Passiflore

Faux, je "ne suis pas (comme vous dites) les prêtres catholiques".

Attention attention, soyons vigilants car: "... il s'élèvera de faux christs et de faux prophètes, ils opéreront de grands signes et des prodiges au point de séduire si possible même les élus" (Matthieu 24; 24) "... ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres du Christ. Et ce n'est pas étonnant car Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses serviteurs aussi se déguisent en serviteurs de justice" (2 corinthiens 11; 13-15)

Comme il est écrit: "on reconnaît l'arbre à ses fruits".

J'aime bien cette notion de "parenthèse dans sa vie". On aime à exprimer ses points de vue et autres avis sans en dire trop sur soi-même, juste ce que l'on a envie de dévoiler sur soi car estimant que cela sert le sujet sur lequel on s'exprime. La grande différence qu'il existe entre la vie réelle et ce qui se passe sur un forum virtuel, c'est que sur un forum virtuel les gens peuvent mentir, s'inventer une vie qu'ils n'ont pas en réel et on n'a aucun moyen de le vérifier, juste la perception que l'on en a et que l'on garde pour soi ou que parfois on partage avec d'autres. Même si l'on peut considérer que cela n'est tout compte fait pas bien grave et que si cela aide ces personnes à se sentir mieux, il y a donc indéniablement dans cette façon d'être virtuelle un p'tit côté "thérapeutique" et cela est plutôt une bonne chose.

Moi j'avoue que je ne m'en fiche pas car cela me peine lorsque l'on me perçoit négativement, question de sensibilité et le fait que l'on soit sur un forum virtuel ne l'atténue pas, cette sensibilité faisant partie de ma personnalité. Ceci dit, ma peine ne sera ici fort heureusement qu'éphémère, juste lors ce certains instants T (quand je lis à mon propos des critiques acerbes dépourvues de la moindre bienveillance), les gens d'ici ne me connaissant pas hors de ce monde virtuel. Cela m'atteindrait autrement plus si ces mêmes critiques acerbes et autres propos malveillants m'étaient exprimés par des personnes de ma connaissance. Voilà oui, bon exemple !

Nous n'avons pas tous la même motivation, la même force de caractère, certains étant plus affaiblis que d'autres par des épreuves existentielles, certes.

A soi de savoir faire le distinguo entre apprentissage positif et apprentissage négatif, mauvais, son bien-être en dépendra. A nous de savoir faire les bons choix existentiels, ceux qui nous apporteront bien-être, joie de vivre, bonheur et qui contribueront à nous façonner dans le domaine de l'amélioration de soi (peaufiner son "moi" profond).

Je me souviens avec une terrible précision (entre autres cauchemars) de celui-ci, fait à l'époque où la petite Estelle Mouzin a disparu: je suis dans une rue d'une ville de province, laquelle rue est bordée d'arbres. Une voiture est arrêtée coffre grand ouvert. J'entre dans un garage. Tout au fond à droite un grand tas de sable. Soudainement je quitte ma situation de simple spectatrice et je tombe à genoux, je me mets à creuser fébrilement le sable... un visage aux yeux clos, très pâle, apparaît... et c'est celui de ma benjamine qui, à l'époque, avait le même âge que l'enfant disparue... Je me réveillai en larmes, terrifiée... Ce cauchemar m'a torturé l'esprit, vous vous en doutez... Mon enfant était-elle en danger ? Avais-je eu la "vision" du visage mort d'une enfant (celui de la petite Estelle ou celui d'une autre enfant disparue) dont le corps avait été dissimulé dans un tas de sable au fond d'un garage ? Que faire d'un tel cauchemar ? Je ne savais pas de quelle ville il s'agissait. Appeler la police ? On m'aurait prise pour une folle... de toute façon, l'enfant était morte... Ma fille va très bien, merci !

Le caractère et la personnalité se façonnent selon qui l'on veut être (le "soi" recherché), même s'il est vrai que la base est bel et bien présente, en tout cas en principe.

Voilà, oui; on est pétri, façonné tout autant par ses échecs et ses erreurs que par ses réussites et ses "batailles" gagnées. Absolument !

Cela paraît logique en fait, d'avoir ce besoin de contrôle sur sa vie quand on prend conscience que tel n'était pas le cas lorsqu'on était enfant, dépendant de ses parents; à plus forte raison si l'on a souffert et qu'on le vit donc comme une sorte de revanche sur le passé.

Tout à fait d'accord ! Plus facile à dire qu'à faire, tout dépend de la gravité du traumatisme subi.

"Apprendre à vivre avec", oui et on fait tout son possible pour y parvenir. C'est soit "on vit avec" (car pas moyen de faire autrement de toute façon puisque l'on doit et devra porter ce "fardeau" sa vie durant) et on tente d'en faire une force et non une faiblesse entravant sa marche, on en tire si possible un enseignement qui enrichira sa philosophie existentielle, soit on se laisse sombrer et on fait n'importe quoi de sa vie.

Bien sûr que si puisque tu ne reconnais pas Jésus-Christ en tant que le Messie, ce qui est logique puisque tu es juive. Jésus-Christ avant d'être supplicié a eu peur et a supplié le Père, ce qui se comprend. A ce moment-là, c'est Jésus (l'homme) qui s'est exprimé et non le Christ mais cela dépasse ton entendement, ce que je comprends fort bien.

Ce qui explique pourquoi tu ne reconnais pas Jésus-Christ en tant que le Messie et Dieu Lui-même, logique. Difficile à entendre hein, Dieu se faisant homme en le Fils qui naquit pauvre parmi les pauvres et non revêtu de riches habits et pourtant...! Tu es juive, bon mais s'il te plaît, cesse d'invectiver les chrétiens, cela ne te grandit pas.

Ah d'accord je comprends mieux, tu n'as apparemment strictement rien compris à la foi chrétienne.

Je fredonne souvent et même lors de mes interventions boulot mais sous la douche, ce n'est pas le moment le plus approprié selon moi. Euh... je reconnais qu'il n'est pas rare que je chante au p'tit coin mais chchchtttt, garde-le pour toi ! Fait beau chez toi ?

@prisca*si tu ne veux ou ne peux croire que Jésus-Christ soit le Messie, l'Emmanuel ("Dieu avec nous"), le Père fait homme en le Fils, cela relève de ta propre liberté de pensée. Nul n'est obligé d'avoir la foi chrétienne. Une Nouvelle Alliance en Jésus-Christ (les livres composant le Nouveau Testament) a été proposée aux nations et on est libre de la refuser, de la rejeter, de ne pas y croire.

Voici ce qu'a dit le Christ (Jean 14; 1-13): "(...) Jésus dit à Thomas: moi je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez et vous l'avez vu. Philippe lui dit: Seigneur, montre-nous le Père et cela nous suffit. Jésus lui dit: il y a si longtemps que je suis avec vous et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père. Comment dis-tu: montre-nous le Père ? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? (...)"

Le Père S'est fait Homme en Jésus l'Emmanuel ("Dieu avec nous") et Jésus-Christ a souffert en tant qu'Homme, aussi bien durant sa vie sur Terre (éprouvant les émotions humaines tels que le chagrin à la mort de son ami Lazare, la colère envers les pharisiens et les marchands du temple, la peur sachant qu'Il allait devoir souffrir sur la croix) alors évidemment que si, Il a souffert sur la croix.

J'aime lorsque enfin je rentre à la maison et ferme les volets. J'aime fermer les volets le soir et les ouvrir le matin. J'aime lorsque c'est la fin de journée et que je n'ai pas à ressortir. Pas d'angoisse particulière.

Assez d'accord avec ceci.

On a grand besoin d'être reconnu à sa juste valeur, que ses compétences et ses qualités soient appréciées, ce me semble une évidence et cela n'a, selon moi, strictement aucun rapport avec la notion de "flatter la vanité". Estime de soi, oui mais au bon sens du terme.

Lorsque l'on apprécie mes qualités et qu'on me l'exprime cela me booste, me donne de la force et me conforte dans l'envie de persévérer dans ma façon de mener à bien mes actions, dans ma façon d'être et de me comporter avec les autres. Cela, je le vis dans le cadre de mon boulot et heureusement car si cela ne m'arrivait jamais, je perdrais très vite mon bel enthousiasme et l'envie de continuer.

Ah possible, bien vu ! mais... ce serait fort dommage que tu cesses de faire des plats, vu ton talent en ce domaine !