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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Il n'y a pas que les machos, il y a aussi toutes ces bonnes filles à papa bien à cheval sur les convenances qui voudraient nous faire rentrer dans le rang ! :D Si, si, ça existe.
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Les djihadistes détruisent le musée de Mossoul
Doïna a répondu à un(e) sujet de Doïna dans International
Et maintenant, c'est la ville de Nimroud : Après les 8.000 livres rares brûlés, les reliques archéologiques inestimables de Mossoul démolies à coups de masses, les djihadistes de l'Etat islamique poursuivent leur tentative d'effacer l'Histoire. Le groupe de djihadistes a commencé jeudi 5 mars une nouvelle entreprise : détruire au bulldozer la ville de Nimroud, joyau archéologique du nord de l'Irak. -
Ou est passée ma jolie petite fille ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de maud75 dans Aide et Suggestions
Je connais un truc pour faire revenir les jolies petites filles : il faut positionner la flèche sur le cadre de l'avatar et appuyer en même temps sur la touche Ctrl et F5. C'est un tour de magie très efficace. Mais je ne sais pas si cela va convaincre la tienne de revenir. Essaye toujours. Si elle ne revient pas malgré tout, c'est qu'elle doit être vraiment fâchée. -
On doit à Gervais de Tilbury (XII°/XIII° siècles), chevalier, juriste, homme politique, écrivain et troubadour à ses heures, l'histoire de Guiraut de Cabrera, un chevalier catalan qui aimait beaucoup son cheval : il l'appelait Bon Ami, lui faisait manger du pain de froment dans une écuelle d'argent et le faisait coucher sur une litière de plumes. Il faut dire que Bon Ami était un animal prodige : il conseillait son maître, discutait avec lui et le sauvait de toutes les embuscades. Gervais de Tilbury croyait dur comme fer à ce récit, qu'il tenait d'ailleurs de témoins très sûrs faisant partie du gratin de l'époque, de l'entourage de l'illustre comte de Provence Alfonse d'Aragon himself et de la belle-mère de l'empereur en personne (et peut-être même aussi de l'homme qui avait vu l'homme qui avait vu l'homme qui avait vu l'ours...). Tous ces gens, de vrais chrétiens de noble sang, de bonne foi et par conséquent on ne peut plus fiables, avaient eu la chance d'assister aux danses de Bon Ami avec ces dames sur les airs que Guiraut de Cabrera lui jouait à la viole. Le brave chevalier catalan connut une fin tragique : il fut occis par traîtrise. Ce jour-là, Bon Ami en perdit le boire et le manger. Inconsolable, il préféra se suicider en se rompant le cou. Pauvre bête !
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Plutôt que de la concurrence, ne faudrait-il pas plutôt voir une occasion de découvrir (ou redécouvrir) des femmes injustement boudées par les livres d'histoire ?
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Up ! On reprend les anecdotes de l'histoire : François 1er, quand il chassait dans les parages du château de Fontainebleau, s'égarait parfois dans la forêt (on s'y perd tellement facilement à vrai dire !). À la nuit tombée une de ces fois où il s'était perdu, il croisa une assemblée d'hommes : c'était une compagnie de charbonnerie, une loge d'initiés réunissant des travailleurs forestiers (bûcherons, charbonniers, etc.) un peu comme les Compagnons du travail de nos jours. Le roi, curieux de tout apprendre, voulut assister à leur cérémonie d'initiation qui allait avoir lieu, mais il s'entendit alors répondre "Seul le Maître de la Vente (nom symbolique de cette loge) peut en décider : charbonnier est maître chez lui". L'expression viendrait de là. Quant à François 1er, il fut finalement admis à l'initiation, ce qui fit de lui le premier souverain initié aux mystères du compagnonnage forestier. Toujours au sujet de François 1er : Anne d'Autriche (épouse de Louis XIII, mère de Louis XIV), à son avènement au XVI° siècle, fit brûler ou effacer tous les tableaux commandés par ce souverain durant son règne un siècle plus tôt, outrée par leur érotisme débridé. Un certain Sauval -avocat, érudit et historien de l'époque- dit à propos de ces œuvres : "On y voit des dieux, des hommes, des femmes et des déesses qui outragent la nature et se plongent dans les dissolutions les plus monstrueuses." Ajoutant : "Si l'on avait voulu brûler tout ce qui se trouvait d'abominable et de dissolu, il aurait fallu réduire en cendres presque tout Fontainebleau." Il est vrai que François 1er n'avait pas réputation d'avoir froid aux yeux. Et d'ailleurs, jamais las de se rincer l'œil, il fit aménager une grotte avec un bassin spécialement pour le bain de sa dernière favorite en date, la duchesse d'Etampes. La grotte en question était contiguë aux appartements de cette dernière et, quelque part, derrière la paroi, ce coquin de roi avait sa niche, d'où il pouvait tout voir grâce à un miroir à réflexion enchâssé dans la rocaille. En 1536, Jacques V, roi d'Ecosse, vint en France demander la main de sa fille, la princesse Madeleine, dont il était très amoureux. Un jour, elle décida de prendre son bain dans la fameuse grotte. Comme Jacques V connaissait l'existence de cette niche, il demanda à un officier de l'y emmener. Il put ainsi mater l'objet de sa convoitise jusqu'à ce qu'une réflexion de la princesse, qu'il pouvait également entendre, fasse retomber son plaisir comme un soufflé : sans se douter qu'elle était épiée, Madeleine avoua à sa dame de compagnie qu'elle n'avait pu voir avec indifférence don Juan, fils de l'empereur Charles Quint, et que si on la mariait au roi d'Ecosse, elle se regarderait comme une victime immolée à la raison d'Etat.
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Simplicius : Est-ce qu'une femme aurait été admise parmi les philosophes au temps d'Aristote ? Comme dramaturge au temps de Racine ? Quant à Kepler, relis le topic depuis le début et tu trouveras quantité de femmes -dont Marie Curie- à avoir fait autant, voire plus. Je ne vois d'ailleurs même pas pourquoi je te réponds vu que d'un sujet à l'autre sur la gent féminine, tu rabâches sempiternellement les mêmes sottises, sans varier jamais, un peu comme ces ivrognes qui beuglent cent fois la même idiotie en s'auto-persuadant que ce soit une blague drôle, jusqu'à ce que le patron du bar les foute dehors à coups de pied au cul. Ce qui fait de toi un génie en connerie, terrain sur lequel aucune femme ne t'égalera, tu peux en être certain. Sur ce, ne t'étonne pas si je ne te réponds plus, car je pense que tout ce que tu mérites, c'est qu'on t'ignore.
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Que dites-vous de celui-là que je viens d'inventer : Les fruits frits froissent François, frugal Français friands de fruits frais, fuyant les fruits frits.
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Simplicius : tes réflexions sont aussi ragoûtantes qu'une boîte de raviolis qu'on aurait réchauffée depuis les années 50. Combien de Neha Ramu ont été gâchées, sacrifiées sur l'autel de la bêtise misogyne de phallocrates qui l'aurait traitée d'hystérique, jusqu'à une certaine époque ? ********************************************************************************************************* Sofia Vassilievna Kovaleskaïa : mathématicienne russe (1850-1891). Marie-Sophie Germain : mathématicienne et philosophe française (1776-1831). Elle a pu se procurer des cours de l'école polytechnique en empruntant un nom d'homme, puisque cette école était alors interdite aux femmes. Le mathématicien Carl Friedrich Gauss, avec qui elle correspondait sous ce faux nom, lui avait écrit après qu'elle lui eût avoué qu'elle était de sexe féminin : Le goût pour les sciences abstraites en général et surtoût pour les mysteres des nombres est fort rare : on ne s’en étonne pas ; les charmes enchanteurs de cette sublime science ne se decelent dans toute leur beauté qu’à ceux qui ont le courage de l’approfondir. Mais lorsqu’une personne de ce sexe, qui, par nos mœurs et par nos préjugés, doit rencontrer infiniment plus d’obstacles et de difficultés, que les hommes, à se familiariser avec ces recherches epineuses, sait neansmoins franchir ces entraves et penétrer ce qu’elles ont de plus caché, il faut sans doute, qu’elle ait le plus noble courage, des talens tout à fait extraordinaires, le génie supérieur.
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Ola les jaloux, pas fini de troller ! (C'est complètement minable de faire du hors-sujet comme ça, sans arrêt, bêtement, à toutes les pages, avec l'espoir d'avoir la peau d'un topic. On vous l'a déjà dit : s'il ne vous plaît pas n'y venez plus). Neha Ramu : à 12 ans, son QI était déjà plus élevé que celui d'A. Einstein et l'astrophysicien S. Hawking, avec 162 points contre 160 pour ces deux derniers, ce qui la place parmi les personnes les plus intelligentes du monde. Née en Inde, elle a dû passer un test de grammaire avec ses parents à son arrivée en Grande-Bretagne, et s'en est tirée avec une note de 280/280 ! Inutile de vous dire si elle a été acceptée facilement à Harvard, malgré son jeune âge. Elle aura quinze ans cette année 2015.
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Encéphale : cette étude dont tu nous fais part peut être interprétée par n'importe qui comme bon lui semble. Pour les uns, ça sera : les femmes diplômées sont plus souvent célibataires parce qu'elles ne veulent pas d'un compagnon qui serait leur égal, préférant les hommes qui les dominent ou les manipulent ; pour d'autres ça sera au contraire : les femmes diplômées sont plus souvent célibataires parce que les hommes n'aiment pas qu'une femme soit leur égale, préférant des femmes qu'ils peuvent dominer ou manipuler. Puis si l'on approfondit pourquoi il y aurait plus de divorces dans les couples où le ménage est partagé, alors c'est pareil : certains, comme toi, vont avancer que c'est parce que l'homme qui se met au niveau de la femme est moins respecté par elle. Moi je dirais plutôt que les couples où il y a partage des tâches sont des couples assez intelligents pour accepter un divorce quand il n'y a plus d'entente. Dans un couple moins intelligent, au contraire, on se bornera à rester ensemble même s'il n'y a plus d'entente, quitte à ce que l'un se montre menaçant pour conserver son territoire, à la manière d'une bête, aussi on assistera à des scènes du genre : "Si tu demandes le divorce je t'en mets plein la gueule !" de la part du mec et "Si on divorce qu'est-ce que je vais devenir ?" de la part de la femme. On pourrait poursuivre sur quantité d'autres interprétations de telles études, et bien évidemment toi tu l'interprètes avec le parti pris d'un phallocrate.
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Essayeur a raison, et tout vient de l'éducation en fait. Tout ce qu'un garçon apprend, une fille devrait l'apprendre aussi, et vice-versa. Comme par exemple la couture, le ménage, la cuisine : pourquoi un garçon n'apprendrait pas ces choses-là ? Alors dans les périodes de sa vie où il est seul, il ne devrait bouffer que de sandwichs, laisser ses fringues pleines de trous et vivre dans la merde parce que la cuisine, la couture et le ménage sont des trucs de gonzesses ? Pareil quand il y a du bricolage à faire : les femmes devraient toujours attendre après les hommes pour le montage d'un meuble, un coup de pinceau à donner ou l'installation d'un lustre ? C'est totalement ridicule. Chez moi les deux sexes apprennent à tout faire, et d'ailleurs, s'il y a des hommes parmi vous qui font de la rando, ils doivent savoir que quelques aiguilles et du fil à coudre peuvent se révéler utiles pour réparer à tous moments un accroc au sac.
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Mais tous les maris ne sont pas aimants, et surtout : tous les maris ne sont pas aimants tout le temps, c'est pour ça qu'il importe que les femmes soient capables de subvenir à leurs besoins sans l'aide de personne, ce qui ne les empêche pas de choisir de rester au foyer pour s'occuper des enfants si elles peuvent compter sur leur conjoint. Ce qui diffère par rapport à autrefois, c'est qu'autrefois l'épouse qui n'était plus aimée de son mari n'avait qu'une alternative : rester avec lui malgré tout et supporter tout le mal qu'il pouvait lui faire, ou bien le quitter et être rejetée de la société (on sait que bon nombre de femmes battues ayant fui leur époux violent ont fini dans une maison close). Maintenant, la femme mal-aimée de son mari peut décider de le quitter, se trouver un job et voler de ses propres ailes. Un autre exemple est celui du mari aimant d'autrefois qui, en croyant agir en bon père de famille, imposait de ses décisions à lui sans soupçonner tout le mal qu'il allait ainsi causer à ses proches. Ainsi les mariages arrangés : le père obligeait sa fille à épouser un homme qu'elle n'aimerait jamais, en se disant qu'un tel homme la garderait à l'abri du besoin. Evidemment, il n'était pas rare de voir les jeunes épousées sortir de l'église en larmes. On sait au moins de nos jours qu'une jeune fille se portera bien mieux à vivre avec un compagnon qu'elle aime et a choisi, même si cela ne doit pas durer éternellement. À la suite de ton post, tu me parles du qu'en-dira-t'on au sujet des femmes qui choisissent d'être mères au foyer, je peux te dire que je te comprends sur ce point car cela m'est arrivé aussi, mais ce qui importe est que ce soit ton choix. Ce que les gens en pensent, tu t'en fous, tu es une grande personne et tu mènes ta vie comme tu l'entends toi. De toute façon, quoi que l'on fasse, on sera toujours la cible des critiques des uns ou des autres, il y en a d'ailleurs qui n'ont que cela à faire de critiquer au lieu de balayer devant leur porte.
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Bonjour, Quand l'EI s'attaque à un patrimoine inestimable : Parmi ces œuvres d'art, des statues de plus de 3000 ans ! Le funeste bruit des masses. Le musée de Mossoul, une ville du nord de l'Irak, résonnait du bruit des masses des djihadistes de l'organisation Etat islamique (EI) jeudi. Les hommes de l'EI ont pénétré dans les couloirs et les salles de ce temple de la culture assyrienne, détruisant les sculptures millénaires et brûlant des livres antédiluviens, fleurons de l'art pré-islamique. Parmi ces œuvres à jamais perdues, un taureau ailé daté du VIIe siècle avant Jésus-Christ. Certaines œuvres destinées au trafic. Vandales, mais aussi businessmen, les djihadistes de l'EI n'ont pas détruit toutes les pièces du musée, certaines d'entre elles ont été récupérées pour alimenter le réseau de trafic d’œuvres d'art qui permet à Abu Bakr al-Baghdadi de faire fonctionner son organisation. Pour les hommes venus tout casser dans le musée, "ces antiquités n'étaient que des idoles impies adorés il y a des siècles au lieu d'Allah", comme l'affirme, vindicatif, l'un des djihadistes sur une vidéo de propagande de l'EI. Des images désolantes de destruction d'une culture, qui ne sont pas sans rappeler celles des bouddhas de Bamiyan, saccagés par les talibans en Afghanistan en 2001. Suite et Source
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Tiens, on n'a pas la même définition du féminisme. Je ne savais pas que cela consistait à trouver humiliant de rester au foyer pour s'occuper de ses enfants :gurp: À mes yeux le féminisme c'est uniquement d'égaliser les droits et de permettre aux femmes d'avoir le choix de mener leur vie comme elles l'entendent, ce qui inclut de faire des enfants par choix et non plus sous la contrainte, et ce qui te permet de faire des études à toi par exemple. Et si en France les féministes ont réussi leur pari de rendre réellement hommes et femmes égaux en droits, il leur reste encore à lutter contre certains préjugés malsains vis-à-vis des femmes (au travail, dans la publicité, etc.). En outre, si tu crois que les hommes d'autrefois étaient plus "mecs" parce qu'ils pouvaient décider à la place de leur femme ou de leur fille, eh bien pour ma part je dirais plutôt qu'il n'en était rien, que le lâche, la lopette, la fiotte, faisaient déjà partie de la faune sociale. En tout cas, si un homme se sent plus viril parce qu'il a le droit de décider si sa femme peut travailler ou non, si elle peut avoir son propre compte en banque ou non, ou en tant que père qui sa fille doit épouser, ou en tant que patron abuser sexuellement de ses employées sans qu'elles puissent rien faire, etc. alors cet homme-là est dans l'erreur : il est juste vil, pas viril. Il en allait ainsi dans le passé, mais cela ne pouvait pas aller : on ne peut pas laisser des êtres humains décider pour d'autres êtres humains au prétexte que les uns soient masculins et les autres féminins, on ne peut pas laisser des individus féminins dépendre d'autres individus parce qu'ils sont du sexe masculin. Il suffit de se pencher un peu sur l'histoire du vote : comment expliquer que des femmes saines de corps et d'esprit n'avaient pas le droit de voter tandis que l'ivrogne incapable y était autorisé en raison de son sexe masculin ?
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(Tu sais, tous les ans, à l'approche du 8 mars, c'est la même histoire. Passée cette date, ils se calment, ça se tasse).
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Les féministes ont-elles fini d'achever ce qui reste des hommes ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de renard79 dans Amour et Séduction
D'une certaine façon, je suis d'accord avec toi sur ce point : si le féminisme doit défendre le droit pour les femmes d'avorter quand elles n'ont pas souhaité tomber enceintes, le féminisme devrait logiquement défendre le droit pour les femmes de garder leur bébé quand elles le souhaitent, et donc de pouvoir subvenir à ses besoins par la suite. C'est mon point de vue, et c'est pour cela qu'on devrait selon moi établir davantage de structures d'accueil pour accueillir les enfants en dehors des temps d'école (crèches, etc.) et qu'il faudrait mieux aider les mères isolées. Cependant, il ne faut pas mettre non plus les avortements sur le dos des féministes puisque cela existait bien avant. Quand Simone Veil a lutté pour que le droit à l'IVG soit accordé aux femmes, elle l'a fait avant tout pour faire cesser la mise en péril de celles qui s'en remettaient à des faiseurs ou faiseuses d'anges* la plupart du temps dépourvus de connaissances en médecine. Il faut savoir que la société n'a pas attendu les féministes pour exiger des enfants nés dans un certain cadre : aujourd'hui, le qu'en-dira-t'on se permet de critiquer les femmes qui deviennent mères tout en étant célibataires ou bien sans profession et les traite d'assistées, autrefois il critiquait les "filles mères" accusées "d'avoir fauté" en dehors d'un mariage accepté par tous. Dans un cas comme dans l'autre, des femmes sont blâmées par la société à cause de leur grossesse et plus ou moins incitées à avorter, voire à abandonner leur bébé, mais dans un cas comme dans l'autre tu admettras que c'est indépendant du féminisme. -
On trouve aussi des études de QI qui disent le contraire, ou disent que les hauts QI côté féminin rejoignent en nombre ceux côté masculin avec l'industrialisation, etc. etc. Le fait est qu'on peut trouver tout et son contraire dans les médias. Maintenant : retour au sujet, svp. Ce topic n'est pas un débat sur le taux de QI élevés ou sur le syndrome d'asperger, ni une invitation à déblatérer des sottises ou à exposer ses a priori sur la gent féminine puisque c'est un topic dédié aux génies féminins, vous ne comprenez pas le français ? Il a déjà été dit que ceux à qui cela donnait de l'urticaire n'avaient qu'à pas y venir. Maintenant, merci de respecter le sujet et de ne pas dévier. Rien ne vous empêche d'ouvrir votre propre sujet sur ce dont vous souhaiteriez discuter en parallèle.
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Les féministes ont-elles fini d'achever ce qui reste des hommes ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de renard79 dans Amour et Séduction
Renard : Faut quand même te préciser que les femmes qui ont la mentalité à écraser leur mec n'ont pas attendu les féministes pour le faire, et que ce genre de couple où c'est la femme qui porte la culotte a toujours existé. Faudrait aussi te rappeler la définition du féminisme, qui est l'idéologie favorable à l'égalité des sexes, et rien de plus. Le féminisme ne consiste donc pas à mettre les hommes en boîte, il n'est même pas responsable du logo d'adopteunmec, symbole bêtement accrocheur et commercial mais ô combien plus innocent que les femmes en chair et en os qu'on peut voir exposées en vitrine en Occident. Après, tu me parles de dignité, de virilité, mais notre société actuelle offre quantité d'occasions aux hommes de prouver de telles qualités. Quant aux hommes d'autrefois, s'ils avaient plus de droits que les femmes, y compris des droits SUR les femmes, cela ne leur conférait pas la moindre dignité ni n'était la preuve d'une quelconque virilité, bien au contraire. Et c'était plutôt cette société là, qui privait honteusement la moitié des individus de leurs droits au prétexte de leur genre sexuel, qui était bancale et réduisait la gent masculine en la condamnant à un rôle d'oppresseur. Pour finir, tu te bases sur le bouquin d'un type qui parle depuis les beaux quartiers de Paris, où les gens -les hommes comme les femmes- doivent être plus arrogants que partout ailleurs : en quoi le féminisme serait responsable de l'arrogance des bourgeoises parisiennes ? L'arrogance des riches serait donc une résultante toute nouvelle du féminisme ? Tiens donc ! Qu'il vienne un peu habiter dans les cités hlm, ce brave monsieur, histoire de voir comment ça se passe pour les femmes qui y vivent par moment. Si toutefois il est assez viril et courageux pour vivre dans une cité hlm... -
Les féministes ont-elles fini d'achever ce qui reste des hommes ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de renard79 dans Amour et Séduction
Renard, sans vouloir faire dans l'attaque personnelle, puisque j'ai l'occasion de te lire depuis que tu viens sur ce forum, je te le dis : tu ne veux surtout pas des gros racistes du FN, mais tu es toujours de leur côté quand il s'agit de dire du mal des féministes ou des juifs. Faut-il en conclure que la France à laquelle tu aspires serait une France anti-juive et anti-féministe, mais surtout pas raciste parce que cela desservirait ta petite personne ? C'est d'un égoïsme. Enfin, passons. J'ai donc lu l'article au sujet du bouquin de ce monsieur Lahner. C'est le genre de bouquin en vogue en ce moment. Il faut avouer que Soral s'est tellement enrichi avec de tels sujets, cela devait forcément faire des envieux... Aussi, je trouve que Lahner devrait sortir un peu des beaux quartiers de Paris, cela le ferait peut-être évoluer un peu. Concernant ses "pensées" : S'est-il déjà demandé quelle genre de souffrance éprouvaient les femmes des polygames ? Mais de quelle société ce type rêve-t-il ? C'est plutôt immature de sa part d'en faire toute une montagne parce que chez lui, les week-ends entre potes ne passent pas. Peut-on remettre une société toute entière en question parce que la nana d'un type n'aime pas qu'il la délaisse pour aller faire le guignol avec des fréquentations à la mord-moi-le-nœud ? S'il savait, le pauvre, combien de femmes doivent subir des humiliations bien pires que d'être trimbalées en caddie ! Ah, mais pour le savoir, il faudrait déjà qu'il quitte son univers de Parigos bobos. Il faudrait qu'il côtoie les femmes aux revenus modestes qui se font injurier quotidiennement dans le métro en allant gagner leur pain, et puis les chômeuses qui doivent parfois mettre fin à un entretien d'embauche parce que le directeur est un salaud qui cherche une secrétaire comme d'autres cherchent une fille de joie...Franchement, je trouve ce type malsain. Je sens bien qu'il ne sait pas ce qu'est le féminisme parce qu'il ne veut tout bonnement pas le savoir, se réfugiant lâchement dans son déni. Il n'accepte pas une société où l'homme et la femme marchent côte à côte, à égalité, tous deux forts de leur propre libre-arbitre, et comme beaucoup d'hommes de peu il se proclame privé de sa dignité d'homme parce que n'ayant plus de femmes sur lesquelles régner, comme les hommes d'autrefois pouvaient le faire sur leur épouse, leur fille, leur sœur, leurs employées... ce qui évidemment donnait lieu à quantité d'injustices mais pouvait apporter une sensation de puissance même au dernier des ventres mous. En tout cas, je ne trouve pas que le féminisme ait achevé ce qu'il restait des hommes. Au contraire, le féminisme rend aux hommes toute leur dimension humaine, si tant est qu'ils acceptent l'égalité. Evidemment, l'homme qui s'y refuse persiste par la même occasion à renier son humanité. -
Marie Cassatt et Sophie Anderson sont de grands peintres, oui, mais du XIX° par contre. Francine Van Hove est encore vivante, sa peinture est réellement d'actualité.
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Il y a toujours des génies masculins, il y a toujours eu des génies féminins aussi, et surtout : il y a toujours eu un génie humain. Simplicius : est-ce qu'honnêtement, tu te trouves drôle ? (si ce n'est au regard des quelques mufles de ton acabit qui te plussoient chaque fois que tu vomis quelque chose de très con à l'encontre des femmes).
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Cette remarque est stupide car les quelques femmes qui se sont accrochées à faire de la peinture envers et contre tout -telle Artemisia Gentileschi- ont fait mieux que leurs homologues masculins, dont on tait parfois les bourdes (bras trop long, jambe plus petite que l'autre, irréalisme, etc.).
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(Suite pour Emma Fordyce Mac Rae)
