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January

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Tout ce qui a été posté par January

  1. C'est exact. Et pour répondre au sujet pour ma part oui, j'ai entendu ça. Par contre ça, je crois que c'est "mal pensé". C'est pas "comme si tu n'avais jamais ..." c'est surtout que les gens qui disent ça te reproche ton ingratitude. Je ne sais pas, ils sont bizarres ces gens-là, on sait pas exactement ce qu'on leur doit, combien et surtout combien de temps ! @Doïna l'exprime bien.
  2. Ben non, perso j'attends le 13 mai, la décision, d'ici là oui tout le monde est présumé (innocent, victimes), donc il n'y a plus grand chose à dire. Depardieu a été un sale con à l'audience, ça faut le dire, coupable ou innocent, à l'audience ? Un con. "Montrez ma tête au peuple, elle en vaut la peine" (Danton) non mais ??? Me Assous parfaitement à son image : un sale con aussi. Je n'ai jamais vu ça. Et j'ai assisté à des audiences. Alors évidemment je ne fais pas autorité, mais à ce point.. A ce point. A ce point que le type remercie tout le monde à la fin, ça lui servira pour des rôles ! Bordel OUTRAGE non ? Me Assous qui vient parler de confraternité à un journaliste ha ha, la bonne blague. Mais autorisé. Pourquoi ? Mystère. J'ai jamais vu ça. Il y a eu tout une pantomime avec ce truc. Au début il était recouvert d'une housse, ensuite il a enlevé la housse. Quitte à passer pour la parano de service (habitude...) je dis que c'était bel et bien fait exprès, et que ça pose forcément question.
  3. Vous avez entendu parler de l'histoire du tabouret ? Pendant tout le procès Gérard Depardieu était assis sur un tabouret, un cube, qui faisait partie du décor des "volets verts" et était précisément celui sur lequel il se trouvait lors de l'agression sexuelle de Amélie K. Répéter encore et encore les termes au moment de l'agression La victime a fini par quitter la salle. Au moment où Me Assous hurlait en boucl, à plusieurs reprise, les termes exacts de Gérard Depardieu au moment de l'agression. Les avocates de la partie civile dénoncent des manoeuvres destinées à provoquer des reviviscences, et des.. incidents. Incidents qui auraient créé du "CQFD", victimes menteuses, hystériques, etc. Quoiqu'elles fassent... cernées. Elles ne réagissent pas ? Cernées. Elles réagissent ? Cernées.
  4. Le film est sur la plateforme prime vidéo (à louer) mais je n'ai pas eu le temps de le voir.
  5. Il y a quand même deux encours pour des violences sexuelles entre élèves l'année dernière. Du coup le "c'est pas le seul ets qui ait connu ça" "si on s'arrête à ça on ne les met nulle part", je sais pas, je suis un peu mal à l'aise avec ça.
  6. Fait étonnant, pour une écrasante majorité des parents rencontrés et interrogés ce vendredi, le scandale de Bétharram n’était pas vraiment un sujet, et certainement pas un motif d’hésitation à l’idée d’inscrire leurs enfants. « S’il existait encore tous ces problèmes, on l’aurait su » C’est le cas d’Ivan, habitant d’Igon, venu avec son épouse et deux de leurs enfants. « Ce qui s’est passé ici pendant plusieurs années… Je pense malheureusement que ce n’est pas le seul établissement qui ait connu ça, pose le père de famille. S’il faut s’arrêter à ça, hélas on ne les met nulle part. On avait déjà envisagé une inscription pour notre garçon ici, avant que l’affaire ne sorte. Quand c’est sorti, on a été à l’écoute mais on n’a pas changé d’avis. S’il existait encore tous ces problèmes, on l’aurait su. https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/pau/ici-tous-les-enfants-sont-acceptes-a-betharram-des-portes-ouvertes-comme-si-de-rien-n-etait-23822189.php
  7. La victimisation secondaire ? La victimisation secondaire est issue des réactions des systèmes et de l'entourage de la personne qui a été victime d'un acte inacceptable. La victimisation secondaire a été intégrée dans la première directive européenne sur les violences faites aux femmes, adoptée en mai 2024, et la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a émis plusieurs jurisprudences visant à protéger les parties civiles. Mais ces principes « ne sont pas mis en pratique », regrette Me Durrieu Diebolt. Au procès Depardieu, la « victimisation secondaire » comme stratégie de défense https://www.lanouvellerepublique.fr/a-la-une/un-moment-plus-violent-que-l-agression-au-proces-depardieu-la-victimisation-secondaire-comme-strategie-de-defense-1743342850?utm_source=newsshowcase&utm_medium=gnews&utm_campaign=CDAQ9oTd-8W7wZ2oARjcgbfDhfr9o7QBKhAIACoHCAowrJyICzCl5YYD&utm_content=rundown A partir de l'inversion de culpabilité, le présumé coupable se présente comme victime.
  8. Alors.. je ne suis pas Mary Poppins.. Bon, le sujet étant nettoyé, je vous le rappelle : Pourquoi les politiques ne vont presque jamais en prison ? Bon débat !
  9. Je le sais @Arkadis et je te lis. Mais il conviendrait d'avoir ces discussions en privé.
  10. c'est réparé. Merci de faire attention à ne pas spoiler la série. Pas sympa pour ceux qui voudraient la voir.
  11. Et tu n'es pas seule, c'est intéressant cette réaction. Ca veut dire qu'on ne peut pas l'imaginer, on entre dans les pompes du personnage, il est "adorable" ce garçon, sa détresse fait de la peine, et puis c'est un petit garçon. Pendant 40 minutes, ces émotions enflent, on voit ce qu'il se passe mais on réfléchit accessoirement et à la fin, on est tellement anesthésié qu'on ne voit pas l'évidence. Mais on accepte immédiatement après qu'on nous ait montré l'évidence, le "c'est pas moi" de ce jeune garçon. Ce qu'a fait le réal là, c'est un sacré coup de génie, montrer à tout le monde, comme il est difficile de croire même ce que l'on voit, lorsqu'il s'agit d'un enfant. Alors... il faut imaginer les proches et les parents, et c'est bien de cela que nous parle la série, voir, sans regarder vraiment et surtout sans pouvoir y croire. Combien de situations sont analogues dans la société ? Des tas. On voit, mais on ne veut/peut pas se rendre à l'évidence. Le cerveau est alors très performant à élaborer un scénario de remplacement.
  12. Désolée pour le bazar sur le sujet... Oui je monte, pour rendre service à un pote qui fait pension. Les chevaux ont besoin de balades, il n'a pas assez de cavaliers alors régulièrement je vais en balader quelques-uns, et j'aide à la pension quand il part en vacances.
  13. j'ai pas de mots, j'ai fait cette tête à la fin et puis voilà quoi.
  14. Gérard Depardieu "Je souhaite ajouter que j'ai été très impressionné. Je voulais vraiment assister à mon procès. Ça fait trois ans que l'on me traine dans la boue par des calomnies, des mensonges, qui me rongent mon sang, mon désir et ma communication avec des êtres de tous âges. Là, j'ai pris une leçon, je le vois". Il s'adresse au tribunal : "Tout ce que vous écoutez et tout ce que vous supportez de bagarre, des choses que j'ai vues, insensées, et qui peut être, un jour, me serviront pour un personnage. C'est très riche comme enseignement pour un acteur, très riche d'observer monsieur le procureur, la police, tout ce tribunal, le public, la presse", poursuit-il. "C'est comme si on était dans un film de science-fiction sauf que ce n'est pas de la science-fiction, c'est la réalité, c'est la vie. Je ne suis pas vieux ni même patriarche. J’ai des enfants jeunes, des femmes jeunes, je suis jeune" continue-t-il. "Je vous remercie de tout mon cœur, Monsieur le président et mesdames les assesseuses. J'ai pris une très belle leçon. Et je remercie Me Assous véritablement et les autres avocates qui, elles aussi, m'ont donné des leçons si un jour, s’il me vient l’idée d’interpréter un avocat Merci beaucoup" conclut-il. La décision est mise en délibéré au 13 mai 2025 à 10 heures
  15. Amélie, décoratrice ensemblière, soutient que Gérard Depardieu lui a lâché ces mots sur le tournage au moment de l'agression : "Viens toucher mon gros parasol, je vais te le foutre dans la chatte". La décoratrice était alors à la recherche d'un parasol sur Internet pour s'en servir dans le décor du film plus tard. Selon Me Assous, il est impossible que l'acteur ait dit ça et que personne sur le tournage n'ait entendu cette phrase. Seule un témoin dit avoir entendu le mot "parasol" sans notion de sexe. "Jean Becker n'a jamais parlé d'agression sexuelle et n'a jamais eu vent d'agression sexuelle", insiste Me Assous, rappelant que le réalisateur du film "Les Volets verts" a été entendu à la police. L'avocat lit maintenant le témoignage d'un homme qui explique que "Jean Becker a parlé devant d'autre d'un incident avec Amélie". "Jamais ce témoin ne parle d'agression sexuelle", pointe l'avocat. Me Assous s'étonne que plusieurs jours après l'agression sexuelle qu'elle dénonce, Amélie ait été échanger avec Gérard Depardieu en fin de tournage alors que toute l'équipe se trouvait dans le sud de la France. L'équipe de tournage fait la fête mais Gérard Depardieu n'y participe pas. Il dort sur un transat, sur une plage privée derrière un paravent. « Amelie passe par la, elle voit le garde du corps de Gérard Depardieu. Et elle s'approche de l'acteur. Puis face à lui, elle reprend la version de Charlotte Arnould (l'acteur a été mis en examen pour viol dans cette affaire en février 2021, plusieurs mois avant le tournage du film "Les Volets verts") et elle veut aller confronter Depardieu. Qui va confronter son agresseur après avoir été victime de viol ? Et elle lui dit quoi à Gérard Depardieu : 'Je suis pas une balance'. Elle ne le traite pas de connard !" pointe l'avocat de l'acteur. Me Assous s'emporte. Il traite de "demi-décérébrées avec leurs affiches" les "féministes" venues manifester lundi dernier sur le parvis du tribunal aux côtés d'Amélie et Sarah, soutenue par Anouk Grinberg et Charlotte Arnould. Et cible cette dernière la traitant de "mythomane qui accuse mon client de viols et qui a accusé son propre père de pédophilie !". "Ohhhh" entend-on dans la salle. "Charlotte Arnould qui vient tous les jours au procès le voir. Pour soutenir ses amies (les plaignantes). C’est pas vrai ! C’est indécent !" poursuit l'avocat avant d'ajouter :"Vous en connaissez beaucoup de victimes de viol qui viennent tous les jours voir son violeur ?" lance Me Assous très énervé. Puis l'avocat cite un message de Charlotte Arnould à un autre homme pendant le confinement : "Est-ce que t'as des capotes et du Sauvignon ? Parce que, moi mon type d'homme, c'est plutôt les hommes de 60 ans", lâche-t-il. Me Durrieu Diebbolt est outrée et ne comprend apparemment pas qu'on laisse l'avocat poursuivre sa diatribe contre Charlotte Arnoud. Cette dernière, qui accuse Gérard Depardieu de viol, quitte la salle. "Je défends Depardieu, c'est une personne pour qui j'ai une estime infinie. Je sais qu'il peut être odieux car il a un niveau d'exigence important. Mais pour moi, sa version, c'est la seule qui tienne, elle est logique", continue Me Assous. "On vous demande de relaxer Gérard Depardieu pour ces faits-là", conclut Me Assous.
  16. La suite de la plaidoirie de Me Assous Il parle des plaignantes, des femmes qui ont raconté des "mensonges". Il reprend les éléments du dossier un par un pour tenter de démontrer que ce qu'ont raconté les deux plaignantes est "totalement faux". Il se déplace dans la salle d'audience, avance jusqu'au milieu des bancs de la presse, pour "reconstituer" les scènes telles que décrites par les deux femmes. Me Durrieu Diebolt, avocate de Sarah, a plaidé que "trois témoins oculaires" avaient assisté à l'agression de sa cliente le 10 septembre 2021 sur le tournage. Me Assous fait tout son possible dans une mise en scène dans la salle d'audience pour prouver que cela est tout simplement impossible techniquement. Il se moque aussi d'Amélie, qui ne se souvient pas si un ou deux hommes l'ont "extirpé" des "griffes" de Gérard Depardieu. "Elle dit qu'elle se souvient plus, car elle a des flashs", raille l'avocat en l'imitant. Il dit que dans certaines affaires, il comprend très bien que des victimes puissent avoir des flashs puisqu'elles ont été frappées par leur agresseur, mais là... Il ne comprend pas pourquoi cette femme qui n'a pas subi de violences ne se souvienne pas. "Votre trauma, quand bien même l'agression aurait bien eu lieu, il est relatif ! C'est pas Guy Georges !" a-t-il crié. Me Assous aussi se met à imiter son client et les grossièretés qu'il peut dire sur les tournages ; "bite", "chatte", ta chatte qui mouille". L'acteur n'a jamais contesté dire des grossièretés sur les plateaux. Pour l'avocat, son vocabulaire fleuri ne fait pas de lui un agresseur et ça ne peut en aucun cas être un argument qui peut pencher en sa défaveur concernant les faits d'agression sexuelle. "Amélie on le voit tous les soirs à la télévision, elle aime plaire. Les avocates de la partie civile disent qu'on me voit trop souvent à la télévision, mais je ne fais que leur répondre, à elles et Amélie", continue Me Assous. Sur les bancs des parties civiles, plusieurs personnes n'en reviennent pas que l'avocat très médiatique fasse cette réflexion dans la salle d'audience. L'avocat embraye. Il cite le témoignage d'Amélie "sur une toute petite chaîne de télé", ironise-t-il, avant d'ajouter : "TF1". Puis il poursuit : "Eh bien sur TF1, tout sourire, Amélie déclare : 'Nous sommes très heureuses d'être là (au tribunal), c'était un chemin de croix, mais on est très contentes d'être arrivées là quoiqu'il arrive'". Puis, il commente les propos tenus par la plaignante face caméra : "Quoiqu'il arrive, Madame, le mal que vous avez fait à Gérard Depardieu il est bel est bien là !"
  17. Ironie. oui je sais, ça se voit pas au premier coup d'oeil mais au deuxième si, et avec mon explication ça se voit encore mieux.
  18. Je ne l'ai pas vu non, je comptais le chercher ce week-end.
  19. January

    Disparition d’Émile

    ben.si. tu dis "il est adepte de la violence éducative" = "il est tout à fait capable d'avoir tué son petit fils de deux ans" ???!! Là se retrouve la limite de l'opinion (mais on a aussi le droit d'avoir des opinions complètement extrêmes et de se voir réprouver pour ça), la limite du véritable respect de la présomption d'innocence, et la limite de ne pas conjecturer et de s'en tenir aux faits avérés.
  20. L'avocat de Gérard Depardieu fait l'éloge de Christian Saint-Palais, "grand pénaliste" qui était, avec Béatrice Geissmann Achille, le conseiller de l'acteur avant lui. Le ténor du barreau avait défendu l'acteur sur un plateau de télé et lui avait recommandé de "garder le silence" pendant sa garde à vue d'avril 2024, garde à vue intervenue après les plaintes d'Amélie et de Sarah. "Ce qui a été terrible dans ce dossier, c'est la manière dont il a été fabriqué", dénonce Me Assous, "notamment les méthodes de Mediapart."
  21. "Je veux bien qu'Amélie ne lise pas Le Monde parce que c'est trop compliqué mais Closer !" ose Me Assous, avocat de Gérard Depardieu s'étonnant que celle-ci n'était soi-disant pas au courant de la mise en examen de Gérard Depardieu dans le dossier Charlotte Arnould, mise en examen intervenue en décembre 2020 rendue publique en février 2021, soit six mois avant le tournage des Volets verts et huit mois avant les faits dont elle l'accuse. La plaignante n'est pas venue assister à sa plaidoirie cet après-midi et ne peut donc pas réagir. Dans la salle, on entend des "Ohhhh" de stupéfaction. Me Assous cite l'émission "Complément d'enquête" du 7 décembre 2023 qui avait dévoilé une séquence tournée cinq ans plus tôt en Corée du Nord où l'acteur multipliait les propos misogynes et à caractère sexuel y compris envers une fillette. La défense de l'acteur a dénoncé un montage frauduleux.Il précise qu'un procès va avoir lieu pour ces faits. Ce procès était prévu en mai et a été renvoyé à l'automne, en octobre 2025, informe l'avocat de Gérard Depardieu.
  22. Plaidoirie de Me Jérémy Assous, avocat de Gérard Depardieu « La justice ne se fait pas ni dans la rue, ni sur les plateaux de télé, ni dans les tribunes. Je veux que le cauchemar, que l'enfer dans lequel Gérard Depardieu a été jeté se termine. » Me Jérémie Assous critique les méthodes des avocates de la partie civile qui ont fait citer hier comme témoins trois jeunes femmes qui assurent avoir été agressées sexuellement par l'acteur, alors que lui avait fait citer Fanny Ardant, comme pour capter l'attention. Il rappelle que pour ces trois femmes, les faits sont prescrits (Ils dateraient de 2007, 2014 et 2025 selon ces témoins) et que le tribunal n'est pas saisi de ces faits.
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