January

Le sujet du défi lecture de l'été 2022 est ouvert. Là : (je commence à élaborer le tableau, j'ajouterai le lien dès qu'il sera prêt)

Bonjour tous toutes Le défi lecture de l'été 2022 de Forumfr est ouvert. Vous devrez lire, entre le 25 juin et le 31 août 2022 : Un livre avec de la couleur jaune sur la couverture, un livre qui a reçu un prix, un livre d'un auteur que vous aimez beaucoup, un livre de moins de 200 pages, un livre avec un animal dans le titre, un livre sur un thème/évènement de l'Histoire, un livre fantastique, un polar/thriller, un livre conseillé par quelqu'un d'autre, un livre humoristique. Ces dix catégories conviennent-elles à tout le monde ? Lien du tableau : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1Zl1-qaSFPvIINPg2p9W9sZXsXPEaJY49k7RE6RDT8qE/edit#gid=0

DRM ?

Oui merci pour le lien. On l'avait fait sur une année complète, on peut en refaire un petit pour les vacances.

Bon.. un petit "défi lecture" des vacances ? Genre, du 1er juillet au 31 août, 10 catégories ? Je rappelle aussi @Kira, @Izanami, @Plouj @Sittelle qui avaient participé au défi lecture de l'année 2020.

Ah t'as vu Et puis après chacun lisant à son rythme, et donc commentant à son rythme, faut encore éviter le divulgâchis ! Imagine le truc, on lit un polar et au bout de deux jours quelqu'un poste : "j'étais sûr que c'était le prof de gym le tueur !!"

Plus qu'à interpeller les gens habitués ou moins habitués de ce topic, alors : @Crève @Auger @Out of Paprika @guernica @Virtuose_en_carnage @sphynxxxix @Neko86 @koadeg ... euh.. qui d'autre, qui ?? Izanami ? Ah oui déjà, choisir le genre, tu vas voir comme c'est pas simple Après il y a le thème, la difficulté.. Bon moi je dirais plutôt un roman et surtout pas un pavé. On ne lit pas tous à la même vitesse. Et si on se met tous d'accord sur un thème je peux me mettre en recherche.

Je n'ai pas retrouvé le topic, mais faut voir, je suis d'accord pour participer si on trouve un bouquin qui convient à tout le monde. On a vu avec le défi lecture que finalement, il y a des bouquins vers lesquels on ne va pas forcément et qui pourtant nous plaisent à la fin Qui participerait ? Allo, les gens ?

Il me semble que ça avait été tenté, faut que je cherche Je crois me rappeler que c'était pas simple pour le choix du bouquin

Il y avait quelqu'un ici, avec qui on se retrouvait souvent sur les mêmes lectures, les mêmes émotions, et on en parlait longuement. Il me manque.

C'est ça je crois oui, ça passe ou ça casse. Mais quand ça passe, l'émotion est immense, elle submerge. Des fois dans les bouquins, dans les films, il y a des trucs comme subliminaux, qui touchent les uns et pas les autres. Des fois on se retrouve totalement inconsolable sans même savoir exactement pourquoi..

Ouiii !!

M'a fait pareil. Et le film aussi. L'adaptation est bien, c'est la dinguerie, une autre planète, comme le bouquin.

Donc, voilà l'article en question : https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2022/06/05/comment-peut-on-encore-etre-heterosexuel_6128981_4497916.html Et à partir de là bien sûr, un débat serait possible ? De qui se moque-t-on ?! Moi aussi je vais sortir n'importe quel extrait de n'importe quel bouquin, le sortir de son contexte et hurler à la propagande ! L'auteur nous C/C donc à peine 5% d'un article, il semblerait qu'il ne connaisse pas très bien l'auteur et sa plume corrosive, ne semble pas savoir non plus que King Kong Théorie est son oeuvre majeure, écrite à partir de son propre vécu absolument trash, etc etc etc... OK. Faisons l'économie de tout ça (et de l'oeuvre entière de Despentes bien sûr), et surtout de l'ironie du propos. Voilà ce que moi j'aimerais vous dire de l'oeuvre de Despentes : C'est sa vision sur ce qu'implique la sexualité au sein des rapports homme-femme. Vision en lien direct avec sa propre vie. Son viol, sa prostitution, son taf de critique de films pornographiques. Une vie trash, à l'origine de sa plume. En parlant de son viol elle dit d'ailleurs : « J'imagine toujours pouvoir un jour en finir avec ça. Liquider l'événement, le vider, l'épuiser. Impossible. Il est fondateur. de ce que je suis en tant qu'écrivain, en tant que femme qui n'en est plus tout à fait une. C'est en même temps ce qui me défigure, et ce qui me constitue. » C'est toujours un peu gênant pour moi d'apprécier une plume dont l'origine est violemment dégueulasse, mais j'aime lire pour comprendre mon voisin au même titre que la personne vivant aux antipodes. Virginie Despentes est donc à mes yeux un écrivain utile, nous jetant en pleine face ce qu'on se refuse parfois à admettre. J'ai envie d'arrêter d'user de l'expression «paire de couilles» pour parler de courage. Arrêter cette association systématique du courage avec le masculin. Parce que comme le dit Virginie : « Il y a des hommes plutôt faits pour la cueillette, la décoration d'intérieur et les enfants au parc, et des femmes bâties pour aller trépaner le mammouth, faire du bruit et des embuscades. » Évidemment le lecteur n'est pas obligé d'être en accord avec toutes les réflexions énoncées, mais je vous promets que c'est autrement plus pertinent que le discours de la femme qui se croit au top de l'humour revendicatif en faisant imprimer le mot « connasse » sur son T-shirt. Cette critique est celle d'une mienne amie lectrice. Vous voulez critiquer ? Lisez. Le bouquin, entier. Et l'article complet du monde. Histoire de ne pas user de malhonnêteté intellectuelle.

Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. » Baudelaire - Le spleen de Paris XXIII

Tu as déjà lu bien pire que ça

Pour revenir sur "Madame Diogène", ce bouquin est un vrai livre d'horreur. L'auteur est incroyable, c'est fou de se plonger comme ça dans les méandres mentaux d'une personne, sur fond de crasse absolue (syndrôme de diogène). C'est un sacré tour de force de l'auteur. Il y a "l'héroïne", et il y a tous les autres, le récit est souvent dérangeant, et attention, pas pour les personnes délicates, il y a des descriptions pour lesquelles il s'agit d'avoir de l'estomac J'ai pris :

Retour au sujet. Merci.

Je ne crois pas que tu aies participé à ce fil à l'époque :

Alors avant de répondre la prochaine fois lis-moi correctement. Je n'ai en aucun cas dit que Grenoble c'est le paradis. J'ai dit : c'est pas le tiers-monde. Ras le bol de ces exagérations. J'aurais dit la même chose pour n'importe quelle ville de France tu l'as compris ça ? Aucune ville en France ne représente le tiers-monde, stop. Voilà ce que j'ai dit. Ensuite au passage j'ai fait l'éloge de la région gérée par Wauquiez et oh ! Miracle, @new caravage là dessus est d'accord. Mais pas toi ? Chez moi aussi c'est une autre France. Pour autant, même la Courneuve pour moi c'est pas le tiers-monde. Non, la france ni aucune de ses villes n'est pauvre et en voie de développement, soit la définition pour tiers-monde. Tu peux, comme dans beaucoup de villes il y a de la délinquance de toute nature, de la criminalité. Grenoble est une ville qui a beaucoup fait parler d'elle ces derniers temps, il est question de sa politique.

Si Grenoble c'est le tiers-monde, ta cambrousse c'est quoi alors ? @Morfou Merde à la fin les mots ont un sens. UN SENS. Ras le bol que des gens ne sachent plus utiliser le vocabulaire correctement. Genre "la France est une dictature" et j'en passe, des trucs qui font sauter au plafond, et maintenant Grenoble c'est le tiers-monde ! .. Non mais ça va là. On est sur un forum de discussion, mais bon si maintenant les mots n'ont plus d'importance..

Et toi tu es capable sans sourciller de dire que Grenoble, c'est le tiers-monde ? Tu le dis ça ? Grenoble c'est le tiers-monde ? Parce-que c'est ça qu'il dit et que je conteste. Et c'est moi qui exagère ?