "toujours" compliqués, je ne comprenais pas. re-bienvenue au passage !
  12. La très grande majorité des victimes au sein de l'église n’a pas confiance dans la gestion des abus par elle. En effet, 80,2% des personnes considèrent qu’elle a longtemps dissimulé les violences sexuelles commises par des prêtres. Et les hommes sont plus sévères. De plus, les personnes abusées ne sont que 21% à penser que l’Église prend les mesures nécessaires pour protéger les fidèles de violences sexuelles. On comprend dès lors qu’elles aillent chercher de l’aide ailleurs. Quelle aide ? Aujourd’hui, plusieurs acteurs institutionnels et associatifs se donnent mission d’aider les personnes abusées sexuellement tant sur les aspects judiciaires, sociaux et sanitaires. Par ailleurs, les personnes abusées ont elles-mêmes créé des collectifs d’auto-support, par et pour les victimes de violences sexuelles au sein de l’Église, comme La Parole libérée, Parler et revivre ou encore le collectif Foi et Résilience. [...] Au-delà des combinaisons possibles entre types d’aides disponibles, le recours aux aides en général apparaît fortement genré. La comparaison entre les recours à toute forme d’aide par les hommes et les femmes abusé(e)s durant l’enfance, et aux soins tout particulièrement, livre un tableau contrasté. La socialisation différenciée selon le sexe joue sans doute un rôle important dans ces différences de genre : elle induit « des comportements de santé plus tempérants et une plus grande proximité avec le système de soins pour les femmes ». Au contraire, l’injonction à se conformer à l’idéal masculin de virilité suppose, pour les hommes, de rejeter les signes de faiblesse et de dépendance à autrui, dont la maladie, et tout particulièrement la maladie mentale. Comme le dit Jérôme (abusé en 1981 à 10 ans par un frère enseignant) qui commence à consulter un psychologue pour traiter son alcoolisme à la demande de sa femme : « au début en tant que mec, c’est la honte. ». La thérapie l’a pourtant « sauvé », en lui permettant de parler de son abus, sinon il se serait suicidé, dit-il.
  13. Des vies bouleversées Les perturbations engendrées par les abus sexuels « contaminent » l’ensemble de l’existence, se diffractent dans toutes ses dimensions. Vie affective, sexuelle, familiale, professionnelle, sociale. Dans la majorité des cas, toutes les dimensions apparaissent perturbées par les abus, la vie professionnelle étant la moins touchée en général. Mais quand elle l’est, cela peut être compliqué à gérer comme pour Murielle, devenue éducatrice spécialisée dans un centre fermé. Après, une expérience d’accompagnement avec un jeune agresseur sexuel qui l’a mise face à sa propre vulnérabilité et sa propre difficulté à gérer les conséquences de son abus, elle a demandé à ne plus être référente de garçons placés pour agression sexuelle. Ce faisant, elle a dû se justifier en racontant son histoire auprès de sa hiérarchie. [...] « On est handicapés toute notre vie avec ça. Même si on fait des thérapies, même si... Alors il y a ceux qui se suicident, il y a ceux qui ne se marient pas. Plein ne se marient pas, sont soit curés, soit bonnes sœurs, soit rien du tout, mais ils se marient pas. Parce que pour certains, devenir curé, ou religieux ou je ne sais pas quoi, c'est aussi une fuite parce qu'on est abîmé dans sa sexualité, et c'est un bon endroit pour pas vivre sa sexualité. Justement, c'est l'erreur. » « J’ai eu très peur de tomber à mon tour malade, mais enfin j’ai 46 ans, je le saurais déjà si j’étais pédophile ! ». (Amaury abusé en 1984 à 11 ans par un prêtre ami de la famille) L’enquête par questionnaire confirme que les perturbations engendrées par les abus touchent davantage la vie affective et sexuelle. A écouter les témoignages c’est effectivement dans le domaine sexuel et affectif que les perturbations liées aux abus sont perçues comme les plus immédiates et/ou les plus durables.
  14. Pas facile de trouver des planches, mais : https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/pas-adaptee-reecriture-moderne-pretextes-fallacieux-que-contient-la-version-de-la-belle-et-la-bete-du-dessinateur-jul-annulee-par-l-education-nationale_7141053.html "Il y avait une fois un marchand, qui était extrêmement riche. Il avait six enfants, trois garçons et trois filles ; et comme ce marchand était un homme d'esprit, il n'épargna rien pour l'éducation de ses enfants, et leur donna toutes sortes de maîtres". On découvre alors en illustration une famille qui prend la pose autour d'une voiture décapotable rose, garée sous un palmier. Les deux grandes filles du marchand se maquillent, portent des vêtements de grandes marques parodiques ("Moche & Gabbana"), utilisent leurs smartphones, prennent la pose sur les réseaux sociaux... Quand Belle, elle, lit des livres ou joue du piano. Les personnages sont souvent dessinés avec des téléphones portables, alors que l'accès à ces réseaux sociaux est en principe interdit aux mineurs de moins de 13 ans. Comme le veut l'histoire classique, le riche marchand, ruiné, doit trouver refuge à la campagne. Il reçoit finalement des marchandises, que Jul imagine venir par la mer via le bateau L'Etoile d'Alger.
  15. C'est expliqué dans l'article. Tracer les comportements des utilisateurs, cibler les utilisateurs naïfs, à des fins d'arnaques ensuite.
  16. Parce-que tu ne tiens pas compte du temps imparti, de l'urgence qui accompagne le challenge. Si t'as deux mois ça va Souvent moi j'ai deux heures. D'ailleurs, c'est là où réside le challenge. Je travaille parfois comme ça. Et je préfère ça à une journée morte.
  17. il a tout fait, simplement Jeanne Marie leprince de beaumont apparaît à la couv, c'est la créatrice du conte et oui, elle est morte depuis un bail. Je me suis très mal exprimée, excuse moi !
  18. Oui et Jul. J'ai posté la couv en ouverture de topic. Ils sont deux auteurs
  19. Pour l'instant il n'y a eu aucun tirage puisque c'était dans le cadre de cette opération"un livre pour les vacances". Est-ce qu'il sera tiré quand même, je n'ai pas trouvé l'info mais pour moi rien ne s'y oppose. La censure concerne l'opération, pas la sortie par ailleurs de la bd. "C'est une réécriture moderne. On a un père de famille qui arrive d'Algérie, qui doit commettre des fraudes, qui se fait contrôler par les policiers" Quand le père de la Belle boit "quelques coups de vin", Jul le représente ivre, bouteille à la main, en train de chanter "Les Lacs du Connerama". "La seule explication semble à chercher dans le dégoût de voir représenté un monde de princes et de princesses qui ressemble un peu plus à celui des écoliers d'aujourd'hui", a dénoncé Jul. "Le 'grand remplacement' des princesses blondes par des jeunes filles méditerranéennes serait-il la limite à ne pas franchir pour l'administration versaillaise du ministère ?", s'est-il interrogé.
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