Passiflore

Bonsoir, si si, il y a une rubrique "santé" !

Ah non pas du tout, chacun est libre de croire ou ne ne pas croire. Tu ne crois pas en Jésus-Christ ? C'est tout à fait ton droit et dans ce sujet concernant Jésus tu es libre de dire que non, tu ne crois pas en Lui.

Un contact positif, ahem... alors qu'elles savent qu'elles vont "abandonner" l'enfant qu'elles ont porté durant 9 mois à sa naissance ? Un enfant issu d'une femme dite porteuse, ne ressentira-t-il pas lui aussi le traumatisme de l'abandon ?... Comme je comprends ces femmes qui finalement refusent que l'enfant leur soit enlevé !! C'est tellement... tellement tant et tant de choses, de sentir la vie grandir en soi !!

"Selon un expert en incendie entendu comme témoin, elle avait effectué "un déversement minutieux, précis" de carburant sur ce lit et ne pouvait ignorer les conséquences de ses actes: "le feu est systématiquement utilisé pour détruire, pour faire disparaître”. Et que penser de cela !!!

"C'est mal mais elle l'a fait par amour”: les parents d’une jeune femme, qui a tué son grand-père grabataire de 95 ans en mettant le feu à son lit, ont fait bloc derrière elle au premier jour de son procès en appel, lundi, à Bourg-en-Bresse. Emilie G, 33 ans, condamnée à cinq ans de sursis en première instance, a agi pour “abréger les souffrances” d'un homme “en fin de vie” dont elle était très proche et qui demandait à “partir”, a affirmé en choeur sa famille. “Si ma fille a fait ça, c’est parce qu’elle l’aimait plus que moi”, a expliqué, sanglotant, son père, gendre de la victime, dont il s’occupait au quotidien. C’est lui qui l’avait trouvé, en août 2020, mort brûlé et asphyxié dans son lit médicalisé, à leur domicile à Saint-Laurent-de-Mure (Rhône)". J'ai du mal à voir un acte d'amour dans le fait de mettre le feu au lit de la personne dont on dit vouloir abréger les souffrances... Ce point-là aussi me fait grincer des dents: "placée en garde à vue deux mois après les faits, Emilie G. avait d'abord nié toute responsabilité, espérant que la thèse de l'accident soit retenue, avant d'avouer avoir déclenché l'incendie, confondue par les traces de carburant sur la literie et les caméras de surveillance de la ville".

Quand on pense qu'il avait été question d'utérus artificiels (et par conséquent de l'absence totale d'un corps maternel réconfortant, puisque le foetus se développerait alors dans un utérus artificiel et donc non-humain) durant les 9 mois de "grossesse" !! Ceux ayant envisagé un tel concept, ont-ils pensé aux interactions mère/enfant indispensables au bon développement du foetus ? Il est clair que non... Ce concept est-il plus acceptable que le fait qui nous préoccupe dans ce sujet ?...

J'ai lu tout ce que tu relates avec une vive émotion... Autre exemple: ce que je trouve atroce dans le cas d'un déni de grossesse, c'est que le foetus "comprend" qu'il ne doit surtout pas bouger, surtout pas manifester sa présence, que sa mère n'a pas conscience de son existence ou la rejette, son existence. Et pourtant, le foetus s'accroche à la vie...

Il est vrai que lorsque la femme enceinte est alcoolique ou droguée ou dans le cas d'un déni de grossesse, il n'y a pas de bénéfiques interactions mère/enfant.

De l'eau avec parfois de la tisane "à froid" (pas besoin d'eau chaude, il suffit de laisser infuser le ou les sachets une heure dans l'eau) et c'est très agréable à boire; celle que je préfère est la "hibiscus menthe", vraiment très rafraîchissante !

Ah c'est un mariage ça ??? Heureusement que c'est précisé, on ne s'en serait pas douté !!........

J'ai porté en moi plusieurs enfants et j'ai agi en conséquence, le sachant.

Sont-ce forcément des "barbares des cités" qui font ça ?

On le sait depuis longtemps qu'il y a maintes interactions mère/enfant (les émotions, les sons, etc...) lors de la grossesse et ce me semble tellement évident ! C'est d'ailleurs pour cela, entre autres, que je ne puis être d'accord avec la "gestation pour autrui". Est-ce à dire qu'un enfant ayant été privé de cela aura forcément des troubles émotionnels, un développement psychologique défectueux, un traumatisme ? Il est à craindre que oui mais... tout dépend de ce qui lui sera dit par les membres de sa famille. Toute vérité est-elle bonne à dire ou est-il primordial de protéger avant tout l'enfant ? Lorsque une mère meurt lors de l'accouchement, le dit-on très tôt à l'enfant sachant que forcément il ressentira un sentiment de culpabilité ? J'ose espérer que non... A-t-on fait entendre à l'enfant en question des sons apaisants ou n'a-t-il entendu que le bruit des machines maintenant sa mère "en vie" ?

L'un des points qui me posent problème, c'est le fait que l'on ne connaisse pas la volonté de la mère puisqu'elle ne s'attendait pas à mourir. Qu'aurait-elle souhaité, elle ? Que son corps mort serve à mettre au monde son enfant: "qu'au moins mon enfant vive ! Je veux que mon enfant vive !" ? ou bien qu'on laisse mourir son enfant ? Et puis tout dépend de la famille, c'est elle qui aurait dû décider; en premier le compagnon de cette femme et père de l'enfant, si compagnon il y a. Cet enfant aura-t-il des grands-parents aimants, heureux qu'il leur reste un petit-enfant né malgré tout, né malgré le décès de sa mère, de leur fille... Je suis bouleversée par ce qui a été fait là... Est-ce bien ? Est-ce mal ? Bien sûr que ce qui s'est passé là est choquant et pas qu'un peu mais... de la mort a quand même jailli la vie, aurait-on dû empêcher à tout prix cela ? Chacun a sa propre réponse.

Lesquels ( Commandements et préceptes) par exemple, puisque tu les dis innombrables, sont absurdes selon toi ? Et oui, Jésus-Christ a connu les émotions humaines tel que le chagrin (à la mort de son ami Lazare), la peur (à la pensée des souffrances lors de sa mort) et même la colère (face aux marchands du temple et face aux pharisiens), ce qui ne Lui ôte en rien Sa Divinité mais Le rend plus proche de nous et donc plus apte à nous comprendre.

Oui, je pense aussi que cela pourrait être lourd de conséquences pour le développement de l'enfant. Tout dépendra aussi de l'attitude de ses grands-parents, de ce qu'ils lui diront et lui tairont.

C'est formidable si tu as compris qu'il est essentiel de se conduire bien avec autrui (le respect, la bienveillance, l'amour...) et d'oeuvrer pour l'harmonie !

Mmmmh, que ton "la hauteur qu'il a su prendre" fleure bon la vanité habitant certains athées ! Eh bien moi vois-tu, jamais je ne me serais permis de parler de la hauteur des chrétiens par rapport aux athées, humilité chrétienne oblige.

Que signifie pour toi une "vie libre" ? C'est une façon de voir les choses, rire mais pour ma part, je ne considère pas la vie chrétienne comme du fayotage.

Le "tort" que parfois un chrétien habité et mû par la foi a, c'est qu'il éprouve tant de joie qu'il aimerait partager cette joie avec tout le monde, surtout avec ceux ne semblant pas être habités par elle (la joie) et cela n'est pas toujours bien reçu, cette démarche n' étant pas comprise et suscitant de l'agacement, ce que je comprends car cela m'aurait sans doute prodigieusement agacée si j'avais été à la place de l'incroyant ! Et oui, le chrétien a le sens du partage !

Ce qui ne veut pas dire, contrairement à ce que pensent certains athées, que l'on va faire n'importe quoi de sa vie du fait que l'on croit que l'on est et sera pardonné quoi que l'on fasse car non non non, ce n'est pas ainsi que cela se passe !!! On aura tout au contraire à coeur d'oeuvrer selon sa foi et d'offrir à Dieu ses efforts, ses "batailles" gagnées, ses réussites dans le domaine du "perfectionnement de soi" et donc la quête de l'embellissement de son âme. Dieu ayant fait don de la foi attend que celui qui la reçoit en fasse bon usage. "On demandera beaucoup à qui l'on a beaucoup donné et on exigera davantage de celui à qui l'on a beaucoup confié " (Luc 12; 48)

Et c'est cela l'essentiel: que tu sois en paix avec toi-même selon tes propres choix existentiels, comme je le suis moi-même selon les propres miens. Pourquoi refuserait-on un tel sublime cadeau donnant tout son sens à la vie ici-bas et à sa propre vie, ce serait insensé !!!

Ce que je trouve fort inquiétant, ce sont les répercussions éventuelles dans l'esprit de l'enfant né dans de telles conditions. Lorsqu'il était dans le ventre de sa mère a-t-il perçu, ressenti d'une façon ou d'une autre qu'elle était morte ? Vraisemblablement, oui... En gardera-t-il des séquelles traumatisantes et aura-t-il des troubles du développement ? Ces questions resteront en suspens... Reste à espérer que cet enfant (leur petit-enfant) qui n'aurait pas dû naître apportera un peu de réconfort aux parents ayant perdu leur fille...

Comme tu dis !!!

Aaaaah, voilà l'explication !! Tu veux dire que... le serpent endormi sous le sable l'était... au pied de ton lit ??