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January

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Tout ce qui a été posté par January

  1. Le président à Me Malka : Maître, vous avez besoin de combien de temps pour plaider ? Me Malka : Je suis 1 contre 13. Alors vous allez bien me laisser une heure une heure et demie ! L'avocate qui représente 3 associations de femmes, parties civiles : 13 prévenus 13 mots : refus de se laisser importuner, bravoure, Mila nous vous respectons nous sommes à vos côtés. L'avocate demande 1 euro de dommages et intérêts. (mais ça fait pas 13 mots )
  2. Ah mais ils le disent, la plupart des prévenus ne sont pas croyants. Mais c'est comme sur tous les RS, des gens ne sont pas concernés et ne se sentent pas concernés mais faut réagir quand même, faut être là, faut dire un truc à tout prix, choper des likes, des abonnés, ou simplement parce-qu'on s'ennuie, répondre à tout, pour ne rien dire..
  3. Discussion sur la maturité Le président : je vous propose une définition de la maturité: 'on est mature quand on est capable au moment d'agir de mesurer la conséquence de ses actes'. Qu'en pensez-vous ? Prévenu : je suis d'accord avec vous. le président : bah vous êtes gentil.
  4. Il y en a plein qui ne sont pas croyants Instant humour.. Mehdi a publié sur Twitter 2 messages: "Kalash famas Uzi et P38" et puis "les armes sont payantes mais les rafales sont gratuites" Mehdi ne reconnait pas les 2 infractions qui lui sont reprochées mais confirme être l'auteur des 2 messages. "j'ai envoyé ces deux messages en privé à Mila. J'ai vu sa vidéo sur mon fil d'actualité Twitter, par la suite j'ai été maladroit, j'ai réagi comme un idiot sous le coup de l'émotion. J'ai posté les messages de cette chanson dont je connais les paroles. Mon but n'était pas de la harceler ou de la menacer de mort; Mila m'avait répondu de retourner jouer à Fortnite. Mon but était d'avoir une réaction. Le président : Vous dites que la seule chanson que vous connaissez c'est "Kalash famas Uzi et P38, les armes sont payantes mais les rafales sont gratuites". Au clair de la lune, ça ne vous dit rien ?
  5. L'assistant d'éducation dont on a parlé dans le premier sujet sur les faits et la pétition, s'adresse au tribunal : Je trouvais injuste que Mila puisse dire ce qu'elle voulait sur les réseaux et pas moi. Ah.. Ouf. Prévenu : j'avais l'impression d'utiliser mon droit à la liberté d'expression et qu'elle, elle l'avait dépassé. J'ai changé d'avis après, c'est moi qui ai dépassé la liberté d'expression. Elle, elle a respecté la loi, même si elle était dans la limite. Espérons que la leçon est comprise.
  6. Délire... Prévenue : je pensais pas à mal. J'ai tenu des propos très violents. Je tiens à présenter mes excuses à Mila. Me malka : je ne comprends pas ce que vous nous dites sur ce qui vous a poussé à écrire ce mail, vous dites avoir été offensée et blessée, puis vous faites 1 mail qui s'appelle "commande de dessins" puis ça bascule. Vous êtes étudiante en psychologie, ça colle pas. Vous nous dites que vous vouliez vraiment lui commander des dessins au départ. ca colle pas. - je voulais mettre en avant son talent de dessinatrice Me Malka : vous savez très bien qu'en mettant "commande de dessins" en objet du mail, Mila l'ouvrirait. Je vous demande d'être sincère. - Je suis sincère. - Vous savez qu'en France on a le droit de tout dire des croyances et des dogmes, c'est notre Constitution. Ça ne vous plait pas, vous ne l'acceptez pas cette Constitution ? - J'ai rien contre le fait que l'on puisse dire du mal de la religion mais il y a des façons de le faire, sans être insultant. ce que j'ai fait c'est pas très intelligent. (...) Je trouvais que ce qu'elle avait dit c'était irrespectueux et j'ai répondu de façon irrespectueuse et très violente. Me Malka : Vous finissez en disant: "Il faut respecter les croyances des autres". Non il ne faut pas Madame, ça mène à des horreurs, ça mène à ce que vous avez écrit. - Je ne suis pas d'accord. Si la religion avait été respectée on n'en serait pas là.
  7. Je sais pas si elle est bien briefée mais sa comparaison avec une agression dans la rue est moisie. Sa mère a fait la même comparaison un peu plus tôt... Certains prévenus sont lunaires.. Un truc revient c'est que ça les gonflait qu'elle soit en TT. Une histoire de jalousie de sa "notoriété", lamentable. Beaucoup ont considéré le propos de Mila raciste (et on voit que certains en sont toujours là, même après explication). Ce sont les profils qui sont parfois incroyables, comme cette étudiante en psycho qui lui balance par mail : "Va bien te faire fourré (sic) sombre pute, je te souhaite de mourir de la façon la plus atroce qui puisse exister et si jamais ça tarde, je m'en chargerais moi-même". Et qui dit au tribunal : "Au départ je voulais vraiment lui parler de ses dessins. Je trouvais dommage qu'une personne qui a un vrai talent puisse tenir des propos fâcheux comme ça". wtf......
  8. January

    Procès de Valérie Bacot

    L'AG n'a pas cru Lucas G. concernant les deux ados qui se rendent à la gendarmerie. AG : J’ai énormément de mal à vous croire, vous ne croyez pas que ce serait plus simple que Valérie Bacot elle, elle aille porter plainte plutôt qu’un ado de 16 ans ? - Vous avez le droit de ne pas me croire mais je vous jure que nous y avons été. AG : vous comprenez qu’avec votre présence, et peut être vos conseils*, quelque chose se crée. On va assez vite à cette solution assez irrévocable qui est d’ôter la vie d’un homme… (il n'existe aucune trace du passage des deux ados en gendarmerie) * Plus tôt dans les débats, il avait déclaré avoir dit à Valérie Bacot qu'elle n'avait qu'à faire "ce qu'elle avait à faire", qu'il serait là ensuite.
  9. A. défense : pensez-vous qu'il vous arrive de réagir de manière excessive dans vos messages ? Mila : Non AD: quand vous dites que vous allez 'mettre vos doigts dans le cul d'Allah', c'est maîtrisé ou c'est excessif ? Mila : C'est maitrisé - quand vous écrivez :" Eh les ados-djihadistes, je tenais à vous remercier pour la visibilité que vous m’apportez du coup ! Continuez à me harceler, vous êtes super crédibles les gars ! :)" C'est maîtrisé ou c'est excessif  ? Mila : c'est de l'humour Avocat de la défense : ça pourrait vous énerver que l'on vous attaque sur l'intime ? Mila : oui avocat : selon vous la religion ça relève de l'intime ? Mila : Oui Avocat : je suis bien d'accord avec vous !
  10. Mila : J'ai beau me sentir au plus mal à cause des personnes qui me harcèlent, je ne m'abaisserai pas, je ne me soumettrai pas. pourquoi je ne me passe pas des réseaux sociaux ? On m'a posé cette question un nombre incalculable de fois. Pourquoi je ne disparais pas, pourquoi je me ferais oublier ? Je n'ai pas à le faire ! je ne peux plus être scolarisée, je n'ai plus de vie sociale, j'ai tout perdu et en plus de ça il faudrait que je disparaisse totalement, que je me soumette. je vois ça comme une personne qui aurait été violée dans la rue et à qui on demande de ne plus sortir pour ne pas se faire violer une nouvelle fois. J'ai ce besoin de montrer que je suis toujours là car on veut toujours m'écraser en permanence. Je suis là parce que je suis blessée. J'ai des messages de gens qui se vantent de m'avoir emprisonnée dans mon propre pays. J'ai ce besoin de répondre à cela.
  11. avocat de la défense à la mère de Mila revient sur les propos de Mila qui "met les doigts dans le cul d'Allah" : Quel est en tant que parents votre réaction ? La mère de Mila : c'est pas un enthousiasme délirant de ma part ni de celle de mon mari; ma réaction ça a été plutôt face au déferlement de menace, prendre des mesures de protection, et de comprendre pourquoi elle avait dit ça. moi Mila j'ai compris sa réaction. Je me demande si je n'aurais pas eu la même. C'était une riposte aux gens qui l'ont menacée. sur le fond et sur la forme j'ai entièrement compris la réaction de ma fille, elle a été menacée, harcelée, elle a subi des commentaires très dégradants au nom de l'islam. J'ai pensé que ma fille ne pouvait avoir qu'une réaction de cette sorte. L'avocat de la défense: il me semble que si ma fille tient des propos pareils celui puisse être perçu comme de la provocation La mère de Mila : je pense que vous inversez les rôles. Les mots : "merde", "cul", qui ne les a pas dit à son âge ? [...] - Votre enfant est mineure, elle participe à des plateaux, communiqués de presse, vous avez donc autorisé en tant que parents votre enfant à être exposée dans les médias. La mère de Mila : ça n'était pas des médias mais un média. Mila était tellement mal. Nous avons pris cette décision. Mila était atteinte par sa vidéo propagée et elle voulait rétablir l'image de la fille aux cheveux violets. On a accepté de le faire pour le bien de Mila. - vous ne vous dites pas qu'il faut que cela cesse, pour la vie de votre enfant ? On est dans le létal. Il y a des moyens pour que ça s'arrête, on enlève les téléphones, les réseaux sociaux. pensez-vous en tant que parents, accepter de tout permettre à votre fille en disant qu'elle est dans de la légitime défense La mère de Mila : C'est pas un rôle actif c'est un rôle défensif, de la liberté d'expression, de Mila. ce sont de telles attaques que c'est devenu un combat. Je pense que Mila ne serait plus là si elle n'avait plus la liberté de se battre. Elle serait devenue invisible. - vous êtes d'accord avec les excuses que Mila a présentées dans Q.officiel La mère de Mila: oui je suis entièrement d'accord Avocate de la défense: un confère vous a demandé : 'pouvez-vous comprendre que des personnes aient pu être offensés en voyant les vidéos de Mila, vous avez répondu non'. Pourquoi alors êtes vous d'accord avec les excuses de votre fille ? La mère de Mila : les personnes qui pratiquent la religion en paix n'ont pas été offensées je pense. Mila voulait faire un petit geste...
  12. Lorraine, prévenue : Mon but c'était pas de prendre parti pour un camp ou pour un autre, j'en avais juste marre de voir Mila dans mon fil. - Pourquoi ne pas avoir dit : bah faites la taire Lorraine : J'aurais dû dire quelque chose de plus réfléchi mais je ne l'ai pas fait Me Malka : Mme, vous faites des études, vous êtes majeure, et vous implorez sur les réseaux sociaux qu'on broie le crâne d'une mineure. Est-ce que quelqu'un qui critique Dieu mérite qu'on lui broie le crâne, vous dites "par pitié" ! Lorraine : je ne l'ai pas dit en l'implorant Me Malka : vous dites "qu'on lui broie le crâne" et vous ajoutez "par pitié". C'est implorer. Lorraine : c'est une expression que j'emploie "par pitié". Je n'implorais pas quelqu'un de le faire Me Malka : on vous pose une question sur Samuel Paty, vous dites "j'en ai entendu parler sur les réseaux sociaux, je sais pas pourquoi ni par qui" et vous dites que Samuel Paty a peut-être dit du mal de la religion". Vous dites aux enquêteurs que vous ne savez rien de la décapitation de Samuel Paty, mais vous vous sentez obligée d'intervenir dans le débat. Lorraine : Samuel Paty, je connaissais les grandes lignes, je ne savais pas pourquoi, ni par qui. Je ne m'étais pas renseignée sur cette histoire, et même si je suis à l'université, je ne me renseigne pas sur tous les sujets d'actualité. Je n'ai jamais eu l'intention de faire de mal à Mila, j'ai tweeté c'est tout Me Malka : vous dites aux enquêteurs 'j'ai évacué comme ça ma colère, ça allait mieux après. Ca ne vous choque pas, vous écrivez "qu'on lui broie le crâne et vous dites que "ca va mieux après". Tout ça parce que vous étiez agacée de voir le nom de Mila dans votre fil Twitter !
  13. January

    Procès de Valérie Bacot

    Tension hier entre l'ag et l'accusée. AG : Est-ce que vous comprenez qu'il y avait d'autres solutions que de le tuer ? Valérie Bacot : Vous ne ne comprenez pas ce que je vivais. Vous ne comprenez pas la peur de mourir tous les jours. Ma seule idée c'était de tenir jusqu'à la majorité des enfants. Mise en cause de la gendarmerie, à nouveau, par le gendre de Valérie Bacot. Venu pour dénoncer les faits de prostitution subis par Valérie : "On est allé en gendarmerie et ils nous ont envoyés péter en nous disant qu'on était des trous du cul."
  14. January

    Procès de Valérie Bacot

    La défense de Valérie Bacot à l'enquêteur qui est entendu depuis le début de l'après-midi : Est-ce que vous savez qu'en 2021, lorsqu'une femme pousse la porte d'un commissariat pour dénoncer des violences conjugales, certaines plaintes ne sont toujours pas prises ? Réponse : Je ne sais pas. Si vous le dites... La route est longue...
  15. January

    Procès de Valérie Bacot

    Elle va être jugée, et condamnée. Et tous ceux qui appelaient à carrément ne pas la juger et/ou la condamner ne vivent pas dans un état de droit. L'avocat général, le juge, assesseurs et jurés tiendront compte de son histoire. La justice et le droit suivront leur cours, appel le cas échéant, cassation peut être. Mais il restera une chose encore : la grâce du Président de la République.
  16. January

    Procès de Valérie Bacot

    On ne présente plus ses avocates (Me Tomasini et Me Bonaggiunta). Qui n'ont, cette fois-ci, apparemment pas l'intention de plaider de la même façon que pour Jacqueline Sauvage (légitime défense à postériori). Elles demanderont vraisemblablement des peines "planchers" (comprendre ras du sol). Ce qui différencie les affaires qui ont défrayé la chronique ces dernières années : https://www.lejsl.com/faits-divers-justice/2021/06/16/valerie-bacot-jacqueline-sauvage-alexandra-lange-meme-combat L'affaire Valérie Bacot est particulièrement sordide. Rappel bref : Elle comparaît pour l’assassinat de son mari Daniel Polette. Il avait d’abord été le compagnon de sa mère et donc son beau-père. Condamné en 1996 pour avoir abusé sexuellement d’elle alors qu’elle était adolescente, il était retourné au foyer familial à La Clayette à sa sortie de prison puis s’était installé avec Valérie, enceinte de lui et âgée de 17  ans. Ils ont eu quatre enfants. Elle l’a tué le 13 mars 2016 d’une balle de revolver, puis a enterré le corps avec l’aide de ses enfants. Arrêtée 19  mois plus tard, elle a expliqué avoir subi les violences physiques, sexuelles et psychologiques de cet homme de 24  ans son aîné pendant toutes ces années.
  17. Cette femme de 40 ans a raconté, face aux enquêteurs puis dans un livre, l’enfer d’un quotidien soumis à la tyrannie d’un mari alcoolique et accro au porno. Elle devra répondre de son assassinat devant la cour d’assises de Saône-et-Loire. Son histoire fait écho à celle de Jacqueline Sauvage, sexagénaire condamnée à dix ans de prison pour avoir abattu de trois coups de fusil dans le dos son mari en 2012, après plus de quarante-cinq années de violences conjugales. Valérie Bacot, 40 ans, a tué d’une balle dans la nuque son époux en mars 2016 avant d’enterrer son corps dans les bois de La Clayette, en Saône-et-Loire, à quelques kilomètres de son lieu de résidence. Deux fils du couple se sont relayés pour creuser la tombe de fortune de leur père et se sont tus pendant un an et demi. Jusqu’à ce que la mère du petit ami de la fille – qui avait lui aussi aidé à transporter et à enterrer le cadavre – les dénonce. Le 3 octobre 2018, Valérie Bacot a été mise en examen du chef d’assassinat. Son procès s’ouvre lundi 21 juin devant la cour d’assises de Saône-et-Loire, à Chalon-sur-Saône. https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/06/21/le-proces-de-valerie-bacot-pour-l-assassinat-de-son-mari-violent-s-ouvre-devant-les-assises-de-saone-et-loire_6084949_3224.html https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/valerie-bacot-jugee-pour-avoir-tue-son-mari-et-ex-beau-pere-qui-la-violait-et-la-prostituait-1624216036
  18. January

    F1 - Saison 2021

    ah mais moi je suis pas prête de sauter partout comme toi, je voudrais un doublé Mac Laren alors imagine.. Plus raisonnablement comme toi j'aimerais voir Verstappen champion du monde. La descente aux enfers pour Ferrari bonjour l'angoisse.
  19. January

    F1 - Saison 2021

    L'overtake de Checo et celui de Verstappen. Et puis c'est tout, en 53 tours. La saison s'annonce bien compétitive en tout cas, ça c'est vrai ! Pour l'instant c'est une très belle saison !
  20. January

    F1 - Saison 2021

    Bon j'ose rien dire vu comme ça s'est terminé la dernière fois, mais sérieux les gars...
  21. J'ai fini la saison. Et c'est reparti pour un tour, comme d'habitude...
  22. Il y a l'asile et plein de sous-rubriques pour délirer. Mais tu as raison : tout a été dit, donc : on ferme.
  23. Détournement flagrant. Pour suivre l'évolution de la mortalité en 2021, l'INSEE a choisi de privilégier la comparaison avec 2019, année sans épidémie Covid. Selon la dernière actualisation de l'INSEE, entre le 1ᵉʳ janvier et le 24 mai 2021, le nombre de décès quotidiens enregistrés est en hausse de 8% par rapport à 2019. Par rapport à 2020, la hausse des décès est nettement supérieure sur la période janvier-février 2021 (+16% en nombre de jours identiques, l'année 2020 étant une année bissextile). À noter toutefois que la pandémie ne s'était pas encore propagée en janvier-février 2020. En revanche, depuis le 1er mars 2021, le nombre de décès est en baisse (-8%) par rapport à la même période en 2020 qui englobe le pic épidémique de la première vague. Lors de ses précédentes actualisations, l'INSEE notait une très nette augmentation entre octobre et début novembre 2020, avant une diminution progressive mais plus lente que lors de la première vague jusqu'à fin décembre. Au début de l'année 2021, l'INSEE observait une légère augmentation du nombre de décès en janvier. Ce chiffre diminue ensuite jusqu'à la première quinzaine du mois de mars avant de se stabiliser sur un plateau jusqu'à début mai. Il baisse à nouveau en mai. https://www.vie-publique.fr/en-bref/278544-covid-19-hausse-de-la-mortalite-enregistree-debut-2021
  24. Selon Le Parisien, le mari de Delphine Jubillar, Cédric, a été placé en garde à vue. Six mois après la disparition de l'infirmière de 33 ans dans le Tarn, les enquêteurs ont relevé des incohérences dans son récit de la nuit du drame et exhumé un mobile potentiel. https://www.midilibre.fr/2021/06/16/delphine-jubillar-son-mari-cedric-place-en-garde-a-vue-9610275.php
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