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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Lu dans P. Match (pour ne citer qu'un exemple) : Ses petites mains et ses petits pieds sont ficelés par un noeud de tisserand, la spécialité des ouvriers des filatures où travaillent la plupart des membres de la famille. Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est ce qui est dit dans les articles de journaux et plusieurs documentaires.
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Oui, ça aussi c'est une hypothèse : après tout, il a été prouvé que Murielle savait faire les piqûres et une capsule et une seringue d'insuline ont été retrouvées à l'endroit où s'est arrêté Laroche avec le petit. Ce n'est pas anodin. Dans un article de P. Match on peut lire : "C’est Murielle qui, à la fin, lui fait ses piqûres d’insuline (à sa mère, sic), ce médicament dont on a retrouvé un flacon et une seringue au bord de la Vologne, là où est repêché le corps de Grégory Villemin, un indice supplémentaire dans l’enquête. En ces années, l’infirmière Jacqueline Golbain passe chaque jour au domicile des Bolle. Elle connaît bien Murielle. « Dans ce milieu, on gueule, explique-t-elle. Pour se faire entendre, se faire respecter, obtenir une réponse, il faut crier aussi fort, sinon plus, qu’eux. On doit employer leur langage et répondre avec la même brutalité verbale. » "Je pense que Marie-Ange et son père Lucien Bolle l’ont sévèrement corrigée. Il est évident que Murielle a pris des coups », confie cette infirmière en 1990. M. B. avait d'ailleurs commencé par mentir aux gendarmes en disant qu'à sa sortie du collège, elle était montée dans le car, avait décrit le chauffeur. Le hic : quatre filles de son collège l'ont vue monter dans une voiture verte, le chauffeur décrit n'était pas de service ce jour-là et c'est un remplaçant qui tenait le volant, qui a certifié lui aussi qu'elle n'était pas à bord (elle était de surcroit facilement repérable à cause de sa couleur de cheveux). C'est seulement après, quand les gendarmes lui ont démontré qu'elle avait menti, qu'elle a donné cette version accablant B. Laroche, et ne pouvait qu'être vrai vu le nombre de détails ne pouvant être imaginaires.
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On peut se demander ce que tous ces gens qui ont eu à voir de près ou de loin avec l'assassinat de Grégory espéraient en se taisant, que la justice les oublie peut-être ? Sauf que le meurtre d'un gosse, c'est assez grave pour que des enquêteurs reviennent donner un coup de pied dans la fourmilière de temps à autres. Jamais ils ne vivront tranquilles et c'est bien fait pour eux. Fallait y penser avant de répandre toutes ces médisances sur le couple Villemin et fomenter d'abominables complots contre eux. Quand le journaliste a demandé à Marie-Ange Laroche si elle continuerait à croire à l'innocence de B. Laroche si on lui apportait des preuves irréfutables de sa culpabilité, genre par l'adn, etc. elle a répondu qu'elle ne croirait toujours pas à sa culpabilité, elle est par conséquent volontairement dans le déni et ce n'est même pas la peine de l'écouter. On sait que Laroche était un harceleur sexuel qui cherchait à se taper les femmes des autres et enquiquinait les employées dans l'entreprise où il travaillait. Comment une femme peut-elle voir un saint dans un mec comme lui, qui a tenté de la tromper tant de fois ? Faut être un peu naïve quand même. En plus elle n'a aucune preuve à fournir de son innocence, puisqu'elle le dit elle-même : elle a travaillé de 13 h à 21 h le jour du meurtre et ne sait pas ce qu'a fait son mari pendant ce temps, en dehors de bouteilles de vin qu'il comptait acheter et d'un tiercé qu'il devait toucher. Elle ne fait donc que clamer l'innocence du mec par parti pris parce que c'était son mari.
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Si tu te renseignes bien, les enquêteurs ont dit que les liens autour du cou, des poignets et chevilles n'étaient pas suffisamment serrés pour entraver des mouvements dans l'eau, et qu'il s'agissait bien de nœuds de tisserand, or l'enfant ne s'est pas débattu dans l'eau. Le corbeau, dans sa lettre de revendication, a d'ailleurs précisé qu'il l'avait étranglé avant de le jeter dans la Vologne. Alors si on prend le temps d'y réfléchir : pourquoi faire des nœuds de tisserand avec des cordelettes qui passent autour du cou, des poignets et des chevilles si ce n'est pas utile pour tuer quelqu'un qui est déjà mort ? D'où l'avis de certains enquêteurs qui y ont vu une signature.
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Justement, cela signifie que le but de ces nœuds n'étaient pas d'entraver les pieds et poings de l'enfant qui était de toute façon déjà mort quand il a été jeté dans la Vologne, mais bien de signer le crime. L'enquêteur Steve Hodel appellerait cela une "empreinte de pensée". Un nœud de tisserand, ce n'est en effet pas anodin dans la vallée de la Vologne où bon nombre sont passés de la ferme à la filature avec l'essor industriel (comme la famille Jacob).
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Ce n'est pas exactement ce qu'elle avait dit, puisqu'elle avait en fait dit que MA Laroche devrait le placer dans une école spécialisée, ce qui n'aura pas forcément été dit méchamment. D'ailleurs, c'est une phrase à remettre dans son contexte. Pour le reste, MA Laroche ne fait que polir l'image de son défunt époux, mais si l'on se resitue à l'époque, il ne faut pas oublier que ce Bernard Laroche était un sac à vin, à la réputation de jaloux, que ses supérieurs avaient décidé de le faire travailler de nuit pour qu'il n'importune plus les ouvrières qui bossaient dans la boîte. Christine Villemin l'avait éconduit lors d'un repas de noces parce qu'il s'était mal conduit avec elle. Ginette Lecomte, épouse de Michel Villemin (le frère de Jean-Marie), avait eu également à s'en plaindre pour des gestes déplacés. On sait encore que c'était un homme capable de colère et de violence : il faisait parfois des bleus à la tante Louisette Jacob chez laquelle il venait dormir le jour à cause des travaux pas terminés dans sa maison, pour pouvoir rattraper ses heures de travail nocturnes. Ce n'était par conséquent pas ce monsieur aussi clair et net que sa femme chercherait à le faire croire, outre les sérieux doutes des enquêteurs qui se sont penchés sur son écriture, son emploi du temps le jour du 16 nov. 1984, et tout le reste. Des voisins des Villemin à Lépanges ont bien dit avoir vu sur la route un homme corpulent, moustachu avec des favoris accompagné d'une femme rousse dans une voiture verte, ce qui correspond au duo Laroche-Bolle pour l'enlèvement de l'enfant. Madame Claudon a pour sa part reçu une lettre menaçant de foutre le feu à sa ferme si elle dénonçait. Concernant Murielle, plusieurs témoins ont entendu les cris et le raffut au domicile des Bolle le soir du 5 novembre ; il n'y a pas que ce cousin éloigné à affirmer qu'elle a subi des pressions familiales. Son témoignage, celui qui a envoyé Laroche en prison, était forcément vrai : il y avait beaucoup trop de détails qu'elle aurait été incapable d'inventer, comme le toit de la maison du couple Villemin visible à tel endroit, les couleurs du bonnet de Grégory, l'endroit où Laroche l'a laissé -Docelles- qui correspond au point où le cadavre a été jeté dans la Vologne, etc. Pour finir, puisque vous parlez des nœuds autour des poignets et des chevilles de la petite victime, il s'agissait de nœuds de tisserand, que l'on savait forcément faire mieux que tout le monde chez les Jacob, Bernard Laroche inclus, et c'est en même temps la signature des criminels. Le petit Grégory était quant à lui, le pauvre enfant, forcément déjà décédé quand son corps a été jeté dans la Vologne, sinon il aurait crié, se serait débattu et n'aurait pas été retrouvé dans cette position d'endormi. Qu'a-t-il pu penser, se demander quand tous ces gens l'ont emmené sur son lieu d'exécution ? Et combien de temps a-t-il souffert quand il a été étranglé par son bourreau ?
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L'autisme, c'est un problème de lacheté collective Danièle Langloys, présidente de l'association Autisme France, répond à une interview du journal Le Monde.
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Quand les autistes sont victimes de haine : On connaissait les injures et tags à caractère raciste ou xénophobe, un nouveau type d'insultes vient d'être recensé à Dole. Une commerçante a eu la désagréable surprise de voir sa devanture vandalisée et recouverte d'inscriptions se moquant de son tout jeune fils, un petit garçon de 4 ans diagnostiqué autiste. L'affaire menace de faire grand bruit. Article entier Lons-le-Saunier (Jura) : autiste, il passe 19 ans dans un établissement public de santé mentale Dimitri est rentré chez lui en février. Sa famille a porté plainte contre le Centre hospitalier spécialisé de Saint-Ylie et contre l’Etat. Dans ce centre pour malades mentaux, on lui faisait ingurgiter 35 médicaments par jour ! Article entier
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Un troisième plan autisme bien loin des objectifs fixés : L’Inspection générale des affaires sociales a remis son rapport sur le troisième plan autisme, qui doit prendre fin d’ici quelques mois. Si les avancées existent, beaucoup de problèmes demeurent. «Retard», «absence de réalisation de certains objectifs», «peu de résultats concrets»… Le rapport d’évaluation du troisième plan autisme de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas), publié le 5 mai, est sévère. Pour les associations comme pour Florent Chapel, auteur de l’ouvrage «Autisme, la grande enquête», ce plan, «c’est un peu cinq ans de perdus.» Le troisième plan autisme (2013 - fin 2017) avait pour vocation de consolider les acquis des deux premiers plans à travers cinq axes d’actions: diagnostiquer et intervenir précocement, accompagner tout au long de la vie, soutenir les familles, poursuivre les efforts de recherches et former l’ensemble des acteurs. Pourtant, très peu de ces objectifs ont été atteints à moins d’un an de la fin du projet. (suite sur lien) L'autisme, une affaire trop sérieuse pour la confier à des professionnels ? Paris, le lundi 29 mai 2017 – Longtemps méconnu et confondu avec les « psychoses infantiles », l’autisme a acquis ces dernières années une visibilité grandissante, grâce notamment à la lutte acharnée des associations. Ces dernières sont également parvenues à éveiller la conscience des pouvoirs publics qui ont mis en place plusieurs « plan autisme » dont le troisième vient de s’achever. (Suite sur lien)
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L'association Enfance-Relais-Espérance (ERE) mène des actions en faveur d'enfants dans divers situations : des qui sont gravement malades, hospitalisés, mais aussi les enfants handicapés. Elle organise des réunions d'information à thème (la dyspraxie en 2015, l'Arémig en 2016). Cette année c'était l'autisme et cela se tenait à Francaltroff. Une centaine de personnes, dont des professionnels de santé et tout le corps enseignant des écoles de la commune mosellane, étaient présentes lors de cette soirée animée par Remy Galeotti, neuropsychologue, et Anthony Acquisto, éducateur scolaire au Sessad (Service d’éducation spécialisée et de soins à domicile) de Rémelfing-Bitche et au Samsah (Service d’accompagnement médico-social pour adultes handicapés) de Saint-Avold. Pour M. Galeotti : « L’autisme n’est pas une maladie, mais un trouble du développement neurologique, présent dès la naissance, qui affecte en moyenne 1 enfant sur 1000, mais plutôt les garçons que les filles. Il s’agit d’un problème de perception traitant de l’information et des émotions. On peut observer des ralentissements au niveau de la pensée, mais ce n’est pas pour autant que les autistes sont coupés de la réalité. Chez la majorité des personnes autistes, l’auditif est perçu en différé et le visuel est perçu en direct. » (...) Deux mamans d'enfants autistes ont présenté leur combat au quotidien : des nuits sans sommeil, les lenteurs administratives pour bénéficier d’une allocation pour enfant handicapé (6 mois d’attente), les difficultés en matière de garde, de scolarisation face à des enseignantes pas formées pour accueillir des enfants autistes, l’absence de vie sociale, l’obligation de mettre la vie professionnelle entre parenthèses, l’incompréhension et le regard méprisant de l’entourage face à des enfants différents. Des problèmes encore plus conséquents en milieu rural où les nourrices se font rares.
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Justement, quand il s'agit de personnalités dépressives, négatives, haineuses, défaitistes, ça ne fait que les pousser à des comportements agressifs contre les autres. Je peux le dire pour avoir subi pendant des mois un groupe d'addicts au shit dans ma cage d'escalier : ils la squattaient dès 18 h du soir jusqu'à parfois 4 h du matin, ont tout pourri, ont commis des dégradations, insultaient les locataires quand ils rentraient ou sortaient, faisaient du vacarme la nuit, proféraient des menaces... C'était un vrai calvaire pour tout le monde ! Alors si toi, personnellement, tu es doux, gentil, positif, etc. et que tu vis bien ton addiction, tant mieux pour toi, mais il faut savoir que tu ne représentes pas la majorité des personnalités en France, que bon nombre de consommateurs vivent dans des cités pas très gaies, et que chez eux la consommation de tels produits ne fait que révéler leur côté sombre au détriment parfois de tout un quartier. Je le répète d'ailleurs : pour moi ça ne vaut pas mieux que l'alcoolisme, je dirais même plus c'est l'absinthe des temps modernes. D'où l'importance d'une prévention omniprésente en cas de légalisation.
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Oui mais tu étais psychologiquement préparé à ce genre de test, et puis tout le monde ne réagit pas à égalité. De toute façon si des gens en consomment c'est pour ses effets, lesquels sont incompatibles avec la conduite, et donc il vaut mieux faire cela chez soi ou chez des amis mais ne pas avoir à conduire après. Enfin, tu es d'accord sur le fait qu'on doive en parler. Pour moi cela doit être encadré comme l'alcool, avec des messages préventifs accessibles à n'importe qui.
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Une avs à temps plein quand la situation le nécessite cela vaudrait pourtant mieux qu'un placement en itep.
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De toute façon, quand on prend le volant, il faut avoir l'esprit clair. Une de mes grands-mères, une fois, a avalé des somnifères au petit déjeuner. Après elle est partie en voiture (c'est elle qui conduisait). Dix minutes après on a retrouvé sa voiture dans un fossé au bord de la route, avec elle endormie dedans. Je n'ai jamais su pourquoi elle a fait ça mais je l'ai trouvée complètement idiote. Elle aurait pu tuer quelqu'un ou même plusieurs personnes qui n'avaient rien demandé.
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Pourquoi, toi tu conduits après la fumette alors tu veux pas entendre ce que ça représente comme risque ? C'est ça qui te dérange, c'est qu'on en parle ? Mais, il faut en parler ! Il faudrait donc se scandaliser des conducteurs saouls mais accepter que d'autres conduisent sous l'emprise de substances qui diminuent leurs capacités et leur temps de réaction. En fait, l’ivresse cannabique se rapproche des symptômes de l’état alcoolique : mauvaise évaluation des distances, perte de vigilance et de contrôle, baisse de la concentration… Dès lors, la conduite devient plus dangereuse et on est souvent amené à commettre des infractions (virages négociés n'importe comment, excès de vitesse, stop ou feu rouge grillé, défaut de ceinture…). À partir de là, c'est normal qu'un conducteur qui a fumé du shit soit considéré comme un danger public sur la route, et c'est pareil pour ceux qui ont picolé ! Il y en a même qui cumulent les deux... mais qu'est-ce qu'il faut avoir dans la tête pour prendre le volant dans cet état là ? Ceux qui ont réalisé cette affiche de prévention fabulent, ce sont des empêcheurs de tourner en rond. Comme tu dis "une belle absurdité statistique sortie d'on ne sait d'où" !
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Je suis au courant -MERCI !- de la diversité des produits : skunk, afghan, libanais, marijuana, etc. et si tu avais bien lu mon post, tu aurais lu que, tel qu'on le fait contre l'alcool, une campagne de prévention intense doit selon moi être appliquée en parallèle de toute autorisation, c'est primordial. Evidemment, de même qu'un verre de vin à table, pendant un bon repas, une bonne ambiance en compagnie de gens aimés, n'est pas comparable à une chute aux enfers dans l'ivrognerie, un joint au cours d'une fête avant laquelle on a désigné un capitaine de soirée pour ramener la coterie en voiture n'est pas comparable avec un pauvre type sombrant dans la délinquance et la schizophrénie, devenant un fléau pour ses proches et son voisinage à cause de sa dégringolade dans l'addiction au cannabis. Je sais également que les barrettes vendues au pied des immeubles dans les cités constituent un produit de très mauvaise qualité, avec de la résine coupée avec n'importe quoi : du henné, du caoutchouc, etc. Et je tiens à préciser que les producteurs ne sont pas soucieux un brin de l'hygiène dans leur petite entreprise. Les passeurs se mettent d'ailleurs bien souvent les emballages de la résine en question dans le trou de balle pour l'acheminer sans trop de risque. Je suis en outre au courant que la chasse au deal coûte des millions à la société. D'où mes propos insistant sur l'importance d'une prévention diffusée par tous moyens. On n'a pas fait reculer l'alcool par la prohibition, mais par la prévention ! Sur ce point tu ne m'apprends rien. En ce qui me concerne, je n'y touche effectivement pas, mais j'ai vu trop de gens se casser la gueule à cause de ça : des filles en arriver à se prostituer pour pouvoir s'en payer, des femmes quittant leurs maris ne s'intéressant plus du tout à elles et devenant désagréables, voire dangereux, pour elles et leurs enfants, et puis des consommatrices prises de fausse couche, ainsi que des ados, et pas forcément des cités défavorisées, des adolescents petits bourgeois aussi, souvent seuls à la maison du fait de l'absence de parents travaillant tous les deux, qui s'identifient aux durs des cités pour se donner une étoffe et en viennent à consommer du cannabis. Sauf que les effets du cannabis quand on est mal dans sa peau, c'est malsain. C'est comme celui qui boit un verre d'alcool un jour pour oublier, qui en ressent un bien-être, et au fil des jours il lui faut toujours plus de verres pour ressentir ce même bien-être, puis ça passe aux bouteilles. Le cannabis c'est pareil. Certains commencent avec un par semaine, puis finissent avec 30 par jour. Cela dit, je ne pense pas qu'une fois légalisé et vendu sous une forme pure, ce serait moins dangereux, ne serait-ce que pour prendre le volant. Que les gens aillent fumer un joint dans un établissement comme il en existe aux Pays-Bas, d'accord, mais ils doivent savoir qu'ils ne doivent pas prendre le volant après, et que s'ils le font ils auront affaire au juge. Les femmes doivent savoir aussi que cela fluidifie le sang et qu'il ne faut surtout pas en consommer pendant la grossesse.
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Un mauvais conducteur représente un risque sur la route, évidemment ! Mais un conducteur bon ou mauvais sous l'emprise d'alcool ou de cannabis aussi. Evidemment ! Il ne faut pas se voiler la face : les conducteurs sous l'emprise de cette substance tuent en moyenne 230 personnes sur les routes chaque année, et je ne parle pas des victimes estropiées, traumatisées. Donc, autoriser, d'accord, mais avec une campagne de prévention acharnée en parallèle, et des contrôles sur la route.
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Le relâchement sur la détention et l'usage de cannabis, ça pourrait aller si, en parallèle, une campagne de ringardisation de ce produit et de prévention contre ses méfaits était mise en place (genre celle contre la consommation d'alcool : "Tu t'es vu quand t'as bu ?"). Il faut que tout le monde sache que cette substance "récréative" vire très vite à la dépendance, qu'elle est cause de pathologies psychiatriques ou même d'aggravation de ces pathologies latentes chez certains sujets, qu'elle rend impuissant, bousille la dentition, brise des couples, provoque des fausses couches, des règles hémorragiques, pompe les économies et pousse à la délinquance... Il faut parler sans cesse aussi des nombreux accidents de la route causés par des inconséquents roulant sous ses effets : chaque mois, de nouveaux morts, handicapés, traumatisés, viennent s'ajouter à la liste ! Mais je pense qu'aucun "responsable" dans le gouvernement Macron ne fera jamais en sorte que la population soit informée en permanence par ces choses-là comme ce fut le cas pour l'alcool : avec les nouvelles lois à venir, notamment celles concernant le monde du travail, il vaut mieux qu'un maximum de gens soient shootés pour mieux accepter ! C'est que le cannabis, si ça ramollit la tige, d'un autre côté ça dilate l'anus...
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Je suis allée faire un tour sur ce site gouvernemental. Je jette un coup d'œil à ITEP dans le glossaire. Dans les caractéristiques on peut lire clairement : Il convient de remarquer que d’une façon générale, les ITEP ne sont pas adaptés à l’accueil d’enfants et adolescents autistes ou présentant des troubles psychotiques prédominants, ou des déficiences intellectuelles importantes, qui requièrent d’autres modes d’éducation et de soins, et qui pourraient souffrir de la confrontation avec des jeunes accueillis en ITEP. Pourtant, combien d'enfants ayant des troubles autistiques (et même d'autres cas qui n'ont rien à voir avec l'autisme mais n'auraient rien à faire non plus en itep) sont orientés vers des structures ITEP où les parents se retrouvent confrontés à des psychiatres qui les culpabilisent ou les soupçonnent, et les harcèlent pour droguer leur enfant avec des traitements lourds comme la risperidone qui, bien entendu, ne feront pas disparaître ses troubles mais en feront par contre un légume qui n'a plus la force de rire, de courir, de jouer, bref de se comporter comme un enfant ? Alors qu'une avs à temps complet pour les enfants avec troubles autistiques permettent une scolarisation à temps plein ! Encore faudrait-il qu'il y ait plus d'avs... Malheureusement il faut parfois attendre plusieurs mois pour bénéficier d'une avs, et encore elle ne peut être là durant tout le temps de classe, devant bien souvent se partager matin et après-midi entre deux enfants d'écoles différentes, et pas toujours tous les jours d'école puisque c'est quelquefois deux jours sur quatre, soit deux demi-journées par semaine ! Ce qui signifie qu'un enfant avec troubles autistiques doive se débrouiller sans avs tout le temps restant, face à un enseignant qui ne le comprendra pas forcément, ne saura que faire si ce n'est punir, mettre les parents en cause, etc. Situation parfaitement honteuse dans un pays qui envoie des fusées dans l'espace...
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Depuis quelques mois existe un site officiel : le site www.autisme.gouv.fr, qui s'est donné pour triple objectif d'informer le grand public, de répondre aux questions des personnes concernées et de lutter contre les stéréotypes à l'égard des enfants et des adultes autistes. Parce qu'auparavant, lorsque l'on tapait le mot autisme sur un moteur de recherche, on trouvait pléthore d'informations mais aucun site officiel. On pouvait donc se sentir un peu perdu. (...) Génies, capricieux, inaptes à la communication, enfermés dans "leur bulle", insensibles, turbulents à l'école... Les personnes avec autisme souffrent de nombreux préjugés, auxquels le site répond de façon ludique pour chasser "dix idées reçues". "On ne peut pas résumer quelqu'un à son statut d'autiste, à sa marginalité. Il faut s'intéresser à ses forces, et ce site permet d'en apprendre beaucoup, que l'on soit concerné ou pas", a vanté la marraine, la comédienne Mathilda May, étonnée qu'un tel dispositif n'existe pas déjà. Ce site officiel s'inscrit dans les mesures du 3e plan autisme (2013-2017) et a été financé avec un budget de 300.000 euros. Un coût qui a "indigné" l'association SOS Autisme France et Vaincre l'autisme. "Les familles d'enfants autistes ont aujourd'hui besoin d'une prise en charge adaptée gratuite, d'une intégration scolaire et sociale ainsi que d'AVS (auxiliaire de vie scolaire ndlr) formées et titularisées" plutôt que d'un site "qui se contente de donner des informations déjà présentes sur la plupart des sites associatifs", plaide l'association dans un communiqué. Cofinancé par le ministère et la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA), ce site est lancé pour trois ans. Lu sur le Figaro, article de novembre 2016.
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Démonax en a parlé antérieurement. Il n'y a pas de lien de cause à effet entre l'autisme et la consommation d'aliments contenant du gluten ou de la caséine. Par contre, l'alimentation moderne est très riche en gluten (trop devrait-on dire !) et certaines personnes supportent mal le gluten, pour d'autres c'est la caséine, sans être atteints de la maladie coeliaque. Cela leur donne des troubles intestinaux, des maux de tête... de quoi mettre de mauvaise humeur en somme, ce qu'un autiste, en particulier s'il est tout jeune enfant, manifestera par de grosses colères. Certains parent -dont des que je connais- ont essayé le régime sans gluten avec leur enfant ayant des troubles autistiques et ont été satisfaits du résultat, mais -comme l'a dit si bien l'auteur de ce topic- quand on n'a plus mal au ventre on se sent mieux ! Personnellement, je sais que si j'abuse trop d'aliments riches en gluten (trop de pain, trop de pâtes, etc.) je peux avoir très mal au ventre, cela peut aller jusqu'à me donner la migraine. J'essaie donc de ne pas trop en manger, préférant des aliments qui n'en contiennent pas : le riz, les crèmes à base de maïzena, la farine de sarrasin, etc. La caséine, c'est encore une autre histoire : il ne s'agit plus d'allergie mais d'intolérance. Il y a des personnes qui ne supportent pas les laitages à cause de ça.
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Nan mais pendant qu'elles y sont, elles ont qu'à faire ça avec un tuyau de jardin... Sérieux, à l'intérieur du vagin et de l'utérus, il y a une flore, un Ph, qu'il ne faut pas détériorer avec des jets d'eau. Et même pour nettoyer la vulve, il vaut mieux utiliser un savon spécial pour la toilette intime pour ne pas détériorer cette flore qui protège naturellement. Même en cas de mycoses : se faire prescrire par le médecin un "ovule" (suppo pour le vagin) ou une crème antifongique, mais ne surtout pas nettoyer au jet, cela ne ferait qu'empirer !
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Il existe des petits kits de ramonage en nylon. Vous demandez à votre partenaire de le mettre au bout de son pénis avant de vous ramoner la cheminée. Si vous n'avez pas de partenaire officiel, vous n'aurez pas trop de mal à trouver un bénévole qui se fera un plaisir de jouer les petits ramoneurs pour une fois, suffit de faire connaître vos besoins.
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Pétition : il y a déjà plus de 12.500 signatures, il en faut 15.000 pour qu'elle soit soumise à Macron
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Bel article : Alors que les lycées organisent une « journée de la jupe » pour dénoncer le sexisme, Céline Pina rappelle que dans certains quartiers de Paris, sortir de chez elle pour une femme est une provocation, et dénonce l'indifférence des élus. (Suite sur lien) ******************************************************************************** C'est vrai : pourquoi les élus ne font rien ? Pourquoi les femmes auxquelles ces choses arrivent ont sans cesse l'impression d'avoir affaire à des sourds, de se heurter à des murs, voire de passer pour des enquiquineuses qui se plaignent pour rien ou des attiseuses de racisme ? C'est immonde. Les individus qui font ça n'ont pas leur place en France.