Passiflore

Il ne veut pas s'engager, il a été clair sur ce point et il trouve apparemment très commode que tu sois à sa disposition quand il en a besoin et qu'il est disponible. Il t'a dit: "j'espère que notre relation te plaît", pourquoi ne lui dis-tu pas que non car tu n'apprécies pas son attitude envers toi ?

Et n'oublions pas que nous pourrions nous aussi, suite à un accident ou à une maladie, être atteints dans notre futur d'un handicap.

En ce qui concerne Jean le baptiste, je ne vois pas quelle importance a le fait qu'il ait eu ou pas une compagne et qu'il ait eu ou pas des enfants. En ce qui concerne Jésus-Christ, le Messie, je ne crois pas du tout qu'Il ait eu une compagne et des enfants. Jésus-Christ a dit que celui qui voulait le suivre devait tout quitter, certes et Il a dit que la chasteté était préférable mais par ailleurs Il a dit que plutôt que de sombrer dans le péché, mieux valait qu'une veuve se remarie et qu'un homme ait une femme (et une femme un mari).

Quelques exemples: la violence conjugale, la maltraitance de son enfant, les sévices infligés à son animal de compagnie, la maltraitance envers des personnes âgées ou handicapées sans défense.

Voilà oui, pour moi aussi c'est cela se comporter de façon inhumaine.

En ce salon virtuel, vous trouverez de la compagnie et de quoi causer si le cœur vous en dit ! Bonsoir et bienvenue !

Il faudrait renoncer au bonheur par solidarité avec ceux ne l'ayant pas trouvé, comme si cela allait les aider !! Cela n'a rien à voir avec un manque de générosité, c'est juste que chacun recherche le bonheur et qu'il serait complètement insensé d'y renoncer quand on l'a trouvé parce que d'autres n'ont pas réussi. Lorsque l'on est heureux, on aimerait que tout le monde autour de soi le soit aussi seulement voilà, certains ne le sont pas. On ne peut que leur souhaiter de parvenir à l'être.

On ne va pas s'empêcher d'être heureux sous prétexte que certains ne le sont pas, ça ne rimerait à rien et de toute façon, ils ne seraient pas plus heureux si soi-même on ne l'était pas. Ceci dit, quand on a bon coeur et que l'on se soucie des autres, on évite d'afficher son bonheur pour ne pas peiner celui qui n'est pas heureux. Donc selon toi, on devrait s'empêcher d'être heureux pour être solidaire de ceux ne l'étant pas ???

Ah tiens je ne l'ai pourtant jamais évoquée ma foi, ne le faisant que dans la rubrique adéquate ! Serait-elle néanmoins perceptible dans mes écrits ?

... et qu'il se soucie des autres oui, ayant à cœur de ne nuire à personne et faisant preuve de bonté, de compassion, de générosité.

Oh des tas de moments, comme par exemple ceux passés avec les personnes que j'aime et aussi les moments où je me sens utile auprès des autres (notamment dans le cadre de mon boulot) oh oui, des tas et des tas de moments !

Tu affirmes donc avec force conviction que tu n'as pas du tout du tout changé depuis l'époque où tu étais petit garçon ?? Pour ma part j'ai évolué ET changé et encore heureux, même s'il est vrai que l'on retrouve en la femme que je suis aujourd'hui certains traits de caractère que j'avais étant fillette (là cela relève de mon évolution) mais il y eut aussi en moi des changements entre mon hier et mon aujourd'hui.

Chacun aime à sa façon, pas forcément moins ou plus fort que l'autre mais différemment, selon sa propre sensibilité, sa propre façon de ressentir les émotions. Je me souviens que j'avais ouvert ce sujet: "TA douleur n'est pas MA douleur" suite à ce que j'avais vécu un matin lors de l'une de mes interventions: j'entrai chez une vieille dame qui me fit part de son chagrin, le nouveau-né de sa petite-fille étant mort peu de temps après sa naissance. Profondément émue et peinée pour elle et surtout pour les jeunes parents (étant maman, je me doute à quel point ce doit être atroce de perdre son tout-petit), je lui exprimai ma compassion et là elle me dit son étonnement: "mais... vous ne pleurez pas ? L'infirmière a pleuré elle, quand je lui ai dit !"... Ça m'a trotté dans la tête toute la journée et sitôt rentrée, j'ai ouvert ce sujet sur le forum il y a pas mal d'années (je ne l'ai pas retrouvé). Ce drame ne concernait pas l'un des Miens qui plus est, c'est cela aussi qui fait toute la différence mais c'est un fait: TA douleur n'est pas MA douleur, ce n'est pas moi qui la vis, qui la ressens dans ma chair, dans mon esprit, je ne suis que "spectatrice" de la douleur de l'autre et en tant que telle, je ressens une profonde compassion. Oupssssss, suis-je HS ?

Il y a longtemps, j'avais ouvert un sujet intitulé: "TA douleur n'est pas MA douleur" mais à ma grande surprise, il n'avait pas intéressé grand monde et il y eut peu de participants. Être profondément compatissant et tenter d'apporter un tant soit peu de réconfort est une chose mais prétendre se mettre à la place de la personne et ressentir ce qu'elle ressent alors que soi-même on n'a pas vécu le drame l'ayant plongée dans l'affliction, la détresse, le désarroi en est une autre et en cela je suis d'accord avec ce que tu exprimes.

bonjour zenalpha, la notion de "rien" ne me parle pas du tout car selon mon mode de pensée (qui n'engage évidemment que moi), il y a "quelque chose", pour reprendre ces termes. S'il n'y avait "rien", cela n'aurait aucun sens. Pour moi la notion de "rien" n'a pas plus de sens que la notion de "hasard", mot fourre-tout bien commode lorsque l'on ne veut pas se donner la peine de tenter de comprendre la raison de ce qu'il nous arrive à des moments donnés. Quant à l'ordonnancement du monde, y penser fortifie ma foi en l'Eternel Dieu Créateur. Je fais partie de ceux qui pensent que l'existence ici-bas a un sens, une raison d'être.

Evidemment que chaque personne rencontrée, connue, nous fait évoluer, changer ! Les parents ont eu une influence, le compagnon ou la compagne de vie a son influence, les enfants aussi nous font changer lorsque nous revêtons le costume de parent et que nous nous découvrons en tant que tel. Chaque personne rencontrée ou faisant partie de notre vie nous fait évoluer et parfois nous change; à soi de veiller à ce que ce soit en bien, c'est là le point fondamental (selon moi).

Pourvu que ça n'augmente pas le nombre d'élevages dits "en batterie" !!!...

Eh bien parfois le langage courant me convient, n'aimant pas compliquer les choses alors qu'elles sont souvent très simples. En effet, certains croient en ce que leurs yeux ne peuvent voir mais que leur esprit perçoit.

Voilà qui me convient, cela correspond à ce que je pense.

C'est cela, plus rien ne me surprend car je suis réaliste quant à la nature de l'Homme, capable du meilleur comme du pire et j'oscille entre optimisme et pessimisme en fonction de ce qu'il se passe.

Et heureusement que l'on évolue, que l'on change au fil du temps selon son parcours existentiel ! L'essentiel étant (en tout cas selon moi) de changer en "bien", ce qui n'est pas toujours le cas malheureusement; question de prise de conscience, de volonté, d'état d'esprit.

J'aimerais être enterrée à même la terre car j'aime l'idée de la poussière de corps (en tant que fragment cosmique) se mêlant à la terre. Il me semble que depuis peu c'est possible dans certains cimetières, il faudra que je me renseigne.

Cela tu n'en sais rien. Lors d'une situation extrême (telle celle que tu évoques), on peut se découvrir une force insoupçonnée qui fera que l'on se battra avec toute l'énergie du désespoir pour sa survie, alors que celui que l'on pensait vaillant, courageux, s'effondrera.

Blblbl ! Ah si tous les êtres humains prenaient la décision d'être... des "colibris" !!!

Et le bon sens des croyants leur fait croire en l'existence d'un Dieu Créateur, d'un "Grand Horloger" (selon Voltaire). Ce qui prouve bien que nous donnons le sens qui nous arrange à la notion de "bon sens".