Passiflore

Ne faites pas exprès de déformer mes propos, je vous prie. J'ai parlé du fait d'adresser des prières à d'autres qu'à Dieu, cela allant à l'encontre de ce que Dieu demande dans le Commandement dit le plus grand de tous, qui plus est. Si vous l'dites, rire ! Ah mais Il le fera, n'en doutez pas ! Je comprends que ce que je dis énerve prodigieusement le catholique que vous êtes mais voyez-vous, je préfère plaire à Dieu qu'à vous. La ou plutôt LES traditions au détriment de l'Enseignement du Christ, c'est bien là tout le problème... soupir...

@sirielle, en quoi cette maman a-t-elle manqué de tact ?

J'ai connu une Marie-Liesse et sa soeur Domitille. J'ai rencontré une fois Kinga, une cousine polonaise.

Oui c'était en réponse à ce que Pascou venait d'écrire.

C'est vrai, l'amour semble peu à peu disparaître au profit de l'égoïsme et de la seule satisfaction de besoins purement sexuels mais je vous rassure il ne disparaîtra jamais totalement, il y aura toujours des hommes et des femmes qui s'aimeront, qui auront ce besoin impératif, vital de connaître et de vivre un amour véritable dans toute sa complétude.

Ne comprenez-vous pas que ce faisant (lorsque vous adressez vos prières à d'autres) votre âme et votre pensée ne sont pas totalement à Dieu et que vous allez donc à l'encontre de ce qu'Il demande ? Faux, il ne l'est pas. Parce que tel est effectivement le cas, certains déifiant la mère de Jésus, l'appelant "mère de Dieu", ce qu'elle n'est pas et ce, bien que le Christ soit Dieu fait Homme; elle n'est la mère que de la partie charnelle du Père, Jésus. Ce qui est bien dans la doctrine catholique c'est que tous les points dogmatiques ayant été ajoutés au fil des époques sont datés et il suffit de faire une recherche dans un dictionnaire ou sur le Net pour les trouver: - quand la virginité perpétuelle de Marie a été décidée, le fait qu'elle ne serait pas passée par la mort mais serait montée au Ciel (l'assomption), etc... etc. A chacun d'effectuer sa recherche... s'il le souhaite.

Ai-je dit le contraire ?? Je parlais d'un tout autre contexte.

Et oui, trèèès important les points de suspension suggérant tant de choses !

C'est plutôt flatteur et très agréable, reconnaissons-le honnêtement et le jour où ça n'arrivera plus, on se lamentera sur soi-même et sur sa jeunesse perdue à tout jamais. Oui voilà, c'est l'attitude de l'homme qui peut faire ressentir un profond dégoût ainsi que ses mots.

"Si on le souhaite", voilà ! Et l'enfant à qui on a pourtant enseigné le partage et qui le pratique volontiers la plupart du temps a tout à fait le droit de refuser lors de telle situation ou telle autre. Peut-être que ce garçonnet-là prête plus volontiers ses jouets aux enfants qu'il connait. Sa maman devrait lui expliquer certaines choses de manière plus approfondie. Cela prouve qu'il a la capacité de penser par lui-même (indépendamment de ses parents et des autres) et de prendre ses propres décisions à des moments donnés; cela ne signifie aucunement qu'il rejette ce qui lui a été enseigné.

On peut effectivement se demander s'il n'y avait pas aussi un peu de cela. Nous n'avons qu'une vision extérieure de la scène du parc, selon le récit que la maman en a fait et ne pouvons savoir ce que le petit garçon pensait et ressentait réellement et la raison précise de son refus de prêter ses jouets.

Oui voilà, il faut que l'acceptation vienne de l'enfant lui-même à qui les parents ont enseigné le partage, il ne faut pas le contraindre. Le parent présent peut tenter de parlementer avec l'enfant à ce sujet mais se fâcher et le contraindre serait contreproductif "éducationnellement" parlant.

Nous n'avons pas eu la même lecture de ce récit, apparemment.

Évidemment que si il le peut, même s'il n'a pas trouvé la compagne partageant ses valeurs et sa vision du monde. Donc cela veut dire que celui qui a fait cette affirmation avoue être lui-même dans l'incapacité à ressentir ce "sentiment d'appartenance au monde, à l'époque et à la société", n'est-ce pas @hell-spawn? Cependant "l'union fait la force", dit-on et souvent cela se vérifie.

Oui mais pas que. En tout cas faire son possible ensemble, tels deux déterminés et actifs "colibris" se comprenant mutuellement et faisant leur part (selon la sagesse amérindienne). Si c'était perçu de la sorte, il y aurait un os dans un tel "amour".

Il faut un certain état d'esprit propice à l'amour, je pense. ... et qui puisent l'une en l'autre la force de tenir bon, de faire face aux maintes inquiétudes assombrissant le ciel de nos jours.

D'où l'importance fondamentale de regarder dans la même direction et non de se regarder constamment l'un l'autre dans les yeux afin que l'amour ne s'étiole pas très vite, l'ennui s'étant installé. Faire des choses ensemble et avec d'autres (s'ouvrir aux autres, ne pas rester refermé sur son couple), avoir des centres d'intérêt et des projets communs et une vision similaire de la vie et de l'amour et avoir aussi ses moments à soi, son activité à soi sans l'autre lorsque l'on a un centre d'intérêt ne lui plaisant pas; ne pas y renoncer sans que ça crée d'embrouille est important, l'autre faisant de même de son côté.

Sauf que ça ne marche pas systématiquement comme ça si l'on n'est pas sur la même longueur d'onde, si l'on ne conçoit pas l'amour de façon similaire au tout commencement de la relation amoureuse.

Eh bien non pas forcément, mieux vaut avoir la même quête au commencement afin que la réciprocité idéale soit bien présente et que nul déséquilibre ne fasse son apparition. Si soi l'on se donne corps et âme car telle est sa propre conception de l'amour mais que l'autre ne partage pas cette conception, vous imaginez le désastre ?

Oh quel dommage de voir l'amour tel un asservissement à l'autre !... Pour ma part je vois plutôt une magnifique réciprocité dans le fait de se donner mutuellement "corps et âme" à l'aimé-e à qui l'on ne se contente pas d'offrir que son corps mais pour cela il faut que la complicité soit tout autant intellectuelle que spirituelle que charnelle et là, le summum recherché par les deux est atteint. Si l'on se sent emprisonné-e par l'amour, si l'on ressent l'amour comme une sorte de prison mieux vaut rester célibataire, certes.

Ayeh j'ai re-relu, tout pigé sauf... hebssée ?

Hahaha t'as rajouté c'mot à ton vocabulaire ? T'es sûre que ça va bien ensemble, charo et bienséance ? J'ai comme un doute !

Les... quoi ?? T'as fait une faute de frappe là, nan ? Mmmouais, on va dire ça comm' ça !

Comment t'as d'viné ?

L'a la dalle, hein qu'c'est ça ?