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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Ou de candidats présentés comme non sérieux. Pendant la campagne, sur certains plateaux de chaînes d'infos, des "journalistes" causaient entre eux et critiquaient certains candidats (dont Hamon, Mélenchon...) en l'absence de ces derniers, ce qui faisait qu'ils ne pouvaient donc pas répondre ou riposter puisqu'ils n'étaient pas là. En revanche, ces mêmes "journalistes" louangeaient Macron. Je peux citer le très conformiste Renaud Pila entre autres journalistes (les autres j'ai oublié les noms). C'est peut-être bien ses casseroles qui ont rebuté les électeurs. Parce qu'il traîne une sacré batterie, celui-là encore. Libération était à l'origine un journal de gauche, c'est fini : maintenant il appartient à Patrick Drahi. Les médias dont je parle existent bien : ce sont des chaînes tv, de radio et des journaux qui appartiennent à des grands patrons qui en profitent pour influencer l'opinion.
  2. A la condition que cette politique d'austérité ne les touche pas eux, en tant que grands patrons et gros actionnaires du cac40.
  3. Pas le plan B des Français, le plan B de ceux qui possèdent les médias et n'ont certes pas intérêt à voir débouler la gauche à l'Elysée.
  4. Cela dérange les Françaises aussi mais avant l'affaire DSK elles n'avaient pas beaucoup de recourt contre ce genre de personnage. Tous ceux dans son entourage politique qui savaient se taisaient sur ses pratiques, c'était l'omerta. Il n'y avait pas encore eu le mouvement me too. Quand Tristane Banon avait raconté son agression sans citer son nom dans une émission d'Ardisson tout le plateau ricanait comme si c'était quelque chose de drôle, et donc de pas grave. Même le patron de Marianne s'était fait recadrer pour avoir dit de l'affaire du Sofitel que ce n'était que du troussage de femme de chambre. Des électeurs ont fini par mettre le nez dans son programme, un pavé de 400 pages, et se sont rendus compte que c'était de la casse sociale. Des éléments de ce programme qui avaient déplu sont actuellement repris par la macronie en place.
  5. Tu n'as pas dû lire en entier les articles dont j'ai postés les liens en intro, ni même jeté ne serait-ce qu'un coup d'œil au graphique. Tout est mis en œuvre pour que ce soit un président libéral, qui favorise le grand patronat.
  6. C'est surtout du battage médiatique pour le démolir.
  7. Le démolir, mais pas du tout, au contraire tout est mis en œuvre pour reconduire un président à la fibre libérale, qui favorisera les grands patrons et le monde de la finance. Ce sera donc le successeur de Macron au parti renaissance ou bien le candidat républicain. Mais pas du tout ! Je ne suis pas surprise du tout ! C'est ce que je ne cesse de rappeler. Même Libération, historiquement journal de gauche, bébé de Jean-Paul Sartre et Maurice Clavel, est depuis 2020 le joujou de Patrick Drahi, principal actionnaire de BFM-TV.
  8. DSK s'est torpillé tout seul, qu'est-ce qu'il avait besoin d'aller faire le con aux USA alors qu'en France il aurait pu continuer à violer des femmes en toute impunité.
  9. C'est le Canard enchaîné qui a déballé sur Fillon, sans cela les électeurs n'auraient été au courant de rien. Macron disait de lui que c'était un bourgeois du 19ème siècle, que les gens ne voteraient pas pour lui. Maintenant qu'il est élu, il ne se gène pas pour appliquer des projets qui étaient dans le programme de Fillon. Par exemple faire travailler les bénéficiaires du RSA, c'était une idée de Fillon. D'un double coup de chance face à Marine Le Pen, il faut le rappeler. Fillon était le favori des médias aux ordres au départ, mais le CE journal de gauche l'a roulé dans le goudron et les plumes. Macron était le plan B. Si c'était que ça il y en avait aussi qui présentaient bien dans d'autres partis.
  10. Bonjour, Peu avant l'élection du président Macron en 2017, on pouvait déjà lire la presse libre dénoncer le vent médiatique qui soufflait dans ses voiles : Comment les médias ont fabriqué le candidat Macron Extrait : Quelques mois après son entrée au ministère de l’économie, Emmanuel Macron jouissait d’un niveau de popularité plutôt faible. En octobre 2014, seules 11% des personnes interrogées souhaitaient le voir jouer un rôle plus important dans la vie politique. Un an et demi plus tard, il conservait une cote de popularité très basse chez certaines catégories sociales : en mars 2016, seuls 6% seulement des ouvriers et 4% des artisans appréciaient le très libéral ministre de l’économie. Aujourd’hui, les « sondages » le considèrent régulièrement comme la personnalité politique préférée des Français. Que s’est-il passé entre-temps ? Quel rôle a joué la presse dans le basculement de l’opinion ? Jusqu'à des gros titres insignifiants sur sa barbe de trois jours, puis plus tard parce qu'il s'était fait raser ! L'obs dans son zèle avait même fait chercher à faire passer cette grosse ficelle : Emmanuel Macron, nuits debouts, même combat ! Cet article est édifiant. *********************************************************************** Extrait d'un autre article de mai 2017 (où comment les hommes d'affaires et grands patrons ont propulsé Macron vers l'Elysée) : Le succès d’un candidat inconnu du public il y a trois ans ne s’explique pas seulement par la décomposition du système politique français. Inventeur d’une nouvelle manière de promouvoir les vieilles idées sociales-libérales qui ont valu au président François Hollande des records d’impopularité, M. Emmanuel Macron a trouvé dans les médias un solide point d’appui. Son histoire ressemble à un rêve d’éditorialiste. Lire la suite sur : Emmanuel Macron, fabriqué pour servir  Le candidat des médias ******************************************************************* Comment les médias ont (déjà) réélu Macron Un article de mars 2022 cette fois. Ou comment tout était déjà plié pour son second mandat ! ******************************************************************* Lien graphique ci-dessous :
  11. Tant mieux. Oui, mais alors du coup les actifs au RSA qui ont des enfants devront eux aussi avoir accès à ces modes de garde. Sinon ce sera vraiment problématique, si ce n'est dramatique. Beaucoup de parents isolés ne peuvent compter sur personne, tout le monde n'a pas un conjoint, une famille ou des amis fiables pour garder un enfant. Si l'Etat oblige ces gens à accomplir un temps d'activités en contrepartie du RSA, ce serait cruel de ne pas prévoir un mode de garde pour les enfants de ces personnes. A moins qu'on veuille les pousser à bout, pourquoi pas au suicide, c'est le risque quand on impose une alternative aussi radicale : soit tu accomplis ton temps d'activité mais tu te débrouilles pour la garde du petit, soit tu renonces à ton temps d'activité et tu termines à la rue sans RSA, ce qui implique que les services sociaux t'enlèvent ton enfant.
  12. J'ai conservé le souvenir d'un pays où il fallait attendre des mois, voire des années (comme à Marseille) pour une place en crèche, ce qui fait que les mères en faisaient la demande bien en amont de l'accouchement. Les personnes au chômage, même demandeuses d'emploi inscrites à pôle emploi (et avant à l'ANPE) ne pouvaient prétendre à une place en crèche. Les assistantes maternelles se faisaient rares et les tarifs étaient trop élevés pour beaucoup de gens. Ne restait que la halte garderie, mais les places étaient limitées, et ce n'était que pour 4 heures par jour maximum.
  13. Honteux ! Avec la multiplication des arrêts maladies des policiers, très difficile de déposer plainte ce week-end à Marseille De nombreux services de dépôts de plainte sont fermés ce samedi dans les commissariats marseillais. En cause, de nombreux policiers se font porter pâle pour protester contre l'incarcération de l'un des leurs. Une situation problématique pour les victimes. "Il n'y a personne pour prendre les plaintes", déclare ce samedi après-midi la personne qui s'occupe de prendre les appels au commissariat du 12ème arrondissement de Marseille. Même rengaine dans les commissariats du 3ème, du 10ème, du 14ème et du 15ème arrondissement. En ce qui concerne les autres, les appels sont simplement restés sans réponse.
  14. Tout est parti de cette phrase : la recherche d'emploi est une activité, pour bénéficier du RSA il faut être inscrit à pôle emploi, par conséquent pratiquer cette activité consistant à rechercher un emploi, condition sine qua non pour bénéficier du RSA. C'est ce que j'ai précisé. Rechercher un emploi est une activité. Si tu pouvais arrêter de te moquer du monde.
  15. C'est bien, que tu ne te fasses aucun souci.
  16. C'est toi qui as dit que rechercher un emploi est déjà une activité, donc les bénéficiaires du RSA, puisque inscrits à pôle emploi, sont en activité puisqu'ils sont obligés de chercher un emploi, sous peine d'être radiés et de perdre leur RSA.
  17. Tu extrapoles mes propos. Je veux juste dire qu'il ne faut pas tomber dans la toute puissance des lobbies et la ploutocratie car c'est une réelle menace envers la démocratie. Nos droits individuels, notre liberté et notre dignité humaine sont menacés par cette minorité qui vise le pouvoir par la richesse et l'a déjà obtenu en bonne part. La majorité n'est pas assez réactive face à cette minorité, nous nous en mordrons peut-être les doigts un jour. Gardons toujours à l'esprit qu'aucune liberté n'est jamais totalement acquise.
  18. Violences policières à Marseille : un syndicat appelle tous les policiers de France à se mettre en service minimum ça rechigne déjà à prendre les plaintes, alors un service minimum maintenant, qu'est-ce que ça va être ! Vidéo sortie tribunal des policiers Hedi risque de perdre l'usage d'un œil, son avocat juge inacceptable les rassemblements de policiers venus acclamer leurs collègues et la cagnotte organisée pour eux.
  19. Il se trouve que, pour bénéficier du RSA, il faut être inscrit à pôle emploi, rechercher du travail et accepter les stages d'insertion. Donc quelle sera cette couche d'activité rajoutée à la couche d'activité ?
  20. Ses mots sont peut-être un peu forts, n'empêche, on regrettera peut-être un jour pas si lointain de s'être trop laissés faire, d'avoir été trop flexibles avec les capitalistes qui nous gouvernent.
  21. Perso, je trouverais plus juste qu'il y ait assez de modes de garde pour tous les parents qui travaillent, mais les parents qui travaillent ont au moins un revenu pour rémunérer l'assistante maternelle ou payer la crèche. Concernant un allocataire du RSA, j'espère au moins que quelque chose est prévu pour les aider en ce sens. Déjà que le ministre du travail Dussopt soit assez hypocrite pour parler de temps d'activités plutôt que de temps de travail, purement et simplement, considérant que lesdites activités de ces allocataires ne consisteront certainement pas en activités de loisirs.
  22. Ah, c'est plus clair ! Nourrice dans un sujet sur la garde d'enfants, j'aurais pas été penser à nourrice qui veille sur la drogue.
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