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Tout ce qui a été posté par nana89
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c'est idiot ce - 1 c'est une simple plaisanterie sur le clin d'oeil sur son régime c'est tout - ce n'était pas politique
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Les banques et les marchés sont responsables du surendettement de l’Etat. Ils le sont ENTIÈREMENT ; grâce à la lâcheté ou/et la complicité des politiques qui leur ont laissé le champ totalement libre, sur la création de la monnaie. Loi de 1973 - traité de lisbonne et de maastricht. Sans la création monétaire confiée aux banques et marchés financiers, il N’Y AURAIT PAS DE DETTE : l’ensemble des sommes empruntées ayant été remboursées. La dette qui reste, ne correspond qu’aux INTÉRÊTS totalement illégitimes dus à l’interdiction faite aux états d’emprunter directement aux banques centrales. Les banques et les marchés financiers SONT LES SEULS RESPONSABLES DU PSEUDO SURENDETTEMENT DES ÉTATS !! La preuve en est de cette "crise" ; provenant de dettes et de faillites PRIVÉES (banques et organismes financiers, à force de jouer au Monopoly avec la planète), devenue, par l’opération du Saint-Esprit, une dette PUBLIQUE, qu’on fait payer aux états ; donc aux citoyens. Comme toujours, dans le système libéral, privatisation des bénéfices, et socialisation des pertes. il faut arrêter de nous gonfler avec cette dette illégitime, et un plan d’austérité à venir, pour que les mafias financières puissent continuer à se gaver. Ce qui arrive à la Grèce, à l’Espagne, va arriver, en effet de dominos, à l’ensemble de l’Europe ; les politiques d’austérité rendent tout remboursement de la dette impossible ; et on va privatiser la planète, pour simplement sauver les banques, qui nous égorgent. la droite, et la gauche sont totalement complices de cette escroquerie. LA DETTE EST ILLÉGITIME : elle doit être définitivement effacée, avec une indispensable REFORME MONÉTAIRE ; et basta ! Mais, pour ça, il faut des hommes politiques avec des c......., qui aient le courage de reprendre l’économie et la finance en main …Vous en n’avez pas marre de vous serrer la ceinture alors que la richesse progresse chaque année et qu’elle est partagée entre de moins en moins de mains? En France la pauvreté explose! Il y a officiellement 11 millions de pauvres dans notre pays !!! le 5 ième pays le plus riche au monde...
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Effectivement pour moi aussi il s'agit de protéger les décisions prisent par Sarkozy ce que je souhaiterai comprendre c'est pourquoi ce statu quo ? Incompétence de nos services anti terroristes, collaboration nébuleuse, nous focaliser sur cette affaire afin de justifier sa réelection comme sauveur des" méchants" musulmans ou plus grave justifier des guerres menées et à venir... ?
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Je fais partie des français qui souhaite comprendre les nombreuses zones d'ombres qui planent sur l'affaire Merha, d'autant que cette récupération politique est très loin d'etre anodine ... Pourtant Statu quo de l'état ? << En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. >> Francklin delano Roosevelt
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Avez vous lu ça ? c'est flippant François Hollande tente de rassurer le Royaume-Uni et la City de Londres Le favori de l’élection présidentielle française a déclaré qu’il voulait le retour du Royaume-Uni au cœur de l’Europe et que le secteur de la finance ne devait pas craindre de nouvelles réglementations. « Nous avons besoin que la Grande-Bretagne se sente partie prenante de l’Europe » a dit François Hollande aux représentants de la presse dans la perspective d’une visite à Londres la semaine prochaine à laquelle il souhaite donner une grande importance. Mais il a ajouté que la France n’aurait jamais pu accepter la tentative de David Cameron de faire de la City de Londres, dans le cadre d’un nouveau traité européen, un « sanctuaire » à l’écart de la régulation financière. Hollande a écarté les craintes exprimées à Londres par la droite selon lesquelles il serait dangereux pour la City. Il a dit qu’il n’était pas du genre « agressif », qu’on ne le considérait pas en France comme un homme très à gauche, et quant à son intention de réguler la finance elle s’apparentait dans ses grandes lignes à celles de Barack Obama dans son discours devant le Congrès. « On peut dire qu’Obama et moi avons les mêmes conseillers ». Il a dit que son attitude vis-à-vis des futures mesures de régulation dans le secteur financier était en ligne avec « l’opinion publique » en Europe et similaire à celle des autres prétendants à l’élection présidentielle, y compris le candidat de droite Nicolas Sarkozy. Hollande, jovial et consensuel député de province, qui a dirigé le PS pendant 11 ans, est considéré comme le favori de la présidentielle française en mai. Quand, lors d’un récent meeting, il a désigné le « monde de la finance » comme son principal « adversaire », c’était une illustration de la rhétorique de campagne largement adoptée par tous les candidats, y compris ceux de droite. Son programme veut imposer davantage les très riches, ceux qui ont le plus largement profité des allégements fiscaux. Mais il est considéré comme un homme du centre-gauche, un social-démocrate modéré dont les mains sont liées par la dette française et le trou béant des finances publiques. Son projet est plus modeste que celui de tous les candidats socialistes qui l’ont précédé et ne contient aucune des promesses traditionnelles comme l’augmentation du SMIC ou des salaires, mais par contre il se propose de réduire le déficit public. Sa mesure la plus concrète concernant les banques – une loi pour séparer leurs activités de dépôts et leurs activités de spéculation – est déjà envisagée au Royaume-Uni et aux États-Unis, et Sarkozy a court-circuité Hollande en annonçant une taxe sur les transactions financières en France, la fameuse taxe Tobin. Cela dit, les louanges appuyées de Hollande à Tony Blair mettent en évidence ses orientations politiques et la façon dont il entend gouverner la France. Pendant des années, Blair, le New Labour (le Nouveau Parti travailliste) et la troisième voie ont constitué une hérésie aux yeux de la plupart des socialistes français. Hollande a déclaré que Blair était un homme agréable et, « si intelligent qu’il n’avait pas besoin d’être arrogant ». Il a ajouté : « La première leçon à tirer de Blair c’est sa longévité politique… La seconde, c’est qu’ il a été capable, après une longue période de thatchérisme, de relancer l’éducation, la santé et le secteur public… Puis il a succombé à l’idée dominante que les marchés pouvaient se réguler tout seuls et à la notion que le marché et le libéralisme (économique) pouvaient être un facteur suffisant de croissance… Nous en voyons les conséquences. » Hollande a écarté l’idée selon laquelle il serait un idéologue de gauche et rejeté le rapprochement avec les peurs qui accompagnèrent l’élection de Mitterrand en 1981. «Les années 80 étaient radicalement différentes. Les gens craignaient l’arrivée de chars soviétiques sur la place de la Concorde. Cette ère est révolue, c’est de l’histoire ancienne. C’était normal que les gens aient peur à l’époque. Nous sortions de 23 ans de règne de la droite, il y avait la guerre froide et Mitterrand a nommé des ministres communistes. Aujourd’hui, il n’y a plus de communistes en France. Ou si peu… La gauche a été au pouvoir pendant 15 ans pendant lesquels elle a libéralisé l’économie et ouvert les marchés à la finance et aux privatisations. Il n’y a vraiment rien à craindre ». Il a ensuite réitéré sa demande de longue date de modifications du traité européen sur l’intégration économique, mais il a semblé mettre en veilleuse l’idée d’une renégociation globale, préférant insister sur l’ajout d’une clause pour une croissance économique, à l’intérieur ou à l’extérieur du traité. Il a déclaré qu’il ferait ratifier le traité par le parlement après son élection et qu’il n’était pas favorable à un référendum. » Contrairement à Sarkozy, Hollande a dit qu’il parlait l’anglais « comme un Français, avec un accent, mais je le parle ». Il a conclu en disant qu’il connaissait l’Angleterre et n’avait « aucune appréhension ni préjugé » à son sujet. Source : The guardian, Traduction On nous enfume ou quoi ? :gurp:
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Du Mali à la Libye, la recomposition de l’Afrique sahélo-saharienne est en cours
nana89 a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans International
NORD DU MALI : Et le pétrole dans tout ça ! Le retournement soudain des armes libyennes contre le peuple malien reste encore inexpliqué pour beaucoup. Au-delà du décompte macabre des morts et de celui malheureux des réfugiés, au-delà des affrontements et des victoires relatives ou glorifiantes, la mise en perspective de certains faits fait converger les conclusions vers l’inquiétante question minière dont, semble-t-il, le sous-sol saharien serait très riche. Enquête. http://maliactu.net/2012/nord-du-mali-et-le-petrole-dans-tout-ca.html -
Du Mali à la Libye, la recomposition de l’Afrique sahélo-saharienne est en cours
nana89 a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans International
Embargo sur le pays. Lors du sommet, auquel ont participé une dizaine de chefs d'Etat et des représentants de l'ONU, de la France et des Etats-Unis notamment, l'organisation a également décidé d'un « embargo total » contre la junte au pouvoir à Bamako. « Toutes les mesures diplomatiques, économiques, financières et autres sont applicables dès aujourd'hui (lundi) et ne seront levées que quand l'ordre constitutionnel (sera) effectivement rétabli », a déclaré Alassane Ouattara, soulignant : «Nous avons demandé que l'embargo soit total par rapport à tous les Etats voisins du Mali ». Source : le parisien.fr un embargo " total " va entrainer un drame humanitaire Et qui se soucit du peuple Malien ? :gurp: -
Il se la joue à la bush ! réelu d'ailleurs ! La peur... Fait passer de nouvelles lois liberticides... C'est sarko le terroriste, j'espère que le peuple Français ne sera pas dupe
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Al-Jazira pourrait diffuser les images des meurtres
nana89 a répondu à un(e) sujet de Undead Rex dans France
Le terme « islamisme » est réapparu en France à la fin des années 1970 pour répondre à la nécessité de définir les nouveaux courants posant une interprétation politique et idéologique de l'islam et les différencier de l'islam en tant que foi[2]. Pour l'islamologue Bruno Étienne[n 1], l'acception actuelle du mot, qu'il est également possible d'appeler « islamisme radical », peut se résumer comme l'« utilisation politique de thèmes musulmans mobilisés en réaction à l' « occidentalisation » considérée comme agressive à l’égard de l’identité arabo-musulmane »[5], cette réaction étant « perçue comme une protestation antimoderne » par ceux qui ne suivent pas cette idéologie[5]. Source: Wikipédia -
Al-Jazira pourrait diffuser les images des meurtres
nana89 a répondu à un(e) sujet de Undead Rex dans France
En effet cet almagame n'a pas de sens les musulmans existent depuis 14 siècles et sont aux nombres d'environ 1 milliard ils ne sont en aucun cas représentatifs de quelques groupes intégristes qui ces derniers d'ailleurs n'existent que recemment environ 40 ans suite aux colonisations occidentales. Il me semble prudent de ne pas tout mélanger -
Al-Jazira pourrait diffuser les images des meurtres
nana89 a répondu à un(e) sujet de Undead Rex dans France
Des massacres sont perpétrés dans le monde entier, pourquoi s'offusquer d'en avoir chez nous ? C'est d'une logique franchement .... Ah c'est interessant le respect est selectif ... Ailleurs c'est tolérable, en revanche pas en France c'est d'une logique franchement ... -
Al-Jazira pourrait diffuser les images des meurtres
nana89 a répondu à un(e) sujet de Undead Rex dans France
Des massacres sont diffusées sur les chaines TV du monde entier, pourquoi s'en offusquer maintenant ? :gurp: -
Oui j'ai le sentiment que se profile un formatage voir un " idéal " de ce que doit etre un élève" modèle" ! ? Si jeune et encore en développement ! Comme un conditionnement liés aux besoins de la société déjà dans le monde du travail !!! Je sais, je sais je vais loin dans mon mode de pensée ... Et si ... ?
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Oui je trouve que c'est une bonne idée Noisette d'autant que chaque enfant n'a ni le meme rythme ni le meme accompagnement possible à la maison, de plus ça pourrait meme se faire sous forme d'atelier ou les enfants pourraient s'entraider ainsi qu'avec l'instituteur (trice) disponible pour les enfants qui ont plus de difficultés ou simplement ceux considérés comme plus lents .
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Bonne question ! Effectivement je touve les bouts de choux bien jeunes pour alourdir une journée déjà bien riche en apprentissage, ma puce en primaire parfois s'endormait dès 18 heures et ce jusqu'au lendemain... Imaginez bien que je n'ai pas eu le choix que de m'adapter à son propre rythme ce qui me paraissait etre de bon sens. Ce que je trouve plus inquiétant c'est cette pression que subisse les parents donc les enfants à déjà definir une réussite ou echec ? Malheureusement l'évalution mise en place dès la maternelle va aggraver la situation, je crois que l'on peut avoir confiance en nos enfants si jeunes ils nous indiquent grace à leur propre rythme comment les accompagner sans nuire à leur épanouissement .
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Palestine et Israël : une inégalité citoyenne flagrante Pendant l’opération « Plomb durci », des crimes de guerre et même des crimes contre l’humanité ont été perpétrés : utilisation du phosphore, des bombes à fragmentation et de l’uranium appauvri, attaque contre des hôpitaux. Le rapport Goldstone a confirmé ces crimes, mais une fois de plus aucune sanction et aucune poursuite judiciaire n’ont été entreprises contre les responsables. Après « Plomb durci », le blocus a continué. Gaza est devenu un laboratoire où les dirigeants israéliens expérimentent jusqu’où ils peuvent aller. Il y a pourtant une société civile à Gaza qui réclame la liberté, le droit de vivre et de voyager normalement et qui manifeste. Ne jamais oublier les réfugiés Les accords d’armistice de 1949 stipulaient que les Palestiniens chassés de leurs maisons pourraient rentrer chez eux. L’ONU n’a pas imposé ce retour et a créé l’UNRWA( Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient). Il y a aujourd’hui plus de 4 millions et demi de réfugiés gérés par l’UNRWA. Ils vivent dans 58 camps situés principalement en Palestine et dans les pays voisins (Jordanie, Liban, Syrie). Il y a aussi des réfugiés non recensés par l’UNRWA qui vivent dans d’autres pays du Proche-Orient, en Europe ou en Amérique. L’UNRWA a assuré l’extrême minimum pour les réfugiés. Ils ont vécu très longtemps dans des villages de tentes insalubres. Dans de nombreux camps, les équipements collectifs, les services publics, les écoles, les centres sociaux ont été construits grâce à l’effort de toute la population. Les camps de Cisjordanie et de Gaza subissent régulièrement des incursions et des destructions de la part de l’armée israélienne, l’épisode le plus terrible étant la destruction du camp de Jénine en 2002. Les réfugiés ont tous gardé en mémoire le lieu d’origine de leurs familles et ils ont peur d’un règlement politique qui se ferait en les oubliant. En octobre 2010 en Cisjordanie, les réfugiés employés par l’UNRWA ont mené une longue grève pour obtenir l’égalité salariale, les employés non palestiniens étant, à travail égal, beaucoup mieux payés qu’eux. En Jordanie, les réfugiés forment une partie importante de la population. Ils gardent en mémoire le massacre de septembre noir en 1970. Au Liban, les réfugiés subissent de très nombreuses discriminations. Un grand nombre de métiers leur sont interdits, ce qui les maintient dans la misère. Pendant la guerre civile libanaise, ils ont subi plusieurs massacres (Sabra et Chatila avec la complicité israélienne, Tell al-Zaatar avec la complicité syrienne). Plus récemment, le camp de Nahr el-Bared a été détruit au cours de combats impliquant l’armée libanaise. En Syrie, la population palestinienne subit, comme le reste de la population, la dictature. Les camps palestiniens y sont contrôlés par des organisations palestiniennes inféodées au régime (Saïka, FPLP-Commandement Général). Régulièrement, les réfugiés organisent des « marches pour le retour ». Celle du 15 mai 2011 a surpris l’armée israélienne. Des marcheurs venus de Syrie sont arrivés sur le Golan et même jusqu’à Jaffa. Quelques jours plus tard, les organisations liées au régime syrien ont organisé une nouvelle marche. Cette fois, les réfugiés ont été envoyés à l’abattoir. L’armée israélienne a tiré (23 morts). En conclusion Ce qui caractérise la guerre au Proche-orient, c’est l’inégalité flagrante. C’est le fait que le droit international n’est pas appliqué et que la moitié de la population de cette région subit toute une série de discriminations. La paix passe avant tout par l’égalité des droits. source : Pierre Stambul on voit clair tout de meme ...
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La seule question est : Comment on va se sortir de cet engrenage alors que nous ne sommes meme pas sensés etre informés réellement de notre propre système politique? :smile2: j'ajoute que ça vaut ( à mon avis) pour tous les partis politiques confondus Vos idées m'intéressent ? Perso j'ai le sentiment que l'on ne nous propose pas de véritables choix, les enjeux supranationaux sont en route quelque soit la manière dont on nous occupe :gurp:
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Une dette souveraine : peut être décomposée en dette domestique et en dette extérieure selon que les créanciers sont des résidents ou des non-résidents. peut être formée de crédits bancaires, de prêts d'autres États ou institutions officielles, et de titres d'emprunts émis par le Trésor public du pays concerné. Ceux-ci sont éventuellement négociables sur le marché international des obligations ce qui nécessite alors que les émissions soient libellées en une ou plusieurs devises convertibles ou en unités de compte universellement reconnues (DTS...) peut être bilatérale (de pays à pays), multilatérale (de pays à organisation internationale) ou privée peut être à court terme (à vue ou à quelques mois), à moyen terme ou à long terme (jusqu'à 30 ans, voire 50 ans). Celle à court terme est la plus fragile pour l'emprunteur. est accordée soit à "taux spéciaux" (avances du FMI ou prêts de la Banque mondiale par exemple) autrement dit à un taux d'intérêt privilégié, soit au taux de marché comportant une prime de risque. Celle-ci est fonction de la solvabilité du pays telle qu'estimée par exemple par les organismes de notation de la dette. Il ne faut pas essayer de noyer le poisson ... Tout est liè source: WIKIPEDIA
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C’est la société Euroclear France [4], un organisme boursier privé, qui est « le dépositaire central des titres français ». Elle sert d’intermédiaire entre la Banque de France et les détenteurs de titres du Trésor pour leur verser leurs intérêts ou leur pécule quand l’emprunt arrive à échéance. Un peu comme la chambre de compensation Clearstream sert, au Luxembourg, de « péage » entre les transactions financières. Euroclear France sait donc parfaitement qui détient combien à quel moment. Mais la loi l’autorise à ne pas rendre publiques ces données. Pourtant, ce sont bien les citoyens qui paient la charge de la dette. Sur le site de l’AFT, le citoyen curieux apprend juste que 66 % des détenteurs de la dette sont des « non-résidents ». « En gros, un tiers de la dette est détenu par des investisseurs français, un tiers au sein de la zone euro, et un tiers à l’étranger, en dehors de la zone euro », précise Tân Le Quang, responsable de la communication au sein de l’agence. Problème : « Les non-résidents peuvent être de faux non-résidents, des Français détenteurs d’un portefeuille d’obligations via un paradis fiscal », objecte Michel Husson, de l’Institut de recherches économiques et sociales (Ires). « Un investisseur saoudien, qui détient de la dette française car il a investi dans un fonds d’investissement à Londres, est comptabilisé comme un investisseur britannique », complète Patrick Artus, économiste à la banque Natixis [2] « Les trois plus gros détenteurs de la dette française sont le Luxembourg, les îles Caïmans et le Royaume-Uni », lance-t-il. Les Îles Caïmans, un paradis fiscal des Caraïbes autant peuplé que Châteauroux (44 000 âmes), pourrait donc ainsi faire basculer le destin des Français ?
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Qui détient la dette de la France ? notre pays atteint un record d'endettement, à hauteur de 85 % de son produit intérieur brut (PIB), soit 1 646,1 milliards d'euros, en progression de 110 milliards d'euros depuis un an Comment est composée la dette publique ? La dette publique est en fait triple : celle de l'Etat proprement dit, mais aussi celle des collectivités locales et celle des administrations publiques. Sur les 1 646,1 milliards dus par la France, 1 286 le sont par l'Etat lui-même, selon l'Insee, soit l'essentiel. Les administrations locales (régions, départements, communes), sont endettées à hauteur de 156 milliards d'euros ; les administrations de sécurité sociale (assurance maladie, caisse nationale d'assurance vieillesse) pour 191 milliards d'euros. Enfin, les organismes divers d'administration centrale (établissements et agences dépendant de l'Etat) doivent 11,6 milliards d'euros. Le déficit cumulé, conséquence de plus de trente années de budgets déficitaires, a été empruntée à divers acteurs financiers : Etats, entreprises, grandes banques... Ceux-ci achètent des produits, émis par la France et remboursables à plus ou moins long terme. La fameuse note "AAA" du pays permet de réaliser des emprunts à des taux réduits. De 1 % à 4 % en fonction de la durée de l'emprunt contracté, selon le dernier bulletin mensuel (en PDF) de l'Agence France Trésor (AFT), chargée d'émettre ces produits et de réaliser les emprunts pour l'Etat. Qui achète des titres de dette publique en France ? Les produits émis par l'Etat sont au nombre de trois, qu'on peut classer en deux catégories. D'abord les titres de long terme. Ce sont les obligations assimilables au trésor (OAT), les plus importants en volume, remboursables en sept à cinquante ans, qui peuvent être à taux fixe ou variable. Ensuite, ceux à court terme, de deux genres : les bons du Trésor à intérêt annuel (BTAN), d'une durée de deux ou cinq ans ; et les bons du Trésor à taux fixe et à intérêts précomptés (BTF), émis pour des périodes très courtes (de l'ordre de quatre à sept semaines). La France emprunte environ un tiers de sa dette à ses propres banques et sociétés de crédit. Avec une particularité : le pays est plus endetté auprès des compagnies d'assurance (20 %), qui "achètent" des titres de dette française pour les placements d'assurance vie, qu'auprès de ses banques. Contrairement à la situation du reste de l'Europe, les établissements bancaires français possèdent moins de 14 % de la dette nationale. Quelle part de dette est détenue par des étrangers ? La dette française est détenue à plus de 65 % par des "non-résidents" français. Un chiffre en baisse : jusque fin 2010, il se situait plutôt autour de 70 %. Mais un chiffre qui n'a eu de cesse de grimper ces dernières années : en 1993, seuls 32 % de la dette française était détenus par des non-résidents. La situation française en Europe est particulière : selon une étude publiée en avril par la fondation pour l'innovation politique (Fondapol), notre pays est en troisième position de l'Union européenne, derrière le Portugal (75 % de la dette détenue par des non-résidents) et la Grèce (71 %). En moyenne, 53 % de la dette des pays européens est détenue par des non-résidents. C'est une différence majeure avec un Etat comme le Japon, dont l'énorme endettement (plus de 200 % de son PIB) est essentiellement possédé par ses épargnants. Les Etats-Unis, quant à eux, ont un tiers de leur dette aux mains de non-résidents. Le terme de "non-résidents" recoupe une série d'acteurs : fonds de pension, grandes banques, compagnies d'assurance, fonds souverains... Il est impossible de savoir précisément quel pays possède le plus : la loi interdit la divulgation de cette information, à part aux vendeurs eux-mêmes. Ce qui pose question : la provenance des possesseurs de dette revêt en effet un caractère de plus en plus crucial. Quelles conséquences au fait que la dette soit détenue hors des frontières ? Le fait que la dette nationale soit détenue par des acteurs étrangers est un atout autant qu'une faiblesse. Un atout, car c'est une preuve de l'attractivité du territoire national et de la confiance qu'il obtient auprès des marchés. Mais une faiblesse, car le pays est d'autant plus sensible aux questions de conjonctures que sa dette est placée sur des marchés internationaux. La Grèce ou le Portugal, qui avaient également une dette majoritairement située à l'étranger, en ont ainsi payé les conséquences. La dette des pays de la zone euro est en grande partie possédée par des non-résidents d'autres pays de la zone. C'est ainsi que, en 2010, 52 % des dettes de la France et de l'Allemagne étaient détenus au sein de la zone euro, et donc libellés dans cette monnaie. Par ailleurs, 60 % de la dette des deux pays sont détenus en Europe au sens large (en incluant Norvège ou Suisse). C'est une sécurité, dans la mesure où l'Europe est capable de politiques contracycliques. La France a ainsi racheté une partie de la dette grecque au terme de l'accord du 21 juillet. Mais c'est aussi un danger, puisqu'un pays de la zone qui ferait défaut (qui se montrerait incapable de s'acquitter du paiement de ce qu'il doit) fragiliserait toute la zone et la monnaie européennes. Restent donc 40 % à 48 % de la dette française qui sont détenus hors de l'Europe, et donc sur des marchés internationaux. Cette part est la plus vulnérable aux aléas de la conjoncture et à l'affolement de la sphère financière. Comment est composée la dette publique ? .AdvertMiddle, #AdvertMiddle, #Ads_Middle {margin-bottom: 20px;}La dette publique est en fait triple : celle de l'Etat proprement dit, mais aussi celle des collectivités locales et celle des administrations publiques. Sur les 1 646,1 milliards dus par la France, 1 286 le sont par l'Etat lui-même, selon l'Insee, soit l'essentiel. Les administrations locales (régions, départements, communes), sont endettées à hauteur de 156 milliards d'euros ; les administrations de sécurité sociale (assurance maladie, caisse nationale d'assurance vieillesse) pour 191 milliards d'euros. Enfin, les organismes divers d'administration centrale (établissements et agences dépendant de l'Etat) doivent 11,6 milliards d'euros. Le déficit cumulé, conséquence de plus de trente années de budgets déficitaires, a été empruntée à divers acteurs financiers : Etats, entreprises, grandes banques... Ceux-ci achètent des produits, émis par la France et remboursables à plus ou moins long terme. La fameuse note "AAA" du pays permet de réaliser des emprunts à des taux réduits. De 1 % à 4 % en fonction de la durée de l'emprunt contracté, selon le dernier bulletin mensuel (en PDF) de l'Agence France Trésor (AFT), chargée d'émettre ces produits et de réaliser les emprunts pour l'Etat. Qui achète des titres de dette publique en France ? Les produits émis par l'Etat sont au nombre de trois, qu'on peut classer en deux catégories. D'abord les titres de long terme. Ce sont les obligations assimilables au trésor (OAT), les plus importants en volume, remboursables en sept à cinquante ans, qui peuvent être à taux fixe ou variable. Ensuite, ceux à court terme, de deux genres : les bons du Trésor à intérêt annuel (BTAN), d'une durée de deux ou cinq ans ; et les bons du Trésor à taux fixe et à intérêts précomptés (BTF), émis pour des périodes très courtes (de l'ordre de quatre à sept semaines). La France emprunte environ un tiers de sa dette à ses propres banques et sociétés de crédit. Avec une particularité : le pays est plus endetté auprès des compagnies d'assurance (20 %), qui "achètent" des titres de dette française pour les placements d'assurance vie, qu'auprès de ses banques. Contrairement à la situation du reste de l'Europe, les établissements bancaires français possèdent moins de 14 % de la dette nationale. Quelle part de dette est détenue par des étrangers ? La dette française est détenue à plus de 65 % par des "non-résidents" français. Un chiffre en baisse : jusque fin 2010, il se situait plutôt autour de 70 %. Mais un chiffre qui n'a eu de cesse de grimper ces dernières années : en 1993, seuls 32 % de la dette française était détenus par des non-résidents. La situation française en Europe est particulière : selon une étude publiée en avril par la fondation pour l'innovation politique (Fondapol), notre pays est en troisième position de l'Union européenne, derrière le Portugal (75 % de la dette détenue par des non-résidents) et la Grèce (71 %). En moyenne, 53 % de la dette des pays européens est détenue par des non-résidents. C'est une différence majeure avec un Etat comme le Japon, dont l'énorme endettement (plus de 200 % de son PIB) est essentiellement possédé par ses épargnants. Les Etats-Unis, quant à eux, ont un tiers de leur dette aux mains de non-résidents. Le terme de "non-résidents" recoupe une série d'acteurs : fonds de pension, grandes banques, compagnies d'assurance, fonds souverains... Il est impossible de savoir précisément quel pays possède le plus : la loi interdit la divulgation de cette information, à part aux vendeurs eux-mêmes. Ce qui pose question : la provenance des possesseurs de dette revêt en effet un caractère de plus en plus crucial. Quelles conséquences au fait que la dette soit détenue hors des frontières ? Le fait que la dette nationale soit détenue par des acteurs étrangers est un atout autant qu'une faiblesse. Un atout, car c'est une preuve de l'attractivité du territoire national et de la confiance qu'il obtient auprès des marchés. Mais une faiblesse, car le pays est d'autant plus sensible aux questions de conjonctures que sa dette est placée sur des marchés internationaux. La Grèce ou le Portugal, qui avaient également une dette majoritairement située à l'étranger, en ont ainsi payé les conséquences. La dette des pays de la zone euro est en grande partie possédée par des non-résidents d'autres pays de la zone. C'est ainsi que, en 2010, 52 % des dettes de la France et de l'Allemagne étaient détenus au sein de la zone euro, et donc libellés dans cette monnaie. Par ailleurs, 60 % de la dette des deux pays sont détenus en Europe au sens large (en incluant Norvège ou Suisse). C'est une sécurité, dans la mesure où l'Europe est capable de politiques contracycliques. La France a ainsi racheté une partie de la dette grecque au terme de l'accord du 21 juillet. Mais c'est aussi un danger, puisqu'un pays de la zone qui ferait défaut (qui se montrerait incapable de s'acquitter du paiement de ce qu'il doit) fragiliserait toute la zone et la monnaie européennes. Restent donc 40 % à 48 % de la dette française qui sont détenus hors de l'Europe, et donc sur des marchés internationaux. Cette part est la plus vulnérable aux aléas de la conjoncture et à l'affolement de la sphère financière. source: article LE MONDE.FR du 10.08.2011, qui détient la dette de la france
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La dette créée par l'usure, et les produits financiers toxiques éjectés en masse, à travers le monde, par Goldmans Sachs et cette grande famille unie de la finance. Des criminels jamais condamnés pour crime contre l'humanité. Mario Draghi,de Goldman Sachs et du Groupe Bilderberg dirige aujourd'hui la BCE, et a annoncé la fin de l'Europe sociale. Deux jours plus tard, il prêté 530 milliards d'euros aux banques à un taux de 1% pour se substituer à la planche à billet de FED, à court de liquidité, qu'ils veulent sauver avec l'argent des contribuables européens. Goldman Sachs réinjectent de l'argent aux banques, qui vont en prêter aux pays européens moyennant un chantage et un racket assortis d'un taux d'intérêt qui ne sera jamais d'1%. Ainsi tous ces pays européens vont privatiser à bas prix, (Goldman Sachs et la famille de la banque aura l'argent pour racheter nos pays avec leur fausse monnaie) et mettre tous ces peuples à la diéte, en retirant tous nos droits acquits en toute légalité. Le MES n'est pas un mécanisme de solidarité européen loin de permettre à l'Union européenne de s'émanciper de la toute puissance des marchés financiers, il en consacre la domination. Il vise simplement à prêter des fonds aux Etats qui auront du mal à emprunter directement sur les marchés financiers.
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PASDEPARANOIA : Il me semble qu'un bon journaliste accompagne le candidat à la compréhension de ces propos mais qu'en revanche il n'a pas à donner sa propre opinion au risque d'influencer surtout en campagne présidentielle, chacun doit etre libre de penser, force est de constater que les médias ne sont pas neutre en politique et pour cause... Lagardère, Dassault, Rothchild et Bouygues pour l'essentiel. Sans compter de nombreuses informations détournées,oubliées, mensongères...:blush: Et on n'est pas encore sur FOX NEWS qui lui carrément intoxique le téléspectateur. Et voilà diviser pour mieux régner, je me demande comment nous allons faire face à ces banques privées qui vont asservire le monde ? La période demanderait justement de la solidarité pour sauver notre pays de cette dangereuse dérive et j'avoue que mon vote aura cette simple priorité à savoir "le moins pire". Au départ je pensais Mélenchon convainquant mais depuis que l'ai entendue parler d'intervention en libye c'est mort ! Sarko on sait... Hollande trop de démagogie peu convaincante à mon gout il n'a pas le courage de s'opposer fermement aux banques privées MES (c'est la dette). Comment nous réunir pour faire front, j'avoue je na sais pas ? Ce pourquoi il me semble légitime d'écouter tous les candidats MLP y compris et je ne suis aucunement raciste simplement l'avenir m'inquiète. Merci pour ceux qui ont eu le courage de me lire :)