Passiflore

Oui ça vaut mieux, ou bien pour la chasse d'eau car il ne faut pas oublier que l'eau de pluie est chargée de nanoparticules de plastique, entre autres salop'ries.

Ah moi c'est tout l'inverse, j'ai trouvé qu'un gynécologue homme était beaucoup plus délicat, en tout cas d'après ma propre expérience.

Voilà c'est cela, on ne se dit pas sur le moment que ce que l'on subit n'est peut-être pas bien normal.

Si l'homme et la femme conçoivent le mariage de façon similaire (ce qui est le cas pour les couples chrétiens, notamment), je n'en pense que du bien. Je ne puis m'empêcher de trouver dommage que l'on ait perdu le sens profond du mariage et qu'il soit autant dénigré mais le plus important à mes yeux est l'amour réciproque, les valeurs communes et ce que le couple construit ensemble.

Oui quelque chose de cet ordre-là, trop courte la vie, il m'aurait fallu plus de temps. Je l'ai trouvée passionnante la vie, bien que parfois pas marrante mais globalement, jalonnée de bonnes surprises et de moments heureux. Ah si je pouvais y retourner !!!

D'autant que cet autre peut partager ses moments de réflexions et de détente mais encore faut-il que l'on s'entende bien. Je n'ai jamais compris les personnes en couple parlant de leur meilleur ami (alors qu'elles ont un compagnon !). Leur compagnon de vie n'est donc pas aussi leur meilleur ami ?? Cela devrait pourtant aller de pair, de mon point de vue. En tout cas c'est ainsi que je conçois les choses.

Oui mais cela nous le faisons tous, nous plonger dans de profondes réflexions, enfin il me semble, ce n'est pas pour autant que l'on s'enferme à double tour dans sa bulle.

Je ne considère pas vraiment les moments de lecture comme une "bulle" sous-entendant le rejet des autres. C'est juste des moments à soi certes, quand on se plonge dans la lecture d'un bon bouquin mais ce peut être aussi des moments que l'on peut partager avec son conjoint si l'on fait salon lecture.

Quel dommage quand il en est ainsi !... On finit inévitablement par faire le vide autour de soi, je pense.

C'est aussi ce que je pense. Je n'ai pas de "bulle", aimant être entourée et n'éprouvant pas le besoin de me protéger de qui que ce soit, juste besoin parfois, à des moments donnés, d'instants de tranquillité mais de courte durée, détestant la solitude. Tu n'exagères pas un peu là, te faisant plus sombre, plus "mauvais" que tu n'es en réalité ?

Pourquoi es-tu si dur ? Sont-ce des blessures reçues qui t'ont rendu si dur, si aisément détaché ? Une femme t'ayant plaqué durement est-elle responsable de cette dureté de cœur ?

Où c'qu'il est, le chien ??

Fortes rafales de vent, pluie et nombreuses branches cassées sur les petites routes de campagne en haut Beaujolais dans la matinée et dans la première moitié de l'après-midi.

Première proposition, quant à moi !...

Il est vrai qu'il est de plus en plus difficile de cultiver l'espérance et j'en arrive à comprendre tous ces jeunes couples ayant peur de mettre des enfants au monde... Telle est également ma propre vision.

La lecture peut être un excellent dérivatif à la solitude, certes mais sitôt la lecture finie, la solitude réapparaît.

Eh bien voilà un bon moyen de renouer contact avec elle, LE moyen et elle ne pourra pas te le reprocher du fait que la proposition vient d'elle ! Parle-lui par exemple du dernier bouquin que tu as lu, demande-lui si elle l'a lu, si oui ce qu'elle en a pensé et quelle est sa lecture du moment, ainsi tu renoueras en douceur !

Oui mais là, vous ne communiquez plus du tout et tu ne sais sur quel pied danser et si elle t'a tout bonnement rayé de sa vie ou pas.

C'est bien d'écouter son entourage (ça évite de foncer tête baissée) mais c'est bien aussi d'agir en fonction de ce que l'on pense soi. Tu as besoin d'en avoir le coeur net (quant à ce qu'elle pense de toi et à l'importance qu'elle souhaite t'accorder dans sa vie) aussi il est temps de lui parler, de lui poser carrément certaines questions mais... tu redoutes de le faire, je pense.

Bonjour, garde-le bien surtout, ton "coeur profond" mais sache néanmoins prendre un recul salutaire lorsqu'il est vain de t'obstiner à y croire, à croire que quelque chose est peut-être possible. D'après ce que tu relates, tu n'es apparemment pas un élément essentiel de son paysage de vie. Pardon si mes propos te peinent... Qu'attend-elle de toi exactement, elle seule le sait. Probablement qu'elle n'attend rien du tout, c'est bien cela le problème car comme tu le dis, l'attachement affectif n'est pas réciproque. Si tu ne la contactes pas durant un long laps de temps, prend-elle de tes nouvelles ou pas ?

Pas de super voisins mais des voisins tout court. Chacun s'occupe de ses affaires sans fourrer son nez dans celles des voisins et cela me convient très bien ! Quand il y a un problème (coupure de courant longue durée, par exemple) on se concerte amicalement et lorsque l'on se croise, on échange quelques sympathiques paroles. J'apprécie grandement que l'une des voisines du hameau vienne gentiment s'occuper de nos chats lorsque nous nous absentons plusieurs jours. Ayant toute confiance en elle, on lui confie alors les clés de la maison. Elle vit seule mais n'est pas envahissante pour autant. En résumé: un voisinage tranquille, présent si besoin était.

J'en pense que je suis d'accord avec toi. Nous, nous avons une cheminée dans le salon (la maison est ancienne) et un poêle à bois dans la cuisine. Toute la famille aime cette atmosphère chaleureuse !

Qui a connu ce groupe ? Qui s'en souvient ? Qui a aimé ?

Beaucoup de superficialité, oui et nombreuses sont les personnes ne voulant surtout pas "se fatiguer" à réfléchir, à se questionner. Dommage pour elles...

D'où l'intérêt de côtoyer des personnes ayant les mêmes centres d'intérêt que soi et avec qui l'on peut avoir des discussions intéressantes; sans pour autant avoir nécessairement le même mode de pensée et les mêmes goûts mais avec qui l'échange de points de vue est possible car l'on est sur une même longueur d'onde; on se comprend mutuellement, ayant une sensibilité et une perception des choses de ce mode somme toute assez similaires. Comment gère-je cela ? Justement en faisant ainsi. Mes croyances (pour ne pas dire ma foi) font que je pars du principe que ce n'est pas sans raison que j'ai été "placée" dans cette époque-ci et non dans une autre, dans cette société-ci et non dans une autre. Il m'appartient de faire les bons choix existentiels, ceux qui contribueront à mon épanouissement et à mon bien-être et donc à veiller à me tenir éloignée de ce que je trouve nocif, mauvais, dans cette société.