Yiauthli

Le sujet ici, c'est l'Islam, donc soit vous revenez au sujet, soit je ferme celui-ci

La question c'est: Comment peut-on se laisser faire ? :blush:

Je ne crois pas que cela existe pour les billets d'avion, hélas. Tu peux toutefois regarder sur les sites repertoriés là: Voyager par cher N'hésites pas à revenir nous dire ce que tu auras trouvé :blush:

La misère est partout, les mouettes volent sur le dos. :blush:

Vieux réac ! :blush:

Ben, moi je ne la trouve pas horrible sur ces photos. Personne, dans la vraie vie ne ressemble à un top model. Je ne vois pas ce qui vous choque...

Bonjour, en allant au Etats-Unis, tu obtiens un VISA touriste de 3 mois. Au bout de trois mois, tu peux faire prolonger celui-ci de trois mois, sous conditions de ressources. Vers la fin du cinquième mois, tu peux faire une demande de Carte de résident. le traitement de ta demande dure 4 à 6 mois et pendant ce temps tu peux rester aux Etats-Unis. Si tu cherches du plus long terme, tu t'inscrits dans une fac et tu obtiens un visa d'étudiant qui t'oblige à suivre des cours à temps plein et t'autorise à travailler à mi-temps. Pendant ce temps là, tu peux chercher un stage dans une entreprise, si tu trouves, tu peux alors avoir un VISA stagiaire. Si l'entreprise souhaite te garder, elle peux faire une demande de carte de résident pour toi, et là tu es sur de l'avoir, ta green card. Autre possibilité, le mariage. De nombreuses femmes proposent des mariage blancs qui te couteront tout de même quelques dizaines de milliers de dollars. Je sais que ca se pratique couramment pour les israeliens qui émigrent aux Etats-Unis, le réseau juif est très bien organisé pour ça. Pour toi, je ne sais pas trop comment procéder, mais internet t'aidera surement. Le plus simple, c'est encore d'aller sur le site de leur ambassade, ils expliquent les conditions pour obtenir les différents types de visa. Enfin, sache que vivre aux Etats-Unis n'a rien d'une sinécure, surtout en ce moment. Et pour les non-diplomes, la vie y est bien plus difficile et ingrate qu'en France. Bon courage

Sujet compilé avec un autre sujet existant. Tu peux donc déjà commencer par lire les messages qui se trouvent au-dessus. :blush:

Ah parce que nous, on n'est moins sur le terrain ? :blush: L'autre jour, dans le TER, il y avait deux femmes musulmanes (non voilées) qui parlaient. L'une a confessé à l'autre que l'imam de la mosquée avait demandé à son mari de faire mettre le voile à sa femme. Elle et son mari ne savaient pas quoi faire. La femme qui disait cela était génée: c'est tout de même l'Imam qui l'a dit. L'autre lui a répondu que si elle ne voulait pas, elle ne devait pas céder, que ça n'était pas une obligation, et qu'il ne fallait pas accepter ce genre de pression. Du coup, l'autre s'est sentie mieux.

Bon anniversaire Celsud ! :blush:

Je m'étonne du chemin pris par ce sujet. Vous apprendrez Messieurs, que l'Ile-de-France n'est pas le centre du monde. Et que hors de ce périmètre, il existe également des cités, pas nécessairement situées dans les banlieues des villes mais parfois en leur coeur. Votre débat franciliano-francilien est aussi ridicule que réducteur. Je voudrais répondre à tout ceux qui affirment que l'on n'a pas tous eu droits aux mêmes cours de français et autres qui dénoncent le handicap des enfants issus de l'immigration. Il a été montré que si les enfants bilingues présentent des difficultés scolaires aux premières années de l'enfance, ce retard s'estompe très vite pour, au contraire, laisser place à des individus ayant, en moyenne, un QI supérieur au enfants/adolescents ne dominant qu'un seule langue. En revanche, se servir de l'origine étrangère de ses parents pour légitimer un échec scolaire me semble facile et particulièrement insultant pour les géniteurs. Je ne parviens pas à comprendre de telles opinions. Mes grands-parents vivent depuis 40 ans dans des blocs aux populations diverses, ma grand-mère ne sait pas écrire le français et n'est jamais allée à l'école, elle parle mal la langue, mais mes grands-parents ont su inculquer à leurs enfants des valeurs et leur volonté d'intégration et de réussite par le travail. Je ne dit pas que leurs enfants sont devenus cadres supérieurs, mais ils ont un emploi tout à fait respectables et parlent le plus correctement du monde. Il eut été totalement impensables pour eux de se limiter à fréquenter des gens de même origines qu'eux et se limiter à parler italien avec les jeunes du quartier quand le français était utilisé tout autour d'eux. Etant enfant, j'avais dans ma classe en 6e une jeune vietnamienne, tout à fait brillante à l'école. Je ne vous cache pas mon étonnement lorsque je suis allée pour la première fois chez elle et ai constaté que ses parents ne parlaient pas un mot de français et qu'elle ne communiquait qu'en vietnamien avec eux. Tout cela pour dire qu'être enfant d'immigré ne légitime en aucun cas un échec scolaire. Au contraire, la dureté de la vie des parents doit être un leitmotiv pour s'en sortir mieux et les aider à l'avenir. Par ailleurs, on parle de la qualité des enseignants et de l'échec scolaire comme une excuse à l'absence de maîtrise du français correct. Je pense que l'échec scolaire est plutôt la conséquence d'un rejet de l'éducation. Bourdieu l'a très bien montré, la docilité de l'élève et sa capacité à comprendre et accepter ce que l'on attend de lui joue beaucoup dans la réussite scolaire. Si, donc, on se retrouve dans des classes pleines de gens refusant d'intégrer le français classique et que les enseignants, payés pour enseigner et non faire la police, ne parviennent pas à imposer leur autorité, il ne fait aucun doute que la probabilité de succès des élèves se trouve réduite. Tout cela pour dire qu'il revient aux élèves de comprendre que l'école est faite pour favoriser la réussite de tous et non pour discriminer. Les parents sont là pour les y aider. Se réfugier dans un sous-language pour ne pas avoir à affronter la difficulté est une réaction des plus puériles et le signe d'un manque flagrant de discernement. Enfin, pour moi, ce "language des cités" n'est en rien le propre des jeunes d'origine étrangères mais bien lié à une condition sociale. J'habite depuis un an à Chalon-sur-Saône ( la ville dont est issu le gamin de Neuilly sa mère) et je trouve certains jeunes particulièrement agressifs dans leur façon de parler, vulgaires, et manquant clairement de savoir-vivre. Si leur origine semble bien locale, leurs tenues et leur language sont caractéristiques d'un certain milieu social et de certains quartiers de la ville et il ne fait aucun doute que ces gens auront le plus grand mal à s'intégrer s'ils ne parviennent à comprendre que leur mode d'expression n'est pas acceptable en milieu professionnel.

C'est surtout une régression. Du language, comme de son utilisateur. Il est plus facile de se regrouper, de rester dans son microcosme que d'avancer dans une société qui exerce une violence non négligeable sur les individus. Le repli sur son groupe, son quartier, permet de trouver une identité que l'on ne parvient pas à créer au-delà de ce cercle. Le language des jeunes a, quant à lui, toujours existé. Il s'agit d'une réaction logique à l'age de l'adolescence, où les individus cherchent à se démarquer de leurs parents, et qui s'efface ensuite naturellement à l'age adulte. Ce sont deux phénomènes qui sont loin d'être liés selon moi. On le voit bien aux Etats-Unis ou le language des jeunes (avec cette accent si horrible et ses "you know" à chaque bout de phrases n'a aucun lien avec l'ebonics de plus en plus revendiqué par les afro-américains des quartiers chauds).

Bonjour Muge ! Merci pour ta réponse. Alors, pour les voyages en voiture, je préfère être accompagnée. Donc, on serait plutôt deux, une fille et un garçon. Je connais un peu la côte ouest (touristique) de la Turquie, mais pas du tout les terres, ni Istambul. D'après ce que je connais de ce très chouette pays, et ce que l'on m'a recommandé, l'idée ce serait d'arriver à Istambul (soit par la Grèce, soit de louer une voiture sur place, ou même acheter une vieille voiture juste pour le temps du trajet) puis de longer la côte de la mer noire, ensuite descendre jusqu'au lac de Van. Ensuite je souhaite aller en Cappadoce, puis Sille, Pammukale et voir les sites grecs qui se trouvent sur toute la partie ouest. Pour le reste, je ne connais absoluement pas tout l'intérieur des terres ni la côte sud. Qu'est-ce que tu en penses ? Quelles sont tes recommandations ? Combien de temps ca prendrait (sans se presser) ? Une petite carte pour suivre le trajet :

Sujet fermé

Vous le dites vous-même, on ne peut pas mettre tous les israeliens dans le même panier. Certains colonisent, certains se font tuer pour la paix, certains essaient simplement de survivre dans un pays où les inégalités sont fortes. Pourquoi commencer votre phrase en conjugant le verbe au singulier, et passer à une conjugaison au pluriel ensuite? Vous passez de la critique de la politique d'un Etat à la critique d'un peuple. De même, quand vous prétendez parler de colons, il s'agit en fait d'israeliens vivant dans des villes proches de Gaza, non de colons se trouvant en territoires palestiniens (cf. frontières de 1967). Il s'agit donc bien là de propagande utilisant les armes habituelles du genre: contre-vérités, amalgames, calomnies, théorie du complot et de la manipulation, répétition sans fin des mêmes arguments, manipulation de la langue. Avec 3 messages à votre actif, vous ne ferez pas croire que vous êtes tombés sur ces sujets par hasard. Il y a quelques années que je vois des gens défiler sur ce forum, et les gens n'arrivent pas naturellement sur ce type de sujets. Ceux qui, comme vous, viennent pour plaider leur causes sont vite remarquables et remarqués. Vite ignorés aussi... Fin de la digression, et fin de ma participation à ce sujet. Yiauthli

Ca y est, on y est. Qu'est-ce que je disais déjà sur ce type de propagande ? Blablabla... ca devient lassant... Entre ceux qui disent "le terme antisémistisme est impropre", et ceux qui disent: "c'est pas de l'antisémitisme, c'est de l'anti-sionisme", ca devient n'importe quoi. Et encore une fois, on trouve un champ lexical visant à diaboliser les israëliens: "entité voleuse","massacre", "sanguinaire". Chaque sujet sur Israël comporte ce type de commentaires, alors même que personne ne se risquerait à dire la même chose concernant d'autres etats. comme si, quand on parle d'Israël, toutes les insultes, tous les termes les plus extrèmes devenaient acceptables, normales. Comme si, le fait de ne citer nommément personne autorisait à se défouler, à déballer sa haine. Tout le monde a bien intégrer que dire "J'aime pas les juifs" c'était mal. Alors on dit, Isaël massacre, Israel vole, Israël tue, Israël me fait gerber, etc. Pour ma part, je trouve cela intolérable. Mais il semblerait que ca ne choque que moi.

Je ne sais pas si l'antisémitisme augmente en France, mais je sais que la propagande antisémite (sous couvert d'antisionisme) à le vent en poupe... et que peu nombreux sont ceux qui ouvrent la voix contre ce type de racisme. Petite parole hassidique pour détendre l'ambiance: "Le plus bas et le plus misérable que tu puisses imaginer, je l'aime plus que tu n'aimes ton propre fils." Baal Chem Tov