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latin-boy30

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Tout ce qui a été posté par latin-boy30

  1. Décapiter quelqu'un (et donc le tuer, vraisemblablement) c'est pas bien. Mais là, je la comprend...
  2. Ah.... et les blancs ils sont quoi ? Non mais sérieusement de quoi vous parlez là ... :hu:
  3. Je ne suis pas d'accord pour restreindre le choix des prénoms, mais je ne suis pas non plus d'accord pour traiter ceux qui prônent cette idée comme si c'étaient des ordures...
  4. Mais c'est mon droit que de la balancer sur le forum, bien visible
  5. Certains ne respectent pas Zemmour, pour ma part je ne respecte pas la LICRA, comme ça on est quittes. Si je dis que la LICRA -qui selon toute vraisemblance, ne porte pas trop Zemmour dans son cœur- a voulu tendre un piège à Zemmour, c'est que c'est une hypothèse qui me paraît tout à fait envisageable.
  6. Dans son intérêt et dans celui de ses idées, il est sage qu'il se tienne à distance de la LICRA Ce que diront ses détracteurs, je pense qu'il s'en fout concernant cette histoire d'invitation, et moi aussi je m'en fous.
  7. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    Le capitalisme comporte divers échelons. Le marxisme, c'est une doctrine précise, dont on connaît les tenants et les aboutissants. On ne peut pas considérer le capitalisme de façon analogue. Les thèses d'Adam Smith concernaient le libéralisme. Les thèses de Keynes, le keynésianisme. Et d'autres encore ....
  8. La LICRA voulait l'inviter pour le couler, pour qu'il soit condamné à nouveau. Zemmour refuse les différences d'idées ?? Je ne le connais peut-être pas assez, et de surcroît je ne le connais pas personnellement, donc je ne m'avancerai pas. Ils s'y seraient mis à 5 à le provoquer pendant 1 heure... au moins...
  9. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    Dans ce cas, n'appelles pas cela "communisme" c'est faux intellectuellement. Tout comme le PCF de Pierre Laurent n'est plus communiste, depuis Georges Marchais dans les années 70.
  10. Sur la liberté d'expression, j'ai la même position qu'aurait un libertarien. Je pense que chacun doit avoir les positions qu'il veut, penser par soi-même est le mieux, l'idéal même. J'ai de bonnes raisons de croire qu'il ont invité Zemmour pour lui tendre un piège gros comme la Tour Eiffel.
  11. C'est ton point de vue, moi j'interprète ce refus comme le refus d'entrer dans le jeu perfide d'une association qui lui a mis des bâtons dans les roues il n'y a pas si longtemps.
  12. Le première phase de l'humiliation dans le cas présent c'est la provocation. La provocation à l'endroit de Zemmour a été de l'inviter à ce débat, quand on sait qui a lancé l'invitation. Zemmour n'est pas entré dans leur jeu, il a refusé. Ne pas répondre à une provocation, c'est être une couille molle ?
  13. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    Étrange tout de même... Quant on lit les propos des marxistes, on lit toujours les riches ceci, les riches cela... "les riches", "les riches" .... Et les libéraux, eux, ils ne parlent, à ma connaissance, pas tellement des riches ou des pauvres. Ils ont plutôt tendance à considérer la société comme un ensemble d'individus. Un des problèmes du raisonnement marxiste -et c'est en soi un de ses attraits les plus détestables- est qu'il nie l'individualité de chacun, il place le "Tous" au dessus du "Soi" pour l'écraser. (Et on peut faire un parallèle avec le fascisme, où l’État, qui remplace, joue le rôle, du "Tous", domine le "Soi".) Les entreprises appartiennent aux riches, sauf certains cas éventuels. Parmi ces riches, on peut distinguer plusieurs catégories. Les mettre dans le même sac est une erreur. Première distinction : un patron de PME provinciale n'est pas un patron de multinationale. Et parfois les uns deviennent la proie des autres... Deuxième distinction : un patron qui a hérité de la boîte de papa maman n'est pas un patron qui est lui-même le père fondateur de son entreprise. Des patrons qui ont commencé leur vie dans des milieux modestes, ça existe. Donc, voir la société comme cloisonnée dans des classes sociales, je m'y refuse catégoriquement car on ne peut pas mettre toutes les personnes ayant des situations économiques proches dans le même sac. Le marxisme a de commun avec le fascisme qu'il écrase tout individualisme. Ils n'écrasent pas l'individualisme à 40, 50 ou 70 %, ils l'écrasent à 100 %. (Et bien entendu, je ne considère pas la sociale-démocratie et l'Etat-providence comme des systèmes marxistes si éventuellement c'est l'impression que j'aurais pu donner.)
  14. Le multiculturalisme, c'est un mot plus présentable pour parler du communautarisme.
  15. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    merci, très flatté Mais mes idées restent plus modérées que celles de Mitt Romney par exemple :smile2:
  16. Par exemple, je suis fasciné par la culture japonaise, je m'y intéresse depuis quelques temps. Mais ce n'est en aucun cas pour faire de moi une personne "meilleure" qu'auparavant. Si je veux m'ouvrir à la culture japonaise, c'est pour satisfaire mon attirance assez forte pour plusieurs aspects de la société japonaise, dont certains que j'estime enviables. Donc oui, quelque part, je m'intéresse à une culture exotique car je trouve qu'elle pourrait avoir des choses à nous apprendre, en effet. Mais pas pour me donner des leçons à moi-même.
  17. L'idée que la connaissance d'autres cultures que la sienne ferait "avancer" la société (et faudrait aussi s'entendre sur ce que veux dire la faire "avancer") ne m'apparaît pas fondé. Ce qui ouvre l'esprit intellectuellement serait plutôt la connaissance empirique de divers domaines du savoir humain, ce qui est distinct de la connaissance plus ou moins fructueuse de X cultures présentes en ce monde.
  18. Comment parler du racisme anti-blanc? Le racisme anti-blanc est une réalité embarrassante. Dans un essai, le sociologue Tarik Yildiz l'aborde de front, pour éviter notamment de laisser le sujet aux extrêmes. "Sale Français(e) de merde!" Cette expression les renvoyant à leurs origines françaises, Guillaume, Bastien, Anne, Hasan et les autres l'ont entendue souvent. C'est ce que décrit Tarik Yildiz au travers de neuf entretiens avec un collégien, un lycéen, une étudiante, des professeurs et des parents d'élèves de Seine-Saint-Denis. Dans son essai, Racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité*, ce doctorant en sociologie de seulement 25 ans dresse une cartographie du phénomène dans certains quartiers de certaines villes d'Ile-de-France. Insultes, crachats, coups, les protagonistes de l'étude se disent victimes d'"une intolérance qui touche les blancs parce qu'ils sont - ou sont considérés - comme des 'Français de souche', en opposition aux Français issus de l'immigration", explique l'auteur, par ailleurs collaborateur du Bondy Blog. Ne pas laisser la voie libre aux extrêmes "Pendant le ramadan, je me cachais pour manger quelque chose de peur que l'on me fasse une réflexion ou que je sois agressé d'une manière ou d'une autre", raconte Guillaume, collégien. Céline confie que, pendant ses années de collège, elle maquillait la vérité pour qu'on la laisse en paix: "Il m'est arrivé de mentir plusieurs fois en m'inventant des origines que je n'avais pas (...) Je sentais qu'on était mieux intégré au groupe si on n'était pas 100% français." "Chaque jour, la seule chose que j'espérais, c'était de rentrer sans avoir pris de coups ou sans me faire insulter", ajoute de son côté Bastien, lycéen. Anne, sa mère, est abasourdie. "Jamais je n'aurais pu imaginer qu'un tel racisme pouvait exister chez des enfants", déplore-t-elle. Le phénomène est réel, mais circonscrit. Alain, qui a soutenu unappel "contre les ratonnades anti-blanc" en 2008, précise "que ceux qui profèrent ces insultes (...) représentent une minorité dans les classes. Et comme souvent, la minorité violente est la plus visible." "Tout élément qui différencie un élève du groupe provoque une réaction hostile, plus ou moins violente, analyse Caroline. C'est ce qui se passe lorsque des élèves traitent un élève différemment parce qu'il a la peau blanche." Tarik Yildiz reconnaît qu'il "suffit d'une différence - couleur de peau, de cheveux, physique ingrat... - pour être pris pour cible". Il faut aussi ne pas oublier, comme Caroline, enseignante, qu'"on a plus de chance de trouver un emploi ou un appartement quand on s'appelle François que quand on s'appelle Kader". Ou qu'il "est plus facile d'entrer en boîte de nuit, qu'on se fait beaucoup moins contrôler par la police quand on a la peau claire." Et d'attirer l'attention sur la dimension sociale: "Les jeunes qui posent des problèmes dans les établissements scolaires sont les plus défavorisés socialement (...) Ce n'est pas vraiment du racisme, mais une manière de vouloir prendre leur place dans une société où ils se sentent mal à l'aise." Pour sa part, Fatima, étudiante française issue de l'immigration, estime qu'"il ne faut pas faire de distinction entre les racismes". Ce qu'admet bien volontiers Caroline, selon qui faire des différences, "c'est établir une hiérarchie". D'où l'importance de reconnaître l'existence de ces discriminations. "Lorsqu'on ne parle pas d'un problème, les victimes se sentent incomprises, déconsidérées. Cela peut les pousser elles-mêmes vers du racisme", observe Alain. "Ne pas entendre ceux qui souffrent, c'est prendre le risque de l'engrenage et les jeter dans les bras des partis extrêmistes, renchérit Tarik Yildiz. Il ne faut pas laisser le champs de ce qui préoccupe les Français aux extrêmes. Les partis traditionnels ne doivent pas avoir peur d'aborder le racisme 'anti-blanc'. Ce sont les solutions apportées à cette forme de racisme qui doivent être différentes." http://www.lexpress.fr/actualite/societe/comment-parler-du-racisme-anti-blanc_970808.html
  19. Pas besoin, il a bien plus de couilles que pas mal de mecs dans ce pays. Et je ne vise personne en particulier.
  20. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    En tant que jeune de 20 ans, mon rêve est de travailler pour gagner le plus possible, et si possible, monter ma boîte. Pas franchement un rêve de jeune gauchiste, avouez
  21. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    Lorsque l'égalité détruit la liberté, elle devient une vraie garce.
  22. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    Je suis peut-être fou, mais je me sens libre. Je suis étudiant actuellement, et trouve cela normal de suivre une formation pour concrétiser un parcours professionnel. Ou dystopie... Un système communiste serait frustrant pour les travailleurs car les salaires seraient tous égaux, et ce serait très décourageant. Dans un tel système, j'aurais vite des envies de tout casser.
  23. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    Je leur demande aux communistes : dans une société de type cubain, quels seraient les rêves de la jeunesse ?? Je n'en vois pas. Si ce n'est le rêve de mettre fin à un tel système.
  24. latin-boy30

    Parlons de Karl Marx

    On ne juge pas un ouvrage sur une phrase.
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