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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Mórrígan

    Les grévistes sadiques

    Je ne me plains, je constate. Manifester pour n'obtenir que du vent, grandiose ! Au final, ces braves gens paralysent encore et toujours une grosse portion de la population active -ou moins active- pour rien. Ils devraient peut-être changer leurs méthodes ou bien revoir leurs positions... c'est une idée. N.B : Si vous êtes psychorigide au point de ne pas tolérer le langage imagé, c'est votre problème, pas le mien *sourire* Je vous sens un peu dans l'embarras-là... Allez, j'arrête ici, je n'ai pas pour habitude de lyncher les petits papy, même virtuellement. Usuellement, je les aide à traverser la route, ou bien encore à dégoter quelconque conserve qu'un employé sadique de supérette aura placé pernicieusement en hauteur *sourire en coin*
  2. Mórrígan

    Les grévistes sadiques

    Veuillez nous rappeler les revendications de ces grévistes, je vous prie ?
  3. Mórrígan

    Les grévistes sadiques

    Chipoter sur les termes pour exister virtuellement... mon pauvre pléiosaure. Je n'ai pas plus de sympathie pour les cheminots, que je n'en ai pour le personnel naviguant. Ce sont des branleurs qui prennent l'usager en otage, oui parfaitement.
  4. Mórrígan

    Les grévistes sadiques

    Pour la concurrence, il faudra attendre 2019. L'usager sera toujours pris en otage, trouver d'autres moyens pour se déplacer autant que faire se peut.
  5. Une chimère. Ordre et pouvoir font tourner le monde. Une heure d'anarchisme, voire même 10 minutes suffiraient à démontrer à quel point ce système est peu viable.
  6. Les policiers sont en effet censés être exemplaires, même en dehors de leur temps de travail, être de "super citoyens"... il me semble qu'ils ont aussi droit de verbaliser alors qu'ils sont en civil, s'ils constatent une infraction. Des droits et des devoirs, mais surtout des devoirs. Ce phénomène de délation via les réseaux sociaux est intéressant, nécessaire parfois, comme on l'a vu notamment il y a peu avec cet enflure qui balançait les chats contre les murs.
  7. Celle du moment > https://www.youtube.com/watch?v=fSPOCVjla_4
  8. 12 semaines en cas de viol, 22 si il y a malformation(s) du foetus, et aucune limite dans le temps s'il est considéré que la grossesse puisse être un danger pour la mère, sur le plan psychologique ou physique. Psychologique...un peu vague. Si l'on en croit certains reportages menés (Envoyé spécial, il me semble), il y a quelques temps, c'est malheureusement tout à fait possible : crise cardiaque "artificielle" puis accouchement par voies naturelles.
  9. Au premier coup d'oeil, cette publicité semble excessive, néanmoins il semblerait qu'en Espagne, il soit possible d'avorter jusqu'à 8 mois de grossesse. À 8 mois, le foetus a achevé sa formation, ou presque. Certaines femmes accouchent à 8 mois. Si je suis, en règle générale, pour l'avortement, là ce n'est plus le même débat, je comprends tout à fait que cela émeuve et qu'il y ait des manifestations. Chez nous, par contre, je ne vois pas le moindre intérêt aux manifestations : 3 mois, cela semble tout à fait acceptable, et très souvent nécessaire en cas de viol, ou d'accident de parcours. Ensuite rares sont les femmes qui se servent de l'IVG comme moyen de contraception. Il y a bien quelques irresponsables, certes, ou des personnes très mal informées, mais si on regarde déjà dans son entourage, on s'apercevra qu'il n'y en a pas tant que cela. Personnellement, sur la masse de mes connaissances féminines, je n'en connais qu'une : pas de pilule, ni stérilet, ni encore d'implant...et encore moins de préservatif, bien qu'elle change souvent de partenaire (ce qui est bien inquiétant). Une "hyper fertile", comme elle se définit...il faut avouer qu'elle n'y met pas beaucoup du sien ; pourtant elle reste un cas exceptionnel. La plupart des femmes sont bien plus responsables, ou beaucoup moins givrées. Une campagne de sensibilisation, d'information plus récurrente, plus rigoureuse, plus dynamique, me semblerait judicieuse, non seulement pour présenter les différents moyens de contraception, prévenir de grossesses non désirées et d'autre part pour revenir sur cette maladie irréversible, que tout le monde semble avoir oublié : le sida.
  10. La sphère privée induit l'intimité. Dès lors qu'il n'y a plus d'intimité, il n'y a plus de sphère privée : on s'expose de fait publiquement au regard, parfois au jugement, voire même à l'intervention des autres. Logiquement l'Etat devrait être bienveillant, non invasif, dans la limite du possible. Il devrait intervenir quand c'est absolument nécessaire, pour la sécurité des citoyens et même du foyer. Puisque l'on est à l'heure des parallèles, il y a encore quelques temps, les violences conjugales n'étaient pas considérées comme infractions, elles faisaient partie des aléas de la vie du couple. "Interdire" à l'un ou l'autre des conjoints de battre sa moitié, dans les débuts, a soulevé bien des polémiques (les mêmes : atteintes à la liberté, à la sphère privée), cependant cela reste une avancée. Personnellement, je reste convaincue que la fessée n'est pas une solution. Je suis partagée en ce qui concerne ce projet de loi, pas complètement contre, ni complètement pour d'ailleurs. Il faudrait faire le distinguo entre les parents qui craquent, une fois, deux fois, et ceux qui sont persuadés que c'est la clé de l'éducation, que plus le fessier sera rouge, mieux l'enfant aura compris. Ensuite "fumez", "mangez gras, ne bougez pas", "ne mettez pas votre sa ceinture de sécurité" tant que cela n'engage que vous. Par contre, à partir du moment où vous faites de vos enfants -ou d'autres adultes- des fumeurs passifs, obèses avec tous les problèmes de santé que cela induit, si vous devenez projectile puisque vous n'avez pas accroché votre ceinture, ou que vos enfants le deviennent puisque vous n'avez pas accroché la leur ou vérifié qu'ils l'ont bien fait, tuant au passage d'autres usagers : vous êtes responsable. Dans ces trois exemples, précisément, je n'y vois pas d'infantilisation, mais de la prévention, du bon sens aussi. On devrait tous se dire que faire un enfant est une grande responsabilité et y faire attention comme à la prunelle de nos yeux. Même si on voit souvent des choses atroces dans les faits divers, la plupart des parents sont responsables. Délivrer un permis de faire des enfants relèverait de la science fiction, ou de la dictature... le peuple se serait soulevé bien avant cela.
  11. Les enfants ne sont pas en sucre, certes, mais cela marque quand même et pas que sur la peau. Nul n'est infaillible, on peut déraper, mais de là à en faire un moyen de correction, de dissuasion...non. À mon sens, les enfants ne devraient pas vivre perpétuellement dans la crainte de prendre une, je ne trouve pas cela épanouissant. Il est important d'établir les limites, ça peut aussi se faire sans violence, c'est même mieux. N. B : on peut être réactionnaire, et vieux con à la fois ?
  12. Tous les parents qui n'utilisent pas la fessée comme "moyen d'éducation" ou "acte symbolique", si vous voulez, ne sont pas laxistes pour autant. Il y a bien d'autres options. D'autres ont été traumatisés de recevoir des fessées, certains le reprochent à leurs parents quand ils grandissent, certains leur tournent carrément le dos...et certains trouvent cela tout à fait normal, voire reproduisent. Nous avons tous des sensibilités différentes. Je suis d'accord sur le fond, on ne devrait pas avoir à légiférer là-dessus, néanmoins quand je suis témoin de ce genre de "traitement"-certains parents ne se gênant pas pour fesser leur enfant en public, voire même de le déculotter carrément pour ce faire- je ne peux rester passive et insensible. Je pars du principe dès lors qu'il n'est plus possible aussi d'invoquer la sphère privée, la liberté.
  13. Elle reste humiliante. Faire des lignes, sortir d'un jeu, aller au coin, par exemple, sont des punitions vexantes. La fessée soulage le parent qui a la main qui démange, et n'apprend strictement rien à l'enfant...mis à part qu'il doit le craindre. Je trouve toujours dommage de devoir légiférer, néanmoins quand je lis votre discours, je me dis que finalement ce n'est pas plus mal.
  14. Un enfant est un adulte en devenir, qui peut tout à fait comprendre qu'il a fait une bêtise quand on lui explique correctement. La fessée, en plus de la douleur cuisante, reste humiliante et totalement inutile.
  15. La nuance, vous connaissez ?
  16. Contre. La fessée ne sert qu'à soulager les parents frustrés, excédés, qui ne savent pas communiquer. Il ne devrait pas être nécessaire de légiférer.
  17. Des bons à rien qui lisent La Redoute, à longueur de journée, pendant que les gamins sont occupés à l'autodictée... *sourire* Il n'y a pas que des fonctionnaires qui ne fichent rien... et il semble aussi bien difficile de ne rien faire quand on doit capter l'attention d'un groupe, canaliser des individus. Quiconque se voit lésé d'un jour de congé, peste, enseignant ou non : c'est humain. Il est plutôt hypocrite de pointer les enseignants du doigt. Une pré-rentrée le vendredi aurait été illogique, ils ont obtenu gain de cause, tant mieux pour eux.
  18. Les pleutres ont peut-être l'instinct de survie...Six coups de couteau tout même, il a plutôt de la chance de s'en être sorti. Tous les "super" citoyens ne s'en sortent pas si bien.
  19. Les gens tiennent simplement à la vie, la délinquance étant de plus en plus inconsciente. Je ne pense pas que cela soit condamnable, humainement parlant, même si confrontées à ce genre d'individus on aimerait toutes être secourues. Ce qui l'est, par contre, c'est de n'avoir alerté personne...ça ne coûte pas plus cher qu'un appel, et ça ne prend que quelques secondes.
  20. Je m'inquiète vraiment pour Tyrion d'un côté, Cerseï a l'air plutôt déterminée à le faire décapiter (au mieux), et pour Sansa de l'autre. Je vois bien Baelish assassiner sa nouvelle épouse, noyer le gosse et contraindre Sansa. Que Cerseï accepte d'épouser l'autre bellâtre aussi facilement, ça m'intrigue aussi... elle mijote quelque chose c'est évident.
  21. "L'Etat ne peut discriminer en fonction des opinions individuelles" : c'est cuit ! En dehors de toute idéologie religieuse, sur le plan esthétique uniquement, je trouve la statue plutôt réussie.
  22. Placeraient, batailleraient, perdraient et finiraient : au conditionnel, cela reste de l'hypothétique. En espérant qu'on en arrive jamais là. On ne peut raisonnablement faire endosser, invariablement, aux psychiatres la responsabilité du suicide de leurs patients.
  23. Un jean boyfriend, ou un pantalon chino, il faut souvent faire les revers soi-même. En fait ça marche avec tout pantalon un peu large, dont la matière est souple. On en trouve dans les "jeaneries" , mais il me semble en avoir vu chez Zara, Vero Moda également ainsi qu'Esprit. Au pire reste Zalando... Et oui ça se fait toujours.
  24. Avant d'envoyer automatiquement -ou presque- tout ce petit monde en HP, il faudrait encore qu'il reste des pratiquants : Y aurait-il encore assez de "fous" pour exercer, avec ce risque de devoir endosser inextricablement la responsabilité de suicides, aux vues de la patientèle ? Je comprends bien que le sujet puisse susciter de vives émotions, néanmoins quand on est dans l'émotion, généralement, on n'est pas dans le vrai, l'objectif. On parle des deux, mais des psychanalystes et des psychothérapeutes également : c'est un terme fourre-tout. C'est de là que naît souvent la confusion. Le psychiatre est le seul docteur en médecine, il est aussi le seul à pouvoir prescrire des médicaments.
  25. Bonjour, Je n'aime pas tout ce que fait Apocalyptica (pour exemple, ils ont massacré Stairway to heaven, à mon goût), néanmoins certains morceaux se laissent écouter (celui-ci, Lullaby, Walk the mountain king, I don't care...). Dans le genre il y a également 2Cellos (peut-être que cela passera mieux) > C'est dingue tout ce que l'on peut faire avec un violoncelle...
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