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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Tout à fait, il n'est pas question de réduire à néant les hommes, davantage de minorer le regard masculin, qui prend toute la place. A.Coffin n'a pas écrit qu'elle se détournerait de la culture (masculine) à tout jamais (et quand bien même ce serait son problème), davantage qu'elle a l'intention de s'en détacher pour le moment, dans la mesure du possible, et afin de prioriser des oeuvres féminines. En tant que femme, il est difficile voire mortifère de se définir au travers un regard exclusivement masculin (c'est en effet celui qui domine). Il est vital pour des femmes, d'aller se chercher également ailleurs. Notre culture s'est construite en ignorant des problématiques telles que la place des femmes dans la société, et sont (enfin) mieux prises en compte (mais nous n'y sommes pas encore tout à fait). Le regard des femmes de l'Antiquité jusqu'à l'époque contemporaine, nous manque, grandement. Je conçois mal que l'on puisse "absolument pas" partager ces constats... à moins d'être hypocrite ou inculte. A.Hidalgo qui se retrouverait dans un féminisme universaliste (fondateur), semble davantage appartenir à un féminisme d'opportunisme. C'est bien vu pour Chateaubriand. A.Coffin est loin d'être une idiote et n'est pas plus une "timbrée". C'est une militante lesbienne, avant toute chose, toutefois. Quel conseil pouvez-vous donner aux jeunes femmes ?Soyez exigeantes, devenez lesbiennes ! Ou, du moins, apprenez à vous passer du regard des hommes. Le regard des hommes qui, lorsqu’il ne nous rabaisse pas, trop souvent nous fige dans un rôle, une apparence, que nous n’avons pas choisis. Le regard des hommes sur le monde aussi. Au cinéma, Laura Mulvey (critique et réalisatrice britannique et féministe) a appelé cela le male gaze, dans un essai de 1975. Le regard masculin, c’est cette façon dont les films, les livres, les médias reflètent d’abord le point de vue d’un homme. Il en va de même dans la réalité, et il faut s’en déprendre. À chacune ses techniques. Moi, j’essaie de lire en priorité des livres de femmes, de voir en priorité des films de femmes. Les représentations ont un pouvoir terrible sur nos vies. Elles les conditionnent. Se passer du regard des hommes est un immense défi. https://www.nationalgeographic.fr/photographie/2019/11/se-passer-du-regard-des-hommes-est-un-immense-defi Pour qui cela intéresse, des manuscrits inédits d'écrivaines sont à découvrir dans l'exposition "autrices écrire libres (1945-1980)" consacrée au mouvement d'émancipation des femmes dans la littérature (jusqu'au 14 novembre, Galerie Gallimard Paris-7e). Oui, l'homme de pierre, je suis là. Rolex avec un seul "l", merci. La ségrégation des hommes, rien que ça ? Ah ah ah. Ce vieux relent masculiniste... Alors adressez votre missive à la mairie de Paris, ou bien contactez Alice Coffin via Instagram, afin qu'elle puisse vous répondre. Si vous vous considérez comme un trou, madame, veuillez évitez dorénavant de généraliser votre vacuum à toutes les femmes (par avance, merci). Comme il est triste (et rétrograde) d'envisager les rapports humains uniquement sous l'angle de la reproduction ! C'est tout aussi avilissant pour des femmes, que pour des hommes.
  2. En tant qu’homme, vous sentez-vous réellement en danger ? Est-on obligé d’acheter son livre ? Les femmes achètent-elles ceux de Soral (« Vers la féminisation ? ») et de Zemmour (« Premier sexe ») ? (enfin pour les lire religieusement, pas pour se marrer). C’est bien votre titre initial -« Alice Coffin, la timbrée de la mairie de Paris »- qui posait problème et non la teneur de l’article rtl (plutôt descriptif.
  3. Pareillement, ceci dit, je n'ai jamais vraiment essayé non plus. Par contre, qu'est-ce que j'ai pu écraser des pieds (les pauvres) !
  4. "Je me retire pour leur faire une éjac' faciale, tu sais, comme dans les films pornos. Avant de jouir, ils se retireeeent" "Je me retire parce que, en fait, je m'aperçois, j'suis convaincu par tous mes amis que je serai beaucoip plus efficace et certainement beaucoup plus dangereux, d'ailleurs, pour tous ces gens-là, en étant drôle plutôt qu'en colèèèère, donc je me retire vraiment avec joie...". Cet homme est vraiment sous l'empire de l'alcool.
  5. Vous pouvez en remettre plusieurs même. Je les lis parfois, pour me divertir. Qu'est-ce qui vous permet d'affirmer cela ?
  6. Bonjour (à nouveau) Paul, C'est une traduction fort polissé. L'emploi de "man" donne le ton (plus direct et grossier). "Creepy Joe" a parfois des sursauts. Tous les américains n'ont pas extrêmement honte de Trump. Certains en sont très contents. Il y a eu un rêve américain, ce fut une nation fort inspirante. Vous remarquerez l'emploi de temps du passé. Après le passage de quelques chefs de l'État -dont Trump- une facette bien plus populiste, renfermée et craspouille de l'Amérique, nous a été révélée. Les dernières élections en France n'ont pas été bien glorieuses. Je me rappelle du débat du second tour, plutôt décevant voire choquant tant il a été médiocre. Plus le populisme s'étendra aux States, comme en Europe, plus nous aurons droit à cette médiocrité. Du moins, pour tout individu civilisé, ces sorties sont choquantes.
  7. Pour Valeurs momifiées, les féministes -indistinctement- veulent manger les enfants des hommes blancs cisgenres et se faire des colliers de leurs couilles... alors oui, évidemment qu'ils vont aller plus loin. Il serait intéressant de savoir ce qui conduit des femmes à la détestation viscérale des hommes -indistinctement- et à verser dans le prosélytisme lesbien. La folie, le racisme, personnellement, je n'y crois pas. Les représentantes lesbiennes ne sont pas plus dérangeantes que les représentants hétérosexuels, tant que tout(e) un(e) chacun(e) garde pour lui, sa sexualité. La sexualité n'est pas une carte de visite et ne devrait pas être prétexte à l'idéologie. Tout comme la religion, finalement. Puisque tout ceci relève de la sphère privée.
  8. Il est tout à fait vrai que les arts, dont la littérature, sont encore aujourd'hui monopolisés par une culture masculine. La Femme a été réduite depuis fort longtemps à la muse, condamnée à inspirer, jamais à produire. Il y a finalement si peu de Frida Kahlo, une poignée de productrices, trop peu de femmes de lettres encore. Nos classiques manquent indéniablement du point de vue féminin. C'est comme si certains avaient opacifié ou effacé une partie de la fiction, de l'histoire. Et pour qui a une véritable sensibilité pour l'égalité ainsi qu'une grande curiosité, voir ainsi réduire toute notre culture au seul point de vue d'hommes, est une vraie prison. La masculinité de domination, qui consiste à associer le masculin au pouvoir, fonctionne sur l'infériorisation du féminin (absolument toujours) et sur l'entre-soi. Le fait d'être un homme offre des solidarités tacites. Nous ne retrouvons jamais cette solidarité (tacite) chez les femmes et bien au contraire. Quand il y a un minimum de sororité, elle est systématiquement pointée du doigt et conspuée. Ces hommes ne sont pas fustigés parce qu'ils gardent jalousement le pouvoir et n'ont pas droit à des délits de faciès (pourtant il y aurait de quoi faire). Je peux comprendre que des femmes puissent vouloir établir ainsi un équilibre en allant vers des oeuvres exclusivement féminines. Je comprends la démarche d'Alice Coffin (d'ailleurs elle écrit que ce n'est sûrement pas définitif), sur le fond, je la rejoins. Sur la forme, c'est autre chose et je n'adhère pas au prosélytisme lesbien. @Gouderienle titre de votre sujet ne correspond pas à celui de l'article rtl et biaise de facto le sujet.
  9. Certes. Je les aime bien sur les slows quand même :
  10. Si j'ai un fils, sachez qu'il est éduqué de façon juste.
  11. "Tu vas fermer ta gueule, mec !", c'était violent. Il faut bien écrire que Biden -pointé du doigt, rendu coupable de tous les maux de la Terre et auquel la parole a été coupée à maintes reprises par Trump- est resté stoïque longtemps. Nous aurions tous/toutes été excédé(e)s, bien plus vite. Un politologue disait à la radio que ce show n'aidera qu'environ 3% de la population à se décider. Les jeux sont déjà faits. Quoi qu'il en soit, ces élections rappellent que les nôtres approchent à grands pas et que nous ne sommes pas mieux lotis que les ricains.
  12. Je ne suis pas tout à fait sûre que nous soyons également en accord quant à la tenue vestimentaire des filles et la stupidité de certains parents et dirigeants hyper contrôlants et arriérés, mais encore l'implication des religions (et non seulement l'Islam) dans l'infériorisation du féminin ; mais si vous m'assurez du contraire, alors c'est tant mieux.
  13. Mórrígan

    Les chasseurs

    Des plus petits que cela encore sont embrigadés à la chasse. Ils auraient été bien mieux à la plage. Pauvres gosses.
  14. Mórrígan

    Les chasseurs

    Un adolescent de seize ans est mort à la chasse en Charente-Maritime dimanche 27 septembre alors qu'il manipulait son fusil, a indiqué Sud-Ouest hier. Le coup est parti et l'a mortellement blessé à la tête. D'après le parquet de La Rochelle, le jeune garçon était titulaire du permis de chasse et son frère de douze ans présent au moment de l'accident est resté très choqué. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/charente-maritime-un-jeune-de-16-ans-se-tue-a-la-chasse-20200929
  15. Le "passage" Gainsbourg, c'est à peine 3 minutes sur une interview d'environ 50 minutes. Est-ce qu'il a été vraiment question de jeter un pavé dans la mare ou bien de sortir tout ce qui lui passe par la tête ? C'est vrai qu'usuellement elle peut être agressive. Ce n'est pas l'impression que j'en ai pourtant ici. L'interview ressemble drôlement à un soliloque. Est-ce que quelques uns d'entre nous ont eu la patience d'aller jusqu'au bout ? J'ai trouvé les cinq premières minutes franchement éreintantes. C'est un flot permanent de pensées. Différents sujets sont abordés et ne semblent pas bien s'imbriquer. Entre bouddhisme, Barbarella et Gainsbourg, en passant par les "peink", et le disco qu'elle aimait quand même, comme elle est le dit... c'est pour le moins rock'n roll. Elle jacte. Beaucoup de matière et très peu de développement. Elle en dit trop ou pas assez. La journaliste ne rebondit pas (peut-être est-elle en train de s'éponger le front ?). On a envie de mettre en pause ou faire un retour arrière : "Pouvez-vous nous en dire plus ? Qui ? Où ? D'autres témoins ? Quand ?". Cercle des croyances. Nous finissons par payer nos excès et notre fainéantise : elle était fumeuse et ne s'est pas entretenue. Je ne peux être asincère et vous écrire que je la trouve belle. Or, ce n'est pas personnel, des physiques comme ceux de Zaïa ou de Claudia Schiffer me laissent également de marbre. "Monsieur", quant à lui, les qualifie plus simplement ou plus catégoriquement "d'horreurs". Bien sûr qu'il ne s'agit pas de verser dans le manichéisme, est telle n'est pas la question puisqu'il s'agit simplement d'un physique. C'est bien d'avoir créé une fondation dédiée à la défense des animaux. Néanmoins, elle est sans doute précurseure antispéciste. Folledingotte, au point d'avoir installé une chèvre dans sa suite à l'hôtel. Par contre, elle était fashionista et a popularisé notamment les petits hauts laissant apercevoir les épaules, renommés plus tard "tops Bardot". Je vous en parle, puisque que votre intérêt pour la mode est ici de notoriété.
  16. Il y a plusieurs choses dont je suis sûre : La première c'est que jamais rien ne justifie l'agression. Enfant, femme, homme, chien, chat, poule etc... aucun individu ne mérite de se faire tabasser. Il n'y a aucune raison ni excuse à cela. La seconde c'est que les femmes ne sont ni des "putes", ni des "salopes". Le féminin n'est en rien inférieur et coupables de tous les maux de la Terre, malgré tout ce que les cultures phallocentrées et misogynes nous ont contés, de façon séculaire. Et quand bien même, si les femmes étaient toutes des "putes", elles n'en resteraient pas moins des êtres humains, généreux et respectables. La troisième, c'est que la jupe n'est ni "indécente", "ni provocante", ni "anti-républicaine" et ce quelle que soit sa longueur, sa coupe, sa matière, qu'elle soit fendue ou non, qu'elle que soit la façon dont elle tombera en fonction des morphologies. En outre, aucun décolleté ni aucun t-shirt ne sont véritablement inappropriés au pays de la liberté, de l'égalité et de la fraternité. La quatrième rappelle que nous ne vivons pas en théocratie. Le contrôle vestimentaire s'est vu instauré par les hommes, pour les hommes, depuis fort longtemps. Tradition et religion, inextricablement liées, nous ont menés et limitées. Nous aurions sans doute pu nous en passer, nous n'aurions pas à batailler ainsi afin d'être libres, des égales et des soeurs, encore aujourd'hui. La cinquième, c'est que là où la laïcité est censée s'exercer (ni les uns ni les autres ne sont privilégiés en raison de leur confession religieuse), comme dans l'enseignement public, dans la gouvernance de notre beau pays, pour exemples, les proviseurs et l'équipe enseignante, les politiques ont l'impératif de maintenir leurs convictions religieuses dans leur sphère privée... au lieu de morceler et sacrifier les droits de la majorité de la population encore trop silencieuse (les femmes) ; en l'objectif de glaner un semblant de paix social ou de draguer un électorat. C'est très lâche. La sixième chose dont je suis certaine est que les forces de l'Ordre font un travail remarquable, avec si peu de moyens, afin de mettre la crapule sous les verrous. La Justice n'apporte souvent pas une réponse suffisante. Deux mois de prison, avec sursis, pour l'agresseur de Mulhouse, c'est de la rigolade. À ce rythme-là, les agresseurs ne prendront même plus la peine de fuir. Le droit est une matière vivante et force est de constater qu'on l'oublie trop souvent. Je ne vous écris jamais de réponse trop longue, par égard. Vous me confirmez que j'ai raison de ne pas le faire, puisque vous n'êtes pas convenablement "outillée". C'est bien à cause de vos mentalités arriérées que cette jeune femme a été agressée. C'est clair. Vous êtes amoureuse ou bien de la race canine Morfou ?
  17. https://www.youtube.com/watch?v=NbIAH0QKCM8 Le lien ne peut pas être intégré correctement cette fois.
  18. Dans l'interview d'Arte Radio -de presque 50 minutes- elle déclare, durant les 5 premières minutes, que Gainsbourg était un harceleur tout simplement, qu'il se comportait mal avec les femmes et elle aurait vécu en direct ses comportements plus que spécieux envers celles-ci. Elle ne met pas en avant ce baiser forcé. https://www.arteradio.com/son/61664517/lio_2 C'est un manque d'honnêteté et de respect finalement qu'elle lui reproche concernant France Gall, "abusée par des adultes sans respect". La journaliste compare sa relation fidèle au parolier Duval (binôme qui fonctionnait comme le binôme France Gall/Gainsbourg) : Duval "ne s'est jamais foutu d'elle", "tout était clair et partagé". Elle savait que Banana Split faisait référence au sexe, elle avait compris "l'esprit de la chanson", et l'assumait. Quand elle parle de viol, c'est une métaphore, qui passe moyen. On peut évidemment ne pas aimer la personnalité, mais aussi le physique et la voix traînante. Personnellement, j'ai des goûts plus raffinés. Chez moi, toutes les voix -dont les avis contraires (coucou)- et tous les goûts ont droit néanmoins à l'expression. Nous privilégions le dialogue et l'échange. Mais, peut-être est-ce différent chez vous ? Quand il s'agit de dire que Johnny Hallyday a une voix qui évoque les caprins, que nous ne sommes pas sensibles aux paroles de ses chansons, c'est un peu comme s'il avait ressuscité et que nous l'avions étranglé nous-même à mains nues, ou comme si nous déclarions que nous avions violé un frère (note : je n'ai pas de frère). Nous pouvons ne pas être sensibles au physique et à la voix de Brigittte Bardot, tout comme nous pouvons ne pas l'être à Johnny Hallyday et Gainsbourg. Il n'y a pas d'intouchables. Ses ratiches n'ont pas poussé subitement lors d'une nuit de pleine lune. C'est quand même bien une brune (clin d'oeil à Lio), il n'est pas inhabituel que les teintures successives fragilisent les cheveux. C'est bien le cas ici. C'est pourtant bien descriptif. Sacralisation de beauf. Il n'y a pas de femmes laides, vous aurait répondu Helena Rubinstein, juste des femmes paresseuses.
  19. Être considérée comme l'une des plus belles femmes de France, ayant marqué une époque, ce n'est pas si mal, et d'autant quand on porte une choucroute de paillasse sur la tête, que l'on a des dents de cheval et une voix de pocharde. C'est même une sacrée performance !
  20. J'y ai ajouté "peut-être qu'effectivement" (oui c'est bien ce que vous avez écrit). Est-ce que Lio a déjà mentionné dans les journaux que Gainsbourg avait voulu l'embrasser de force ? Sur le net, je ne trouve qu'un article sur Alain Chamfort (qui aurait été partant pour un plan à 3). Nous avons tous compris -plus ou moins- que Gainsbourg s'est joué de France Gall, avec le double sens de la chanson. Employer le terme "viol" reste excessif. Les enfants sont heureux dès lors que leurs parents le sont également (ensemble ou séparés) et alors qu'ils vivent dans un environnement apaisé, qu'ils sont choyés. Il n'y a aucun intérêt à rester dans une prison, soi-disant pour ses enfants. Et complotiste, en plus du reste !
  21. Il ne s'agit pas de permissions familiales, mais bien de représailles (parce qu'elles ont porté une jupe, du brillant à lèvres, des talons, parce qu'elles ont refusé des avances : parce qu'elles sont libres de le faire) et c'est exactement ce qui nous occupe ici. Une jupe n'est pas une tenue de "pute", elle n'est en rien "provocante". Je ne juge pas les hommes à la longueur de leur short ou au décolleté de leur t-shirt, pas plus que je n'ai envie de leur sauter à la gorge ou à la jambe. Et encore, je ne force pas les garçons de mon entourage à porter des pantalons amples, sous prétexte que ce serait une tenue plus décente, afin d'aller à l'école. J'espère qu'il en va de même pour vous. Comment voudriez-vous tenir la dragée haute aux intégristes islamistes, tout en tenant des discours qui abondent clairement dans le sens de leur mentalité arriérée ?
  22. Weinstein souffre de pathologies tout à fait humaines, à l’évidence. Je suis d’accord avec vous quant au monstre, ça mystifie bien trop, et quelque part ça le rend fascinant. Par contre, un porc, un gros porc... Je vous joins un article que je trouve assez intéressant : http://www.slate.fr/story/161569/ccochon-porc-metaphore-sexuelle Je ne suis pas en accord avec elle au sujet de France Gall, néanmoins, c’est quelqu’un qui parle avec ses tripes. Mais qu’est-ce que vous racontez encore ?
  23. J’espère que les agresseurs d’Elizabeth seront appréhendés également. Aujourd'hui un rassemblement est organisé à Mulhouse : https://www.francebleu.fr/infos/societe/une-action-mulhouse-en-jupe-pour-dire-stop-au-harcelement-de-rue-1601058818 Je vous affirme que les violences viriarcales ont toujours eu cours. Vous les trouvez plus visibles actuellement. Il y a 20 ans de cela, ça craignait déjà. Les filles se faisaient déjà traiter de garces, et étonnamment de salopes et de putes, alors qu’elles refusaient les avances de garçons (bien blonds également). Certaines se sont faites gifler abondamment, tirer par le bras et violenter. Des filles se sont faites tabasser par leur père parce qu’elles portaient du maquillage, ou des talons et des jupes ou sortaient avec des garçons. J’ai souvenir d’une camarade de classe -que nous pensions témoin de Jéhovah- qui s’est faite tirer par les cheveux par son frère jusqu’au bus parce qu’elle avait mis un peu de brillant à lèvres pour aller au collège. Je range tous ces bons petits gaulois parmi les « brigades voilées », également. (Je suis originaire d’une ville dite plutôt bourgeoise du centre de la France). La drague induit une certaine réceptivité. Quand il y a de la passivité ou un refus, ignorer et insister, c’est quand même bien du harcèlement. C’est usant et violent. Je suis catégorique là-dessus. Blanquer est un vieux chnoque hypocrite et dépassé.
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