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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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La France est un pays foncièrement catholique. Pour le pire et le meilleur. Que nous le voulions ou non, que nous tentions d'y échapper ou non. Nous pouvons nous en préserver dans une moindre mesure, favorisant l'entre-soi, bien entendu. Nous ne pouvons vivre repliés sur nous-mêmes toute une vie. Les religions ont montré comment elles ont soumis les hommes et avilis les femmes, au fil des siècles. Nous subissons encore leurs regards inquisiteurs. Nous avons évoqué tous deux récemment le slut shaming, il me semble. Vous citez vraiment comme un pied et nous tournons en rond... chose récurrente avec vous. Je vous laisse poursuivre votre guerre d'usure sémantique, avec qui le voudra bien. C'est inintéressant pour moi.
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J'opte aussi : pour nous pourrir la vie.
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Ce fut son choix... nous pouvons ensuite nous questionner quant au message et son dessein bien évidemment. Cela fait penser aux témoins de Jéhovah et leur rejet de la médecine. Après tout, les religions sont aussi des sectes qui ont réussi. Vous ne contestez pas être un menteur et être secoué par des crises d'autoritarisme. L'acceptation. C'est bien, vous êtes en bonne voie. J'écris en effet, que le nombre d'IVG est resté stable, mais je ne suis pas la seule (pour le reste vous versez dans le sophisme et crétin qui plus est) : Le nombre d'IVG est resté stable en France en 2017 Par LEXPRESS.fr avec AFP 216 700 avortements ont eu lieu en 2017, selon une étude de la Drees. Les IVG médicamenteuses sont en augmentation. Le nombre des IVG en France était stable en 2017. Les femmes de 20 à 24 ans ont cependant le plus recours à l'avortement. Si l'on en croît une étude de la Drees publiée vendredi, de fortes disparités régionales existent et on note la progression des IVG médicamenteuses. 216 700 avortements ont été réalisés en France en 2017. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/une-ivg-pour-quatre-naissances-en-france-en-2017_2037511.html Le nombre d'IVG reste stable en France, mais varie beaucoup selon les régions Les femmes recourent davantage à l'IVG en outre-mer, en région parisienne et dans le Sud que dans les autres régions. "L'IVG est un droit." Marlène Schiappa l'avait rappelé, début septembre, en écho à la situation à l'hôpital de Bailleul (Sarthe). Au mois de janvier, l'établissement avait indiqué ne plus pouvoir pratiquer d'IVG car trois de ses quatre obstétriciens avaient fait jouer leur clause de conscience. La secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les hommes et les femmes avait annoncé à la rentrée que l'IVG pourrait à nouveau y être pratiquée. C'est dans ce contexte qu'a été publiée vendredi 28 septembre l'étude annuelle sur l'état de l'IVG en France. Menée par le ministère des Solidarités et de la Santé et la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), elle observe que le nombre d'avortements n'a guère varié depuis une quinzaine d'années. En revanche, sa pratique change. Voici les principaux chiffres à retenir de cette étude. https://www.francetvinfo.fr/societe/ivg/le-nombre-d-ivg-reste-stable-en-france-mais-varie-beaucoup-selon-les-regions_2960943.html Les deux tiers des IVG se font sans chirurgie, et une sur cinq hors de l’hôpital Le nombre d’IVG reste stable en 2017, mais plus des deux tiers sont désormais médicamenteuses, et peuvent être pratiquées en cabinet ou centre médical. Depuis janvier 2018, l’hôpital du Bailleul (Sarthe) ne pratiquait plus d’interruptions volontaires de grossesse (IVG), car trois médecins avaient fait valoir leur clause de conscience. La secrétaire d’Etat à l’égalité entre les hommes et les femmes, Marlène Schiappa, est intervenue au début de septembre pour faire reprendre l’activité, soulignant que « l’IVG est un droit » qui doit être effectif sur tout le territoire. Comment se traduit-il concrètement ? Comment sont prises en charge les femmes qui souhaitent avorter en France ? Une étude, publiée vendredi 28 septembre par le ministère de la santé, montre à quel point la pratique a changé en quinze ans, alors que, paradoxalement, le nombre de femmes concernées varie peu. 1 – Une étonnante stabilité des IVG Depuis les années 1990, le nombre d’avortements évolue très peu, et oscille entre 215 000 et 230 000 en France. Une stabilité repérée et étudiée depuis plusieurs années par les démographes, malgré le large recours aux moyens de contraception. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/09/28/les-deux-tiers-des-ivg-se-font-sans-chirurgie-et-une-sur-cinq-hors-de-l-hopital_5361262_4355770.html
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The Place Where We Are Right by Yehuda Amichai From the place where we are right Flowers will never grow In the spring. The place where we are right Is hard and trampled Like a yard. But doubts and loves Dig up the world Like a mole, a plow. And a whisper will be heard in the place Where the ruined House once stood.
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Écrire de @libredeparler qu'il est féministe... malheur ! ^^
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Au sujet du préservatif ?
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Personne ne lui demande de faire un limbo avec Vincent Mc Doom. Il y a eu des papes toujours très accrochés à leur doctrine (forcément), néanmoins beaucoup moins offensifs, virulents que le pape François. Vos crises d'autoritarisme n'ont aucun effet sur moi. À l'instar du mensonge -dont vous usez aussi- elles servent à des adultes qui en usent afin de manipuler des petits enfants. Pathétique. À votre différence, je ne balance(rai) pas de graphiques sans observations et conclusion, sans doute puisque cela n'a ni sens, ni intérêt. Vous fermez les yeux sur les causes quand elles ne vous siéent pas. Je cherche des solutions et invite toutes les femmes à changer de moyen de contraception quand il a montré ses failles. D'en combiner plusieurs également.
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Le patriarcat est encore très présent, entretenu, encensé, promulgué par la religion. Patriarcat (tout comme matriarcat) montre ses failles. Tout le monde a toujours à pâtir. Il reste toute une culture misogyne à démanteler. Le féminisme n'aurait pas raison d'être si les femmes étaient réellement respectées, admises en tant qu'égales. Nos rapports vont vers le mieux. Le féminisme vous a également apporté, finalement. L'histoire des droits accordés également aux femmes est très récente (droit de vote, droit de disposer d'un compte bancaire personnel, droit de disposer de son propre corps etc...). Toute une culture misogyne a amplement eu le temps de tisser sa toile, de s'enraciner. On n'efface pas des millénaires d'un simple revers de la main. Les mentalités évoluent toujours très lentement. Il y a le droit effectivement, mais il y a aussi les faits. La Justice reste impuissante tant il s'agit de délits et crimes sexuels. Elle peine vraiment à les reconnaître, même quand il s'agit de mineure (il n'y a pas de droit de l'Enfant à proprement parler... au pays des droits de l'Homme). Ces affaires qui ont boulversé, détruit des vies, ne l'ont pas intéressée et aujourd'hui alors que nous avons plus de matière et de voix, j'ai bon espoir afin qu'elle se ressaisisse. Est-il réellement utile de développer ainsi quant aux violences à l'endroit des femmes dans l'espace public, l'espace professionnel et encore la sphère privée ? Je n'aurais pas assez de mes congés annuels pour tout lister... Quand je lance un regard à quelques unes de mes voisines européennes (ukrainiennes, italiennes, irlandaises, espagnoles...), je tremble. Il est à constater que là où s'installe le populisme, les droits des femmes régressent. La plupart des masculinistes, sont aussi populistes. Si le parricide a fait sa sortie du code pénal, pourquoi est-ce que le terme féminicide devrait y faire son entrée ? Ces deux termes ont fait toute place dans le langage commun, et que nous les aimions ou non (pour les raisons qui nous regardent), force est de constater qu'ils ont un effet immédiat sur nos consciences. J'émets plus de réserve quant au crime passionnel, qui n'a pas lieu d'être et que nous conservons, auquel nous nous accrochons, tels de véritables taxidermistes. Il y a de véritables feignasses, homme comme femme (au sujet des tâches ménagères) et traditionnellement, les femmes en sont toujours chargées, sous prétexte d'altérité ou de partage des tâches en fonction du genre. La Femme aux fourneaux, pendant que l'homme coupe du bois et va chasser l'ours, il va de soi. Des boniches d'un côté, des empotés de l'autre. Il y a quelques années de cela, sous la présidence Hollande, j'ai eu peine à dissimuler un sourire suite à la diffusion d'un message de Najat Vallaud-Belkacem, quant aux violences ménagères (puisque je ne les vivais pas et ne les vis toujours pas actuellement). Mes aïeules l'on vécue/le vivent encore. Des femmes de ma génération aussi, et des plus jeunes. Je m'efforce depuis à ne plus être égocentrée et prends en compte ce que vivent d'autres femmes. En ce qui concerne la discrimnation positive, elle reste à double tranchant, à mon sens, et donnera ainsi des arguments à ceux (et celles, malheureusement aussi) qui estiment qu'une femme ou qu'une personne d'une ethnie différente ne mérite pas son poste. Il peut en découler le sentiment d'être imposteur. Ce sont les mentalités qu'il faut faire évoluer, ça ne passe pas nécessairement par la loi (même si cela prend toujours du temps, une fois encore). Vous ne vous êtes pas reconnu dans les extraits cités et les liens fournis ? C'est étonnant, vous nous servez exactement la même soupe masculiniste pourtant. Ce qui explique peut-être un texte si confus, qui a tout l'aspect du bloc. Pas engageant. Du tout. Vous seriez intéressé par les publications scientifiques... et vous nous proposez tout un panel d'articles tirés de blogs et médias mainstream (quelle cohérence !). Fort bien, je vous invite à lire Cairn (3ème lien), c'est un concurrent d'Elsevier-Masson. Ces femmes et ces hommes ne sont-ils tout simplement pas... justes ? L'appartenance à l'un ou l'autre des extrêmes a tendance à prédominer. Vous vous retrouvez avec des militantes d'extrême-gauche (dites féministes) et le discours sera surtout orienté lutte des classes et LGTB. Vous vous retrouvez avec des militantes d'extrême-droite (dites féministes) et le discours sera surtout orienté immigration et tradition.
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Imbitable (ou imbittable) n'est un jeu de mot, ni même un néologisme. Ouvrez un dictionnaire (ça ne mord pas, promis). Votre message initial est lourd et le style peu entraînant. La syntaxe, hasardeuse. Si bien, que l'on vous lit, avec grand peine. C'est ce qu'il fallait comprendre en préambule. Ensuite, vous êtes lisiblement confit dans votre paranoïa, de laquelle découle un manque d'objectivité évident : la société actuelle n'est en rien matriarcale, ni gynocentrée. Nous faisons place à une société plus égalitaire, mais alors vraiment tout doucement. En résumé, les masculinistes, meninistes, hoministes ne sont qu'histoires de loosers revanchards. Fort heureusement, à l'inverse, des hommes sont très fréquentables. Un point sur ces mouvements portés par des masculins contrariés (en vous souhaitant une agréable lecture) : "Les récentes actions des superhéros de Fathers for Justice, qui ont escaladé la croix du Mont-Royal et le pont Jacques-Cartier, ont contribué à propulser à une plus grande échelle un discours masculiniste selon lequel les hommes seraient en désarroi et victimes de discrimination sur la base de leur sexe. Le but de cet article est de donner un portrait général de ce phénomène, en s’attardant à un aspect de leur discours : le droit des pères. L’année 2005 a connu plusieurs manifestations de ces groupes, notamment la tenue à Montréal de la deuxième édition du congrès Paroles d’hommes ainsi que le dépôt de plusieurs mémoires masculinistes à la Commission parlementaire sur la réforme du Conseil du Statut de la femme. Bien que ces masculinistes soient très peu nombreux, nous avons l’impression qu’ils forment un mouvement. Or, ce n’est pas le cas. On estime à une vingtaine le nombre de groupes les plus actifs au Québec, et le même nombre de personnes graviteraient autour de ces groupes. Leurs efforts soutenus pour se faire connaître à travers les médias, particulièrement l’Internet, donnent l’impression qu’ils sont plus présents et importants que dans la réalité. Qu’est-ce que le masculinisme ? Il est important de spécifier que les masculinistes ne se définissent pas comme tels, notamment parce que ce terme a été introduit par une féministe afin de définir un « nouveau » type de regroupements d’hommes [1]. En 1989, Michèle Le Doeuff définissait le « masculinisme » comme un « particularisme qui non seulement n’envisage que l’histoire ou la vie sociale des hommes, mais encore double cette limitation d’une affirmation (il n’y a qu’eux qui comptent et leur point de vue). » [2] C’est à la fin des années 50, par l’entremise des revues Playboy et Penthouse, que se forment les premiers groupes « masculinistes ». Ces revues publient des articles portant sur des pères divorcés se disant victimes de leur ex-conjointe. Le partage des biens après le divorce et le paiement des pensions alimentaires représenteraient pour eux une injustice criante. Si le premier cheval de bataille des masculinistes se base sur les revendications concernant le droit des pères séparés ou divorcés, il ne s’agit pas d’un hasard. L’équivalent du féminisme ? Les masculinistes partent du postulat selon lequel l’égalité entre les femmes et les hommes serait atteinte. Suivant ce constat, les hommes seraient susceptibles de vivre autant de discriminations que les femmes. Plusieurs vont jusqu’à dire que les hommes seraient victimes des « excès » des femmes, plus particulièrement des féministes, voire qu’ils subiraient un système matriarcal. De fait, non seulement les masculinistes ne reconnaissent pas la discrimination systémique que vivent les femmes, mais ils tentent souvent de se l’approprier à leur avantage. Il est facile d’observer que certaines catégories de personnes subissent de la discrimination en raison de leur statut social : les Autochtones, les ouvriers et ouvrières, les sans-abri ou les femmes. Or, les masculinistes tentent de faire croire que les hommes seraient discriminés en tant que groupe social. La situation est alors inversée : le dominant devient dominé sous prétexte qu’il subit une souffrance qui serait propre aux hommes. Le plus souvent, les masculinistes prennent en exemple des cas individuels et les généralisent à l’ensemble des hommes. Pourtant, on ne peut élaborer une théorie des rapports sociaux uniquement sur la base d’une souffrance personnelle. Comme le dit Jean-Claude St-Amant : « Oui, il y a des discriminations sur la base de la classe sociale où des hommes sont aussi victimes, mais ils ne le sont pas en tant qu’hommes. » [3] Ainsi, contrairement à ce que plusieurs croient, le masculinisme n’est pas l’équivalent du féminisme. Il s’agit plutôt d’une contre-attaque de quelques hommes face au projet féministe de redéfinition des rapports sociaux." https://www.ababord.org/Le-masculinisme-ou-comment-faire Pères « perchés dans les grues », « concept d’aliénation parentale », « crise de l’identité masculine »… Régulièrement les médias relayent la pensée masculiniste. Quels sont ses leviers idéologiques et quels risques pour l’égalité femmes-hommes ? Souvent proposé comme une réponse symétrique au mouvement social d’émancipation des femmes, le masculinisme – terme polysémique désignant à la fois, selon les contextes et les époques, le processus par lequel des féministes chercheraient à transformer les femmes en hommes, ou celui de l’hybridation des sexes – consiste en une forme d’antiféminisme, qui prétend que les hommes souffrent à cause des femmes et des féministes. Ainsi, le masculinisme peut être actuellement circonscrit comme qualifiant «le mouvement par et pour les hommes, se mobilisant contre le féminisme» 1. Les femmes seraient allées trop loin, et auraient aujourd’hui «trop de droits», dans un contexte d’«égalité déjà là» 2. Paternité conservatrice Ce contre-mouvement social semble trouver son origine dans des regroupements divers d’hommes, autour de réflexions sur la masculinité en tant que père. Selon Arsenault et SaintPierre, «C’est à la fin des années 50, par l’entremise des revues Playboy et Penthouse, que se forment les premiers groupes ‘masculinistes’. Ces revues publient des articles portant sur des pères divorcés se disant victimes de leur ex-conjointe. Le partage des biens après le divorce et le paiement des pensions alimentaires représenteraient pour eux une injustice criante»3. https://ligue-enseignement.be/le-masculinisme-une-histoire-de-la-masculinite-reactionnaire/ "Le Québec est considéré comme un lieu phare du féminisme, un de ceux où les acquis sont les plus importants. Cela n’a pas fait disparaître chez certains hommes un « antiféminisme » virulent qui va jusqu’à la constitution de groupes dits « masculinistes » au nom des supposés excès de l’émancipation des femmes. 2Le Québec est connu pour être l’un des lieux où le féminisme a remporté les gains les plus spectaculaires. Au nom des principes d’égalité, de liberté, de justice et de solidarité, des hommes se réjouissent de ces victoires. Ils sentent aussi que ce mouvement a eu un impact positif sur leurs structures identitaires, puisqu’il les a libérés des rôles stéréotypés dans lesquels l’idéologie patriarcale les enfermait. Le féminisme est toutefois dénoncé avec vigueur par d’autres hommes à l’attitude réactionnaire et marquée de ressentiment pour qui la déstructuration des identités traditionnelles féminines et masculines par les féministes a eu un effet catastrophique sur la société en général et sur les hommes particulier. S’ils admettent du bout des lèvres que le féminisme avait bien sa raison d’être au départ, ils martèlent que le féminisme serait allé « trop loin ». Épaulés par des femmes antiféministes comme Denise Bombardier, ces hommes utilisent tous les médias pour diffuser leur discours et ils mettent sur pied des groupes « masculinistes » (c’est le terme qu’ils utilisent). Il est bien sûr légitime pour des hommes en quête d’eux-mêmes de se donner des moyens collectifs pour y voir plus clair et de prendre part au débat public, mais il est problématique de constater que plusieurs de ces groupes se sont transformés en machines de guerre contre le féminisme et se sont inscrits dans le ressac antiféministe qui a soufflé sur l’Amérique du Nord dans les années 1980 et 1990 [1]" https://www.cairn.info/revue-mouvements-2004-1-page-70.htm "Notre dernier « Vie de baise » racontait l’histoire de Stéphane, 27 ans, « loser » en sexe, en amour et en relations sociales. Dans l’espace réservé aux commentaires (transformé en ring violent entre les empathiques et les apathiques), le riverain Osmeo a commenté : « Au-delà de sa timidité, on trouve quand même les quelques traces du discours qui montent chez les “menimistes” d’Internet dont on trouve les branches dans le GamerGate ou sur 9gag. Surtout la partie avec les coaches en séduction : les “pick-up artistes” sont un vrai refuge à la misogynie. » En l’espace d’un commentaire, Osmeo a placé deux expressions non référencées dans mon cerveau : « pick-up artistes » (fort heureusement, on le trouve sur Wikipedia) et « menimistes » (drame, on ne le trouve pas sur Wikipedia) https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-rue69/20150622.RUE9564/meniniste-masculiniste-hoministe-quel-supremaciste-male-etes-vous.html Mais aussi : https://www.liberation.fr/france/2019/06/02/avec-les-masculinistes-un-veritable-hetero-doit-etre-capable-de-bander-sur-des-filles-moyennes_1728136 http://www.slate.fr/story/163493/societe-ecole-major-formation-hommes-masculinite-julien-rochedy-front-national-masculinisme https://journals.openedition.org/sociologies/6620
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Sachez, chère Morfou, que vos c(h)ouinements sont tout à fait délicieux. Les mots permettent d'ironiser sur tout. Non seulement ce n'est pas jojo -et ça l'est encore moins dans le cadre d'une IVG médicamenteuse, davantage préconisée- mais en plus, c'est minuscule. L'interruption de grossesse (autant volontaire, que médicale) est légale sur nos terres et dans un cadre bien défini. Et pourtant, elle est encore vécue comme une transgression. Il faut bien dire que les fanatiques ne manquent jamais une occasion de culpabiliser, de moraliser les femmes. Le but étant d'exercer un véritable contrôle sur nos ventres. Nous observons aussi une corrélation entre montées du populisme et réduction des droits et libertés des femmes, dans le monde, en Europe. Tant on parle d'iVG, il y a un mot qui a toute son importance, que les bigots et leurs sympathisants feignent d'oublier : volontaire. C'est la volonté de ces femmes, là où eux souhaitent les obliger. Bien sûr que les mots ont toute leur importance (même si cela n'arrange pas vos affaires), d'autant que certains sont véritablement assassins (les mots, je ne vous parle pas des praticiens, ndlr). Personne n'emploie le terme foeticide au dehors du cadre de l'IMG, lors du rendez-vous. Un peu d'empathie, pour ces femmes (enfin !). Les femmes ne vont pas à l'hôpital ou chez le médecin, dans l'optique d'un IVG, le coeur léger. Nombre d'entre elles ont eu le sentiment de quémander leur droit ou de passer un examen oral. Ce qui n'est pas normal, en France. Vos collègues -même si elles font attention à l'emploi de certains termes- n'en restent pas moins invasives et moralisatrices. Des femmes, bien dans leur vie, des cadres, en profession libérale, tout comme des jeunes filles (parce que cela peut arriver à tout le monde, oui) toutes en grande détresse face à une grossesse non désirée, sont écrasées quotidiennement par ce personnel semblant souffrir d'un défaut d'empathie. Manque de formation peut-être, à moins que ces services n'abritent pas mal de vieilles biques. "Dernier" système de ban mis en place afin de donner un coup de pouce à la modération. Je ne sais plus combien de signalements il faut, ou encore si seul l'initiateur du sujet peut bannir (en attendant examen, peut-être ?). Il serait sans doute intéressant de savoir qui vous a bannie du fil. Nous pourrions être surpris... ou pas, finalement. Il est totalement aberrant de lancer des statistiques sans leurs observations et conclusion. Vous n'avez très certainement pas appris cela à l'école (y avez-vous seulement été ?). Vous les avez lancées, tout comme vous citez (à l'arrache). Fort heureusement que quelques indices ont permis de retrouver l'article. https://www.cairn.info/revue-population-2014-3-page-365.htm Donnée intéressante : "Le système statistique sanitaire français ne permet pas d’observer les inégalités sociales concernant l’IVG. Inégalités face au recours lui-même, mais également, plus en amont, inégalités face à la couverture contraceptive. Si cette dernière est très large (en 2013, seules 3 % des femmes sexuellement actives et exposées au risque de grossesse n’utilisaient aucune méthode contraceptive, Bajos et al., 2014b), les méthodes contraceptives utilisées ne sont pas toujours en adéquation avec les conditions de vie sociales, affectives et sexuelles des femmes. Le recours à ces méthodes, d’efficacité inégale, varie en fonction des caractéristiques sociodémographiques des femmes." Ces femmes -pour l'écrasante majorité donc- ont utilisé un moyen de contraception. Pourquoi dès lors qu'il est constaté une inefficacité, ne les oriente t-on pas vers d'autres méthodes contraceptives ? Pourquoi les hommes ne portent t-ils pas de préservatif ? Vous faites bien de commencer votre post par cette affreuse boule jaune au long nez. Elle est très à propos, gros menteur que vous êtes. Il suffit aussi de remonter quelques pages afin de vérifier la vilenie de vos accusations. Vous avez abusé également de la mention, à l'endroit d'un animateur qui semble avoir quitté le débat. Pinocchio... ou bien l'un des personnages de la commedia dell'arte : plus le nez du masque est long, plus le personnage est sot. Il faut manifestement l'être pour ânonner les déclarations d'un pape aussi haineux, qu'agressif : "La pape François a comparé samedi l'avortement pratiqué en cas de handicap de l'enfant à un eugénisme "en gants blancs" comme celui pratiqué par les "nazis", dénonçant le fait que "pour avoir une vie tranquille, on élimine des innocents". https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/06/16/97001-20180616FILWWW00137-le-pape-compare-certains-avortements-a-un-eugenisme-en-gants-blancs.php La liberté de penser, c'est ce qui fait hélas défaut aux plus dévots. Il n'est pas évident d'être parents d'un enfant handicapé. Et même cela, ces cagots se permettent de le juger. Ils n'ont vraiment honte de rien. Beurk. Je ne marche pas dans vos combines et conteste qu'il a été ôté quelconque liberté d'expression. Ce n'est pas faute de vous l'avoir déjà expliqué. Que dit la loi en ce qui concerne le prosélytisme religieux ? https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/contenu/piece-jointe/2016/10/2._libertes_et_interdits_dans_le_cadre_laique_0.pdf
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J'ai bien raison, bien des femmes ne sont pas anti-IVG -majoritairement- puisque ce ne sont aussi pas des arriérées. Ensuite elles y ont recours ou non. Pro vie et religion sont étroitement liés. La réalité observable. Toujours. Ah ah ah vous êtes vexée. La formule correcte c'est "Dommage que votre mère ne vous ait pas avalée". Je vous l'aurais bien retournée, mais à vrai dire je respecte autant le choix des femmes qui décident d'aller au terme de leur grossesse. La tolérance, c'est ce qui vous fait défaut, en plus du reste. Il n'y a que dans les séries pour vieillasses que l'on enjoint à suivre des thérapies sans avoir de bagages pour ce faire et chez les cas sociaux aussi. Au point où vous en êtes *sourire*
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Vous n'étiez pas protestante, vous ? Un revirement ? Vous confondez pro choix et propagande pro IVG, Henriette. À moins d'être bigotes et aigres, les femmes ne sont pas anti-IVG, en effet. N'en déplaise. Il semble surtout qu'il y ait appel. La parole, personne n'en a été privée, jusqu'à preuve du contraire. L'idée de bâillonner ces fanatiques religieux est vraiment très séduisante, il est vrai... Ah nous sommes vraiment très patients. Alexandra Lafay fait surtout son travail.
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Quel talent et quelle polyvalence ! Bravo ! Les années d'études ne sont jamais perdues. C'est un bagage, moins joli que le petit sac Chanel certes.
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Votre texte est imbitable. Halluciné, aussi. Je me suis arrêtée à "société occidentale matriarcale et gynocentrée". Lamentable.
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Trop mignon, il a les yeux de son père ! Ça donne grave l'envie de lui enfiler de suite une barboteuse "Sylvanian" ou "Playmobil".
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Vous perdez votre sang froid. Ça en serait presque touchant. Il n'est pas dérangeant qu'un groupe d'activistes viennent chercher querelle à un autre groupe d'activistes. Après tout c'est aussi ce que font les antifas et les groupuscules d'extrême-droite. C'est très commun. Quand vous nous mentionnez @Crabe_fantome ou moi, à répétition (*vous avez 12 notifications de DroitDeRéponse*), en réponse à d'autres intervenants parfois, vous avez aussi l'air d'une vieille institutrice catho mégère avec des lunettes papillon et des bas en laine. La fonction est utile. Point trop n'en faut. Il va sérieusement falloir arrêter de nous faire passer ces fanatiques religieux pour des oies blanches. Personne n'est dupe. La loi, que ces fanatiques contestent à la base (il est étrangement utile de le rappeler), est en faveur d'un choix laissé aux femmes, de la possibilité de sauver la vie des femmes. La PMA pour toutes devrait voir le jour. Ces fanatiques troublent ainsi l'ordre public en ayant procédé à une campagne de publicité prosélyte dans les couloirs du métro (l'espace public), afin de nous "alerter", prétendent-ils avec suffisance. Aux dernières nouvelles, rien n'a été affiché à nouveau, et il y a un appel : «En raison du contrat qui nous lie à la SNCF, une entreprise de service public, nous sommes soumis à une obligation de neutralité, a ainsi expliqué au Parisien Alexandra Lafay, en charge de la communication de la régie. Donc nous ne pouvons pas afficher des messages militants.» https://www.lefigaro.fr/actualite-france/publicites-d-alliance-vita-la-neutralite-du-service-public-s-applique-t-elle-a-la-regie-publicitaire-de-sncf-et-de-la-ratp-20200110 Nous devons nous efforcer d'observer une neutralité en effet quant à ce choix que devront parfois prendre des femmes (ce que certains intervenants rappellent ici, dont moi). C'est un choix personnel, intime. C'est légal. Que ces fouines retournent à leurs histoires de détournement de quêtes et de vin de messe. Cela fait plusieurs années que les chiffres en matière d'IVG sont stables. Je ne connais pour ma part, aucune femme ayant eu recours à l'IVG deux ou trois fois. Si cela arrive, il serait bénéfique d'améliorer les moyens de contraception et renouer le dialogue, informer, au lieu de tenter de faire passer des femmes pour des écervelées et des cas sociaux (ce qu'ont tendance à trop faire les culs bénis). Je n'ai pas l'intention de m'infliger ce supplice une seconde fois. Ce n'est pas vos précédents posts que je remets question et bien que je ne partage aucunement vos opinions partisanes en ce qui concerne l'utilité de ces associations prosélytes, notamment. Et encore ces affiches me dérangent. En rouge, gras et souligné, le terme que vous n'auriez pas dû "oublier" cette fois : Négligence ou manque de rigueur. C'est d'autant plus grave, que vous vous dites professionnelle. Ah oui, quand même... La lecture de la Bible, à l'instar de l'onanisme, rend sourd, manifestement. Sourd, mais pas que.
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De pire en pire. Faites un effort. Note : oui, oui, le planning familial est votre croque-mitaine personnel. Rendez-vous compte on y délivre un moyen de contraception aux jeunes filles... c’te scandale !
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Vous êtes prié de me citer correctement à l'avenir, ou bien de vous abstenir. Vous nous brandissez le planning familial telle la menace qui plane au-dessus des bonnes gens dans absolument tous les sujets traitant de près ou de loin à l'IVG. Simone Veil s'intéressait à la dignité humaine sous toutes ses formes là où vous nous servez une vieille soupe catho aigre avec des grumeaux et des glaviots dedans. Note : Je suis en accord avec les quelques lignes du planning familial tant il s'agit de défendre le choix laissé aux femmes (férocement s'il le faut). Ce n'est pas à @Crabe_fantome que je m'adresse, mais bien à vous. Prenez l'habitude de mentionner convenablement les membres de ce forum, ça fait moins pia pia d'escaliers. Vous n'avez pas traîné pour "parler", "vous", comme vous l'écrivez, de cet acte médical, dont le terme est sorti du contexte, vulgarisé et propagé notamment par des pro-vie avides de faire subir aux femmes des grossesses non désirées (et même en cas de viol et d'inceste, tant il s'agit d'extrémistes). L'IMG, cet acte médical (au motif médical), légal (encadré par la loi) et salvateur puisque mis en oeuvre quand la grossesse met en péril la santé de la femme ou quand il existe une forte probabilité que le foetus soit atteint d'une affection d'une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic. Des femmes sont décédées en Italie et en Irlande alors que l'IMG leur a été refusé. Sans surprise, le motif est toujours religieux. Quant au personnel médical, c'est d'autant plus difficile de voir un enfant qui gaspe et qui lutte pour la vie. Il n'y aucun intérêt à faire subir l'agonie néonatale, sauf à être un pur sadique emmailloté dans une religion vieille de 2000 ans. Il est important de rappeler -ou d'informer à ce stade du sujet (mandieu !)- que la grande majorité des IVG (volontaires et donc plus au motif médical) pratiqués sur notre sol, l'est par prise de médicaments abortifs (plus de la moitié en hôpitaux auquel il faut ajouter dans les 20% en cabinet médical), il est aussi préconisé jusqu'à la 5ème semaine. Communément, il s'agit de constater l'expulsion correcte de "l'oeuf" lors d'un second rendez-vous. Il s'agit toujours d'un... embryon ! Nous allons vers une prise en charge plus rapide et effective des femmes ne souhaitant pas aller à terme d'une grossesse, et non vers l'extension d'un délai. Par ailleurs, au terme du 1er trimestre, quand il s'agit de foetus cette fois, celui-ci ne mesure pas plus de... 9 cm (!) et impossible d'en distinguer correctement la tête, du tronc et des autres membres. Nous comptons 1 IVG environ pour 4 naissances. Il n'y avait aucune raison valable d'évoquer le foeticide. Vous avez toutes les chances d'être lue ici par une femme y ayant eu recours ou l'envisageant. Merci d'y aller mollo à l'avenir. Nous savons tous fort bien, que ces affiches n'ont aucun lieu d'être dans l'espace public. Le reste n'est que tartufferie. Il est très inutile de faire irruption lors de ces "conférences", les "participants" sont indécrottables, gouroutisés depuis l'enfance. Sauf à avoir envie de perdre son temps et se mêler aux odeurs de tête de ces "serre-tête-mocassins", aucun intérêt. Il faut être un peu maso, non ? Avec toutes ces églises qui brûlent sur nos terres, tous ces pauvres chrétiens crucifiés à la chaîne entre le journal de de Jean-Pierre Pernaut et les reportages du début d'après-midi, réjouissons-nous que cette communauté martyre des années 2000 ait encore l'intelligence de rester digne et ainsi de ne pas détourner les faits historiques, à leur profit.
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Je n'ai pas écrit qu'ils étaient malins... en plus du reste.
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Evidemment, il va se justifier par tous les moyens possibles et imaginables. Il y a beaucoup de témoins et des lettres. J'espère que ce sera suffisant pour la Justice.
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Oui elle. En attendant on souffle et on se concentre sur les cours *fais les gros yeux* Et on ne panique pas !
