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Tout ce qui a été posté par jean ghislain
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Qu'est-ce qu'un bon philosophe ?
jean ghislain a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Soit l'on juge en fonction de son goût et préférences, de l'utilité qu'une philosophie particulière peut nous apporter, alors on jugera bon celui qui nous touche le plus. Donc ce sera à chacun de trouver son philosophe préféré. Soit l'on veut établir des critères objectifs d'une philosophie d'exception, alors il faut plus regarder du côté de ce qu'apporte une philosophie, je veux dire sa puissance. Or, je pense qu'une philosophie est d'autant plus puissante qu'elle touche juste, c'est-à-dire qu'elle fait voir, en même temps qu'elle découvre logiquement, des vérités sur le monde ou l'homme. Un bon philosophe est alors celui qui est le plus dans le vrai, quand bien même tout le monde s'égare, ou encore celui qui met le doigt sur des évidences qui seraient jusque là restés obscures, à cause des préjugés communs ou des paradigmes d'une époque. Dans ce sens, la force d'une philosophie de qualité se retrouvera en agissant pour un progrès des connaissances, en propageant par le fond une vision du monde et de l'homme innovante mais pertinente pour son époque. Un bon philosophe est pour moi celui qui apporte un grand progrès à l'humanité, par sa vision du monde. -
Qu'est-ce qu'un bon philosophe ?
jean ghislain a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Les maths forment l'esprit logique. Tout philosophe moderne devrait avoir au moins un savoir assuré en mathématique. Je pense en fait que la philosophie est une science humaine, et qu'un bon philosophe est aussi un scientifique à la base. -
Tout ce que je te souhaite c'est d'être coincé un jour ou l'autre. Ce sera au moins un juste retour avec tout ce que l'Islam a fait subir dans le monde, et perpétue plus particulièrement en Afrique en ce moment.
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Oui jusqu'au jour où on te fera passer à la trappe, à force de faire ta propagande (surtout section philo)...
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Qu'est-ce qu'un bon philosophe ?
jean ghislain a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Celui qui découvre et va encore plus loin que ses prédécesseurs, tout en intégrant l'ensemble de la tradition philosophique. -
On n'en veut pas de ta religion de , tout simplement. On a déjà les cathos intégristes qui nous les cassent menues déjà, alors pour l'Islam, tu peux toujours causer...
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Selon vous la violence est-elle innée ou culturelle ?
jean ghislain a répondu à un sujet dans Philosophie
L'individu qui en vient à agir toujours violemment a un sérieux problème. Les rapports qu'il entretient avec les autres sont conflictuels, comme s'il voulait entraîner sa force au détriment d'autrui. Les plus violents sont donc pour moi ceux qui ne savent pas faire autrement, et qui recherchent et maintiennent avec autrui des rapports dominants / dominés, même lorsque un rapport d'amour peut s'installer... pour des raisons qui m'échappent tellement cela me semble bizarre. PS/ mais la violence est innée comme je l'ai dit dans un précédent post, c'est même vital dans le danger. -
Selon vous la violence est-elle innée ou culturelle ?
jean ghislain a répondu à un sujet dans Philosophie
Oui, la violence est innée, elle est inscrite en nous. C'est ce qui fait que lors de conflit, nous arrivons à mobiliser assez de force pour repousser un danger ou un ennemi. La violence est comme un coup pour nous sortir d'un mauvais sort. Sans cela, nous subirions toujours les contraintes des autres, ceux-là en particulier qui veulent nous déterminer pour mieux nous utiliser. Ces contraintes, si on les laisse s'exercer, nous aliènent jusqu'au point où nous devenons insensible, transi à la violence. Nous en arrivons alors à nous habituer et à ne plus voir le mal, qui alors peut prendre d'autres formes. Comme le dit Dompteur de Mots, la violence en devient mesquine, sournoise, psychologique. Quelqu'un à qui l'on apprend toujours à baisser la tête finira peut-être un jour un grand criminel ou fou, à cause de toute la pression accumulée en lui. -
Selon vous la violence est-elle innée ou culturelle ?
jean ghislain a répondu à un sujet dans Philosophie
La violence est une réponse naturelle à tout conflit. La réponse civilisée est de gérer et de tout faire pour régler le conflit dans la paix. Le seuil pour passer d'une réponse calme à en arriver à péter un cable dépend non seulement de notre caractère, mais aussi de la nature nocive pour nous du conflit, car qui supporterait de se laisser gentiment détruire quand une situation est pourrie ? -
Pourquoi le porc est-il proscrit par l'islam ?
jean ghislain a répondu à un(e) sujet de Zigbu dans Religion et Culte
Parce que : Jacadi, mangez pas de porc -
Le mythe était fort simple et je le digérai sans peine. Protestant et catholique, ma double appartenance confessionnelle me retenait de croire aux Saints, à la Vierge et finalement à Dieu tant qu'on les appelait par leur nom. Mais une énorme puissance collective m'avait pénétré; établie dans mon coeur, elle guettait, c'était la Foi des autres; il suffit de débaptiser et de modifier en surface son objet ordinaire: elle le reconnut sous les déguisements qui me trompaient, se jeta sur lui, l'enserra dans ses griffes. Je pensais me donner à la Littérature quand, en vérité, j'entrais dans les ordres. En moi la certitude du croyant le plus humble devint l'orgueilleuse évidence de ma prédestination. Prédestiné, pourquoi pas? Tout chrétien n'est-il pas un élu? Je poussais, herbe folle, sur le terreau de la catholicité, mes racines en pompaient les sucs et j'en faisais ma sève. De là vint cet aveuglement lucide dont j'ai souffert trente années. Un matin, en 1917, à La Rochelle, j'attendais des camarades qui devaient m'accompagner au lycée; ils tardaient, bientôt je ne sus plus qu'inventer pour me distraire et je décidai de penser au Tout-Puissant. A l'instant il dégringola dans l'azur et disparut sans donner d'explication: il n'existe pas, me dis-je avec un étonnement de politesse et je crus l'affaire réglée. D'une certaine manière elle l'était puisque jamais, depuis, je n'ai eu la moindre tentation de le ressusciter. Mais l'Autre restait, l'Invisible, le Saint-Esprit, celui qui garantissait mon mandat et régentait ma vie par de grandes forces anonymes et sacrées. De celui-là, j'eus d'autant plus de peine à me délivrer qu'il s'était installé à l'arrière de ma tête dans les notions trafiquées dont j'usais pour me comprendre, me situer et me justifier. Écrire, ce fut longtemps demander à la Mort, à la Religion sous un masque d'arracher ma vie au hasard. Je fus d'Église. Militant, je voulus me sauver par les oeuvres; mystique, je tentai de dévoiler le silence de l'être par un bruissement contrarié de mots et, surtout, je confondis les choses avec leurs noms: c'est croire. J'avais la berlue. Tant qu'elle dura, je me tins pour tiré d'affaire. Je réussis à trente ans ce beau coup: d'écrire dans La Nausée — bien sincèrement, on peut me croire — l'existence injustifiée, saumâtre de mes congénères et mettre la mienne hors de cause. J'étais Roquentin, je montrais en lui, sans complaisance, la trame de ma vie; en même temps j'étais moi, l'élu, annaliste des enfers, photomicroscope de verre et d'acier penché sur mes propres sirops protoplasmiques. Plus tard j'exposai gaîment que l'homme est impossible; impossible moimême je ne différais des autres que par le seul mandat de manifester cette impossibilité qui, du coup, se transfigurait, devenait ma possibilité la plus intime, l'objet de ma mission, le tremplin de ma gloire. J'étais prisonnier de ces évidences mais je ne les voyais pas: je voyais le monde à travers elles. Truqué jusqu'à l'os et mystifié, j'écrivais joyeusement sur notre malheureuse condition. Dogmatique je doutais de tout sauf d'être l'élu du doute; je rétablissais d'une main ce que je détruisais de l'autre et je tenais l'inquiétude pour la garantie de ma sécurité; j'étais heureux. J'ai changé. Je raconterai plus tard quels acides ont rongé les transparences déformantes qui m'enveloppaient, quand et comment j'ai fait l'apprentissage de la violence, découvert ma laideur — qui fut pendant longtemps mon principe négatif, la chaux vive où l'enfant merveilleux s'est dissous — par quelle raison je fus amené à penser systématiquement contre moi-même au point de mesurer l'évidence d'une idée au déplaisir qu'elle me causait. L'illusion rétrospective est en miettes; martyre, salut, immortalité, tout se délabre, l'édifice tombe en ruine, j'ai pincé le Saint-Esprit dans les caves et je l'en ai expulsé; l'athéisme est une entreprise cruelle et de longue haleine: je crois l'avoir menée jusqu'au bout. Je vois clair, je suis désabusé, je connais mes vraies tâches, je mérite sûrement un prix de civisme; depuis à peu près dix ans je suis un homme qui s'éveille, guéri d'une longue, amère et douce folie et qui n'en revient pas et qui ne peut se rappeler sans rire ses anciens errements et qui ne sait plus que faire de sa vie. Je suis redevenu le voyageur sans billet que j'étais à sept ans: le contrôleur est entré dans mon compartiment, il me regarde, moins sévère qu'autrefois: en fait il ne demande qu'à s'en aller, qu'à me laisser finir le voyage en paix; que je lui donne une excuse valable, n'importe laquelle, il s'en contentera. Malheureusement je n'en trouve aucune et, d'ailleurs, je n'ai même pas l'envie d'en chercher: nous resterons en tête à tête, dans le malaise, jusqu'à Dijon où je sais fort bien que personne ne m'attend. J'ai désinvesti mais je n'ai pas défroqué: j'écris toujours. Que faire d'autre? Nulla dies sine linea. C'est mon habitude et puis c'est mon métier. Longtemps j'ai pris ma plume pour une épée, à présent je connais notre impuissance. N'importe: je fais, je ferai des livres; il en faut; cela sert tout de même. La culture ne sauve rien ni personne, elle ne justifie pas. Mais c'est un produit de l'homme: il s'y projette, s'y reconnaît; seul, ce miroir critique lui offre son image. Du reste, ce vieux bâtiment ruineux, mon imposture, c'est aussi mon caractère: on se défait d'une névrose, on ne se guérit pas de soi. Usés, effacés, humiliés, rencognés, passés sous silence, tous les traits de l'enfant sont restés chez le quinquagénaire. La plupart du temps ils s'aplatissent dans l'ombre, ils guettent: au premier instant d'inattention, ils relèvent la tête et pénètrent dans le plein jour sous un déguisement: je prétends sincèrement n'écrire que pour mon temps mais je m'agace de ma notoriété présente; ce n'est pas la gloire puisque je vis et cela suffit pourtant à démentir mes vieux rêves, serait-ce que je les nourris encore secrètement? Pas tout à fait: je les ai, je crois, adaptés: puisque j'ai perdu mes chances de mourir inconnu, je me flatte quelquefois de vivre méconnu. Grisélidis pas morte. Pardaillan m'habite encore. Et Strogoff. Je ne relève que d'eux qui ne relèvent que de Dieu et je ne crois pas en Dieu. Allez vous y reconnaître. Pour ma part, je ne m'y reconnais pas et je me demande parfois si je ne joue pas à qui perd gagne et ne m'applique à piétiner mes espoirs d'autrefois pour que tout me soit rendu au centuple. En ce cas je serais Philoctète: magnifique et puant, cet infirme a donné jusqu'à son arc sans condition; mais, souterrainement, on peut être sûr qu'il attend sa récompense. Laissons cela. Mamie dirait: « Glissez, mortels, n'appuyez pas. » Ce que j'aime en ma folie, c'est qu'elle m'a protégé, du premier jour, contre les séductions de « l'élite »: jamais je ne me suis cru l'heureux propriétaire d'un « talent »: ma seule affaire était de me sauver — rien dans les mains, rien dans les poches — par le travail et la foi. Du coup ma pure option ne m'élevait au-dessus de personne: sans équipement, sans outillage je me suis mis tout entier à l'oeuvre pour me sauver tout entier. Si je range l'impossible Salut au magasin des accessoires, que reste-t-il? Tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n'importe qui. Sartre, Les Mots.
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(pour le §1 ) Il y a de rares moments dans la vie où l'on peut douter de tout, dans l'absolu. Et comme tu le dis justement, il faut savoir s'en défaire si l'on veut avancer dans le savoir. C'est la démarche que fait Descartes dans ses méditations métaphysiques. On parle alors de doute cartésien, dès lors où les moments de doutes font passer au tamis de l'esprit nos incertitudes et illusions, dans le but de ne retomber que sur des vérités essentielles. (pour le §2 ) L'autre c'est la part de l'ange, comme dirait un ami philosophe... c'est celui qui nous touche tout en étant très éloigné de nous ! Quant à interagir, oui, mais il faut faire attention à ce que l'autre, une fois rentré dans ta propre pensée intime n'y détruise rien. Alors, peut-être que l'autre, et c'est le mieux, cela peut être aussi celui avec qui je construis. Mais cela peut être tout aussi bien, celui contre qui je lutte, ou au contraire qui me soutient. A moins tout simplement que l'autre soit celui que j'accueille volontiers afin de le découvrir ? Mais il me semble que nous sommes loin du sujet qui est penser contre soi-même, à tant vouloir parler de l'autre. Car en définitive, si l'on veut poursuivre la pensée de Sartre (que j'aime bien, à tout avouer), nous demeurons seul face à nous-même quand il faut trancher dans le vif. Et à trop s'en remettre à autrui, n'est-ce pas faire preuve de lâcheté, dès lors que l'on est disposé à décider ?
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Si il nous faut une bonne raison pour douter, alors ce n'est pas un doute dans l'absolu, tu en conviendras. Car le doute est on ne peut plus libre (de toute raison justement). Maintenant que ce soit les autres qui permettent de douter sur soi, oui je suis d'accord, ils peuvent y aider, et même t'y entraîner. Mais en général, et je crois que c'est là que Sartre veut pointer du doigt : le doute va avec la pensée qui se construit. Pour l'illustrer, je dirais par exemple que tout raisonnement scientifique se construit en avançant des hypothèses dans un premier temps, puis en allant chercher dans la réalité des résultats d'expériences, cette réalité expérimenté qui permet alors d'établir la justesse d'une théorie. Donc même dans la plus profonde des logiques (en sciences), on voit surgir la vérité grâce au doute. En douterais-tu ?
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Il y a ici décrit par toi deux manières d'être. La première, qui (si j'ai bien compris ton propos) est celle d'aller droit selon sa propre logique et vaincre alors le doute. Le doute, c'est alors pour toi l'ennemi. La seconde, qui serait alors étrangère à toi, est celle décrite par Sartre, qui consiste à faire du doute le départ de tout raisonnement, et le fondement de notre être même ! Pour ma part, je rejoins Sartre, car je suis en accord avec son hypothèse lorsqu'il soutient que l'homme est condamné à être libre. Cela veut dire en fait que comme tout est possible, nous pouvons douter de la suite de ce qui peut nous arriver, et même aussi du comment on en a pu en arriver là. Sartre appelle cela la "contingence" (de notre existence). Je rappelle ici que ce qui est contingent c'est ce qui existe mais qui aurait tout aussi bien pu ne pas être, ou être autrement. De là le doute. Et son ennemie : la toute puissante logique !
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Faut-il se cacher, tout honteux, pour se remettre en question sur le plus profond de nous-même (nos croyances, nos rêves, nos désirs...), par exemple ? Oui, peut-être que ce genre de remise en question est bien trop personnel pour être partagé avec les autres ?
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Penser contre soi-même, et aboutir à accepter une vérité parfois bien déplaisante, voilà qui nécessite un effort pris sur soi. Cela veut dire, en gros, que se défaire de ses préjugés est difficile et même douloureux. Reconnaître que l'on s'est trompé n'est, sur le coup, agréable à personne...
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A moins d'être profondément intello et avoir une formation/métier qui va avec, les gens ne se posent que les questions du quotidien... sauf quand surgit l'angoisse qui amène à réfléchir sur... par exemple le bilan de sa vie ?
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C'est bien trop réducteur ! Oui, on peut expliquer la différence entre un homme et une femme par l'opposition masculinité / féminité. Mais cependant c'est très caricatural. Et je ne sais pas si les défenseurs de cette opposition se rendent compte de leur ridicule. Car, comme nous vivons en société et que les rapports sexuels ne sont plus dictés par la nature... par exemple peut-on imaginer Tatyana ayant ses chaleurs féminines au printemps et attirer vers elle les hommes virils du quartiers pour pouvoir procréer ses bambins, seul manière pour une femelle d'être heureuse ? J'espère que non. Nos rapports sexuels ne sont plus dictés par la nature : c'est nous qui décidons de la fréquence, des partenaires (hétérosexuels, ou homosexuels) , du but de la manoeuvre (plaisir ou procréation). Ceci dit, un mâle restera un mâle et la femelle une femelle : question d'hormones. Mais attention, on ne peut pas faire de l'opposition masculin / féminin la base des rapports sexuels : c'est bien trop réducteur.
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C'est celui qui dit, qui est...
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Ce forum philo est en définitive une grande fumisterie, rien d'étonnant d'avoir des cons à tire-larrigot.
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La connerie, c'est être borné à ses propres vues, et ne pas en démordre face à quiconque qui pourrait nous offrir un regard neuf sur ce que l'on croit si bien savoir. Je crois que la connerie procède d'un retard social qui rend le con hermétique à ce que les autres peuvent lui apporter, et qui n'est là que pour s'écouter parler parmi les autres ou encore parmi ses pairs, jouant un rôle social finalement assez creux. Alors faut-il parler à un con ? De toute façon si tu ne vas pas vers le con, le con viendra à toi, non ? Personnellement, je me fais un devoir de dire toujours ce que je pense, dans les limites du respect pour l'autre, qu'il soit con ou pas. Après si ça reste lettre morte, ce n'est pas ma faute, si le con n'ouvre qu'une oreille endormie, pour employer cette image !
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Bonjour Lilou. Je considère la religion comme un handicap pour philosopher. Les religieux s'entraînent de trop à obéir, et suivre, ce qui les empêche de gagner la possibilité d'aller plus loin dans un cheminement plus personnel de la raison. Ce qui est dommage, bien entendu. J'ai d'ailleurs remarqué chez les croyants leur soi-disant ouverture d'esprit, qui ne reste hélas bien souvent que dans la prolongation dans leur enseignement religieux. Difficile alors de discuter, quand on a en face quelqu'un qui confond les dires de la bible avec les dires des philosophes. Et pourtant ils sont nombreux ceux qui croient philosopher, parmi les religieux.
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Exclusif Le Figaro : Nicolas Sarkozy s'adresse aux Français
jean ghislain a répondu à un(e) sujet de Lou.Desplace dans Politique
Mouais, on connaît la bête (Sarkozy), et ses gesticulations. On pourrait pas la mettre en cage en définitive, qu'on en entende plus parler ? C'est très désagréable que tout cet étalage. On ferait mieux de s'occuper du progrès social de demain, plutôt que du Sarko d'hier. -
Avec d'aussi belles paroles, on se demande encore comment on en reste à notre niveau tellement humainement con. Disons merci à nos Sauveurs de pacotille pour nous dégoûter du sexe. Vive le vrai sexe, le pur et dur donc, celui de sa femme avec son mari, c'est ça ?
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Tout dépend. Peut-être ne fais-tu que les expériences que tu te dictes, loin de tout ?
