Aller au contenu

Mórrígan

Membre
  • Compteur de contenus

    14 034
  • Inscription

  • Jours gagnés

    6

Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. De l’égoïsme de la part des parents, avant toute chose. Décidément, vous y êtes attaché à votre fessée, eh, il va falloir vous en remettre ou écrire une lettre à Macron, à défaut d’en écrire une au père Noël. Je lui fais aussi écouter de la musique classique mais jamais maître Gims a contrario de cette nourrice qui cuisine le chou... et elle adore, pas le chou, ni maître Gims, le Heavy Métal. Berthe Sylva a fait son temps (c’est la vie !). Quand je dépanne, je dépanne aussi, jamais les étrangers ceci dit : je ne suis pas nourrice agréée et n’ai aucune vocation à le devenir.
  2. Ce qui est dommage c’est le suivisme ambiant, parce que c’est la tradition, il faut faire. D’autres parents font différemment et c’est tout aussi respectable. Personne ne va vous enlever votre tradition, elle est vissée là depuis genre... le XIX ème siècle. Que voulez-vous les défenseurs de la tradition ont des peurs irrationnelles : qu’on leur ôte le vieux tout mou/ la dinde bien sèche de la bouche ou cette fichue bûche roulée à la crème au beurre. Le suicide ? C’est vrai que l’outrance nous manquait sur le sujet... Les parents menteurs se soucient souvent peu de la découverte ou du rétablissement de la vérité. J’ai souvenir d’une camarade de classe moquée par l’institutrice, en effet elle croyait toujours au père Noël en CM1 : « Et tu crois qu’il passe par où le père Noël ? Par les tuyaux du radiateur de ton salon ? ». Presque toute la classe s’est mise à rire et j’ai trouvé cela navrant. Des adultes sont responsables de ça. Oui des adultes sont complètement fadas et c’est dommage puisque ce sont eux qui « façonnent » les adultes en devenir. Il m’arrive d’y mettre un escarpin de temps à autre (sic) afin de dépanner. Ma nièce est fière quand je l’accompagne en classe et j’ai le droit de visiter sa classe, la salle d’éveil, la cour et même les toilettes, plusieurs fois d’affilée... et avant cela nous écoutons généralement du Heavy Métal dans la voiture. Mon neveu verse toutes les larmes de son corps afin que je ne le laisse pas chez la nourrice, et ça me brise le cœur, et d’autant que cela sent le chou chez elle. Tu vois que je ne suis pas une mère fouettard, j’aime des enfants, pas tous hein ´ttention.
  3. C’est une sorte de Croque-Mitaine du Sud ? (sauf que le Croque-Mitaine se cache sous les lits de mémoire). Vous nous servez de l’Hénaff, l’intelligence c’est de se mettre à (peu près) à la portée de l’autre et afin d’éviter que vous nous poussiez encore davantage de cris d'orfraie. Il existerait un mètre étalon, la deutsche qualität de la tradition de Noël ? Les champis magiques ne font pas bon ménage avec la tisane, nous ne le répéterons jamais assez.
  4. Bonjour Prométhée Hadès, révérence, C’est un joyeux cocktail que nous avons là, et c’est bien dommage. Bonjour les procès d’intention. Vous vous montez le bourrichon toute seule. Soufflez, prenez une tisane ou un bon lexomil, ça va vous détendre de la cuisse.
  5. Contre sa suppression et je trouve assez affolant que certains aient l’idée d’en faire une option (et j’ai pourtant suivi un cursus littéraire). Punaise, ce nivellement par le bas m’éxècre.
  6. Donc vous avez un complexe d’infériorité, merci de nous l’avoir confirmé.
  7. Vous avez un complexe d’inferiorité ?
  8. Du Babaou ? Ma grand-mère paternelle nous lisait des passages de l’Ancien Testament ou arrangeait d’autres textes à sa sauce, afin de nous culpabiliser et surtout nous les filles, c’était suffisamment flippant. L’autre, maternelle, un peu sorcière justement, nous racontait des histoires de malédictions, et nous flippions notre race. Je garde de meilleurs souvenirs de la seconde que de la première étrangement. Vous ne jeûnez pas, mais du coup vous préparez un repas, des mets en particulier ou pas du tout (et même si l’événement à la base est sanglant ?). Vous vous trompez de combat, encore, tout comme bien d’autres râleurs. Dans l’idée les parents devraient être libres de mentir à leurs enfants ou non, sauf que ceux qui mentent le sont bien plus que les autres. Nous sommes soumis à la croyance du père Noël.
  9. Toutes les 5 minutes ? Je ne l’ai personnellement pas constaté mais devant les caisses là où sont rangés les Kinder surprise, c’est déjà arrivé. Les commerçants savent très bien ce qu’ils font. Ils savent très bien que sous les regards désapprobateurs du reste de la clientèle, le parent a une chance sur deux de céder. Si un enfant en vient à réclamer souvent, il est possible 1/qu’il soit effectivement capricieux 2/ qu’il soit frustré puisqu’il manque de tout. Ces émissions télé sont racoleuses, il faut qu’il y ait du spectacle afin d’assurer un audimat et des téléspectateurs fidélisés (même chose pour toute émission de télé-réalité : fô qu’ça s’frite). Définir un cadre est en effet important, il y a bien d’autres façons que de le faire sous la menace. Même avec les chiens, il s’agit de faire différemment aujourd’hui. Si un parent qui met à exécution la punition qu’il promet, est écouté ? Pas forcément et il s’agit davantage d’une sentence que d’une punition, là.
  10. Quand l’enfant ne croit plus, alors il n’y a plus de magie ? Mais qu’est-ce que c’est moche ! Chaque famille a sa tradition, elle peut évoluer et se moderniser au fil des années aussi, qu’il s’agisse de la préparation du repas, de l’ouverture des cadeaux, des chants autour d’un piano etc... Oui, oui, moi aussi je fais un sapin de noël et j’y mets des fleurs, c’est mon côté païen. Fêtes cathos, musulmanes, juives ou sans étiquette peu importe tant que je peux faire de la déco et cuisiner, mais surtout profiter des miens, encore. C’est cela l’esprit de noël : réunion et partage et toutes les occasions sont bonnes. Vous savez que des enfants pleurent quand ils le voient ? La bonhommie ce n’est pas ce qui leur saute aux yeux en premier. Rêver c’est bien evidemment, mentir aux enfants drôlement moins. Tout à fait, il y a une vraie pression de l’entourage et plus généralement sociétale en ce qui concerne cette figure mythique. Presque impossible de faire autrement. Il passe encore dans les écoles. Une chaîne télé lui est également consacrée. Absolument, ce mensonge contente davantage les parents. Les enfants peuvent se passer de ce mensonge. Qu’est-ce que 3achoura ? Vous pourriez nous en parler un peu ? Le père Noël est un mensonge propagé et entretenu par les parents. Si les parents font la même chose avec les fées et les dragons, alors évidemment oui, c’est de la même veine (et c’est sans doute moins fréquent). Des enfants passionnés par les dragons, il y en a encore quelques uns, et plus encore par les dinosaures, ce sont souvent les mêmes. Il y a un attrait scientifique, une curiosité davantage que l’envie de rêver. Robert Hue ?
  11. Le fait de ne pas croire au Père Noël n'enlève en rien à la magie de Noël. Noël c'est avant toute chose un partage.
  12. Il est rare de pouvoir échapper au grand mensonge de Noël, tant la masse a décidé pour les autres. Félicitations à vous et à vos parents. J'ai le même sentiment, et j'y vois de l'égoïsme, au même titre que ces parents qui font de leurs enfants, des poupées. Pas très à l'aise avec ce mensonge que les parents dispensent à leurs enfants, je ne m'étends jamais sur le sujet avec un enfant.
  13. J'en vois aussi et des parents qui gueulent comme des malpropres en retour, menacent ou passent à l'action, ce qui est d'autant plus désagréable pour les autres, alors pour le mioche en question... Oui des coachs cela sert, afin d'éduquer les parents qui n'ont ni bon sens, ni patience. Pour absentéisme, et non parce que des parents sont attachés à la fessée.
  14. Il y a beaucoup à faire en la matière : reconnaissance du vote blanc, moralisation de la vie politique, droit de regard et de validation sur les dépenses des élus, arrêt total et définitif du cumul des mandats, proportionnelle à l'Assemblée, interdiction de se représenter en deçà d'un certain résultat, mise en place de l'obligation des résultats (et de présence à l'Assemblée) comme dans le privé et etcétéra etcétéra...
  15. Ces parents anti-Père Noël Faire croire au Père Noël à ses enfants : une évidence ? Pas tant que cela à en juger vos nombreux témoignages. Pour des raisons morales, des croyances religieuses ou des considérations matérielles, certains parents décident de ne pas jouer le jeu du Père Noël. Décryptage de leurs motivations avec Dominique Tourrès-Gobert, psychiatre et psychanalyste, auteur de Il était une fois le bon dieu, le père Noël et les fées. Julie Martory Au-delà du personnage et des cadeaux, le Père Noël, c’est aussi l’un de ces petits rites qui ponctuent l’enfance et aident à grandir. Ne plus croire au Père Noël, c’est « constater qu’on ne peut plus prendre ses désirs pour des réalités, que tous nos souhaits ne peuvent pas être exaucés » explique la psychiatre Dominique Tourrès-Gobert. D’ailleurs, ne dit-on pas « croire encore au Père Noël » ? Cette étape de la désillusion, ou cette « expérience de la réalité » comme l’avait nommée Freud, fait partie intégrante de ce rite qui, par nature, est voué à disparaître en grandissant. Pourtant, certains parents "privent" leur enfant de ce rite. Pourquoi ? Est-ce néfaste pour l'enfant ? Eléments de réponse. Le Père Noël, un énorme mensonge « Je ne tenais pas à raconter un mensonge aussi énorme à ma fille, que je respecte profondément. Pour moi c’était incompatible avec un autre discours qui me tenait à cœur : celui de ne pas mentir », explique Sylvie. La volonté de ne pas mentir à son enfant : tel est le principal leitmotiv de ces parents qui décident de ne pas adhérer au mythe du Père Noël. Un mensonge le Père Noël ? Effectivement, c’en est un, et à double titre, comme le précise la psychiatre. « Ce qui est particulier dans le rite du Père Noël, c’est que ce sont les plus âgés qui vont initier les plus jeunes. Ils initient non seulement à la croyance, mais aussi à sa chute. » Une double trahison en somme, que certains parents considèrent comme un véritable abus de la naïveté, de la candeur de leur enfant. « Pourquoi commencer dès petit à mentir aux enfants et à enjoliver la réalité ? » renchérit Nadia. « Avec le Père Noël, il est question du merveilleux, du magique », nuance la psychiatre. Oui, le Père Noël est un mensonge, mais un joli, gentil mensonge - à la différence d’un lourd secret de famille, destructeur. Le Père Noël, c’est la magie, la fête, le mystère ; mais aussi le don, la générosité, la beauté gratuite d’offrir. « Si le Père Noël n’est pas vrai ‘pour de vrai’, l’amour qu’il incarne, lui, l’est », répondait la psychanalyste Claude Halmos à une lettre d’une lectrice s’inquiétant d’annoncer la non-existence du Père Noël à sa fille. Je ne tenais pas à raconter un mensonge aussi énorme à ma fille, que je respecte profondément. Pour moi c’était incompatible avec un autre discours qui me tenait à cœur : celui de ne pas mentir », explique Sylvie. La volonté de ne pas mentir à son enfant : tel est le principal leitmotiv de ces parents qui décident de ne pas adhérer au mythe du Père Noël. Un mensonge le Père Noël ? Effectivement, c’en est un, et à double titre, comme le précise la psychiatre. « Ce qui est particulier dans le rite du Père Noël, c’est que ce sont les plus âgés qui vont initier les plus jeunes. Ils initient non seulement à la croyance, mais aussi à sa chute. » Une double trahison en somme, que certains parents considèrent comme un véritable abus de la naïveté, de la candeur de leur enfant. « Pourquoi commencer dès petit à mentir aux enfants et à enjoliver la réalité ? » renchérit Nadia. « Avec le Père Noël, il est question du merveilleux, du magique », nuance la psychiatre. Oui, le Père Noël est un mensonge, mais un joli, gentil mensonge - à la différence d’un lourd secret de famille, destructeur. Le Père Noël, c’est la magie, la fête, le mystère ; mais aussi le don, la générosité, la beauté gratuite d’offrir. « Si le Père Noël n’est pas vrai ‘pour de vrai’, l’amour qu’il incarne, lui, l’est », répondait la psychanalyste Claude Halmos à une lettre d’une lectrice s’inquiétant d’annoncer la non-existence du Père Noël à sa fille. Une résurgence de sa propre enfance Pourquoi ce « mensonge » gêne-t-il certains parents – une minorité il faut le dire – et pas les autres ? Comme souvent, c’est vers sa propre enfance, son ressenti d’enfant face à ce mythe et à sa chute qu’il faut se tourner, comme tend à la montrer le témoignage de Muriel : « J’ai décidé de ne pas faire croire au Père Noël en raison de mon expérience enfant. Mes parents m'ont fait croire à ce que je considère comme un mensonge, car le jour où j'ai appris la vérité de façon brutale, j'ai eu honte. J’ai alors réalisé que mes parents pouvaient me faire croire n'importe quoi et dès lors, j'ai douté de tout ce qu'ils pouvaient me dire. » « Si enfant, on a vécu la croyance au Père Noël comme une trahison, il est tout à fait compréhensible de ne pas vouloir reproduire le schéma », atteste Dominique Tourrès-Gobert. Mais si certains enfants vivent la découverte de la non-existence du Père Noël comme une trahison, la plupart l’acceptent bien, et sont même flattés de faire désormais partie des initiés, des « grands ». Tout dépend en effet de la manière dont l’enfant apprend la vérité. L’enfant acceptera d’autant mieux cette désillusion qu’il aura acquis une autonomie affective rassurante. Aux parents d’accompagner leur enfant dans ce passage de l’illusion à la réalité. De ne pas persévérer dans le mensonge face à un enfant qui commence à avoir des doutes, mais de l’accompagner dans ce cheminement vers la vérité. Et si, passé l’âge de raison – un âge qui oscille, selon les enfant, entre 6 et 10 ans -, l’enfant croit toujours dur comme fer au Père Noël, l’amener à s’interroger sur son existence, c’est le protéger d’une amère désillusion – mais aussi des moqueries de ses camarades qui seront, eux « initiés ». La vie est injuste, autant qu’il le sache rapidement « Ce sont les parents qui achètent les cadeaux avec leurs moyens. Comment un enfant pourrait-il comprendre que le Père Noël ne lui offre pas tout ce qu’il désire même s’il a été très sage ? », s’interroge Nadia. Des adultes désabusés par l’injustice sociale et financière et qui, avant même que leurs enfants en fassent l’expérience, les mettent rapidement au fait pour leur éviter toute désillusion, et ainsi les protéger… Voici un autre visage de ces parents « anti-Père Noël ». « Pourtant, rappelle la pédopsychiatre, il ne faut pas oublier que normalement, c’est le Père Noël qui décide ce qu’il va offrir à l’enfant. Il n’est pas sensé offrir tous les jouets de la liste… Un tel argument est, à mon avis, symptomatique de la place actuelle de l’enfant dans notre société : on considère que pour être heureux, il doit tout avoir. » D’où l’image d’une hotte débordante de jouets, d’une montagne de cadeaux au pied du sapin… C’est oublier que jouer le jeu du Père Noël c’est aussi, par personnage interposé certes, poser des limites aux exigences de son enfant. Et la reconnaissance ? « Le jour J, on ne dit merci à personne ! Où est la reconnaissance envers les parents ? L'enfant ne voit pas que ses parents restent à l'écoute de ses besoins et désirs pour lui faire plaisir en lui offrant ce dont il rêve. », considère Muriel. A l’instar de cette volonté farouche de ne pas mentir à son enfant, certains parents évoquent l’importance du merci, qui tombe dans les oubliettes avec le Père Noël. La marque d’un sens moral poussé ? Du désir d’inculquer de fortes valeurs dès l’enfance ? Pas forcément, selon Dominique Tourrès-Gobert qui voit dans cet argument une nouvelle expression symptomatique de cette place toujours grandissante faite à nos enfants. « Le rite du Père Noël est une initiation pour les enfants, mais aussi pour les parents qui doivent accepter de ne pas être, de suite, gratifiés pour leur générosité. Or, c’est tout le problème des parents actuels : ils craignent de ne plus être aimés de leurs enfants. » A trop attendre de sa progéniture, nombre de parents vivraient ainsi beaucoup moins facilement qu’autrefois le manque de reconnaissance de leur enfant. Or, il ne faut pas oublier que le mythe du Père Noël est un mythe en deux phases : celle du merveilleux, durant laquelle le Père Noël est auréolé de toutes les gloires, puis l’entrée dans l’âge de raison qui s’accompagnera, en même temps que le passage à la réalité, d’un retour de gratitude envers les parents. Mettre son désir de reconnaissance de côté durant quelques années, c’est aussi cela le mythe du Père Noël. Croire ou ne pas croire : une liberté Alors, est-il pour autant nuisible au développement de l’enfant de ne pas lui faire croire au Père Noël ? Est-ce risqué pour son bien-être psychique de le priver de ce passage initiatique ? « Non, nous rassure Dominique Tourrès-Gobert. L’expérience de la réalité, si elle ne passe pas le rite du Père Noël, se fera autrement. » Que ce soit en la personne du bonhomme rouge ou via toute autre figure, l’enfant aura à faire ce même trajet du merveilleux à la désillusion, le problème de la croyance se posant pour chaque humain, de façon individuelle. Et en la matière, deux thèmes sont universels : celui des origines – comment je suis né ? – et celui de la mort – qu’est-ce que la mort ? « Chaque enfant sera amené à réfléchir, à fabuler, à imaginer sur ces deux grandes questions. Il inventera des croyances qui lui seront personnelles, et aura un chemin à faire dessus », conclut Dominique Tourrès-Gobert qui ne manque de rappeller que si le rite du Père Noël fait partie de notre magie collective, il n’en reste pas moins à la discrétion de chacun… L'article se trouve ici : http://www.psychologies.com/Planete/Societe/Noel/Articles-et-Dossiers/Ces-parents-anti-Pere-Noel
  16. @Fred1511 D’accord dans l’idée, néanmoins il faut l’attraper ce fichu ascenseur social et faut-il encore que le système le permette. Le prendre n’appartient qu’à soi, en disposer, plutôt des structures. Ce qui était encore valable il y a 20 voire même 10 ans, n’est plus ou se fait de moins en moins. Rien n’est impossible, c’est juste (plus) compliqué. Il s’agit aujourd’hui de saper le salarié et de plus en plus. Un exemple, des plus récents, le CPF dont Mme Pénicaud a pris soin de vous délester. Le budget alloué à la formation s’est pris de sacrés coups de pelletés. Salariés, vous vous êtes encore faits enfumer.
  17. Bonjour @janacek2 (je ne vous avais pas lu, mes excuses)
  18. Surtout du grand n'importe quoi et c'est le propre de l'humain servile, dont la pensée n'est pas libre : vous chopez des théories des plus inquiétantes ci et là (Marx, Orwell et autres auteurs coco-complotistes *crache pour conjurer le sort*), vous les imbriquez en un sujet Légo et vous vous montez indubitablement le ciboulot en mayonnaise. Pique bidouille, c'est toi l'andouille. Note: Attention au mur tout de même, déjà que le carafon présente des fêlures à plusieurs endroits.
  19. Mórrígan

    Je suis perdu

    Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, Faire l'amour (et non que du sexe) c'est un moment à deux, un échange, un partage... apporter à l'autre est indispensable évidemment. À sens unique, empathe ou non, cela n'apporte rien, ou du moins, on en tire rien, sans vilain jeu de mots, ou pire encore une petite frustration et d'autant si les sentiments ne sont pas là. Le plaisir d'offrir ? Dites-le avec des fleurs. C'est toujours mieux quand le rapport est gagnant-gagnant. Je ne partage pas, et si j'ai la côte avec les lions, je l'ai aussi avec ceux qui ont un background scientifique. Il y a forcément un biais ou ceci explique cela. J'aime mieux les sciences sociales. Si les hommes sont capables du pire, ils sont aussi capables du meilleur.
  20. J'aime l'odeur de la Soupline et également celle de la tarte aux pommes qui cuit au four, félicitations Sherlock. Bizarre cette volonté en effet et c'est précisément ce que vous faites erga omnes, au milieu de quelques délires "survivalistes" complètement hallucinés.
  21. À quel moment ai-je indiqué qu'il s'agit d'un attentat prémédité, s'il vous plaît ? Je suis bien d'accord avec vous, ils nous mettent les gilets jaunes à toutes les sauces, cela commence à être casse-pompon.
×