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Passiflore

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Tout ce qui a été posté par Passiflore

  1. Aucune ne veut s'attacher à lui ou bien c'est lui qui ne veut pas s'attacher ? Comment penses-tu qu'il réagira le jour où tu auras une petite amie ?
  2. Il a un bon fond, dommage que parfois la violence qui sourde en lui le submerge mais pas avoir toi, tu le stabilises, l'apaises. Il a été là pour toi à une époque, tu seras là pour lui mais il faut absolument qu'il comprenne qu'il ne doit pas être intrusif, que tu as droit à ton intimité, à ta vie privée. C'est l'évidence même.
  3. Tu as peur que sa violence se retourne contre toi, ce qui est compréhensible. Je suis de l'avis de @Kid_Ordinn: tu es son équilibre. Si quelqu'un peut l'aider c'est bien toi, toi qui le connais mieux que quiconque. Toi il t'écoutera.
  4. La violence qui sourde en lui pourrait prendre le dessus, ta crainte est fondée.
  5. Il le faudra bien pourtant car ce côté-là fait partie intégrante de lui, de sa personnalité et si tu veux lui venir en aide tu ne pourras pas l'occulter, son côté violent. Il y a bien pire, tu veux dire ?
  6. Il semble que ton ami a deux facettes puisqu'il est radicalement différent lorsqu'il est avec toi et lorsqu'il est avec les autres. Il faut reconnaître que sa part d'ombre est plus qu'inquiétante et tu as raison de t'en inquiéter.
  7. Passiflore

    La santé mentale

    De par ma fonction professionnelle je dois veiller à l'hygiène corporelle des personnes auprès desquelles il m'est demandé de me rendre et c'est ce que leur famille attend de nous (mes collègues et moi), telle est l'une de mes responsabilités mais jamais je ne contrains une personne à quoi que ce soit. La personne refuse la douche ? Je lui propose une toilette au lavabo. Elle la refuse ? Pas grave - sauf s'il y a une protection hygiénique à changer et une toilette intime à effectuer, là c'est problématique et l'on est bien obligé d'insister - je reviendrai le lendemain. Je me heurte le lendemain au même refus ? Je suis alors dans l'obligation de le signaler au bureau. A un stade avancé de la maladie, notamment le stade "violence du malade", cela ne relève plus de notre fonction d'auxiliaires de vie. Il nous arrive de demander au bureau s'il serait possible d'intervenir en binôme (soit avec un-e collègue, soit avec un-e aide-soignant-e) mais si cela s'avère inefficace, les infirmiers-ères prennent alors la relève. La plupart du temps, le placement du malade est hélas inévitable (lorsqu'il ne se nourrit plus et ne se lave plus).
  8. Je l'ai connu professionnellement mais plus à présent, ayant réduit mes heures de boulot et ne faisant plus un temps complet car c'était trop éreintant.
  9. Bigre !! C'est navrant d'en arriver là et... je ne peux m'empêcher d'avoir de la peine pour eux...
  10. Certains font mine de ne pas comprendre et déforment nos propos afin de nous déstabiliser; tel est le but recherché. Lorsqu'il y en a un qui me colle aux basques patiemment j'exprime le fond de ma pensée en d'autres termes et lorsque je constate que la mauvaise volonté est flagrante, quand je vois clair dans son jeu je lâche l'affaire, je m'en désintéresse. On peut certes les ignorer, ne leur accorder aucune importance, faire comme s'ils n'existaient pas mais il faut bien reconnaître que cela ne donne guère envie de continuer à participer à la discussion en cours. Ne surtout pas leur faire ce plaisir car alors ils auront gagné mais au contraire rebondir sur les propos de tel ou telle participant-e en n'en faisant plus cas; c'est ce que je fais.
  11. Oh que oui, ce genre d'intolérance est fréquente sur les forums. C'est ce qu'il se passe notamment dans la rubrique "religion et culte".
  12. Et vraiment pas moyen de t'en échapper, de cette "prison" ? Concentre-toi sur ta vie, sur tes centres d'intérêt, sur d'éventuels projets, ça t'aidera à changer ton image mentale.
  13. Passiflore

    La santé mentale

    Elle est essentielle au bien-être et à l'épanouissement de la personne. Certaines de mes interventions de boulot se passent auprès de personnes schizophrènes ou bipolaires ou atteintes de la maladie d’Alzheimer et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elles ne sont ni heureuses ni épanouies.
  14. N'y a-t-il pas moyen que tu t'éloignes des personnes que tu estimes nocives à ton bien-être afin que tu vives plus sereinement ?
  15. Il semble clair que tu ressens un certain mal-être et il est probable (c'est une probabilité, non une certitude) que ce soit dû au fait que tu n'aies pas de compagnon pour cheminer à tes côtés (d'où le vide que tu ressens) et avec qui tu pourrais avoir des projets. Commences-tu à envisager de tenter de faire des rencontres ou ton côté asocial fait que tu t'en sens incapable ? La question est et toi seule a la réponse: aimerais-tu connaître l'amour ? Et surtout en avoir l'envie et se sentir prête à connaître l'amour et à partager sa vie avec un homme et cela, seule @Chocolatehappy est en mesure de le savoir.
  16. Partager sa vie avec un-e compagnon-gne peut donner du sens à sa vie mais certains et certaines choisissent le célibat pour x ou y raison. C'est affaire de choix existentiel personnel (sauf bien entendu si l'on ne choisit pas d'être seul-e mais que la vie fait que...) Le but non mais un chemin que l'on suit ensemble, avec des projets communs et des envies communes. Si l'amour nous change il est essentiel que ce soit en bien, que cela entre dans le cadre de l'épanouissement de soi.
  17. Et oui je confirme: un chat "boude" ! Les miens réagissent avant mon départ (ils ont horreur des valises !), leur "anxiété" est visible et à mon retour, chacun à sa façon, l'un boudant, l'autre me collant pendant 2 ou 3 jours, un autre fuguant pendant 2 ou 3 jours (alors qu'il était bien présent vers et dans la maison durant mon absence), chacun et chacune réagissant en fonction de son caractère.
  18. Quand je pars en vacances, une de mes voisines vient deux fois par jour pour remplir les gamelles, changer l'eau et passer un moment avec mes chats (je laisse ouverte à leur intention une petite fenêtre munie de barreaux, ce qui leur permet de rentrer et sortir de la maison à leur guise). Les chats la connaissent bien car ils descendent souvent vers sa maison, sur sa terrasse et la voient quand elle passe plusieurs fois par jour devant chez nous et leur dit bonjour en passant.
  19. Lorsque j'avais 4 ou 5 ans, je faisais de "la soupe" (disais-je à l'époque) avec du papier et, un jour, j'ai fait ma "soupe" avec... des copies d'élèves que ma mère avait laissé sur son bureau (elle était prof de français) ! Elle me raconta que cela avait beaucoup amusé ses élèves à part une qui s'était (pour une fois !) beaucoup appliquée. Lorsque je suis allée voir ma mère fin juin, on s'est remémoré certains souvenirs dont celui-ci. J'ai fait innocemment une "bêtise" autrement plus grave, qui aurait pu être lourde de conséquences, j'avais alors 6 ou 7 ans.
  20. Je reconnais avoir du mal à croire qu'il puisse être possible, pour un père ou une mère, de couper définitivement les ponts avec l'un de ses enfants, de lâcher définitivement sa main et de l'abandonner à son sort, tout simplement parce que je pars du principe que lorsque l'on met des enfants au monde, on en est responsable et que sa responsabilité en tant que parent ne s'arrête pas dès lors que ses enfants deviennent adultes et ce, bien qu'on les laisse désormais mener leur vie à leur guise.
  21. Il semble que mon propos a manqué de clarté, j'y reviens donc. Lorsque, la mort dans l'âme (car ce n'est jamais chose facile), on fait le choix de couper les ponts avec un membre de la famille dont on est issu, c'est parce que l'on estime que cette personne est nocive à son bien-être à soi (j'en parle en connaissance de cause mais n'en dirai pas plus). Ce que je voulais dire avec mon "un parent ne peut couper définitivement les ponts avec son enfant ", c'est que je ne pense pas que cela me serait possible s'il s'agissait de l'un de mes enfants alors que j'ai trouvé la force de le faire avec une personne de la famille dont je suis issue. Je ne peux pas être plus claire.
  22. Ah non, je ne partage pas du tout cet avis ! Quel rapport avec ce que je viens de dire ??
  23. Il est possible de prendre du recul, voire carrément couper les ponts avec un membre de la famille dont on est issu que l'on considère nocif à son bien-être. Ne surtout pas en être empêché à cause des liens du sang car il y va de son bien-être, de sa sérénité, de sa santé mentale à soi. C'est autrement plus compliqué et douloureux lorsqu'il s'agit de l'un de ses enfants car en ce cas, un parent ne peut couper définitivement les ponts.
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