Aller au contenu

Doïna

Membre+
  • Compteur de contenus

    19 541
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    19

Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Quand les autistes sont victimes de haine : On connaissait les injures et tags à caractère raciste ou xénophobe, un nouveau type d'insultes vient d'être recensé à Dole. Une commerçante a eu la désagréable surprise de voir sa devanture vandalisée et recouverte d'inscriptions se moquant de son tout jeune fils, un petit garçon de 4 ans diagnostiqué autiste. L'affaire menace de faire grand bruit. Article entier Lons-le-Saunier (Jura) : autiste, il passe 19 ans dans un établissement public de santé mentale Dimitri est rentré chez lui en février. Sa famille a porté plainte contre le Centre hospitalier spécialisé de Saint-Ylie et contre l’Etat. Dans ce centre pour malades mentaux, on lui faisait ingurgiter 35 médicaments par jour ! Article entier
  2. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Un troisième plan autisme bien loin des objectifs fixés : L’Inspection générale des affaires sociales a remis son rapport sur le troisième plan autisme, qui doit prendre fin d’ici quelques mois. Si les avancées existent, beaucoup de problèmes demeurent. «Retard», «absence de réalisation de certains objectifs», «peu de résultats concrets»… Le rapport d’évaluation du troisième plan autisme de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas), publié le 5 mai, est sévère. Pour les associations comme pour Florent Chapel, auteur de l’ouvrage «Autisme, la grande enquête», ce plan, «c’est un peu cinq ans de perdus.» Le troisième plan autisme (2013 - fin 2017) avait pour vocation de consolider les acquis des deux premiers plans à travers cinq axes d’actions: diagnostiquer et intervenir précocement, accompagner tout au long de la vie, soutenir les familles, poursuivre les efforts de recherches et former l’ensemble des acteurs. Pourtant, très peu de ces objectifs ont été atteints à moins d’un an de la fin du projet. (suite sur lien) L'autisme, une affaire trop sérieuse pour la confier à des professionnels ? Paris, le lundi 29 mai 2017 – Longtemps méconnu et confondu avec les « psychoses infantiles », l’autisme a acquis ces dernières années une visibilité grandissante, grâce notamment à la lutte acharnée des associations. Ces dernières sont également parvenues à éveiller la conscience des pouvoirs publics qui ont mis en place plusieurs « plan autisme » dont le troisième vient de s’achever. (Suite sur lien)
  3. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    L'association Enfance-Relais-Espérance (ERE) mène des actions en faveur d'enfants dans divers situations : des qui sont gravement malades, hospitalisés, mais aussi les enfants handicapés. Elle organise des réunions d'information à thème (la dyspraxie en 2015, l'Arémig en 2016). Cette année c'était l'autisme et cela se tenait à Francaltroff. Une centaine de personnes, dont des professionnels de santé et tout le corps enseignant des écoles de la commune mosellane, étaient présentes lors de cette soirée animée par Remy Galeotti, neuropsychologue, et Anthony Acquisto, éducateur scolaire au Sessad (Service d’éducation spécialisée et de soins à domicile) de Rémelfing-Bitche et au Samsah (Service d’accompagnement médico-social pour adultes handicapés) de Saint-Avold. Pour M. Galeotti : « L’autisme n’est pas une maladie, mais un trouble du développement neurologique, présent dès la naissance, qui affecte en moyenne 1 enfant sur 1000, mais plutôt les garçons que les filles. Il s’agit d’un problème de perception traitant de l’information et des émotions. On peut observer des ralentissements au niveau de la pensée, mais ce n’est pas pour autant que les autistes sont coupés de la réalité. Chez la majorité des personnes autistes, l’auditif est perçu en différé et le visuel est perçu en direct. » (...) Deux mamans d'enfants autistes ont présenté leur combat au quotidien : des nuits sans sommeil, les lenteurs administratives pour bénéficier d’une allocation pour enfant handicapé (6 mois d’attente), les difficultés en matière de garde, de scolarisation face à des enseignantes pas formées pour accueillir des enfants autistes, l’absence de vie sociale, l’obligation de mettre la vie professionnelle entre parenthèses, l’incompréhension et le regard méprisant de l’entourage face à des enfants différents. Des problèmes encore plus conséquents en milieu rural où les nourrices se font rares.
  4. Justement, quand il s'agit de personnalités dépressives, négatives, haineuses, défaitistes, ça ne fait que les pousser à des comportements agressifs contre les autres. Je peux le dire pour avoir subi pendant des mois un groupe d'addicts au shit dans ma cage d'escalier : ils la squattaient dès 18 h du soir jusqu'à parfois 4 h du matin, ont tout pourri, ont commis des dégradations, insultaient les locataires quand ils rentraient ou sortaient, faisaient du vacarme la nuit, proféraient des menaces... C'était un vrai calvaire pour tout le monde ! Alors si toi, personnellement, tu es doux, gentil, positif, etc. et que tu vis bien ton addiction, tant mieux pour toi, mais il faut savoir que tu ne représentes pas la majorité des personnalités en France, que bon nombre de consommateurs vivent dans des cités pas très gaies, et que chez eux la consommation de tels produits ne fait que révéler leur côté sombre au détriment parfois de tout un quartier. Je le répète d'ailleurs : pour moi ça ne vaut pas mieux que l'alcoolisme, je dirais même plus c'est l'absinthe des temps modernes. D'où l'importance d'une prévention omniprésente en cas de légalisation.
  5. Oui mais tu étais psychologiquement préparé à ce genre de test, et puis tout le monde ne réagit pas à égalité. De toute façon si des gens en consomment c'est pour ses effets, lesquels sont incompatibles avec la conduite, et donc il vaut mieux faire cela chez soi ou chez des amis mais ne pas avoir à conduire après. Enfin, tu es d'accord sur le fait qu'on doive en parler. Pour moi cela doit être encadré comme l'alcool, avec des messages préventifs accessibles à n'importe qui.
  6. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Une avs à temps plein quand la situation le nécessite cela vaudrait pourtant mieux qu'un placement en itep.
  7. De toute façon, quand on prend le volant, il faut avoir l'esprit clair. Une de mes grands-mères, une fois, a avalé des somnifères au petit déjeuner. Après elle est partie en voiture (c'est elle qui conduisait). Dix minutes après on a retrouvé sa voiture dans un fossé au bord de la route, avec elle endormie dedans. Je n'ai jamais su pourquoi elle a fait ça mais je l'ai trouvée complètement idiote. Elle aurait pu tuer quelqu'un ou même plusieurs personnes qui n'avaient rien demandé.
  8. Pourquoi, toi tu conduits après la fumette alors tu veux pas entendre ce que ça représente comme risque ? C'est ça qui te dérange, c'est qu'on en parle ? Mais, il faut en parler ! Il faudrait donc se scandaliser des conducteurs saouls mais accepter que d'autres conduisent sous l'emprise de substances qui diminuent leurs capacités et leur temps de réaction. En fait, l’ivresse cannabique se rapproche des symptômes de l’état alcoolique : mauvaise évaluation des distances, perte de vigilance et de contrôle, baisse de la concentration… Dès lors, la conduite devient plus dangereuse et on est souvent amené à commettre des infractions (virages négociés n'importe comment, excès de vitesse, stop ou feu rouge grillé, défaut de ceinture…). À partir de là, c'est normal qu'un conducteur qui a fumé du shit soit considéré comme un danger public sur la route, et c'est pareil pour ceux qui ont picolé ! Il y en a même qui cumulent les deux... mais qu'est-ce qu'il faut avoir dans la tête pour prendre le volant dans cet état là ? Ceux qui ont réalisé cette affiche de prévention fabulent, ce sont des empêcheurs de tourner en rond. Comme tu dis "une belle absurdité statistique sortie d'on ne sait d'où" !
  9. Je suis au courant -MERCI !- de la diversité des produits : skunk, afghan, libanais, marijuana, etc. et si tu avais bien lu mon post, tu aurais lu que, tel qu'on le fait contre l'alcool, une campagne de prévention intense doit selon moi être appliquée en parallèle de toute autorisation, c'est primordial. Evidemment, de même qu'un verre de vin à table, pendant un bon repas, une bonne ambiance en compagnie de gens aimés, n'est pas comparable à une chute aux enfers dans l'ivrognerie, un joint au cours d'une fête avant laquelle on a désigné un capitaine de soirée pour ramener la coterie en voiture n'est pas comparable avec un pauvre type sombrant dans la délinquance et la schizophrénie, devenant un fléau pour ses proches et son voisinage à cause de sa dégringolade dans l'addiction au cannabis. Je sais également que les barrettes vendues au pied des immeubles dans les cités constituent un produit de très mauvaise qualité, avec de la résine coupée avec n'importe quoi : du henné, du caoutchouc, etc. Et je tiens à préciser que les producteurs ne sont pas soucieux un brin de l'hygiène dans leur petite entreprise. Les passeurs se mettent d'ailleurs bien souvent les emballages de la résine en question dans le trou de balle pour l'acheminer sans trop de risque. Je suis en outre au courant que la chasse au deal coûte des millions à la société. D'où mes propos insistant sur l'importance d'une prévention diffusée par tous moyens. On n'a pas fait reculer l'alcool par la prohibition, mais par la prévention ! Sur ce point tu ne m'apprends rien. En ce qui me concerne, je n'y touche effectivement pas, mais j'ai vu trop de gens se casser la gueule à cause de ça : des filles en arriver à se prostituer pour pouvoir s'en payer, des femmes quittant leurs maris ne s'intéressant plus du tout à elles et devenant désagréables, voire dangereux, pour elles et leurs enfants, et puis des consommatrices prises de fausse couche, ainsi que des ados, et pas forcément des cités défavorisées, des adolescents petits bourgeois aussi, souvent seuls à la maison du fait de l'absence de parents travaillant tous les deux, qui s'identifient aux durs des cités pour se donner une étoffe et en viennent à consommer du cannabis. Sauf que les effets du cannabis quand on est mal dans sa peau, c'est malsain. C'est comme celui qui boit un verre d'alcool un jour pour oublier, qui en ressent un bien-être, et au fil des jours il lui faut toujours plus de verres pour ressentir ce même bien-être, puis ça passe aux bouteilles. Le cannabis c'est pareil. Certains commencent avec un par semaine, puis finissent avec 30 par jour. Cela dit, je ne pense pas qu'une fois légalisé et vendu sous une forme pure, ce serait moins dangereux, ne serait-ce que pour prendre le volant. Que les gens aillent fumer un joint dans un établissement comme il en existe aux Pays-Bas, d'accord, mais ils doivent savoir qu'ils ne doivent pas prendre le volant après, et que s'ils le font ils auront affaire au juge. Les femmes doivent savoir aussi que cela fluidifie le sang et qu'il ne faut surtout pas en consommer pendant la grossesse.
  10. Un mauvais conducteur représente un risque sur la route, évidemment ! Mais un conducteur bon ou mauvais sous l'emprise d'alcool ou de cannabis aussi. Evidemment ! Il ne faut pas se voiler la face : les conducteurs sous l'emprise de cette substance tuent en moyenne 230 personnes sur les routes chaque année, et je ne parle pas des victimes estropiées, traumatisées. Donc, autoriser, d'accord, mais avec une campagne de prévention acharnée en parallèle, et des contrôles sur la route.
  11. Le relâchement sur la détention et l'usage de cannabis, ça pourrait aller si, en parallèle, une campagne de ringardisation de ce produit et de prévention contre ses méfaits était mise en place (genre celle contre la consommation d'alcool : "Tu t'es vu quand t'as bu ?"). Il faut que tout le monde sache que cette substance "récréative" vire très vite à la dépendance, qu'elle est cause de pathologies psychiatriques ou même d'aggravation de ces pathologies latentes chez certains sujets, qu'elle rend impuissant, bousille la dentition, brise des couples, provoque des fausses couches, des règles hémorragiques, pompe les économies et pousse à la délinquance... Il faut parler sans cesse aussi des nombreux accidents de la route causés par des inconséquents roulant sous ses effets : chaque mois, de nouveaux morts, handicapés, traumatisés, viennent s'ajouter à la liste ! Mais je pense qu'aucun "responsable" dans le gouvernement Macron ne fera jamais en sorte que la population soit informée en permanence par ces choses-là comme ce fut le cas pour l'alcool : avec les nouvelles lois à venir, notamment celles concernant le monde du travail, il vaut mieux qu'un maximum de gens soient shootés pour mieux accepter ! C'est que le cannabis, si ça ramollit la tige, d'un autre côté ça dilate l'anus...
  12. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Je suis allée faire un tour sur ce site gouvernemental. Je jette un coup d'œil à ITEP dans le glossaire. Dans les caractéristiques on peut lire clairement : Il convient de remarquer que d’une façon générale, les ITEP ne sont pas adaptés à l’accueil d’enfants et adolescents autistes ou présentant des troubles psychotiques prédominants, ou des déficiences intellectuelles importantes, qui requièrent d’autres modes d’éducation et de soins, et qui pourraient souffrir de la confrontation avec des jeunes accueillis en ITEP. Pourtant, combien d'enfants ayant des troubles autistiques (et même d'autres cas qui n'ont rien à voir avec l'autisme mais n'auraient rien à faire non plus en itep) sont orientés vers des structures ITEP où les parents se retrouvent confrontés à des psychiatres qui les culpabilisent ou les soupçonnent, et les harcèlent pour droguer leur enfant avec des traitements lourds comme la risperidone qui, bien entendu, ne feront pas disparaître ses troubles mais en feront par contre un légume qui n'a plus la force de rire, de courir, de jouer, bref de se comporter comme un enfant ? Alors qu'une avs à temps complet pour les enfants avec troubles autistiques permettent une scolarisation à temps plein ! Encore faudrait-il qu'il y ait plus d'avs... Malheureusement il faut parfois attendre plusieurs mois pour bénéficier d'une avs, et encore elle ne peut être là durant tout le temps de classe, devant bien souvent se partager matin et après-midi entre deux enfants d'écoles différentes, et pas toujours tous les jours d'école puisque c'est quelquefois deux jours sur quatre, soit deux demi-journées par semaine ! Ce qui signifie qu'un enfant avec troubles autistiques doive se débrouiller sans avs tout le temps restant, face à un enseignant qui ne le comprendra pas forcément, ne saura que faire si ce n'est punir, mettre les parents en cause, etc. Situation parfaitement honteuse dans un pays qui envoie des fusées dans l'espace...
  13. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Depuis quelques mois existe un site officiel : le site www.autisme.gouv.fr, qui s'est donné pour triple objectif d'informer le grand public, de répondre aux questions des personnes concernées et de lutter contre les stéréotypes à l'égard des enfants et des adultes autistes. Parce qu'auparavant, lorsque l'on tapait le mot autisme sur un moteur de recherche, on trouvait pléthore d'informations mais aucun site officiel. On pouvait donc se sentir un peu perdu. (...) Génies, capricieux, inaptes à la communication, enfermés dans "leur bulle", insensibles, turbulents à l'école... Les personnes avec autisme souffrent de nombreux préjugés, auxquels le site répond de façon ludique pour chasser "dix idées reçues". "On ne peut pas résumer quelqu'un à son statut d'autiste, à sa marginalité. Il faut s'intéresser à ses forces, et ce site permet d'en apprendre beaucoup, que l'on soit concerné ou pas", a vanté la marraine, la comédienne Mathilda May, étonnée qu'un tel dispositif n'existe pas déjà. Ce site officiel s'inscrit dans les mesures du 3e plan autisme (2013-2017) et a été financé avec un budget de 300.000 euros. Un coût qui a "indigné" l'association SOS Autisme France et Vaincre l'autisme. "Les familles d'enfants autistes ont aujourd'hui besoin d'une prise en charge adaptée gratuite, d'une intégration scolaire et sociale ainsi que d'AVS (auxiliaire de vie scolaire ndlr) formées et titularisées" plutôt que d'un site "qui se contente de donner des informations déjà présentes sur la plupart des sites associatifs", plaide l'association dans un communiqué. Cofinancé par le ministère et la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA), ce site est lancé pour trois ans. Lu sur le Figaro, article de novembre 2016.
  14. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Démonax en a parlé antérieurement. Il n'y a pas de lien de cause à effet entre l'autisme et la consommation d'aliments contenant du gluten ou de la caséine. Par contre, l'alimentation moderne est très riche en gluten (trop devrait-on dire !) et certaines personnes supportent mal le gluten, pour d'autres c'est la caséine, sans être atteints de la maladie coeliaque. Cela leur donne des troubles intestinaux, des maux de tête... de quoi mettre de mauvaise humeur en somme, ce qu'un autiste, en particulier s'il est tout jeune enfant, manifestera par de grosses colères. Certains parent -dont des que je connais- ont essayé le régime sans gluten avec leur enfant ayant des troubles autistiques et ont été satisfaits du résultat, mais -comme l'a dit si bien l'auteur de ce topic- quand on n'a plus mal au ventre on se sent mieux ! Personnellement, je sais que si j'abuse trop d'aliments riches en gluten (trop de pain, trop de pâtes, etc.) je peux avoir très mal au ventre, cela peut aller jusqu'à me donner la migraine. J'essaie donc de ne pas trop en manger, préférant des aliments qui n'en contiennent pas : le riz, les crèmes à base de maïzena, la farine de sarrasin, etc. La caséine, c'est encore une autre histoire : il ne s'agit plus d'allergie mais d'intolérance. Il y a des personnes qui ne supportent pas les laitages à cause de ça.
  15. Nan mais pendant qu'elles y sont, elles ont qu'à faire ça avec un tuyau de jardin... Sérieux, à l'intérieur du vagin et de l'utérus, il y a une flore, un Ph, qu'il ne faut pas détériorer avec des jets d'eau. Et même pour nettoyer la vulve, il vaut mieux utiliser un savon spécial pour la toilette intime pour ne pas détériorer cette flore qui protège naturellement. Même en cas de mycoses : se faire prescrire par le médecin un "ovule" (suppo pour le vagin) ou une crème antifongique, mais ne surtout pas nettoyer au jet, cela ne ferait qu'empirer !
  16. Il existe des petits kits de ramonage en nylon. Vous demandez à votre partenaire de le mettre au bout de son pénis avant de vous ramoner la cheminée. Si vous n'avez pas de partenaire officiel, vous n'aurez pas trop de mal à trouver un bénévole qui se fera un plaisir de jouer les petits ramoneurs pour une fois, suffit de faire connaître vos besoins.
  17. Pétition : il y a déjà plus de 12.500 signatures, il en faut 15.000 pour qu'elle soit soumise à Macron
  18. Bel article : Alors que les lycées organisent une « journée de la jupe » pour dénoncer le sexisme, Céline Pina rappelle que dans certains quartiers de Paris, sortir de chez elle pour une femme est une provocation, et dénonce l'indifférence des élus. (Suite sur lien) ******************************************************************************** C'est vrai : pourquoi les élus ne font rien ? Pourquoi les femmes auxquelles ces choses arrivent ont sans cesse l'impression d'avoir affaire à des sourds, de se heurter à des murs, voire de passer pour des enquiquineuses qui se plaignent pour rien ou des attiseuses de racisme ? C'est immonde. Les individus qui font ça n'ont pas leur place en France.
  19. Allez, Razorback, attaque ! En plus c'est vendu au cdiscount : pull à capuche motifs jambon
  20. Ce qu'il faut avoir l'esprit mal placé pour en arriver à devoir rester confinés entre mecs. Ces individus sont vraiment des porcs ! Et je suis sûre qu'ils se sodomisent entre eux ! Ils font comme les Grecs dans l'Antiquité : les femmes enfermées, les hommes dehors avec les mains libres, et puis après, quand ils rentrent à la maison, ils font mine de rien.
  21. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Je suis en train de regarder la Petite Maison dans la prairie, sur Teva. Ce qui m'amène à vous parler de l'acteur Matthew Laborteaux, qui jouait le rôle d'Albert (un des personnages le plus attachant de la série). Peu le savent, mais ce monsieur, qui a la quarantaine désormais, et prête sa voix à des personnages de dessins animés aux usa, est né avec un autisme léger. Admettez que ça aurait été dommage de ne pas le laisser incarner le fils Ingalls à cause de ça !
  22. Moi je pense que Macron a tout fait pour conquérir Brigitte Trogneux. Il n'en était pas à sa première relation amoureuse, déjà, et puis c'est tout dans son caractère de viser ce qui semble à première vue inaccessible -une professeure de 40 ans, mariée et maman de trois enfants- en l'occurrence, à l'époque. Dernièrement, cela aura été la présidence de la République. Il a toujours été comme ça, le Macron.
  23. Vous allez voir quand Philippot sera président : vous aurez une première dame qui a des couilles, et vous pourrez toujours jaser !
  24. Quand c'est une vieille baderne en mec qui se met avec une toute jeunette, ça ne choque personne. Dans le monde des stars, il n'y a que ça. Jusqu'à présent, c'était des célébrités masculines, mais avec l'égalité des sexes il va falloir vous habituer à la vue de femmes mûres avec des jeunots.
  25. Doïna

    Connaissez-vous l'autisme ?

    Moi aussi il y a bien des dessins ou sketchs que je trouve violents et qui ne me font pas rire, et je ne suis pas autiste. Par exemple, souvent je suis choquée par des dessins de charlie hebdo sur les malheurs de ce temps, qu'un autiste de ma connaissance trouve drôles. D'ailleurs, bien des dessins et sketchs qui en font rire beaucoup en France auraient plutôt tendance à laisser froid dans d'autres pays, tout comme des trucs qui font rire dans d'autres pays ne font même pas sourire en France. Au Japon par exemple, les gens prennent les choses au pied de la lettre, ce qui fait que l'humour français (surtout l'ironie) ne passe pas : ils le prennent pour de la méchanceté gratuite. Question de culture.
×