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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Doïna

    Abecassis une "vraie" femme

    Oui, et puis si certains -comme Savonarol- persistent à y voir un acte de domination quand ils pénètrent un vagin ou un cul, on pourrait décréter aussi que c'est le pénétrant, en tant que chose contenue, l'inférieur par rapport au pénétré qui l'engloutit et inverser le rapport de domination, après tout, pourquoi se gêner ?
  2. Doïna

    Abecassis une "vraie" femme

    On est en plein dans la culture du viol, là, il est donc temps de remettre les pendules à l'heure : être pénétré, ce n'est pas se soumettre. Faire l'amalgame : pénétré/soumis et pénétrant/dominant est une idée qui a la peau dure, et n'a toujours apporté que du mal du fait que la soumission va toujours de pair avec l'infériorité. C'est ce qui est à la base de la misogynie et de l'homophobie. Ensuite, il faut savoir que, si chez la plupart des animaux, le mâle saillit la femelle, chez les humains le mâle fait l'amour à la femme, ce qui ne se limite aucunement à une saillie ! Il importe en effet de commencer par différents préliminaires avant d'en arriver à la pénétration, c'est ce qui nous distingue, nous humains, des bêtes, et je vous garantis que les hommes qui s'y refusent se condamnent eux-mêmes à porter une belle coiffure de cornes, à l'instar de ces animaux bourrus qui, comme eux, se contentent de saillir les femelles. Puis il faut savoir qu'il doit y en avoir autant du côté des hommes à aimer la soumission. Ce sont des hommes qui se lasseront tôt ou tard d'une partenaire qu'ils sentent trop à eux, ou qu'ils ont trop facilement acquise, alors qu'ils se sacrifieraient jusqu'à la fin de leur vie pour une femme qui leur échappe sans cesse, ou qui ne leur témoigne pas trop d'égards, ou encore qui les rejette quand ce n'est pas comme elle veut elle. Sans parler des hommes qui ont un réel besoin de soumission physique : les sado-masos. Quant au poncif : s'émanciper, pour les femmes, c'est renoncer à assumer sa nature, une nature qui serait donc d'être soumise, n'importe quoi !
  3. Doïna

    Abecassis une "vraie" femme

    C'est autre chose. Ce n'est pas qu'elles aiment être dominées, c'est qu'elles aiment se sentir en sécurité. Il a été dit précédemment qu'elles préféraient les durs aux trop gentils, mais qui oserait venir embêter la femme d'un dur justement ? Moi, je ne m'en cache pas : j'aime les durs, à condition qu'ils soient doux avec moi. Les gros durs au cœur tendre quoi :)
  4. Je viens de rajouter Dijon à la liste des villes où l'on marchera contre Monsanto car venant d'apprendre que le rassemblement dans cette ville débutera à 11H le samedi 23 mai place de la Libération à Dijon. Le but ? Rappeler que les OGM ce n’est pas fini ! Et que le TAFTA nous menace. Les flyers comporteront les informations nécessaires pour permettre aux passants d’aller se renseigner et de signer la pétition contre le TAFTA. (Aller sur le site de l'association Veille au grain-Bourgogne pour en savoir plus et trouver des tracts à imprimer !).
  5. Carte des cours d'eau pollués par les pesticides en France (point noir = plus de six pesticides).
  6. Maxence, pour nourrir tout le monde, il faut déjà apprendre à arrêter de gaspiller. Ensuite, ne vas pas t'imaginer qu'on mange grâce aux produits chimiques et aux ogm. C'est un cercle vicieux : Les herbicides et autres pesticides sont des produits chimiques qui appauvrissent les sols, les sols appauvris donnent des plants faibles, qu'il faut protéger avec toujours plus de produits. Quant aux ogm, comme Louise Aragon l'a expliqué précédemment, ils finissent toujours par être la proie d'insectes qui ont muté pour s'adapter. Des plants poussant sur des sols riches seront en revanche toujours plus robustes. Pour le reste, il existe des prédateurs naturels pour protéger les fruits et légumes des insectes. Je te recommande vivement de lire à ce sujet au moins un bouquin du professeur Marc Dufumier (c'est pas une blague), qui plaide depuis toujours pour une agriculture respectueuse de l'environnement et des produits non traités.
  7. Doïna

    Combats du féminisme

    Un articile intéressant : sur le sexisme des hommes politiques qui ne font pas les malins quand on les prend la main dans le sac : Elles donnent un coup de pied dans la fourmilière. Une quarantaine de femmes journalistes dénoncent le "sexisme" des hommes politiques, dans une tribune publiée mardi 5 mai dans Libération. Mains baladeuses, propositions tendancieuses, humour douteux... Les exemples du "paternalisme lubrique" envers ces femmes sont nombreux. Pour mieux comprendre leur quotidien, francetv info a interrogé deux signataires. Hélène Bekmezian, du Monde, et Laure Bretton, de Libération, expliquent les raisons qui ont mené à l'écriture de ce texte. (suite sur lien)
  8. Doïna

    L'uniforme dans les lycées

    C'est des bêtises : si tu savais comment ça se passe dans les collèges anglais ! Les bons petits élèves portant cravate, faut voir qu'est-ce qu'ils peuvent se mettre sur la tronche dans les vestiaires par moment...
  9. S'il fallait écouter sur parole ce que se disent les gens dans la rue, on reviendrait au temps des bûchers !En tout cas, j'espère que si un jour Sharko revient au pouvoir et qu'il oblige les bénéficiaires du RSA à bosser pour rien, ces derniers ne se laisseront pas faire.
  10. Pour la énième fois : une prise en charge à la personne peut être décidée pour une personne qui travaille, une prise en charge ce n'est pas seulement du fric qu'on verse aux sans emploi, il y a des prise en charge en services, en condamnation pénale, en suivi psychiatrique, ce n'est tout de même pas difficile à comprendre ?! Bon, je rends mon tablier, parce que...Pour le reste : mes définitions sont celles de mon dictionnaire, bon alors pas la peine de pinailler. Tu n'as pas été respectueux avec les bénéficiaires du RSA et les traiter de profiteur-voleur, c'est blessant, ça se fait pas. Pour clore : je n'ai pas dis que tu admirais Sarkozy, mais c'est vrai que c'est une dominante de ses admirateurs de manquer de nuances.
  11. Un individu antisocial c'est quelqu'un qui vit volontairement en marge et refuse les règles de la société, c'est ça qui est autre chose que le cas social qui, lui, est incapable de se prendre en charge et pose un problème aux autres de par ses comportements, ce qui se passe de RSA. L'obsédé qui travaille et paye sa consultation pour le suivi psychiatrique imposé par la loi est donc un cas social ! Et le fait qu'il cotise, qu'il paye ses consultations et ses médocs sans l'aide de la CMU ne le met pas au-dessus de ça ! D'où ta méprise quand tu affirmes que le cas social est une personne qui est prise en charge par la société donc qui ne travaille plus du tout et qui touche généralement le RSA comme seul revenu. Être pris en charge par la société ne signifie pas forcément recevoir un RSA, cela peut également être une contrainte à un suivi psychiatrique, une incarcération, une interdiction de faire quelque chose. Le travailleur qui est tombé dans l'alcoolisme, bat sa femme et affame ses gosses en dépensant son salaire au bar est un cas social : il nécessite l'intervention de la société par le biais de la loi et des services sociaux.On poursuit : Offense, nom féminin, injure de fait ou de parole./Insulte : nom féminin, offense faite en parole ou en actes. = Où comment noyer le poisson dans la mauvaise foi ! On continue : on ne fait pas étalage de sa richesse en roulant en Ferrari tant qu'on ne le fait pas dans le but d'humilier ceux qui vivent modestement. Faire étalage c'est montrer ostensiblement quelque chose, dans un but de parader devant les autres, de se vanter d'avoir plus qu'eux. Enfin, avoir des biens et faire étalage de ses biens, c'est deux choses différentes, mais je crois que c'est peine perdue de t'en expliquer la nuance. C'est tout le problème avec les gens qui pensent comme toi : ils ne saisissent pas les nuances, c'est pour ça qu'ils admirent Sarkozy. Pour finir : quand je parle de ma vie en hlm, je ne rapporte pas les soi-disant, les suppositions, les infondés, les aléatoires, bref les ragots de quartier de l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours, je te parle de moi, de mon vécu, de ce dont je suis témoin au jour le jour avec mes propres sens, ce que toi tu n'as pas fait puisque t'appuyant sur les dires d'un autre. Mais là encore, la nuance t'échappe. Quand on a des œillères, hein !
  12. Bon sang, mais où est-il précisé que c'est le RSA ou même la pauvreté qui fait le cas social dans votre définition : Oui, un individu qui gagne sa vie par son travail peut devenir un cas social, ce n'est pas l'apanage des chômeurs ! Un individu qui gagne sa vie par son travail peut être un alcoolique à qui la société doit retirer son permis pour qu'il ne cause plus d'accidents, peut être un parent violent ou incestueux à qui la société doit retirer ses enfants pour leur propre sécurité, peut être un obsédé sexuel qui harcèle ses collègues féminines et que la société doit contraindre à un suivi psychiatrique, et caetera ! Comprendras-tu, à la fin, que le cas social n'est pas forcément un bénéficiaire du RSA, et que tous les bénéficiaires du RSA ne sont pas des cas sociaux !On poursuit : tu prétends ne pas insulter les bénéficiaires du RSA en les taxant de profiteurs et de voleurs, sans commentaire ! On continue : étaler sa richesse, c'est s'en vanter, c'est en faire parade dans un but de gloriole, ce qui est un comportement totalement immature, il y a une nuance. Tout le monde fait ce qu'il veut de l'argent qu'il gagne, on est bien d'accord. Rouler en Ferrari, ce n'est pas étaler sa richesse, c'est rouler dans sa Ferrari, celle que l'on a eu les moyens de s'offrir. Maintenant, passer tous les jours en Ferrari dans un bidonville en faisant des doigts d'honneur aux gens qui vivent-là, ça c'est étaler sa richesse. On continue : selon toi, je ne supporterais pas les gens qui ont de l'argent. Tu te trompes : je respecte n'importe qui me respecte, et je respecte les gens qui ont des vrais valeurs, des bonnes qualités. Un connard riche, je le mépriserai toujours, pas en tant que riche, mais en tant que connard. Pareil avec les pauvres quand c'est des connards, vu qu'il y en a partout. On continue : en parlant de banlieues modestes que l'on nomme les cités hlm, tu te focalises sur l'image de la Seine-Saint-Denis avec ses cités glauques. L'échec scolaire dans de telles zones est dû à toutes sortes de facteurs, où beaucoup d'enfants sont des enfants d'immigrés qui peuvent avoir du mal avec la langue française. Mais il faut savoir qu'en France, il y a des cités hlm un peu partout, même en zone rurale, et toutes ne sont pas des zones lugubres et invivables. Je vis personnellement très bien en résidence hlm : au moindre brin de soleil, on se réunit en bas pour parloter et rigoler ensemble. Les enfants ne sont pas des petits voyous, et ils travaillent dans l'ensemble bien à l'école. Beaucoup de jeunes vont à l'Université. Les seuls qui font chier dans cette cité ne sont pas des jeunes ni des bénéficiaires du RSA, ce sont des vieux, obtus et aigris, qui n'aiment personne, et qui osent critiquer les allocataires alors qu'eux font des tâches au noir en plus de la retraite qu'ils touchent.
  13. La réalité des banlieues difficiles ne tient pas au RSA, elle existait bien avant le RSA et même le RMI, et elle serait bien pire sans le RSA ! Ces banlieues existe à cause du système qui fait que l'habitat digne de ce nom soit hors de prix, contraignant même des gens qui gagnent leur vie à vivre dans des clapiers, un système qui fait que les emplois manquent, et où les plafonds de verre maintiennent les "fils de" en haut de l'échelle même quand ils ne valent pas un clou, empêchant les jeunes issus du bas de l'échelle à faire leurs preuves (avec bac+4 ils se retrouvent à trimer dans un macdo...) etc. Mettre fin au RSA, ce serait faire dégringoler tout un pays dans l'insécurité permanente, voire la guerre civile. Ce n'est donc pas sur les bénéficiaires du RSA qu'il faut taper, c'est le système qu'il faut changer parce qu'il est obsolète.
  14. Tu n'es pas montré du doigt parce que tu défends les personnes qui travaillent, tu l'es parce que tu insultes les bénéficiaires du RSA de profiteurs et de voleurs, les accusant d'être responsables de leur situation parce que ne faisant rien pour "se réinsérer" dans la société, ce qui ne pourrait se faire, selon toi, qu'en travaillant (alors que les bénéficiaires du RSA FONT PARTIE intégrante de la société). Tu ne défends pas l'économie de la France non plus, tu ne fais que défendre un système inique. Je ne crois pas avoir lu non plus quelque part que ce soit mal vu de travailler, ou même d'avoir un bon pouvoir d'achat grâce à son travail, ce qui est mal vu c'est surtout de stigmatiser des gens parce qu'ils sont bénéficiaires du RSA (sur ce forum du moins) et de les reléguer au rang de sous-hommes parce qu'ils n'ont pas de travail. Cela dit, pour ce qui est d'étaler sa richesse, à quoi bon étaler sa richesse ? Est-ce qu'il n'existe pas des qualités supérieures que la richesse ? Etaler sa richesse, c'est totalement ridicule, c'est bon pour les individus complètement vides qui n'ont que ça à mettre en avant. Ce sont les qualités du cœur, l'intelligence, la connaissance qu'il faut mettre en avant, la richesse ça vaut rien, c'est juste du matériel.Pour continuer : tu reprends le terme de cas sociaux, alors qu'on t'a expliqué qu'un mec qui bosse peut très bien être un cas social. Combien d'escrocs, de pédophiles, de criminels en tous genres sont des mecs qui gagnent leur vie grâce au travail ? Tu es en train de t'échapper en faisant ton Caliméro mais ça ne marche pas !
  15. C'est complètement nul, méprisant et arbitraire de prétendre ça parce que n'importe quel parent peut se retrouver seul avec ses enfants suite à un divorce ou autre coup dur, et n'avoir plus que ces revenus versés par la CAF faute de pouvoir les faire garder dans un pays où l'on se refuse à aménager des modes de garde en suffisance. Les mères qui se retrouvent dans de telles situations n'ont pas de honte à en avoir, et vous n'avez pas à les juger. Encore un raccourci à la con comme pour pas changer !
  16. Ce n'est pas moi qui suis de mauvaise foi, c'est toi qui ne saisis pas ce que je veux dire : par "cas social" les gens entendent profiteur du rsa, pauvre, affreux sale et méchant, mais moi je pense qu'on peut très bien être un cas social en étant riche et en ayant une situation professionnelle stable. C'est pour ça que je cite des noms d'hommes politiques, qui sont des hommes très riches, respectés, propres sur eux, mais à mon sens des cas sociaux malgré tout en raison de leurs déviances. Est-ce que c'est clair ?
  17. Dalek : non la mobilisation ne sert pas à rien ! En 2006 c'est la mobilisation qui a empêché le contrat première embauche de passer, pour ne citer qu'un exemple.
  18. Il ne réinsérerait personne, il ne ferait qu'humilier des gens qui se retrouveraient à trimer pour la gloire (et en cas d'accident du travail, qui payerait ?). Sarkozy ne fait que stigmatiser, il crée des ennemis de la société, il monte les Français les uns contre les autres mais fait tout pour qu'ils ne se tournent surtout pas vers les mauvais politiques dont il fait partie.
  19. Que je te rappelle mes sources ? Pour ne citer qu'un exemple, dans mon post 474, je parle du bilan de Sarkozy, je cite quatre sources, donne-toi la peine de vérifier, par contre j'écris pas des choses comme "Le bilan de Sarkozy a été catastrophique, un tel me l'a dit encore hier". Maintenant, je vois que tu cites enfin une source, c'est bien, cela fait déjà plus crédible, bien que sur internet, si tu regardes, tu pourras trouver tout autant d'enquêtes rapportant le contraire, avec pourcentages à la clé. Nonobonobo, par exemple, dans son post 467 cite les statistiques de la CAF "typologie des bénéficiaires du RSA". Pour ma part, je recommanderai le livre d'ADT Quart-Monde "En finir avec les idées fausses sur les pauvres et la pauvreté" à tous ces travailleurs jaloux des bénéficiaires du RSA, cela leur ouvrira peut-être les yeux sur le monde qui les entoure.En attendant, Leste, tu me cites des sondages démontrant que les Français ont globalement une image très négative de ce qu'ils appellent les "cas sociaux". Personnellement, je pense qu'on peut très bien être riche et/ou très travailleur mais être malgré tout un "cas social" de par ses déviances (je ne vais pas vous reparler des DSK, Tron, Cahuzac...), déjà, et puis ensuite, des sondages de cet acabit, on pourrait en faire contre les jeunes, contre les vieux, contre les Juifs, contre les Arabes, contre les Noirs, contre les femmes, contre qui vous voulez dans le seul but de stigmatiser, ce n'est pas difficile sachant qu'il faut toujours un bouc émissaire à quelqu'un. On pourrait interroger des gens qui attendent à Pôle Emploi pour qu'ils nous disent ce qu'ils pensent des employeurs, je doute que cela aboutisse à des avis très positifs sur ces derniers.
  20. Je crois pas, non, vu que j'ai cité plusieurs sources tirées de journaux sérieux, à la différence de toi qui vient nous balancer un truc du style "C'est vrai qu'il y a des profiteurs, d'ailleurs une personne m'en a encore parlé aujourd'hui". C'est vrai qu'entre bavards, on s'en dit des choses : on commence par se plaindre de la météo, et puis on enchaîne sur les médisances ! Il suffit par conséquent qu'un tel suppose que son voisin, qu'il observe depuis un bon bout de temps, soit un gros fainéant qui profite des aides au lieu de chercher du boulot, pour qu'une telle supposition se répande comme une poignée de sable dans tout un quartier. Manquerait plus qu'à vous encourager à dénoncer avec des lettres anonymes, ça irait bon train !
  21. Quel argument de poids ! :smile2: Et je suppose que la personne en question avait tout vu de sa fenêtre ?
  22. J'en suis bien aise mais aux dernières nouvelles : Dix-neuf produits ogm ont été autorisés en UE, dont onze produits de la multinationale américaine Monsanto - plusieurs variétés de soja, maïs, colza et coton -. Les huit autres sont des produits de la firme américaine Dupont et des groupes allemands Bayer et BASF. Ces autorisations "étaient en suspens" car les États membres ne sont pas parvenus à constituer une majorité pour ou contre leur commercialisation, ce qui n'a pas laissé d'autres choix à la Commission que de donner son feu vert. L'autorisation est immédiate et vaut pour dix ans. Elle s'impose à tous les États, y compris à ceux qui ont voté contre. D'où la nécessité d'une vigilance permanente vis-à-vis de ces sociétés, pour faire barrage à de tels produits dans notre pays.
  23. Laisse tomber, Lycan, ton Sharko il s'est planté. Il aura été complètement dépourvu de vision dès le début, n'a réalisé que la moitié de ses promesses : les plus mauvaises, celles, précisément, destinées à rendre les pauvres encore plus pauvres, à diviser les Français entre eux, etc. Rajoutons à cela les problèmes comportementaux, pour ne pas dire d'ordre psychiatrique, du personnage* et un manque de scrupules avéré. Voir également ces bilans : Sans commentaire Sans commentaire bis Sans commentaire ter et un petit dernier pour la route
  24. Au tout début, de ces produits ogm se sont retrouvés à la vente en France, et c'était clairement précisé sur l'emballage. Cela remonte donc à un certain temps, mais oui : j'ai eu l'occasion de goûter à la tomate transgénique, qui n'est effectivement plus produite en France, ainsi que des pommes et poires génétiquement modifiées. Les tomates : fades, filandreuses au centre, avec une texture bizarre, les pommes : bien lisses et hautes en couleur, comme dans les films, mais sans parfum, sans goût, si difficile à avaler qu'on manquait s'étouffer avec à chaque bouchée, comme si on bouffait du plâtre, et puis les poires : pareil que pour les pommes, avec un plus : elles demeuraient intactes au fil des jours, alors que c'est un fruit qui se ramollit si vite d'ordinaire ! ( Sur le site gouvernemental, la tomate F1 que vous citez est considérée comme génétiquement modifiée contrairement à ce que vous expliquez. Cela dit, que ce soit ogm ou transgéniques ou hybrides ou ce que vous voulez, c'est pas bon. Inutile de ressasser que c'est vous qui savez et nous qui ne savons pas, personnellement j'ai conservé un mauvais souvenir de ces produits ogm qui n'avaient pas encore été interdits en France à l'époque parce que c'était tout nouveau, et moi je me rappelle bien que c'était infect.)
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