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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Oui mais alors c'est bien dommage parce qu'on fait payer aux innocents les fautes d'une partie. La logique voudrait que le bon père sincère ne soit pas privé de ses enfants après un divorce. On ne devrait plus passer sous tabou non plus le fait qu'une mère peut être indigne, violente envers ses enfants, incestueuses. Depuis quelques années on assiste à des peines dérisoires de génitrices qui ont tué leur progéniture, comme ce sadique en talons aiguilles qui a abandonné sa petite fille sur une plage pendant la marée montante, ou encore la bourgeon, la cottrez et d'autres.
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Non car je suis bien éduqué moi, et je n'ai jamais permis qu'on me le fasse.
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Je peux démentir : certains poussent la vilenie jusqu'à aller pleurnicher à la police après s'être fait passer un shampoing sec pour cause de geste déplacé. Le 2ème j'étais pas au courant. Une source ?
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À ce sujet, il faut se mettre à la place du vendeur, qui n'est rien d'autre qu'un vendeur : un site de rencontres qui aurait pour logo une femme dans un caddie ferait fuir les filles à la recherche d'une vraie liaison au profit de celles ne recherchant que des rapports tarifés, ce qui empêcherait le site d'atteindre le but recherché, en plus de faire de ses dirigeants des proxénètes. Inversement, le logo avec l'homme dans le caddie se veut rassurant pour celles qui recherchent une vraie liaison : il leur fait comprendre "ici c'est toi la maîtresse, c'est toi qui décide". Tout ça pour que le site fasse du chiffre. Au bout du compte, c'est dégradant pour les hommes réduits à l'état de marchandise, donc oui : c'est nul !
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Dans leur manifeste, on peut lire : Cette justice expéditive a déjà ses victimes, des hommes sanctionnés dans l’exercice de leur métier, contraints à la démission, etc., alors qu’ils n’ont eu pour seul tort que d’avoir touché un genou, tenté de voler un baiser, parlé de choses « intimes » lors d’un dîner professionnel ou d’avoir envoyé des messages à connotation sexuelle à une femme chez qui l’attirance n’était pas réciproque.* Ces dames ne comprennent donc pas qu'il doit y avoir un prélude avant de s'autoriser à toucher un genou, embrasser, envoyer des messages à connotation sexuelle ? Soit autant de gestes dégradants parce qu'irrespectueux, et qui deviennent une souffrance quand c'est répété sans arrêt, pendant des années. Leur problème aux types qui font ça, c'est qu'ils se croient tellement au-dessus de tout qu'ils ne se donnent plus la peine d'être polis, subtils, encore moins romantiques avec les femmes pour lesquelles ils éprouvent ne serait-ce qu'une attirance. Eh oui, c'est comme ça : de tout temps les femmes en général ont détesté qu'on passe du coq à l'âne avec elles ! Je précise "en général" parce que Catherine Deneuve acceptait peut-être dans sa jeunesse qu'un producteur lui foute la main au cul dès le premier déjeuner : il en allait de sa carrière, qui fut florissante comme chacun sait. Quant à la justice expéditive, c'est totalement faux : les condamnés ne l'ont été que parce qu'ils étaient condamnables, donc qu'il y avait des preuves irréfutables contre eux.
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Je trouve également ça complètement naze. De toute façon j'ai trop de vénération pour l'Amour pour accepter qu'on réduise les humains (femmes ou hommes) à des consommables.
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Tu sais, on peut exprimer beaucoup de choses avec le regard. Quelqu'un qui te reluque comme un porc chaque fois que tu passes, ça peut effectivement mettre mal à l'aise. De toute façon la femme en question agit peut-être ainsi pour poser ses limites sur son lieu de travail, tu peux pas juger. Vous autres, les hommes, vous êtes les premiers à sortir de vos gonds quand une femme vous trompe mais vous trouvez normal de faire les coqs au boulot. Il faut vous dire que vos collègues féminines peuvent être assez fidèles à leur homme pour avoir envie de poser leurs limites sur leur lieu de travail. N'aimeriez-vous pas que votre propre femme en fasse autant ?
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Et si cette femme éprouve le besoin de poser ses limites au travail, c'est son droit ! C'est sa vie : peut-être qu'elle se réserve pour son chéri et qu'elle ne veut rien avoir à faire avec ses collègues.
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Voilà que weinstein est un saint et que tout le monde le plaint, le pauvre gentil violeur sans défense.
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OK il y en a qui acceptent quand un dragueur est lourdingue, limite irrespectueux, mais qu'elles ne viennent pas remettre en question le droit de se défendre ! Pas grave, le type qui en arrive à importuner on n'est pas obligé d'accepter, cela ne fait pas de nous des puritaines. Il faudrait savoir si notre corps nous appartient ou pas. Perso il n'y a que la subtilité pour me conquérir, et les rapports avec moi sont certainement plus brûlants qu'avec des intéressées qui se donnent pour obtenir de l'avancement par exemple.
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Bah il te reste les rues chaudes, elles feront ce que tu voudras si tu as les moyens.
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Précisément : autrefois on éduquait les garçons à savoir se tenir, à la courtoisie envers les dames. A-t-on dérapé à partir du moment où on s'est mis à conforter en eux ce sentiment que tout leur était dû ? En attendant, un type qui vous convoque dans sa chambre, vous reçoit à poil et envoie les pattes en vous faisant bien sentir que c'est mieux de vous taire si vous tenez à votre carrière, façon Weinstein, c'est sans équivoque ! Comment trancher, alors ? C'est simple : quand c'est non, c'est non, pas la peine d'en arriver à importuner. Du reste, la subtilité c'est pas pour les chiens. Si les femmes veulent être heureuses et respectées, elles doivent exiger la subtilité.
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N'importe quoi : plaire, ça s'apprend quand ce n'est pas inné. Il faut savoir être subtils, messieurs, et vous serez comblés ! Maintenant c'est certain qu'en importunant (qui a pour synonyme déranger) ou en usant de drague lourde, ça risque d'en faire fuir plus d'une !
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C'est sûr qu'avec tout ce qu'elles ont accepté de faire pour réussir, elles ne doivent plus être en mesure de faire la différence entre courtise et harcèlement sexuel, celles-là ! Nan, franchement : naturellement qu'un homme peut aborder, courtiser, draguer même, mais insister, importuner carrément pour citer le titre, ça peut rendre malade la femme qui subit. Dans le lot, un pédophile (au moins) que je ne citerai pas.
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Bien souvent cela produit l'effet inverse : à force de trop de pression, les employés s'absentent, s'épuisent plus vite, se suicident parfois. Idem concernant les chômeurs : trop de pression démolit moralement, c'est comme ça que certains tombent dans un découragement dont ils ne se remettent plus jamais. L'humain n'est pas fait pour vivre sous pression. Ce système est d'ailleurs obsolète, il est responsable de tous nos maux : la précarité, l'argent roi au détriment de l'humain, la dévalorisation de soi, le sexisme, le racisme, la délinquance, etc. Il serait bon de le revoir de A à Z.
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Voilà : pourquoi est-ce que les gens devraient sacrifier leur vie familiale ? Une fois, je lisais le commentaire d'un patron qui se plaignait d'être le seul à en vouloir dans une France manquant d'entrain, sans oublier de mentionner qu'il travaillait aussi le dimanche et se présentant par conséquent comme le modèle à suivre. Pourquoi est-ce que tout le monde voudrait faire comme lui cependant ? Si ça lui plait de faire passer ses dossiers avant sa femme et ses gosses, c'est son choix, il n'y a pas de raison que le monde entier soit contraint d'en faire autant.
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Perso j'ai une famille et je tiens à les voir tous les jours, c'est humain.
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Il faut excuser une ingénue qui n'était certainement pas au courant de ces tristes réalités sur le Che.
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Disons que c'est au retour de sa maternité qu'une femme risque de se faire distancer par un collègue masculin : elle retrouve sa place avec le même salaire qu'elle avait avant son départ en maternité, mais pendant cette absence elle n'aura pu gagner en ancienneté et grimper d'échelon. Elle peut cependant compenser cette perte avec les abattements d'impôts, les allocations familiales et autres aides prévues. Maintenant ce serait bien que les entreprises ne soient pas trop drastiques avec leurs personnels féminins en raison des maternités : après tout, le sang neuf profite à l'économie du pays tout entier.
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L'heure de travail doit être rémunérée identiquement qu'elle ait été fournie par un homme ou par une femme, cela me semble logique et juste. Après, les absences pour x raisons, c'est autre chose. Le salaire ne doit pas dépendre de telle absence envisagée, il doit dépendre des heures de travail apportées à l'entreprise.
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Oui, c'est vrai : "irrationnel" n'était pas le terme adéquat ; d'ailleurs, cela ne traduisait pas exactement ma pensée. Il faudrait à la rigueur inventer un mot : sur-rationnel, considérant que c'est un rationnel qui nous passe bien au-dessus de la tête. Les scientifiques parlent de physique-chimie, mais faut-il s'en tenir à leurs assertions ? Ils veulent toujours étiqueter des explications sur tout. Pour ma part je pense que cela va plus loin encore. Si ce n'était qu'une question de physique chimie, qui plus est, alors cela signifierait que le but seul du couple est la procréation : unir deux êtres pour la meilleure progéniture possible, or l'humain a dépassé cela depuis longtemps, et quelle conclusion tirer de ceux qui ne peuvent pas ou plus avoir d'enfants mais que l'amour attend toujours au coin de la rue ? C'est vrai que l'amour est un sentiment tellement fort que c'est difficile d'exprimer ce que l'on ressent pour l'autre, et que ce que l'on ressent pour l'autre se passe en outre de mots. C'est pour cela que deux parfaits étrangers l'un pour l'autre peuvent tomber amoureux et s'accommoder du fait qu'ils ne parlent pas la même langue.
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Ce qui est fait par amour n'a pas pour but d'être forcément moral, et ne l'est donc pas toujours. Et à côté de ça ce qui est fait en faisant appel à sa raison n'est pas toujours moral non plus même c'était le but recherché.
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Cette manie de toujours rendre les pauvres responsables de leur sort, alors qu'ils étaient condamnés dès le départ dans ces quartiers dortoirs épouvantables et si loin du centre-ville. Moi j'y ai vécu pendant 20 ans, à Marseille, et je peux en parler. Je n'en reviens pas encore du mépris qu'on peut se prendre en pleine gueule quand on est au chômdu, là-bas. Je galèrerais encore si je n'avais pas eu quelques heureux coups du sort dans ma vie, pour m'extirper de tout ça.
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D'autant plus que mes propos -froid, vide, faible- ne s'adressait pas à ta personne en tant que telle puisque j'ai dit "quelqu'un qui .... me semblerait". Pour le reste, sans me vanter il existe un homme qui n'a pas craint mon tempérament passionné et qui s'en félicite encore aujourd'hui.
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Il n'y a que la vérité qui blesse.
