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Tout ce qui a été posté par Doïna
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C'est de l'insulte gratuite, et tu es hypocrite et de mauvaise foi en puissance TOI, parce que si tu pensais vraiment ce que tu dis tu me signalerais. Personnellement, je t'ai invitée à le faire, mais étrangement tu sembles te dégonfler. Alors vas-y, va jusqu'au bout maintenant : clique sur "signaler", raconte ce dont tu m'accuses à qui veut t'entendre. Il faut que tu préviennes sans délai les administrateurs, si tu veux rester crédible. De toute façon, moi tu sais, les forumeurs comme toi, qui fliquent pour un oui pour un non, décortiquent les posts pour voir comment ils vont pouvoir en détourner le sens, qui salissent en un mot, faute d'être capable de mieux faire sur ce forum, je n'en fais pas cas. Ne t'étonne donc plus si à compter de ce post je décide de t'ignorer.
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Bah non, il n'y avait pas d'hypocrisie, alors soit tu as compris de travers (ainsi qu'un autre, vraisemblablement dans le pâté quand il m'a lue), soit tu joue les fliqueuses et ça ne m'intéresse pas.
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Pffff, Alain75 qui distribue des melons d'or maintenant, c'est vraiment l'hôpital qui se moque de l'infirmerie.
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Si tu crois réellement et en toute sincérité ce dont tu m'accuses, alors signale-moi, vas-y, fait-le : tu as une pastille pour le faire, il te suffit de cliquer dessus, et après il te suffira de me dénoncer auprès des administrateurs. Non mais sérieux, je comprends ce que tu cherches à faire, ce n'est pas la première fois qu'un forumeur détourne le sens véritable des propos d'autres forumeurs dans le seul but de les faire éjecter, c'est plutôt minable, et, en ce qui me concerne, avec moi tu perds ton temps car je ne te suivrai pas sur ce terrain. Aussi je me contenterai de te répondre : Bah et puis l'autre, au-dessus, Alain75, ton melon d'or tu peux te le manger parce que c'est pas moi qui ai le melon dans l'affaire.
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Qui m'aime me suive ! (parole attribuée à Philippe VI) et À cœur vaillant rien d'impossible (de Jacques Cœur) s'emploient encore de nos jours. Il n'y a que le premier pas qui coûte (de Mme du Deffand, fin XVII°, début XVIII°). Après nous le déluge ! (La Pompadour) J'ai failli attendre (le roi Soleil) L'exactitude est la politesse des rois (Louis XVIII) J'y suis, j'y reste (Mac Mahon) sont autant d'expressions passées dans la locution courante.
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Exactement MartinHenry. En fait, ma phrase était une antiphrase. Or je viens de m'apercevoir que toutes ces figures de rhétorique -les litotes, les oxymores, les périphrases, les euphémismes, les hyperboles, les antiphrases, etc.- lesquelles font les charmes et la maniabilité de notre langue française, et bien que d'une telle évidence, n'étaient décidemment pas à la portée de tous les entendements.
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Ce n'est pas ce que j'ai dit, ni même sous-entendu. Mais bon, croyez ce que vous voulez, je ne vais pas exiger que vous compreniez mes subtilités si c'est au-dessus de vos moyens.
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ça me fait penser à "ramener sa fraise" : à l'époque, la position d'orgueil du corps faisait qu'on avançait en avant cet accessoire vestimentaire, d'où l'expression.
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Le sens véritable de ma phrase est que Django Reinhardt, bien que n'étant pas sédentaire, était intégré à la société. T'es le seul dans ce topic a ne pas avoir compris. Je ne vois pas où est l'agression, mais bon.
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Quoi, qu'est-ce que je respecte pas là ? Tu as compris de travers, vraisemblablement.
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Ce qu'il a fait n'est quand même pas anodin, il pourrait donc au moins se faire discret.
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Je suis assez ok sur le fait que les émissions télévisées aient tendance à être trop orientées, mais concernant Bertrand Cantat, n'est-ce pas un peu naturel qu'il soit rejeté ? Beaucoup de personnes ne peuvent s'empêcher en le voyant de penser à sa victime Marie Trintignant, -laquelle ne serait plus jamais invitée nulle part comme on s'en doute- de penser également à ce qu'elle a pu endurer avant de rendre l'âme, et aussi à sa famille et à ses enfants.
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C'était par rapport à Jimmy qui disait que leur problème venait de leur nomadisme, en gros. Sur ce point, je ne suis pas d'accord pour la raison expliquée dans mon post précédent. Maintenant, que tu dises que j'adhère aux discours les plus excessifs, n'exagérons rien non plus : il n'a pas été question de torturer ou génocider les Roms. Si ça avait été le cas, je n'aurais pas adhéré.
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Il existe des métiers qui s'accordent avec le nomadisme : représentant de commerce, marinier, forain, maraicher, saisonniers divers (vendange, laine, etc.), sans oublier le spectacle ambulant et le cirque. Cela existe les gens qui changent toujours de place parce que leur boulot l'exige, et cela ne concerne pas que les Roms. J'ai connu des Manouches et des Gitans qui vivaient comme ça, ils n'embêtaient personne, ils étaient sociables et gagnaient leur vie. Et même des gens non Gitans qui se déplaçaient au gré des foires commerciales pour exposer les produits de leur entreprise, leurs enfants étudiant dans la caravane par correspondance. Le nomadisme devrait-il donc tout excuser ? Pourquoi, vous croyez que Django Reinhardt vivait dans la crasse et qu'il visitait les poulaillers la nuit pour manger ?
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"J -1" ; "le Jour J" ; sont restés dans notre langage depuis le D. Day.
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Trancher le nœud gordien : Résoudre un problème de façon brutale. Le timon du char du roi Midas était lié par le fameux « nœud gordien ». Selon la prophétie, quiconque parviendrait à le dénouer deviendrait le maître de l’Asie — exploit qu’accomplit Alexandre le Grand en 337 av. J.-C. : ne pouvant trouver une extrémité pour le défaire, il le trancha tout bêtement d'un coup d'épée.
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C'est la Bérézina : Pour dire que la situation est catastrophique, en référence à la défaite de Napoléon. (La Bérézina étant une rivière de Biélorussie près de laquelle eut lieu la bataille).
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Franchir le Rubicon : Entreprendre quelque chose aux conséquences risquées. Le Rubicon est un cours d'eau qui marquait la frontière entre l'Italie Romaine et la Gaule Cisalpine. Nul général n'avait le droit de le franchir sous peine de violer les lois établies par le Sénat. César le fit malgré tout, et le sort en fut jeté. C'est vieux comme Hérode : d'après Hérode, roi biblique dans un temps très ancien donc. Certaines disent "c'est vieux comme mes robes" (entendu !). C'est comme l'œuf de Christophe Colomb : C'est facile du moment qu'on a trouvé la technique. Christophe Colomb arrivait à faire tenir un œuf debout, et tout le monde se demandait par quel miracle cela se pouvait. Jusqu'à ce qu'il explique son truc : à savoir que le bout de la coquille avait été légèrement aplatie de façon à ce que l'œuf reste debout.
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Aller au diable Vauvert : S'en aller loin. Le château de Val-Vert ou de Vauvert était autrefois situé hors des murs de Paris. Son propriétaire -le roi Philippe-Auguste-, qui fut excommunié par le pape, y vécut. Par la suite, cette demeure devint un repaire de bandits, et puis se forgea une réputation sulfureuse de hantise démoniaque. Elle a inspiré bien des légendes. Pas étonnant que lorsqu'on envoie quelqu'un au diable Vauvert, c'est avec l'espoir de ne plus le revoir sur son chemin. Celui qui conduisait à ce lieu maudit a d'ailleurs été plus tard appelé la rue d'Enfer.
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"Un jour à marquer d'une pierre blanche" Pratique romaine : un jour mauvais était marqué d'une pierre noire sur le calendrier afin qu'on se rappelle de ne rien entreprendre ce jour-là les années suivantes, tandis qu'une excellente journée était marquée d'une pierre blanche. "Toucher ses étrennes" De la déesse Strêna qui présidait au commencement de la nouvelle année à l'occasion de laquelle on s'offrait des cadeaux. Un bois sacré était consacré à cette divinité, et des morceaux de bois en provenant offerts à quelqu'un était sensé lui porter bonheur et bonne santé tout au long de la nouvelle année. De France et de Navarre : Pour signifier du pays tout entier. Du titre du roi Henri IV qui était roi de France et de Navarre (ce qui n'avait pas été forcément le cas des souverains qui l'avaient précédé sur le trône du royaume de France).
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Quoi qu'il en soit on en revient toujours au même constat : la France ne peut pas accueillir les Roms. C'est pas parce qu'ils sont Roms, c'est parce qu'ils sont trop nombreux et qu'il y a déjà assez de gens dans la précarité ici, dans le besoin d'aide et de réinsertion. Et je vous prierai de garder vos commentaires, je me fous de la gauche comme de la droite, ai moi-même déjà tenté l'émigration, d'abord au Canada, ensuite en Nouvelle-Zélande. L'un m'a refusé le visa, l'autre jamais de réponse de son ambassade, mais je n'ai pas été qualifier pour autant ces pays de "racistes" ou de "fachos". Je me suis simplement fait une raison, admettant que chaque pays devait protéger ses frontières et que c'était dans la logique des choses. Personnellement, je n'ai rien contre les Roms. Il fut d'ailleurs un temps où quand un me demandait l'aumône, je lui donnais un ou deux euros, comme c'était dans mes habitudes. Chaque fois j'avais droit au harcèlement parce que ce n'était jamais assez : après il fallait donner cinquante euros ! Et que je te suive la main tendue en réclamant. Bref, le genre d'attitude à ne pas avoir quand on veut être accepté dans un pays. C'est sûr, vous allez me dire "Ils sont pas tous comme ça". En attendant, moi je ne me pose plus de question : ils peuvent réclamer, moi je ne leur donne plus rien, même pas un centime.
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Pour moi pas d'hypocrisie, je donne raison à Valls sans équivoque quand il dit que les Roms ont vocation à rentrer en Roumanie/Bulgarie, et que l'Europe unie toute entière mette ces deux pays devant leurs responsabilités sous peine d'exclusion. Ce sont les Duflot, Ayrault (qui la soutient quasiment amoureusement), et autres gauchistes autruchiens, etc. les hypocrites, parce qu'ils préfèrent tenir un langage lénifiant leur permettant de ne pas se mouiller dans rien mais en leur for intérieur ils n'en pensent pas moins. Suffit de voir l'attitude de la Cresson avec son château cerné par les Roms. Concernant les Roms, à part dans l'espoir d'une vie plus confortable (ce qui inclue les aides diverses) je ne vois pas dans quel intérêt ils viendraient ? Il n'y a pas de honte à le dire. Ce qui est certain, c'est qu'ils ne viendraient pas si dans leur pays on faisait ce qu'il faut, à savoir utiliser les subventions européennes pour leur offrir une existence décente. Vous voyez, si les politiques français étaient aussi corrompus, aussi véreux, aussi dépourvus de scrupules que leurs homologues dans ces deux pays : Bulgarie/Roumanie, on peut être certains que plus d'un Français en état de précarité tenterait l'émigration. Et pourtant nos politiques ne sont pas tout blanc. Les renvoyer à la case départ c'est forcer les gouvernements roumains & bulgares à admettre que ces gens relèvent de leurs fonctions. Valls s'est d'ailleurs déjà déplacé là-bas pour leur rappeler ce fait. Ils sont mal reçus mais aidés malgré tout. Des associations se mobilisent pour les nourrir, les habiller, les soigner, les loger, les défendre vis-à-vis des autorités. En outre, question soin, ils sont traités comme les autres dans les hôpitaux quand ils sont malades, ce qui n'est peut-être pas le cas en Bulgarie/Roumanie, où ils sont rejetés d'ailleurs. Pour ça qu'il ne faut pas accepter : accepter c'est encourager. Il faut donc contraindre ces pays dont ils sont des ressortissants à les prendre en charge et non pas à les pousser à partir tenter leur chance ailleurs.