Aller au contenu

Enchantant

Membre
  • Compteur de contenus

    17 529
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    5

Tout ce qui a été posté par Enchantant

  1. Je propose, au nom de l’EGALITE pour tous ? Il est vraiment urgent et indispensable de supprimer le genre féminin/masculin de la grammaire française ? Nous pourrions, par exemple, supprimer tous les « Le »et « La » par un article neutre « Li » afin que personne ne puisse malencontreusement faire l'amalgame ou l'association d'idée perverse d’une distinction entre homme et femme. Rendez vous compte, de cette déformation culturelle séculaire, rétrograde, absurde et injuste, caractéristique officialisant l’inégalité, masquée et contenue sournoisement dans de notre belle langue française ? Il faut absolument détruire ces codes arbitraires de notre langue, qui entretiennent à tout jamais la confusion dans la différence ? Eh ducon, eh ducon, pour vivre en harmonie, il n’y a que cela de vrai ?
  2. Curieux ce phénomène de société et du genre, dans le barnum médiatique ambiant? Alors que les enseignants de l’enseignement national deviennent de moins en moins performant dans leur domaine, qui est celui de la transmission des savoirs, plus ils s’immiscent dans le domaine de l’éducation (qui est prioritairement celle de la responsabilité des familles) Curieux cette absurdité politique et idéologique de l’égalité poussée à l'extrême,qui imposera demain que les filles devront pisser debout contre un arbre, pour ne pas traumatiser les garçons, au nom de l’égalité ? Que des mots symbolisent des idéaux et des valeurs, comme LIBERTE, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ, la plus grande imbécillité, n’est elle pas d’interpréter à la lettre, la traduction de ces valeurs? Comment ne pas donner raison à PLATON lorsqu’il disait ? « Tout excès amène une violente réaction : de l’extrême LIBERTE naît la servitude la plus complète. » Que nous réserve la violente réaction demain, de l’extrême ÉGALITÉ ?
  3. L’analyse marxiste, du peu que j’en sais et n’en veut pas savoir plus, se résume à : « La propriété, c'est le vol ». Affirmer que la propriété, c’est le vol, pour justifier de la collectivisation de toute une société, qui a pour effet de rendre les citoyens encore plus irresponsable et encore plus dépendant d’un pouvoir tyrannique, pour en faire de tristes et pauvres assistés,non merci. Or, le bien commun est du rayon d’action de l’État et de la collectivité, mais aussi de la prise en considération du droit de propriété de chaque individu. Toute idée qui fait abstraction des aspirations puissantes qui animent les individus, donc, les sociétés, sont irrémédiablement vouée à l’échec.
  4. P'taing, c'est quand même beau un roman d'amour? C' est à Berry-Bouy, à côté de Bourges, que la grand-mère de Julie Gayet, Ortense Gayet habite, une maison coquette, depuis 1953. Discrète, Ortense, âgée de 85 ans, a gardé dans le regard cette malice qui fait d'elle une grand-mère audacieuse et ouverte sur le monde d'aujourd'hui. Toutefois, un voile balaie son visage. Car ce qu'elle a entendu à la radio, à la télévision et ce qu'elle a pu lire, depuis 5 heures du matin, sur son I.Pad, a rempli sa matinée d'une imposante couche nuageuse. "Ma petite fille est une femme libre, comme je ne l'ai pas été. Elle a parfaitement le droit d'avoir une vie privée. D'ailleurs François Hollande m'a offert une boîte de chocolat, à Noël."La boîte en question, achetée dans une célèbre chocolaterie parisienne, a fait un drôle de voyage jusqu'à Berry-Bouy ! "Quelqu'un a sonné à ma porte, deux hommes en costume m'ont demandé si j'étais bien Mme Gayet. J'ai répondu oui et ils m'ont tendu la boîte emballée dans un très joli papier cadeau. L'un des deux hommes m'a juste dit, de la part du Président. Je lui ai répondu : dites-lui que le pot-au-feu sera prêt." "Il est arrivé dans la nuit avec Julie" La grand-mère de Julie Gayet qui refuse de s'immiscer dans la vie de sa petite fille, avoue avec une moue amusée que "le Président est venu jusqu'ici.Dans ma maison. Julie m'avait averti qu'elle souhaitait me présenter quelqu'un mais qu'elle arriverait très tard, peut-être même dans la nuit. Comme elle a une clef de la maison, je me suis couchée et elle est venue me réveiller, en pleine nuit. Je me suis quand même apprêtée et quand je suis entrée dans le salon, il était assis dans le canapé. Il avait apporté des croissants et Julie a fait du café." Ortense est intarissable. "Quand je l'ai vu, je me suis exclamé, mais c'est le Président ! Julie m'a dit oui, Mamie, c'est lui." Je me suis assise à ses côtés et nous avons parlé des atouts de la France et du sourire de Julie, de cuisine et de politique. A Berry-Bouy, personne n'est au courant de la visite impromptue du chef de l'Etat. Un convoi de trois voitures a traversé le village au coeur de la nuit pour se garer hors de portée de vue des habitants. Plusieurs hommes ont discrètement quadrillé le secteur et ouvert la route, à pied, à François Hollande et Julie Gayet, nous raconte Ortense, d'après le récit de sa petite-fille. "Le Président est resté deux heures environ, le temps de discuter, de se poser et de visiter la chambre que Julie a conservé ici." Si Ortense accepte de parler à la rédaction de LerrybeRit.fr, c'est parce que la presse a maintenant révélé le secret qu'elle gardait précieseument pour elle. "Désormais, explique Ortense, il semble délicat que le Président revienne me rendre visite. Toutefois, s'ils ont besoin de se cacher..." Ortense continue de regarder, minute par minute, sur sa tablette, l'évolution de l'histoire aujourd'hui révélée entre sa petite-fille et le Président de la République. "Il m'a raconté toute une série d'histoire drôles et je serai bien en peine de vous les répéter toutes." Ortense, le sourire aux lèvres, nous livre une dernière confidence : "il m'a promis de me faire visiter l'Elysée ! Je lui ai promis de lui cuisiner un pot-au-feu."
  5. Que l’humanité confronté à l’adversité et aux difficultés essaient de s’adapter aux réalités du moment, est un exercice constant et renouvelé pour elle. Il n’est pas absurde de se réinterroger en permanence sur la façon de réorganiser la société, mais sans tomber dans la nostalgie heureuse de la vie tribale. En 1968, certains mirent en oeuvre leur utopie, celle de vivre en petite communauté autonomes, censées abroger la compétition, censées partager l’intégralité des besoins nourriciers,sexuels, éducatifs, entre les membres de cette même communauté. Un peu comme les amish aux USA. Dans certains centres urbains européens, la tentative fut réalisée à titre expérimental, communauté autochtone de souche qui développa très vite son marché, notamment de fournisseur de drogues et de stupéfiants, en fonction de la demande urbaine environnante. D’analyser que les mêmes causes produisent les mêmes effets, notamment dans la périphérie des grandes villes aujourd’hui ou la désocialisation des individus se traduit par le développement d’un marché prohibé. La nature, les petits oiseaux, la terre, la vie en liberté, l’autonomie, sont incontestablement des valeurs fondamentales et nécessaire à la vie humaine, mais qu’en est il de la vie commune, c’est-à-dire de faire société ? Il n’est d’observer, que le taux de suicide de ceux qui vivent et travail déjà dans cet environnement naturel, pour se rendre compte que rien n’est définitivement simple pour vivre ensemble ? Ce qui reste simple, c'est de faire une petite bafouille sur son ordinateur comme je le fais en ce moment,puis de prétendre que ma description est celle d'un paradis définitivement perdu.
  6. Les grands théoriciens se comportent comme des politiques qui définiraient le taux fiscal d’imposition des citoyens, afin de garantir le bonheur programmé des masses laborieuses. Mais l’application de la théorie qu’ils professent, ne s’applique pas à eux, il ne faut pas mélanger les conseilleurs et les payeurs, les uns surplombent doctement en spectateur ce qui devrait être, les autres nagent dans une merde qui n’est pas nécessairement de leur fait ! On a des principes quand même ?
  7. C’est vrai quoi ! Nous qui sommes les représentants exclusifs de la civilisation et de la bien pensance ! Cette jeune femme de 22ans, enceinte d’un bébé de 7 mois, n’aurait jamais du croiser le chemin de ce type condamné à mort pour l’avoir égorgée ? Ces victimes innocentes ne le sont peut être pas tant qu’elles le prétendent, après tout ? Alors que sans elles, nous n’aurions jamais été les témoins de cette horrible et tragique condamnation barbare, la mise à mort ratée de son bourreau. On a des principes quand même ?
  8. lucdf, Phare ou chandelle de l’humanité, cela m’exaspère un peu ces étiquettes qui ne veulent rien dire, nous français, nous sommes un peuple comme les autres peuples, point barre. Par contre, la chandelle est justement ce qu’il faut ménager et préserver, notamment chez les hommes. En vertu de cette ligne de conduite qui recommande : « La vie est une longue procession, ménage ton cierge » (c'est joli ça)
  9. Curieux cette manie chez les noirs de demander aux blancs d’assumer la part sombre de leur histoire ? Alors que les blancs n’exigent pas des noirs de justifier sans cesse, les raisons pour les quelles ils seraient définitivement les victimes officielles et patentés de l’histoire ?
  10. Frankygoztovalhalla Je n’ai pas tout à fait la même lecture que vous du « Fordisme ». Le vivier ouvrier des usines de production était à l’époque issue d’une culture majoritairement paysanne et agricole. Lorsque ces ouvriers vinrent en usine, ils prirent conscience que le travail en usine, à poste fixe,sous le contrôle hiérarchique du sous chef, à l’abri d’un bâtiment, leur donnait une sensation d’enfermement et d’aliénation, comparé à la vie rude qu’ils menaient au grand air précédemment, mais avec des tâches diverses, variées et saisonnières. Les premiers mois de travail, dans les usines Ford, vit une grande défection de ces ouvriers pour les raisons que j’évoque ci-dessus. Or, l'attitude et la réaction de Ford fut ce que l'on nomme en économie, la loi de l'offre et la demande, celle d'augmenter conséquemment le salaire de ses ouvriers, pour les inciter à rester dans ces usines, malgré la contrainte nouvelle qu'ils subissaient. Il y parvint. L’argument que ses ouvriers puissent acheter ce qu’ils produisent, s’est avéré relativement exact par la suite, mais fut un argument rétroactif de Ford, pour masquer tout simplement qu’il s’est plié tout bêtement à la loi de l’offre et la demande,comme tout chef d’entreprise est contraint de le faire, mais d’avoir en plus le sens du commerce, en transformant cette réalité ordinaire en slogan publicitaire. Vendre à ses ouvriers, ce qu'ils produisent.
  11. Bonsoir, Poupounette62, A mon sens… Beaucoup trop d’adolescents sont laissés devant des émissions de télévision débiles, pour des questions de tranquillité ou d’absence des parents. Par ailleurs, les parents, après une dur journée de travail,recherchent et c’est normal des émissions de détente et de distraction, ces émissions souvent débiles sont partagées en famille, pour ceux là qui malgré tout, font preuve d’autorité pour les horaires de couchage des enfants, sont confrontés à des réclamations permanente de leurs enfants, qui souhaitent comme des mouches,rester scotchés devant cette sacré télé. Certains parents, qui n’ont aucune autorité sur leurs enfants, laissent ces derniers passent des heures devant la télévision jusqu’à des heures tardives impossibles.Par ailleurs, s'ajoute depuis peu, les tablettes et téléphone portables souvent utilisés dans les chambres des adolescents, pour pratiquer des jeux qui épuisent leur influx nerveux. Hors les enfants ont besoin d’une bonne nuit de sommeil, sinon ils dorment en cours, ou bien ils sont tellement excités qu’ils empoisonnent leur entourage, c’est-à-dire, inapte pour apprendre. Lorsque les enseignants observent des comportements de la sorte, et toujours avec les mêmes adolescents, c’est une grosse alerte et menace auprès des parents qu’il faut faire, pour leur rappeler la nécessité et l’exigence qu’ils doivent avoir auprès de leurs enfants, celle de veiller aux heures de sommeil..
  12. En économie, notreprésident trouve toutes les baisses faisables. En amour, notre président trouve toutes les fesses baisables. Contrepèterie, quand tu nous tiens… c’est bien cela qu’il fallait traduire ?
  13. Savonarol, L’utilisation du terme « classe » sous-tend classement, c’est à dire une hiérarchie, avec au sommet l’aristocratie financière (RICHE) et à la base le sous-prolétariat.(PAUVRE) L’utilisation du terme « lutte »sous-tend vaincre,élimination de l’adversaire, éradiquer l’ennemie.(VRAI/FAUX) La lutte des classes c’est en fait raisonner doublement binaire. Que les corporatismes essaient en permanence de consolider leur pouvoir, c’est dans la nature des choses et la réalité, mais le pouvoir politique, indispensable dans son rôle d’arbitre entre les pouvoirs, est lui-même la représentation d’un corporatisme parmi d’autres. Or, une société a besoin pour exister et vivre en relative harmonie, de toutes ses corporations, y compris de la corporation des politiques. Le classement hiérarchique n’a aucun sens, éradiquer n’a aucun sens non plus Dés l’instant, ou un corporatisme, prend le pas sur tous les autres, nous sommes en DICTATURE. La DEMOCRATIE, c’est la mise en concurrence de tous les corporatismes entre eux. L’élection d’élus pour un temps limité en DEMOCRATIE,procèdent à la mise en concurrence de la corporation des politiques entre eux.
  14. Savonarol, Il faut se méfier des raisonnements binaires, qui sont la caractéristique de l’extrémisme. RICHE/PAUVRE_OUI/NON_0/1_VRAI/FAUX_BON/MAUVAIS_BLANC/NOIR Il faut se méfier des expériences politiques qui ont engendré les effets inverses de ceux qu’elles prétendaient surmonter. Il faut se méfier de la rigidité d’un principe sociétal,alors que l’environnement économique est en mouvement de transformation perpétuel. En résumé, les sociétés humaines sont complexes, la DEMOCRATIE c’est le système politique imparfait qui est celui qui prend le mieux en compte les transformations qui surviennent au cours du temps, à cause de la liberté d’expression des citoyens qui l’anime. Dans l’ordre de classement d’efficacité des systèmes, nous avons: 1) LA DEMOCRATIE 2) LA DICTATURE 3) L’ANARCHIE 4) LA GUERRE Civile Au cours de l'histoire d'un pays, le curseur se balade toujours entre 1 & 4, étant donné que tous les pouvoirs, ont une tendance naturelle à la tyrannie. Rien n’est jamais garanti pour toujours, c’est comme cela que je comprends les choses.
  15. Ce qui me semble contradictoire ici, c’est que la notion de juger c’est trancher. La justice applique ce que la loi du pays l’autorise à faire, avec des circonstances aggravantes ou atténuantes selon les cas. Or un juge, comme n’importe quel humain exprime nécessairement un parti pris, le sien, dans les limites autorisées du code de la loi.
  16. Que des parents disent entre quatre yeux, ce qu'il reproche à leurs enfants dans certains cas, c'est compréhensible et normal. Mais de prendre le public à témoin est ce qui me chiffonne le plus, dans cette démarche, que je trouve totalement imbécile.
  17. « Quand on se sent inutile, on a du mal par la suite à devenir "citoyen, responsable et social". » C’est votre réflexion ou celle de "Z'Big" ? Quoiqu’il en soit,difficile de ne pas donner raison à cette affirmation. C’est d’ailleurs pour cette raison logique, qu’un droit au travail pour obtenir une indemnisation sociale devrait être considéré, plutôt que d’essayer de distribuer des allocations tous azimut, sans contrepartie.
  18. Casdenor, Vous me faites penser à ce personnage là… Le pacifiste, écrit un autre écrivain anglais, Joad, « tend à préserver son intégrité morale en présence de la guerre plutôt qu'à prévenir les guerres. Un tel pacifiste, s’il était contraint de reconnaître que le refus de la lutte précipite la perte de l’État, répondrait à coup sûr qu’il préfère le salut de son âme au salut de la cité. Tel est le pacifisme intégral,le plus agressif et insupportable, peut-être, mais aussi le seul qui ne prête pas à la réfutation parce qu'il échappe à la discussion. Un tel pacifisme n'a rien à voir avec la politique : il est d'ordre moral. Il n'est pas une doctrine : il est une foi. Raymond Aron qui pensait la démocratie pendant l’occupation de la France par le nazisme écrivait : Personne ne soutiendra plus, qu’un État limité par la critique des citoyens soit assuré de la paix, ni qu’il suffise de refuser tous les risques et toutes les initiatives pour éviter la guerre. Collabo est-ce vraiment une posture d’avenir ?
  19. Crabe fantome Que la question soit dérangeante au point de heurter ceux qui s’attribuent automatiquement un prix de vertu, au nom d’une noble intolérance, on peut en convenir ? Est-ce qu'un amas de cellules avec conscience a le droit d'éliminer un autre amas de cellules supposé sans ou ayant perdu conscience ? Vous répondez OUI à la question ! Il est vrai que partout dans le monde des amas de cellules avec conscience, détruisent, éliminent, assassinent, torturent, d’autre amas de cellule avec conscience ? Ceux la mêmes qui s’attribuent automatiquement un prix de vertu, au nom d’une noble intolérance, sont les premiers à venir aux secours des uns, en envoyant des bombes sur la tête des autres, au nom de valeurs humanistes. En ce cas, pour un amas de cellules avec conscience, vous répondez bien toujours OUI à la question ! Au nom de quelle contradiction, il serait interdit d’éliminer un amas de cellules avec conscience dans un cas et pas dans l’autre ?
  20. Cet humanisme aussi, qui anime les bobos d’une noble intolérance sélective, pour l’abolition de la peine de mort des assassins, mais pas celle des enfants dans le ventre de leur mère,ni des vieillards en fin de vie. Mais aussi cet humanisme ordinaire, qui considère que l'être humain, qui se comporte comme une bête sanguinaire envers les plus faibles, perd son statut d'être humain et qu'a ce titre, il n'est pas anormal que la société, pour s'en protéger, l'abatte.
  21. Bonjour Frankygoztovalhalla Beau témoignage sur ce qui appartient exclusivement aux humains, c’est-à-dire cette parcelle incompressible d’humanisme que chacun de nous détient. Que nous soyons les témoins spectateurs de pillages, au cours de catastrophes guerrières ou climatiques c’est vrai, mais que ferions nous de plus ou de moins que ces affamés dans de pareil circonstances ? Cela me rappel aussi,l’épisode de cette chute d’avion dans les Andes, ou les passagers en vie ont convenu entre eux de manger les cadavres pour survivre. Il n’y a que des humains capables de faire des choses comme celle là, non pas de se dévorer entre congénères au titre de la loi du plus fort, mais de tout faire pour sauver le maximum de vie, tant qu’il est possible de le faire. Cet humanisme aussi, qui anime les bobos d’une noble intolérance sélective, pour l’abolition de la peine de mort des assassins, mais pas celle des enfants dans le ventre de leur mère,ni des vieillards en fin de vie. Mais aussi cet humanisme ordinaire, qui considère que l'être humain, qui se comporte comme une bête sanguinaire envers les plus faibles d'entre eux, perd son statut d'être humain et qu'a ce titre, il n'est pas anormal que la société, pour s'en protéger, l'abatte.
  22. Bonjour sphynxxxix, A vous lire, je ne suis pas qualifié pour vous conseiller, mais je pensais la chose suivante… Lorsqu’un homme comme vous se rend seul chez un spécialiste pour décrire le comportement étrange de sa femme. Ce dernier écoute, tout en mettant systématiquement en doute la description du plaignant, sans le dire évidemment, c’est tout à fait normal. Par contre, si vous consultiez ce spécialiste, sans votre épouse dans un premier temps, accompagné de vos deux filles de 11 ans et 14 ans pour corroborer vos propos et confirmer les symptômes que vous décrivez auprès du médecin. Cela contribuerait à vous crédibiliser avec la complicité de vos filles pour vous inscrire dans un règlement familial de demande de soins. Pour obtenir, les conseils et la procédure à suivre, pour amener votre épouse chez ce médecin, mais cela avec la complicité implicite de vos deux filles, pour vous sentir moins seul dans cette épreuve. (Je n'avais pas lu nonobonobo, mais son expérience me semble la plus pertinente)
  23. Synonyme d’attéré : abattu, accablé, affligé, anéanti, catastrophé, consterné, démoralisé, stupéfié. Vous en faites pas un peu trop là, XYparfoisZ? Juste pour un bout de réglisse ?
  24. Bonjour Fidelia, Je partage votre vibrant plaidoyer pour la musique. Mais l’ouïe, qui est l’un de nos cinq sens humain n’est pas le seul à l’origine de nos émotions. L'odorat, le goût, la vue, le toucher, sont tout aussi partie prenante. Et toujours, c'est la combinaison d'un sens associé à d'autres,qui permet d’accéder à une représentation mentale qui, nous atteint, nous émeut, nous éloigne, nous évoque,nous rappel en mémoire. (C’est juste une petite parenthèse)
×