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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Pourquoi parents irresponsables ? Aux parents, on ne cesse de répéter qu'il faut avoir confiance en l'école, c'est ce qu'ils ont fait. Quand l'année scolaire débute, il y a des fiches à remplir sur lesquelles on signale les allergies de son enfant. A l'intérieur de l'école c'est le personnel qui prend le relai quant à la responsabilité. Si un enfant a un traitement, le médecin de famille le signale et c'est l'infirmière qui l'a avec elle, et je pense que c'est obligatoire. Je n'ai jamais entendu une maîtresse d'école accepter de conserver un traitement dans sa classe et de se charger de son administration à l'enfant.
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C'est la maîtresse qui a donné la crêpe à l'enfant. Je trouve que tu dédouanes un peu vite les responsables des enfants, car au sein de l'école ce sont bien les adultes -enseignants, cantinières- qui sont responsables des enfants. Ce petit garçon n'était pas nouveau, cela faisait des années qu'il y venait et jusqu'aux parents d'élèves étaient au courant de son allergie. Cette réponse "ils ne peuvent être derrière chaque enfant" revient un peu trop souvent et trop facilement. Sauf que dans la réalité, il y a toujours des freins : les enseignants qui ne veulent pas faire le boulot de l'infirmière, l'infirmière qui n'est pas là tout le temps... L'enfant qu'on ne veut pas laisser seul avec son traitement médical... C'est ainsi dans la réalité !
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Il n'y avait pas de tel message et, heureusement, les enseignants ne sont pas tous des crétins. Sauf que trop souvent, dans les maternelles, j'ai eu affaire à des crétin/es ! Des pour qui on pouvait se demander ce que la sécurité des enfants représentait pour eux/elles. Je doute qu'une école maternelle autorise un enfant à avoir toujours sur lui une trousse de secours. Il faut forcément qu'elle soit confié à un adulte avec prescription du médecin. Et comme un enseignant n'est pas sensé faire le travail d'une infirmière, il faudra que l'infirmière soit là en cas de problème, parce qu'un enseignant pourra refuser.
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Le père lui impute surtout un manque de jugeotte, à raison puisque cette maîtresse d'école était parfaitement au courant, comme tout le personnel, que le petit garçon était allergique aux produits laitiers. Avertie également des mesures à prendre en cas de choc anaphylactique. Jusqu'à présent on fait les crêpes avec du lait, elle n'aurait donc pas dû lui en proposer. Un drame qui n'a rien à voir avec un cas de mortalité infantile survenue pour des raisons indéterminées, elle risque par conséquent d'être condamnée pour empoisonnement involontaire. C'est étonnant aussi qu'au cours d'un carnaval, aucune cantinière, aucun autre enseignant n'ait rien remarqué. Personnellement cette affaire m'étonne à peine : tant de fois, l'absence de jugeotte d'enseignants-es en maternelle m'ont moi-même laissée sans voix. Je me demandai alors "Mais à quel genre de crétins confions-nous nos enfants ?" Ce fut par exemple, un clou de près de dix centimètres dépassant d'un meuble à hauteur des yeux des enfants. En le signalant à la maîtresse j'eus l'impression de parler à un sac vide. Je dus me répéter au-moins trois fois pour qu'elle se décide à me répondre qu'elle préviendrait l'homme à tout faire. Je lui dis que c'était très dangereux et que c'était immédiatement qu'elle devrait le faire. Elle ne répondit pas, si bien que j'allai tout de suite prévenir le directeur. Le lendemain le clou était toujours là ! Aussi je décidai que ma fille repartirait avec moi et ne retournerait en classe que quand ce maudit clou aurait été ôté de là ! Une autre fois, lors d'une sortie, j'accompagnais l'enseignante. Il y avait un chemin à suivre dans les hauteurs, et au bord la pente était totalement abrupte et vertigineuse. Les enfants, accablés par la chaleur, avaient tendance à trainer trop au bord justement. Craignant un accident, je n'arrêtai pas de les ramener au milieu du chemin. La maîtresse me regardait sans arrêt de travers, comme si j'étais en train de m'affoler pour rien. Je me sentis obligée de lui faire remarquer qu'un drame pouvait vite arriver dans ce type d'endroit. Plein d'histoires comme ça à raconter. Nos pauvres enfants confiés à des gens que nous souhaiterions compétents mais se révèlent bien souvent des QI de moules.
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Bonjour, Le drame est survenu jeudi 29 mars à Limas (Rhône) : un petit garçon de 6 ans allergique aux produits lactés est décédé après avoir mangé une crêpe au carnaval de son école. Le père estime : "c'est totalement la faute de la maîtresse" si le drame s'est produit. Lors du carnaval de l'école, le personnel a proposé des crêpes aux élèves. Le petit garçon, Jadhen, a accepté puisqu'il avait l'habitude de manger des crêpes à l'eau. L'état de santé de l'enfant de 6 ans s'est rapidement dégradé. Lorsque sa mère est venue le récupérer à l'école, "il était déjà en détresse respiratoire", explique Fabien, le père du garçon. Jadhen était scolarisé dans cette école maternelle depuis trois ans. "Ils sont tous au courant pour l'allergie au lait de vache et ce qu'il faut faire en cas d'urgence" assure-t-il. "C'est pire qu'une erreur. Donner quelque chose à quelqu'un en sachant que ça pourrait lui faire du mal, pour une maîtresse d'école ça n'est pas logique. Il y a un manque de jugeotte", ajoute le père de famille. L'autopsie montre que le petit garçon de 6 ans est décédé d'un choc anaphylactique, une réaction allergique immédiate, a indiqué le procureur de Villefranche-sur-Saône. Article entier La maman de Jadhen témoigne : Il est 16h20, jeudi dernier, lorsque Marie-Anaëlle, la mère de Jadhen, vient récupérer son enfant à l'école à Limas, dans le Rhône. Rapidement, elle constate que son petit garçon ne va pas bien. Âgé de six ans, il vient de manger des crêpes lors du carnaval de son établissement. Il m'a dit 'Maman, je n'en peux plus'. Je l'ai porté, j'ai croisé des gens, j'ai demandé un téléphone à des filles pour appeler les pompiers", relate-t-elle. Ces derniers n'ont pas réussi à ranimer l'enfant. Les parents ne comprennent pas comment il a pu consommer des crêpes contenant du lait alors que son allergie était connue de l'équipe pédagogique. "Ça fait trois ans qu'il est dans cette école: petite section, moyenne section, tout le monde était au courant. Même les parents d'élèves étaient au courant que mon fils était allergique au lait", déplore sa mère. Le procureur de Villefranche-sur-Saône a confirmé que le "régime alimentaire (de l'enfant) était connu" du personnel éducatif et que "c'est la maîtresse qui a proposé la crêpe à l'enfant". L'enquête doit désormais déterminer les responsabilités personnelles dans la mort de l'enfant. L'enseignante concernée a déjà été entendue.
- 53 réponses
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- allergique
- lait
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C'est sûr que pour être berger, il faut être humble, savoir se contenter du minimum le temps d'une saison. C'est pas une activité pour les starlettes.
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Le métier de berger, le vrai, c'est ça : c'est d'accompagner ses bêtes de jour comme de nuit. La nuit, les bergers campaient ou dormaient dans des cabanes ou des huttes en pierres sèches bâties dans les hauteurs dans le pré où le troupeau s'arrêtait jusqu'au matin. Ces hommes, constamment au contact de la nature et de la belle étoile, inspiraient la méfiance à cause de ça. Toute une culture qui s'est perdue, hélas ! De nos jours combien d'éleveurs abandonnent leurs bêtes de jour comme de nuit dans les pâturages ? Pourquoi ne pas redonner une vie à ce beau métier de berger ? Les éleveurs pourraient leur confier leurs troupeaux le temps de la transhumance. Il faudrait les rémunérer, c'est sûr, mais c'est ça où les prédateurs !
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Sans compter que quand il y a un berger accompagné de ses chiens en permanence près du troupeau, les prédateurs n'y viennent pas. Les attaques ont lieu parce que les troupeaux sont livrés à eux-mêmes. Certains propriétaires confient leurs bêtes à des chiens poutou qui vont s'en prendre à tout ce qui passe : les randonneurs autant que les loups, ce qui n'arriverait pas s'il y avait une surveillance humaine. Dans d'autres pays comme l'Italie, la réintroduction de tous ces prédateurs ne pose pas tant de problèmes parce qu'il y a des bergers et qu'ils ne laissent jamais tomber le troupeau. Il y a aussi tous ces pays que l'ours n'a jamais quittés : la Roumanie par exemple, et c'est pareil : le berger accompagne le troupeau.
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Vous ne pouvez pas comprendre, vous n'avez pas l'esprit assez mal placé
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La réintroduction de l'ours ? Je connais un ours qui est contre : le pauvre dit que Nicolas Hulot l'a déjà introduit une fois par surprise, profitant de son état d'hibernation, et il ne tient pas à ce que ça se reproduise car il a eu très mal !
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De toute manière, je préfère arrêter là : encore de la psychologie de comptoir à cinquante centimes d'euros, et encore ! Comme si des types esclaves de leurs pulsions allaient se ranger parce qu'on leur fournit des prostituées à l'œil. Des prostituées subventionnées en plus... Subventionnées par le contribuable, n'est-ce pas ? Alors que payer des impôts pour faire rouler la justice semble superflu à l'instigateur de ce topic "sérieux" soi-disant, qui présente la condamnation du viol comme un geste pour faire plaisir à la victime et à sa famille. Mais qu'est-ce que je fous dans ce bazar ? Allez, adios !
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C'est toi qui réclame la peine de mort dans un post précédent ! Si ce n'est pas le sujet commence par ne pas l'aborder.
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Et quand un innocent se retrouve derrière les barreaux suite à une bavure comme cela advient parfois ? Le genre de truc qui peut tomber sur n'importe qui : cela pourrait t'arriver à toi, serais-tu alors toujours aussi à fond pour la peine de mort ?
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Dans son cas je dirais plutôt que c'est de la sottise.
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Le jugement du viol est présenté par tes soins d'une façon quelque peu scandaleuse et pas intelligente un brin : la justice condamne les violeurs parce que le viol est un crime dans notre société, pas pour faire plaisir à la victime et à sa famille. Pour la suite, mettons les violeurs au pain sec et à l'eau, cela fera déjà ça de gagné. L'idée de prostituées subventionnées ne tient pas la route : ce qui motive un violeur, c'est justement la résistance de la victime qui lui permet de se sentir fort, pour une fois, ce pauvre minable. Une professionnelle qui va s'écarter comme une étoile de mer dans un plumard moyennant paiement n'intéressera pas ces criminels.
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Hommage aux personnes qui ont perdu la vie dans cet attentat, hommage au colonel Arnaud Beltrame et solidarité avec sa famille, ses amis. -
C'est du pinaillage comparé à l'API d'avant 2009 : le parent s'arrangeait comme bon lui semblait, il pouvait chercher du travail ou pas mais il avait de quoi subvenir aux besoins de ses enfants. Là, entre crever la dalle avec le rsa et n'avoir plus le temps pour s'occuper décemment de ses enfants, et avoir tout le temps de crever la dalle avec le PrePare, on peut dire que le gouvernement impose un choix cornélien aux gens dans cette situation. ça arrive et, justement, des solutions devraient être prévues contre. Précédemment je t'ai dis que cela n'allait pas mieux pour moi, que je ne viens guère d'un milieu plus reluisant que celui que tu décris. Alors tu comprendras que quand c'était difficile pour moi, je m'évertuais à m'aider moi. Pour la suite, depuis que ça va mieux, je paye mes contributions à la société sans rechigner et ne reproche rien aux personnes en difficultés qui bénéficient du rsa. Je ne me permettrai jamais de traiter ces personnes d'assistés, de feignasses et autres. Pour en revenir à ton précédent message, tu te sens offensée par ma compassion, si c'est le terme qui convient toutefois, parce que tu t'en es sortie en gros, mais tu sais tous ne s'en sortent pas : certains partent du mauvais pied et ressortent du mauvais pied, cela n'en fait pas des faibles ou des fainéants, ou des méprisables ou des imbéciles. Pour moi aussi cela aurait pu très mal finir. Des fois je suis tombée sur des individus qui, me voyant en détresse, m'ont fait des propositions malhonnêtes. J'ai dit non, il y a des gens qui auraient accepté, pas par manque de fierté, mais plutôt par peur du lendemain ou désespoir.
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Je ne viens pas d'un milieu plus reluisant. Je n'ai pas fait d'études comme toi, suis partie en claquant la porte à 18 ans et ai vécu dans un certain nomadisme pendant des années. J'ai traversé des années de chômage, l'absence de compassion des gens, ceux de mes voisinages successifs, ceux de l'anpe, les assistantes sociales, et surtout celui des boss aux entretiens, ne m'ont pas fait du bien. Tu dis que tu es blessée par ma "compassion", le mot était peut-être maladroit mais il n'y a vraiment pas de quoi être blessée venant de ma part puisque je sais bien ce que c'est que la galère. Et si je m'en suis sortie, j'en ai conservé un certain traumatisme et une méfiance des gens, en particulier ceux qui ont le ragot facile contre ce qu'ils appellent les "assistés". Moi j'étais bien contente de percevoir le rmi à une époque, et je ne vois pas en quoi je devrais en rougir. Je m'applique à répondre à des personnes qui me font tourner en rond, pour être plus exacte.
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Je ne te suis plus : tu me cites un article qui concerne les couples. Au début il était question des parents isolés. Un parent isolé peut percevoir le PreParE mais dans ce cas il devra faire une croix sur son alloc chômage ou son rsa. Le gouvernement rogne vraiment sur tout !
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Le complément de libre choix n'existe plus depuis l'année dernière, maintenant c'est le la prestation partagée d'éducation de l'enfant (de moins de 3 ans). C'est nouveau, je ne connaissais pas. Les montants sont dérisoires pour un DE puisqu'ils ne se cumulent pas avec l'allocation chômage ni avec le RSA. Je suppose que tu avais trouvé un mode de garde digne de ce nom ? Sinon tu aurais été obligé d'abandonner ton taf. Je précise : la nouvelle allocation de libre choix, le PreParE, ne s'ajoute pas à l'alloc chômage ou au rsa, il faut faire le choix entre l'un et l'autre quand on est au rsa ou qu'on perçoit l'alloc chômage.
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Il faut avouer que 0,5 millions d'offres pour 6 millions de DE c'est un peu plus pire que le jeu des chaises musicales. (Pardon de ne pas avoir cité le message en entier mais j'ai tiqué sur cette phrase sans plus). Il n'y a pas de libre choix puisque les conditions du rsa s'appliquent aussi au parent isolé, par conséquent il est contraint de rechercher, sinon pas de rsa ! Je ne vois pas pourquoi tu insistes sur la différence entre être un et être deux quand l'école est fermée. Quand par exemple l'un perd sa place parce qu'il a dû rester à la maison pour garder les enfants, l'autre travaille toujours. Mais, je cause, est-ce que tu as déjà été parent isolé au moins ? Est-ce que tu as l'expérience de celui qui se retrouve seul avec un ou des enfants et doit retrouver un job ?
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La compassion c'est, littéralement, la pitié pour le malheur d'autrui. Le chômage n'est pas une partie de plaisir, on peut donc parler de compassion, à moins que sympathie soit plus correct, ou du moins ce sentiment qui est le contraire de l'indifférence. Je ne suis pas en train de pleurer mais, concernant des vies qu'on peut encore modifier, attention de ne pas les modifier dans le mauvais sens. C'est ce qu'est en train de faire ce gouvernement de ronds-de-cuir à mon sens. Assistante sociale n'est pas mon métier, le mien je l'ai plutôt appris sur le tas mais qui me va comme un gant. De l'accueil psychologique, oui ce serait pas mal, bien qu'il existe déjà des cmp où n'importe qui peut se rendre librement. C'est évidemment indépendant de pôle emploi, peut-être alors faudrait-il réfléchir à un accueil où le psychologue a des compétences dans le domaine tout compte fait ? Un qui pourrait participer aux briefings avec les agents de PE et leur ferait part de ce qui ne va pas, les sensibiliserait sur tel point, etc. oui ce serait une excellente idée. Macron si tu nous lis. Effectivement un licenciement est un choc, et il peut être très mal vécu par quelqu'un qui était bien dans son entreprise et y travaillait depuis longtemps. Dans ma région à Lamoura, un employé s'est donné la mort suite à la fermeture du centre de vacances où il bossait.
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Et quand ils sont au chômdu, tu leur dis que c'est juste un mauvais rhume ? Pour le reste, j'ai mon propre emploi et une famille à m'occuper, mais je suis passée par le chômage. En ce temps-là ce n'était pas tant contrôlé, ce n'est pas pour autant que j'en ai profité pour ne rien faire. Au contraire, le fait d'avoir plus de latitude me mettait dans de meilleures conditions. Et si je n'ai plus le temps d'œuvrer pour une association comme par le passé, quand je peux faire quelque chose oui je le fais. Au moins je ne rallie pas ceux qui jettent la pierre et qui se réjouissent des mesures au Macroléon.
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Tu confonds la compassion avec le misérabilisme, mais qu'à cela ne tienne : tu insistes pour que je sois dans le misérabilisme et je préfère autant être de ce côté-là. Tu me parles de suicide ? C'est vrai que depuis quelques décennies, bon nombre de suicides prennent racine dans des problèmes de travail (ou de chômage). C'est vrai qu'un humain digne de ce nom, c'est incassable, ça dit merci quand c'est au chômage et que ça lui vaut d'être fliqué, infantilisé, humilié. Faut surtout pas causer de ça, c'est un sujet honteux, n'est-ce pas ? En parler, c'est faire preuve de misérabilisme.
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Si cela peut te faire plaisir, voilà, je cite la totalité, mais ça n'empêche pas que c'était sur la première partie que je voulais répondre en particulier. On peut avoir un souci de clarté non ?
