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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Suède : La Police reconnaît avoir caché une vague d'agressions sexuelles
Doïna a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans International
Je ne crois pas que ce soit comparable : on n'a jamais vu les Juifs -principaux visés par la haine nazie- commettre des agressions de masse le jour du nouvel an. En outre, les Juifs n'étaient pas des immigrés, ils étaient européens, avaient la nationalité du pays où ils vivaient. C'était des citoyens comme les autres, en vrai. -
Suède : La Police reconnaît avoir caché une vague d'agressions sexuelles
Doïna a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans International
Mais moi je ne demande que ça, qu'on en parle, sans entrer dans le débat politique ! Quand des choses moches comme ça sont passées sous silence et puis qu'un jour, ça se sait, les gens subitement n'ont plus confiance dans leurs dirigeants. Une fois qu'ils sont devenus méfiants, on peut toujours essayer de les contenir en les invitant à la mesure, ce n'est plus possible. -
Suède : La Police reconnaît avoir caché une vague d'agressions sexuelles
Doïna a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans International
Pour dénoncer des viols et autres agressions sexuelles, il n'y a pas de périodes propices. Il faut en parler tout de suite, au moins pour que les femmes -principalement visées- prennent leurs précautions. Je ne comprends pas ton raisonnement et ne veux pas le comprendre, parce que de toute façon, à mes yeux, un viol est un crime beaucoup trop grave pour être tu, sous n'importe quel prétexte. Tu nous parles de populisme ambiant, et alors ? Est-ce qu'à cause de cela, il faut taire des viols ? Non ! Le populisme est toujours là de toute façon, et le scandale de ces viols passés sous silence n'ont fait que le renforcer, alors qu'une réaction immédiate de la part des autorités aurait donné tort aux populistes. -
Suède : La Police reconnaît avoir caché une vague d'agressions sexuelles
Doïna a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans International
Grave erreur : taire toutes ces agressions sexuelles, c'est au contraire combler la mangeoire des populistes ! En effet, le scandale aurait éclaté tôt ou tard, mais en empêchant que cela soit révélé dans l'immédiat comme cela se fait pour n'importe quelle autre info au prétexte de populisme dans l'air, les autorités n'ont fait que créer une bombe à retardement et d'encourager au populisme justement. Maintenant, ils font figure de monstres. Je ne sais pas si tu connais l'impact d'un viol (ou même ne serait-ce que d'une agression sexuelle n'allant pas jusqu'à la pénétration) sur un être humain, mais ce sont des crimes et quels que soient les coupables il faut les condamner. Il aurait fallu y réagir d'une main ferme : cela aurait rassuré la population, cela aurait prouvé que les autorités ne comptaient pas laisser faire, cela aurait fait taire les populistes toujours prêts à pointer du doigt un certain laxisme et cette manie de gouverner d'une main molle. Les autorités ont agi dans le mauvais sens, maintenant les populistes peuvent les diaboliser plus que jamais sans être contredits ! Taire ce qui est grave, c'est nier la gravité parce que ce qui est grave doit être dénoncé. -
Quand les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics
Doïna a répondu à un(e) sujet de Skanderbeg dans Société
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Suède : La Police reconnaît avoir caché une vague d'agressions sexuelles
Doïna a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans International
Il n'y a pas besoin d'être raciste pour trouver blâmables de telles actes. Dans ces articles, il apparait que ce sont les violeurs qui sont racistes, leur message est clair : "votre accueil nous était dû parce que nous sommes chez nous partout, vos femmes ne sont que des vide-bourses et vous n'êtes que des fiottes parce que vous ne pratiquez pas notre religion !" Ce sont des comportements qui rappellent ceux des nazis avec leurs histoires d'espace vital et de sous-hommes. -
Oui, il faut que tout cela se sache, qu'un vrai débat soit ouvert en société où, pour l'heure, de telles histoires n'occupent pas les premières pages. Il faut que les gens sachent que l'autisme et autre TSA ne sont pas des maladies mentales, que ces enfants ne deviennent pas autistes à cause de parents défaillants ou autres billevesées freudiennes ou lacaniennes, mais qu'ils naissent ainsi. Il faut savoir que beaucoup de ces enfants ont un quotient intellectuel très élevé, et que leur façon d'appréhender les choses est une autre forme d'intelligence qui peut apporter d'excellentes choses à la société (j'ai cité Temple Grandin). On n'est donc pas dans le problème de santé, mais bien dans un cas de société : une société qui rejette tout ce qui ne correspond pas à tel modèle. Une société qui rejette et, même, parfois, broie, détruit, anéantit.
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Encore au sujet du risperdal, qui ne doit pas être prescrit plus de 6 semaines. Malgré cela, il n'est pas rare que les services de psychopathologie de l’enfant qui le prescrivent à des enfants autistes le fassent durer 3, 4 ou 5 ans. Les prescripteurs ne portent pas la mention obligatoire « NR » (non-remboursable) sur les prescriptions de Risperdal qui est donc indûment remboursé à 100% par la sécurité sociale. Le procédé utilisé pour cette escroquerie à la sécurité sociale est le même que celui mis en oeuvre au Texas. Le 3 décembre 2006, N….., 8 ans, est décédé à Clermont-Ferrand après plusieurs mois de traitement par Risperdal. Il a été dit aux parents que leur enfant était décédé de causes naturelles. La notice d’information du laboratoire Janssen-Cilag, publiée le 22 décembre 2008, après la restriction de l’AMM par l’EMA, cite parmi les 3 pages d’effets secondaires indésirables, les attaques cérébrales, la conduite électrique anormale du coeur,...Enfin, à la suite d’enquêtes réalisées par la division des affaires criminelles du département de la justice des Etats Unis à la demande de la « Securities and Echange Commission », Johnson & Johnson doit payer 70 millions de dollars pour avoir versé des pots de vins à des médecins et des directeurs d’hôpitaux Grecs, Polonais et Roumains." * Enfin, pour les anglophones un article détaillé sur le laboratoire d'apprentis sorciers Johnson & Johnson, ultra-puissant dans le lobbying pharmaceutique, ne fait qu'enchaîner les poursuites judiciaires aux USA : produits défectueux, forcing commercial et menaces auprès des pharmacies, mise en danger des patients, viol des droits du consommateur, commercialisations illégales, violation de fabrication, contamination de l'air, patients soignés au risperdal atteints de gynécomastie, de tumeur de l'hypophyse ou... de mort ! Les laboratoires Janssen-cilag ne sont que l'une de ses 250 filiales dans 57 pays.
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La tragédie du jeune Yassine : Yassine, un jeune autiste de 13 ans connu par ses proches pour sa joie de vivre a tristement trouvé la mort le 7 mai 2015 en se défénestrant de l’appartement familial situé au 10ème étage. Son état s’est progressivement dégradé suite à la prescription de l’Abilify pour stabiliser son humeur. Ses comportements ont changé de manière drastique, comme le décrit son entourage, donnant lieu à des actes inattendus. Engrenage médicamenteux : Yassine est tout d’abord mis sous Risperdal pour apaiser ses agitations passagères. Ses parents se rendent compte que le médicament a des effets secondaires dérangeants et décident de rencontrer un spécialiste. Lors d’une consultation à la Salpêtrière, l’Abilify est ainsi préconisé par un médecin-chercheur non habilité à prescrire et prescrit par la suite par les médecins traitants. Aucune mise en garde des effets indésirables et aucune limite dans la durée du traitement n’accompagnent ces prescriptions. Par ailleurs, Yassine est resté un an sans prise en charge alternative alors qu’il était sous traitement médicamenteux. Durant cette période deux incidents graves se produisent : il se jette dans les escaliers, puis lors d’une sortie au bord d’un lac où il se rendait souvent avec sa famille, décide soudainement d’y rentrer jusqu’à la taille. Mais cela n'a pas suffi. Il a fallu son suicide pour qu'à la Salpêtrière ils créent enfin une alerte sur ce poison. Yassine leur aura servi de cobaye ! Maintenant, il est mort.
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Je reviens sur des médicaments tels que le risperdal* : il s'agit bien d'un neuroleptique atypique aux propriétés antipsychotiques. Normalement, il ne devrait être prescrit que dans les cas de schizophrénie et de troubles bipolaires. C'est un traitement lourd aux nombreux effets indésirables, qui fait beaucoup grossir et se supporte difficilement. Il présente des risques certains pour le cœur, ce qui fait qu'on ne devrait pas en prescrire aux personnes ayant des problèmes à ce niveau-là (sans être forcément cardiaques). Or, quand des psychiatres, dans des instituts comme les iteps, en prescrivent à des enfants, ils ne tiennent même pas compte par exemple du fait qu'ils aient un souffle au cœur. Un rapport de 2013* l'inclut parmi les six médicaments de deuxième génération soupçonnés d'avoir causé le décès de 17 enfants au Canada. Un médecin, le Dr Joel Paris, professeur de psychiatrie à l'Université McGill, s'est montré très inquiet par le fait que «ces médicaments soient prescrits à de très jeunes enfants» et que l'on tende de plus en plus à les prescrire à très long terme, alors que les enfants sont en plein développement. Il a blâmé l'industrie pharmaceutique et ses représentants, «de qui les médecins prennent conseil, plutôt que de s'en remettre aux experts». Il a également dénoncé les experts encourageant fortement ces pratiques tout en recevant de l'argent des entreprises pharmaceutiques. Il faut le savoir : le Risperdal est classé sur la liste 1 des substances vénéneuses qui présentent le plus de risques pour la santé.* Pourquoi droguer ces enfants quand on sait combien leur profitent les méthodes d'éveil !
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Effectivement, lorsqu'on a affaire à des intervenants de ce genre, qui persistent dans leurs erreurs, n'écoutent pas les familles, font passer leur égo et/ou leurs profits avant l'humain, vont jusqu'à pousser des enfants autistes ou TSA en enfer en les droguant, les privant de liberté, les maltraitant avec des draps mouillés glacés... on aurait envie de les insulter, les gifler, leur cracher à la figure, voire pire... Mais comme le dit si bien Demonax, il ne faut pas tomber dans ce piège, car par la suite ces gens peuvent s'en servir contre vous. Ils peuvent dire "voyez, ils sont incapables de se contenir, de se comporter comme il faut en société, ils ne sont pas d'un bon exemple pour leur enfant, etc." Au contraire, en informant, sans cesse et sans relâche, en les dénonçant partout où l'on peut, on gagne du terrain contre eux. Mais cela ne m'étonnerait pas qu'un de ces jours, un parent excédé en arrive à tuer un psychiatre par exemple, dans des cas comme certains évoqués précédemment.
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Aspie Days : le 1er salon international de l'autisme en France aura lieu à Lille les 17 et 18 février 2017. Cet événement aura trois grandes vocations, précisent les organisateurs : – Rassembler, et faire se rencontrer en un même lieu, Lille Grand Palais, toutes les personnes concernées par l’Autisme Sans Déficience Intellectuelle (ASDI), de la région Nord-pas de Calais-Picardie, de France, d’Europe et d’ailleurs : Personnes Asperger / Autistes Sans Déficience Intellectuelle, chercheurs, professionnels, parents, associations, structures développant des solutions spécifiques pour les personnes, entreprises employant des personnes autistes. – Mettre en lumière et valoriser les bonnes pratiques en matière d’ASDI reconnues, innovantes ou émergentes, visant à faciliter l’inclusion scolaire, sociale et professionnelle des personnes avec autisme dans notre société. – Donner aux visiteurs un éclairage, des contacts utiles, pour construire le projet de vie d’une personne Asperger ou ASDI. (entrée : à partir de 8 €). Les psychanalystes oseront-ils venir se faire de la pub ?
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Oui, des fois aussi c'est ce que je me suis dit : c'est l'URSS ! Comme dirait Primo Lévi, tous ces fonctionnaires qui sont prêts à croire et à obéir sans discuter sont dangereux. On peut les payer pour faire de bonnes comme de mauvaises choses, et même des choses absurdes, du moment qu'ils sont payés et qu'on leur a dit de le faire ils le font. Comme ce directeur de collège qui laisse un ado devant la porte, comme ça, sans ciller, sans rougir. Des types comme ça ont-ils un cœur ? Comment se regarder dans la glace après avoir agi de la sorte ? Moi je ne pourrais pas, même si toute la paperasserie n'est pas en règle je les aurais laisser rentrer quand même pour qu'on s'explique autour d'une tasse de café, puis j'aurais fait mon possible. Si un fonctionnaire qui bosse en milieu scolaire, constamment au contact d'enfants ou d'adolescents, n'est même pas capable de se ranger du côté de l'humain, alors où va-t-on ? Liberté, égalité, fraternité : mais quelle hypocrisie !
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L'histoire de Timothée, adolescent autiste Le collège lui avait claqué la porte au nez, sa mère avait filmé et diffusé la scène : (lien pour visionner sur youtube) Par la suite, cet adolescent a été placé dans un établissement "oubliettes", gavé aux neuroleptiques et attaché à un lit dans une chambre fermée. Ce qui fait qu'il a régressé, tant sur le plan cognitif que celui du comportement. Sa mère ne voulait pas de ça, alors la "justice" française s'en est mêlée : une décision d'internement psychiatrique de force a été décidé par des gens de robe qui n'y connaissent tripette et, qui plus est, s'en foutent complètement. Sa mère, excédée, en est arrivée à s'expatrier avec son enfant en Irlande. Là-bas, bien que ne parlant même pas la langue, il a été accepté sans conditions et scolarisé à temps plein. Là-bas, tous les professeurs sont formés pour s'occuper d'enfants comme lui. Celui qui refuserait serait mis à la porte de l'école aussi sec que Timothée l'a été d'une école française. Ce dernier travaille dans sa nouvelle classe avec beaucoup de motivation. Je ne sais pas si les écoles irlandaises affichent cette devise "liberté-égalité-fraternité" au-dessus de leur portail, mais en tout cas, chez eux, ce ne sont pas que des mots ! Sa mère a écrit à la ministre de l'éducation après avoir vu celle-ci bien emmerdée face à des parents d'autiste en colère sur une vidéo. Les autorités françaises n'ont pas voulu s'arrêter là dans l'ignominie : elles ont exigé l'extradition du mineur. Demande rejetée par la Haute cour de Dublin : dtc ! J'imagine tous ces pédants de la France profonde qui ont voulu étouffer Timothée pour qu'il ne puisse jamais s'épanouir comme n'importe quel autre ado en apprenant la nouvelle ! Ils ont dû crier au scandale, au moins, idiots qu'ils sont ! Imaginez ces gens cinquante ans en arrière : c'étaient les mêmes qui, dépourvus de tout sens critique, étaient contre l'IVG, pour la peine de mort et désignaient les homosexuels comme des malades mentaux. Pourquoi ils ne le font plus de nos jours ? Parce qu'ils ne tiennent pas à se prendre des associations et des lois en pleine gueule. Je pourrais vous demander encore d'imaginer ces gens sous le régime de Vichy... Vous m'avez comprise, je pense. En conséquence, il faut que les associations continuent de se faire entendre, qu'elles n'abandonnent pas leur combat pour faire cesser tous ces préjugés, pour faire cesser toutes ces abominations psychiatriques et que, là-haut, dans les sphères du pouvoir, ils mettent tout en œuvre pour que les autistes et autres TSA ne soient plus considérés comme des malades et ne soient plus traités comme des parias.
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J'ai du mal à saisir l'équation "contre des propos à la légère sur la pédophilie = cul béni d'extrème-droite". Je ne me reconnais pas dedans en ce que, si les propos de DCB me dégoûtent (même si le Grand Bazar remonte à 75) les propos de JMLP avec sa plaisanterie Durafour-crématoire m'avaient tout autant dégoûtée. Une personnalité politique ne devrait pas s'exprimer ainsi de toute façon, et ce d'autant plus qu'on n'attend pas de ces gens-là des calembours et des provocations. Qu'ils laissent ça aux PMU de bas quartiers et puis c'est tout. Quant à ce que je pense de DCB, je le trouve vulgaire et trop donneur de leçons. Dans son cas, ce n'est pas du franc-parler, c'est juste de la grossièreté. Le fait qu'il soit vert et gauchiste ne fait pas de lui un saint qui plus est, pas plus que le fait de ne pas l'apprécier doit vous coller une étiquette de cul-béni, de facho, et que sais-je encore. D'ailleurs, cette manie de taxer de la sorte quiconque critique une personnalité de gauche, une idée ou une décision émanant de la gauche, ou tout ce qui vient de ce côté-là, aurait plutôt tendance à encourager un tas de gens désabusés à se tourner vers la droite, si ce n'est l'extrême-droite, parce que ce sont des paroles péremptoires, sentencieuses, doctrinaires, sans-appel, qui n'ont pour effet que de couper le dialogue et, à terme, de provoquer l'évitement. Apprenez à débattre !
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Voici un lien : vers un article d'une quinzaine de jours ; et j'ai eu un peu de mal à le trouver. Les médias n'en ont même pas parlé ! C'est l'omerta !
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Mais quelle horreur ! Cette nouvelle me glace.
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Finalement, quand j'apprends tout ce qui se passe en France autour de l'autisme, je ne peux m'empêcher de penser que tous ces gens qui bossent dans les services sociaux ou la psychanalyse et accablent (et parfois brisent) les autistes et leurs familles par leurs préjugés, leur refus d'écouter, leur obstination malsaine. Ce sont les mêmes gens qui, voici plusieurs décennies, affirmaient que les homosexuels étaient des malades mentaux, entretenant toute une ségrégation contre eux, et envoyaient en prison les rescapés d'un suicide comme s'il s'agissait de délinquants finis. Voilà ce qu'auraient été ces gens s'ils avaient vécu une cinquantaine d'années plus tôt, parce qu'ils sont fermés, psychorigides, sclérosés dans leurs certitudes, quelquefois trop attachés à leurs privilèges et à leurs profits pour accepter des changements qui risqueraient de sérieusement changer la donne pour eux !
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En 2015, une centaine d'associations ont dénoncé les placements abusifs d'enfants autistes suite à des procédures "d'aide à l'enfance" (ASE) : retirés à leurs parents accusés de provoquer l'autisme de leurs enfants pour bénéficier d'aides ! Ces associations parlent de "machine à broyer" ! Témoignage type (lien) : le placement "de trois enfants atteints de troubles envahissants du développement" par le conseil général de l'Isère. Malgré des diagnostics médicaux, la mère est accusée de provoquer les troubles de ses enfants pour toucher les allocations handicap et attirer l’attention sur elle, poursuivent les associations de parents d'autistes, citant le juge. "Un exemple parmi tant de témoignages", soulignent-elles. Encore un autre témoignage : "Nous avions besoin de poser un diagnostic car mon fils ne parlait pas, il ne marchait pas, il se tapait la tête contre les murs. Il fallait donc savoir ce qu'il avait et le prendre en charge en fonction du diagnostic", explique la jeune mère, âgée de 34 ans. En 2011, un centre d’action médico-sociale précoce (CAMPS) estime que son fils souffre de "carences affectives". Un diagnostic qui ne convainc pas la jeune femme, persuadée qu'il s'agit d'un problème médical : "On m'a accusé de vouloir à tout prix un enfant handicapé." "Face à de telles inepties, avec le papa [ils sont aujourd'hui séparés], nous avons forcé les portes d'un centre de ressources autisme." L'établissement spécialisé détecte chez l'enfant des troubles envahissants du développement : il est autiste. Mais la machine s'est emballée. Face à l'acharnement de Pauline pour mettre des mots sur le handicap de son petit garçon, le CAMPS lance une procédure pour "information préoccupante". Gérée par l'aide sociale à l'enfance du département, l'enquête accable la jeune maman. "Sans médecins, on me 'diagnostique' un syndrome de Münchhausen par procuration [ce syndrome, discuté au sein même de la psychiatrie, consiste à provoquer délibérément des troubles sur son enfant pour attirer l'attention sur soi]." Pour s'assurer qu'elle ne souffre pas de ce syndrome, Pauline consulte un psychiatre, "un professeur de [l'hôpital] Saint-Anne, à Paris, pour que mon dossier soit béton". Le spécialiste lui repère un syndrome d'Asperger, une forme d'autisme sans déficit intellectuel. "Cela n'enlève rien à ma capacité de mère. J'étais rassurée car je me sentais en marge depuis toujours, c'était une réponse à cette différence, mais enfin, je n'étais pas folle !" Les services sociaux ne s'arrêtent pas là : "On m'a reproché d'inventer des troubles ou d'avoir de mauvaises relations avec le papa, alors même que nous sommes amis, s'étonne la jeune femme. J'ai été accusée de tous les maux. C'est tellement gros que, parfois, on en rit. On m'a reproché d'ouvrir les fenêtres en plein mois de juin pour que mon enfant souffre de troubles ORL !" Au terme de l'enquête, l'aide sociale à l'enfance recommande le placement du petit garçon. Face au juge, Pauline en prend "plein la tête pendant quarante-cinq minutes". "Puis mon avocat a pu fournir les pièces, les bilans de santé, tout ce que l'ASE n'a pas voulu mettre dans son enquête." Face aux doutes, le juge ordonne une mesure judiciaire d'investigation éducative. Le non-lieu tombe dans le courant de l'année 2013 : Pauline conserve la garde de son fils. Tout cela à cause d'une méconnaissance de l'autisme et des TSA jusque dans les services sociaux qui empestent le périmé. Une méconnaissance naturellement entretenue par ceux qui peuvent bouffer et même, vivre grassement, grâce à tout ça ! La honte ! La honte ! La honte !
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Une protéine en cause ? Dans cet article du 28 décembre, un article explique que selon des chercheurs de l'université de Toronto (Canada), jusqu'à un tiers des cas d'autisme pourraient être expliqués par la rareté d'une seule protéine dans le cerveau : la nSR100. Leurs conclusions s'appuient sur des travaux antérieurs qui avaient montré que la protéine en question était réduite dans le cerveau des personnes autistes. Un lien avec l'activité neuronale Pour confirmer cette hypothèse, les chercheurs ont créé des souris qui manquaient de nSR100, afin d'étudier leur comportement. Ils ont constaté qu'une réduction de moitié du taux de cette protéine était suffisante pour déclencher les caractéristiques comportementales de l'autisme, comme l'évitement des interactions sociales et une grande sensibilité au bruit. (article entier lien ci-dessus). Les recherches sur l'autisme et TSA se tournent aujourd'hui résolument en dehors de la psychanalyse, au profit de la physiologie. Qu'est-ce que les pro-psychanalystes ont à répondre à cela ? Pousseront-ils la suffisance jusqu'à dire que les scientifiques sont des imbéciles, ou bien vont-ils enfin admettre qu'ils se sont trompés, et arrêter le massacre ?
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J'suis une gonzesse.
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Je peux l'accuser d'avoir déçu des ouvriers de gauche puisqu'il y en avait chez moi qui l'ont pris en grippe suite à ses dires. On le sait bien : il n'y a pas eu de plainte pour attouchement. Mais rien que de raconter des choses comme ça comme s'il s'agissait d'un truc parfaitement acceptable a semblé ignoble à certains comme cela me semble ignoble à moi.
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Je t'assure que chez moi, personne ne s'est marré en entendant ça, et qu'il les a beaucoup déçus en tant qu'ouvriers de gauche, qui avaient peut-être bien des torts et travers mais ne plaisantaient pas sur le sujet de la pédophilie. Qui plus est, de la façon qu'il le raconte, on peut le prendre au pied de la lettre. Puis l'âge n'excuse pas tout : à 20 ans on n'est plus un gamin, non plus.
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Tout d'abord, ça ce n'est pas vrai : à savoir que personne ne trouvait rien à redire à ce style d'annonces. Tu n'as pas entendu tout ce qui se disait à l'époque dans toutes les chaumières de France et de Navarre pour affirmer ça, d'ailleurs. Pour le reste, qui dit que DCB a réellement pratiqué la pédophilie ? On lui reproche d'avoir déliré là-dessus, en ce qui me concerne du moins. Cela ne fait pas de moi un nazi du 3° reich et que sais-je encore. C'est dingue le nombre de gens qui se mettent à voir les boches défiler dans les rues à grand vacarme de bottes dès qu'on critique un mec de gauche. Revenez un peu sur terre, à la fin ! En outre, tu te donnes la peine de préciser que DCB est juif, on s'en fout un petit peu, il aurait été asatru, chrétien, musulman, bouddhiste ou athée que cela n'aurait rien changé, aussi bon nombre d'israélites condamnent ses propos aussi bien que moi. Je constate, pour finir, que ton message ne se termine pas en beauté : d'habitude tu ne fais pas autant de fautes d'orthographes. Allons, faut pas t'énerver comme ça, respire un bon coup et reprend ton self-control (à moins que tu sois déjà pété, ce qui peut se comprendre un soir de réveillon).
