-
Compteur de contenus
2 346 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
6
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Napo
-
Le multiculturalisme est le jolie mot qu'on donne au système d'intégration anglo-saxon, qui est celui du communautarisme, et que la France a adopté depuis 30 ans qu'elle s'américanise. Le modèle traditionnel français d'intégration des immigrés était l'assimilation. Assimiler c'était rebaptiser, dépasser les différences raciales par la commune culture de la nation, faire en sorte que les étrangers adoptent pleinement la culture française et fassent passer au second plan celle de leurs origines. Le modèle communautariste anglo-saxon est le contraire, il s'agit de considérer qu'un étranger ne pourra jamais être un vrai Britannique, donc de le laisser vivre à l'écart, en communauté, dans sa culture. Partout dans les pays qui l'ont adopté, le multiculturalisme est un échec. Le Premier ministre britannique constate l'échec du multiculturalisme, « En suivant la doctrine d'un multiculturalisme public, nous avons encouragé des cultures différentes à mener des existences séparées de celles de la majorité » ; la chancelière allemande Angela Merkel constate que le modèle d'une Allemagne multiculturelle, où cohabiteraient harmonieusement diverses cultures, a « totalement échoué » ; le ministre de l'intérieur des Pays-Bas constate l'échec du multiculturalisme et appelle à un nouveau modèle d’intégration où les valeurs de la nation néerlandaise occuperait une place centrale, « L’Etat partage le mécontentement de la population existant à l’égard de la société multiculturelle ». Le multiculturalisme ? « partout il a enfanté des monstres, crée des ghettos où les étrangers vivent entre eux comme au pays avec leurs lois, leurs codes sociaux, leurs leaders, et demain leurs revendications irrédentistes. »
-
Pourquoi parles-tu du FN, c'est ton obsession : moi je parle de la droite et de la gauche. La gauche qui perd toutes ses présidentielles sur ces thèmes là mais qui ne l'a toujours pas compris. C'est navrant. Le PS sera mort qu'il n'aura toujours pas compris pourquoi.
-
Zemmour et Naulleau privés de France 2 à la rentrée
Napo a répondu à un(e) sujet de Napo dans Télévision
Pour le magazine Technikart « Laurent Ruquier s'est rendu compte qu'il avait créé un monstre politisé à l'influence croissante, Eric Zemmour, allant à l'encontre de tout ce qu'il défend lui-même idéologiquement », quant à Eric Naulleau, écrit le magazine, il serait « une victime collatérale ». Naulleau ne croit toujours pas à l'argument d'usure évoqué par Ruquier : « Je persiste et signe : l'hypothèse que notre renvoi soit uniquement lié à un phénomène d'usure, je me la raconterai lors de ma prochaine nuit d'insomnie pour voir si les contes pour enfants me font le même effet que par le passé. » Et les deux Eric s'en amusent : « Car personne d'autre ne s'use à la télévision », remarque Zemmour. « Il n'y a que nous. Au bout de quatre saisons », renchérit Naulleau. -
On en reparlera en 2012
-
L'assimilation n'ayant jamais été un concept anglo-saxon, la comparaison est juste inepte. Barack Obama et les américains, je m'en barbouille le pourtour de l'anus. Ce pays était hier celui de la ségrégation raciale instituée et est aujourd'hui celui du communautarisme ethnique institué ; si tu crois que l’élection d'Obama prouve la bonne situation des afro-américains et l’inexistence du racisme, tu vis dans un rêve télévisé. Nul part ailleurs on considère autant les gens par leur race qu'aux États-Unis. La petite leçon sur les américains raisonnables, qui ont élu Bush père une fois et Bush fils deux fois, puis se sont résignés à Obama qui était la seule solution face à McCain, cela me fait doucement sourire. Quand la France sera aussi raisonnable que le pays de la démesure, elle élira un noir... La discrimination positive n'est pas un "puissant éveilleur de conscience" mais un puissant paravent d'inégalités. Ce cache-misère prend de l'ampleur en même temps que les inégalités, qui se sont considérablement creusées aux États-Unis. La démagogie paragraphée reste de la démagogie. Tu peux me citer tous les problèmes du monde, ça n'enlèvera pas celui de l'immigration et de l'identité nationale qui préoccupe les gens. Cependant continuez de le nier c'est parfait, et pourvu que la gauche nie ces sujets en bloc et refuse d'en parler : la droite sera certaine de l'écraser comme elle l'écrase depuis des années. Toi qui distingue dans ton manichéisme d'un coté les gens bêtes et haineux (qui sont manifestement ceux n'étant pas de ton avis) et de l'autre les esprits honnêtes et intelligents, tu sembles toi-même bien inculte pour dire que le rejet des immigrés africains/nord-africains actuels est bien plus violent que celui des immigrés européens jadis. Quand la France recevaient des vagues d'immigrés européens en période de chômage, c'étaient des émeutes entre ouvriers français et étrangers ainsi que des scènes de lynchages mortelles qui avaient lieu. C'était beaucoup plus violent que la tolérance dont on fait preuve actuellement avec les immigrés magrébins et africains, qui paradoxalement sont ceux qui se comportent le plus mal dans l'histoire des immigrés en France.
-
Il est vrai, aussi les communistes ne mettaient pas sous le terme socialisme la même chose que les socialistes, et encore aujourd'hui les sociaux-démocrates, puis finalement toutes les formes de socialisme. Dans quel livre Aly parle de socialisme national, tu plaisantes ? "Comment Hitler a acheté les Allemands : Le IIIe Reich, une dictature au service du peuple". « Le socialisme national a été à l’origine d’une véritable égalité, notamment par une politique de promotion sociale d’une ampleur sans précédent en Allemagne, qui le rendit à la fois populaire et criminel. » http://www.monde-diplomatique.fr/2005/05/ALY/12192 Aly dit qu'il s'agissait d'acheter les Allemands car sans ce socialisme national, le régime n'aurait pas tenu. Cependant peu importe l'intention, – je ne crois pas que Staline fut humaniste et ait eu des intentions plus altruistes, – il faut juger concrètement la politique menée, et j'estime sans mal que celle des nazis a fait du national-socialisme une forme de socialisme. Je ne le dis pas non plus, et je dis encore moins que ceux que j'ai cité ont exactement la même thèse, j'utilise des éléments qui vont dans mon sens et je réponds à ceux qui n'y vont pas. Tu sais très bien qu'il s'agit là d'une manoeuvre politicienne plus qu'idéologique, afin d'utiliser la droite et les industrielles pour atteindre le pouvoir. De la même manière les socialistes du SPD n'avaient pas hésité à faire des concessions bourgeoises, et plus grave des concessions renforçant la position de l'armée sous la République de Weimar, ce afin de rester au pouvoir. Ce n'est guère parce que le parti national-socialiste des travailleurs allemands s'est reposé sur des affinités partielles diverses qu'il n'était pas une forme de socialisme.
-
Et alors ? c'est la moindre des choses. Ce sont des rapports de force naturels et inévitables quand deux civilisations potentielles se disputent un même territoire. C'est une histoire universelle et intemporelle. Ceux qui s'en choquent découvrent le monde, qui n'est pas celui des bisounours. La région palestinienne ne sera stable que lorsque l’État le plus fort aura assis définitivement ses frontières en chassant l'autre, jusqu'à avoir ses frontières communes avec les pays voisins déjà stables. Le problème d’Israël est qu'il grignote du terrain petit à petit, fait durer le conflit, attend hypocritement la roquette arabe qui lui donnera l'excuse d'annexer la moitié du territoire restant. Il faut qu’Israël annexe ce qu'il reste des territoires palestiniens et chasse le plus de leurs habitants vers les pays environnants, qui certes n’apprécieront pas sur le coup, mais c'est une nécessité pendant qu'il est encore temps, vu l'ampleur démographique que ça prend, si il est encore temps. Il est impossible pour les palestiniens de vivre sur les parcelles qui leur reste ; il leur est impossible de reconquérir le territoire militairement ; il est encore plus impossible qu’Israël revienne volontairement en arrière et que les deux peuples puissent vivre en paix dans la promiscuité des frontières originelles. Il faut être réaliste et pragmatique. Ce n'est pas une question particulière de supériorité juive, c'est au contraire la question très commune au monde qui s'est posée à chaque civilisation naissante ou renaissante. Einstein qui était un génie dans sa science, était un grand naïf du reste ; le paradoxe parmi beaucoup d'autres de son antinationalisme et de son sionisme en est un exemple.
-
Einstein, qui n'en était pas moins sioniste, écrivait « si nous ne trouvons pas la voie d'une honnête coopération dans nos négociations avec les arabes, alors nous n'avons rien appris au cours de nos deux milles ans de souffrance et nous mériterons tout ce qui nous frappera. » Cependant il faut garder à l'esprit que pas une seule nation ne s'est faite sans "injustices", la justice étant un concept qui prend forme à l'intérieur des frontières, au delà il n'y a que des rapports de force. On ne doit pas reprocher à Israël, sous prétexte qu'ils soient Juifs, des rapports de force naturels à chaque civilisations naissantes ou renaissantes.
-
Les Pays Bas interdisent l’abattage rituel
Napo a répondu à un(e) sujet de Napo dans Actualités - Divers
La Suède et la Norvège interdisent déjà les abattages rituels tel qu'on les connait, sans étourdissement préalable. Concernant la très large adoption par le Parlement néerlandais de la loi, qui irrite les communautés juive et musulmane implantées aux Pays-Bas, le Consistoire central israélite de France a exprimé « sa vive inquiétude face à cette loi discriminante envers la communauté juive des Pays-Bas », invoquant indirectement l'Allemagne nazie « c'est la première fois depuis la fin du second conflit mondial qu'un pays démocratique, membre de l'Union Européenne, légifère pour interdire la she'hita ». http://www.la-croix.com/Religion/Urbi-Orbi/Monde/Les-deputes-des-Pays-Bas-mettent-fin-aux-abattages-d-animaux-sans-etourdissement-_NP_-2011-06-29-682685 -
Qu'il utilise ou non le mot assimilé ne veut dire en rien qu'il assimile ou non : le fait d'utiliser le terme génocide de classe au sujet des goulags est en soit une assimilation au génocide de race. Même si Nolte voit la chose comme une réaction à l'autre, il les met sur le même plan : une copie adverse n'en est pas moins une copie. Ça ne veut pas dire que communisme et nazisme sont les mêmes, ce n'est d’ailleurs pas mon propos puisque je ne réduis pas le socialisme au communisme. Tu fais de la rhétorique en confondant socialisme et communisme. Aussi le nazisme n'était pas social-démocrate : il est évident que tout ce qui attrait comme le syndicalisme à l'opposition, à la démocratie, à un contrepouvoir en somme, n'était plus d'actualité. Mais c'était le cas également chez les communistes. La plupart des arguments qui servent à dire que le nazisme n'est pas un socialisme serviraient à dire que le communisme n'est pas un socialisme lui aussi. Utiliser des éléments du totalitarisme pour contredire le socialisme est un paradoxe. Même chose pour ce qui contredit le collectivisme : le nazisme étant une forme de socialisme cherchant la synthèse avec le nationalisme, tout comme on peut dire de la social-démocratie actuelle qu'elle cherche la synthèse entre le socialisme et le capitalisme mondialisé. Les communistes voulaient égaliser les rapports sociaux entre communistes, les nazis voulaient égaliser les rapports sociaux entre aryens. Face au capitalisme nouveau, l'un s'est focalisé sur la race avec en symbole le financier juif qui endette l'honnête paysan, l'autre s'est focalisé sur les classes sociales. Aly parle clairement de socialisme national concernant la politique nazie. Husson rappelle l'imposition plus forte des hauts revenus ; la politique familiale développée ; la protection renforcée des gens endettés ; la politique du logement ; l’instauration de congés payés, etc... Concrètement, qu'a fait de mieux le Front populaire ? Tu répondras que faire du social n'est pas faire du socialisme, mais quand on voit que le nazisme a fait autant de social voire plus que d'autres socialismes, c'est que le terme national-socialisme n'est pas si erroné.
-
Depuis 30 ans les violences aux personnes augmentent de manière constante, au pouvoir ni l'UMP ni le PS ont su y répondre. Sarkozy parle comme un frontiste et agit comme un centriste. Que son électorat ne se laisse pas berner une seconde fois.
-
Et Wikipédia comme référence journalistique ? laisse moi rire. LeParisien est un journal tout à fait respectable. Le type qui nous balance à foison ses liens Wikipédia tout en se moquant de la crédibilité des journaux traditionnels... c'est d'un ridicule achevé.
-
Tu te focalises hypocritement sur cette anecdote. Dans son encyclopédie des prénoms, la généalogiste relate officiellement des centaines de nuances orthographiques et de prénoms grotesques. L'article du Parisien en témoigne.
-
Ceux qui ne comprennent pas l'intérêt d'avoir un prénom français quand on a un nom étranger, ils n'ont rien compris à l'assimilation dont le but n'est pas de faire oublier les origines ni de les renier, mais simplement de mettre en avant l'appartenance à une communauté nationale, à un peuple. Si tu vas dans une tribu d'Amazonie ou d'ailleurs, pour être considéré comme un des leur et intégrer leur communauté, tu devras porter leurs vêtements et ils te rebaptiseront d'un prénom local. L'assimilation est la plus humaine et universelle des choses, c'est sauvegarder sa culture et s'ouvrir véritablement à l'étranger en la lui offrant. Assimiler c'est rebaptiser, dépasser les différences raciales par la commune culture ; c'est le contraire du racisme. Le modèle communautariste anglo-saxon est lui profondément raciste : il s'agit de considérer qu'un étranger ne sera jamais un vrai Britannique, donc de le laisser vivre à l'écart en communauté, dans sa culture. En France on renomme ça multiculturalisme, un jolie nom qui fait oublier le fondement de ce système. Je crois avoir été clair. « L'assimilation, qui va au delà du prénom bien entendu, est le véritable garant de la diversité. » « La mondialisation ne pose pas que le problème de l'immigration multiculturelle : l'impérialisme culturel américain est tout aussi dévastateur pour la culture français, et cela dépasse largement la question des prénoms qui devient presque anecdotique mais n'en est pas moins un symbole fort. » Évidemment que c'est subjectif. La France n'est pas une place sans identité, un parking géant qui servirait de stationnement tarifé pour nomades. Non, on retrouvait autant de Dominique dans le peuple que dans la bourgeoisie. À l'inverse, je montre qu'il n'y a pas que des prénoms arabes parmi les prénoms grotesques, contrairement aux propos diffamatoires qu'on m'a attribués. Néanmoins je note que vouloir l'assimilation c'est être l'ennemi des arabes, on retrouve la bonne vieille méthode bien-pensante qui vise à fasciser celui qui n'est pas de son avis. Ainsi on est soit multiculturaliste, soit raciste ; ça s'appelle du terrorisme intellectuel. La France a des racines chrétienne autant que greco-latine, tu n'as pas à avoir peur de le dire en le mettant entre guillemets. Marie-Odile Mergnac est une historienne et généalogiste qui a écrit plusieurs livres sur le sujet, elle est juste légèrement plus crédible que Dinosaure marin de forumfr. C'est beau comme dans un rêve ; le réveil sera brutal.
-
Les agresseurs venaient de Nice pour participer à une soirée africaine qui avait lieu à Marseille.
-
Après la récente attaque d'un commissariat à Champigny-sur-Marne et celle d'un régiment de l'Armée de Terre à Castres par une trentaine d'individus, c'est au tour des pompiers de Marseille d'essuyer une attaque en règle par une quinzaine de personnes ayant fait irruption dans leur caserne pour en découdre. Des pompiers agressés dans leur caserne à Marseille. Les assaillants s'étaient rendus à Marseille pour assister à une soirée africaine organisée samedi dans la cité phocéenne. Ils sont une quinzaine à avoir fait irruption dimanche matin à 5h10, dans une caserne du bataillon des marins-pompiers. Les intrus, "apparemment en état d'ébriété", ont d'abord eu des "échanges verbaux" puis "des échanges de coups". Sept pompiers ont été transférés à l'hôpital.
-
Attali prend moins de pincettes quand il dit que le peuple juif est devant, dans tous les grands domaines. Il n'est question d'aucun complot pour commencer, un complot est quelque chose de secret, et Attali s'exprime publiquement. Ensuite ils ont tout à fait le droit de viser l'excellence, et dans la mesure où ils ont longtemps été sans état, il est compréhensible qu'ils aient cherché partout où ils étaient à "porter une élite au pouvoir ou proche du pouvoir dans tous les domaines". Seulement on ne peut pas résumer l'universalisme du peuple juif et son élitisme en résumant par "tout le monde aspire à ça", tout le monde n'est pas un peuple sémite depuis des millénaires, et un peuple d'élite dans le peuple un peu partout. Mon propos est que si le peuple juif est dans « l'avant garde » comme le dit Attali, il l'est donc autant dans les bonnes que les mauvaises choses ; et lorsque ces choses nouvelles (comme le capitalisme du 19ème) provoquent des crises et des bouleversements, les Juifs le payent au prix fort. Il y a des raisons plus ou moins fondées à leur mise en bouc émissaire, s'ils sont dans l'avant garde, à la pointe du modernisme, et que celui-ci provoque quelques désastres. Il y avait dans l'antisémitisme allemand, notamment un véritable sentiment d'animosité contre le Juif moderne qui occupait des domaines professionnels nouveaux, encore peu investis par les Allemands, dans une époque qui s'est modernisée trop vite et dans laquelle le peuple s'est senti menacé et déboussolé.
-
Courtois comme Nolte ont déclenché des controverses violentes entre historiens par le simple fait de comparaisons, notamment l'assimilation du génocide de race au génocide de classe ; ce n'est à mon avis qu'un premier pas même s'il est déjà grand. Le nazisme dans la pratique était bien plus proche du socialisme que le sont actuellement les sociaux-libéraux en Europe, et que l'on soit capable de nommer socialistes des libéraux de centre-gauche tout en s'effarouchant quand on parle du socialisme dans le national-socialisme, cela prouve à quel point l'époque manque de recul.
-
Ce n'est pas tant qu'ils font mal leur boulot mais que la loi est mal faite. Ils doivent juger arbitrairement ce qui porte à préjudice ou non, c'est parfois évident mais souvent une affaire de gout. Bah si, c'est un fait que ça te plaise ou non. On s'intègre mieux à une communauté en assimilant ses codes, et celui qui veut changer ce fait élémentaire de la nature humaine en disant vouloir "changer les mentalités", celui-là s'engage dans le totalitarisme. Les prénoms se communautarisent. On observe la tendance qui est celle des prénoms traditionnels français plutôt chez les bourgeois, les prénoms anglo-saxons plutôt chez les Français populaires, et bien-sur les prénoms étrangers chez les Français de l'origine concernée. En toute chose, quand la nation s'efface les communautés se dessinent. Que les femmes furent longtemps dans la main des curés est largement démontré et ne fait pas d'elles des idiotes. Il y a des raisons à toute chose mais le débat n'est pas là. La France ne s'est pas émancipée du religieux en 1981 par le libéralisme de Mitterrand. La Révolution a légiféré sur les prénoms français pour unir le peuple. Il y a des lois qui affranchissent et des libertés qui oppriment ; les lois qui obligeaient à l'assimilation affranchissaient les immigrés en faisant d'eux des Français à part entière, les libertés qui permettent le multiculturalisme entrainent le communautarisme et oppriment des éternels étrangers. C'est tout à fait véridique, encore faut-il cliquer sur le bon lien. http://www.leparisien.fr/laparisienne/maman/prenoms-quand-les-parents-reinventent-l-orthographe-24-02-2011-1329228.php C'est gentil mais le sujet n'a pas du tout dérivé, on est en plein dedans avec la législation qui permet de s’appeler Mohammed ou Martin.
-
C'est marrant cette manière de reconnaitre tant bien que mal qu'il y a des génies communautaires, mais de ne surtout pas parler de supériorité ou d'infériorité dans les domaines concernés, malgré la causalité la plus logique. Le génie sans l’ingénu ; couvrez ces inégalités que je ne saurais voir. Normalement les questions viennent avant les réponses. En l’occurrence j'ai répondu à tout ça. Tu peux rire et caricaturer, nous verrons qui rira le dernier au prochain massacre : ni toi ni moi, et encore moins eux. Que des étrangers viennent faire de grandes études en France ou des Français issus d'une minorité atteignent l'élite, ce sont d’excellentes choses qui démontrent dans l'un que nos grandes écoles seraient réputées et dans l'autre que l'école républicaine fonctionnerait. Mais c'est complétement hors sujet. Les Juifs ne sont pas une simple communauté comme il y en a dans un système communautariste, ils sont partout un peuple dans le peuple et ont une vocation universelle depuis toujours. Comme l'a dit un intervenant Juif, ils cherchent où ils sont à "porter une élite au pouvoir ou proche du pouvoir dans tous les domaines", ce qui était bien compréhensible dans leur sémitisme sans État, et ce qui leur vaut à terme des persécutions. Croire qu'une minorité ethnique puisse tenter de dominer une société par son élite, sans que ça ne finisse mal pour celle-ci, c'est se faire de fatales illusions sur la sociologie humaine. Tu pourras me répondre par l'euphémisme, il n'empêche qu'être « devant » dans tous les domaines comme le dit Attali, c'est dominer. Aujourd'hui nous vivons les méfaits de la mondialisation, dont Attali place les Juifs à la pointe dans le dessein idéologique d'un monde sans frontières et d'un gouvernement mondial. C'est pour lui le progrès et son peuple est comme toujours « dans l’avant garde ». Attali vit dans cette utopie affichée, son identité en tant que Juif est celle qu'il décrit comme une élite mondiale ; ainsi il se fiche que toutes les identités nationales meurent par la mondialisation et l'éclatement des frontières, pourvu que le peuple juif – qui est universel – survive. Au 19ème siècle on attribua, à tort ou à raison, les Juifs au capitalisme et aux méfaits nouveaux qu'il engendrait : l'Allemand Karl Marx disait inévitable de devoir supprimer le judaïsme ; en qualifiant cette religion de mercantile, la vision fourbe du Juif était remise au gout du jour pour les années à venir. Au 20ème siècle, le national-socialisme supprima directement les Juifs. Si grâce ou à cause de gens comme Attali, qui sont pour la mondialisation et l'éclatement des frontières, on attribue le capitalisme mondialisé à une élite mondiale juive, la cible est toute désignée.
-
Tu plaisantes. La politique nazie pour les Allemands fut autant voire plus socialiste que la politique des socialistes au pouvoir en France. Plein-emploi atteint en 1938 ; bonne protection sociale ; fiscalité redistributrice comme l'explique l'historien Götz Aly, avec une exonération de l’impôt de guerre pour la grande majorité des contribuables allemands, les paysans, ouvriers, employés, petits et moyens fonctionnaires, répercutée par une augmentation considérable de la charge fiscale pour les riches et très riches ; congés payés, loisirs et sports développés dans les milieux populaires. Comme l'explique l'historien Édouard Husson, « La notion de "race des seigneurs" s’accompagnait du désir d’égaliser les rapports sociaux entre Allemands. D’où une imposition plus forte des hauts revenus ; une politique familiale développée ; une protection renforcée des gens endettés ; une politique du logement ; l’instauration de congés payés… » Qu'a fait de plus le Front populaire ? Stéphane Courtois et bien d'autres seront heureux de l'apprendre
-
Elle est floue et quasiment inappliquée. Il existe même un site où les gens témoignent des prénoms ridicules qu'ils rencontrent, et donc que l'administration a validés. Fanta, Gaylord, Zébulon, Chems-Eddin (Chems pour James, Eddin pour Dean, James Dean...), Rex, Aya... Même l'orthographe des prénoms conventionnels n'est plus réglementé. Prénoms : quand les parents réinventent l'orthographe. Formidable cette liberté d'écrire n'importe comment le prénom de son enfant, pour paraitre original ou simplement par idiotie. Ainsi il existe des Eilhène au lieu de Hélène ; des Nicola sans s ; à partir du prénom Priscilla ont été inventé Priscillia, Prescilla, Precilia, Precillia, Prescilia, Prescillia, etc ; comme les officiers d'état civil laissent faire n'importe quoi, il y a 27 manières d'écrire Tifaine ; j'en passe et des meilleurs. On fait des fautes d'orthographe même dans le prénom de ses enfants, et l'administration acquiesce. Vive le progrès ! Cerise sur le gâteau : dans le 95 une femme a appelé son fils Clitis, pourquoi ? comme Clitis Woud explique-t-elle, manifestement fan de Clint Eastwood. Vive la liberté et à bas le totalitarisme ! Pour des raisons légitimes et pragmatiques. Ton jugement de moral est anachronique, il faut sortir des carcans de la pensée contemporaine et remettre les choses dans leur contexte historique. Les femmes sont restées très longtemps après la révolution sous l'influence des curés, et l’Église étant le grand allié de la monarchie, les républicains craignaient que les femmes concourent à rétablir la monarchie si elles avaient le droit de vote. Pyrenne découvre la lune : nos racines sont greco-latines ! La langue française entière est une francisation du latin, chaque culture a ses racines et celles de la France sont greco-latines.
-
C'est certainement cette idée qui les condamne a finir persécutés en tout temps. Ça commence par « [le peuple juif est] celui qui influe, celui qui est dans l’avant garde, celui qui voit et devine les problèmes avant les autres, celui qui, par l’un ou l’autre de ses membres, dans les domaines artistiques, intellectuels, philosophiques, politiques, financiers, est devant. » Attali Et ça finit par « le Juif n'est jamais seul en piste ! Un Juif, c'est toute la juiverie. Un Juif seul n'existe pas. Une termite, toute la termitière. Une punaise, toute la maison » ; « Dans l'élevage humain, ce ne sont, tout bluff à part, que bâtards gangréneux, ravageurs, pourrisseurs. » Celine Tu ne crois pas que l'un finit inévitablement par déclencher l'autre, que le fait de vivre comme un peuple dans le peuple, et chercher partout à "porter une élite au pouvoir ou proche du pouvoir dans tous les domaines", ne se termine pas inévitablement par une révolte de la communauté autochtone, qui en voyant son élite se judaïser a le sentiment légitime (même si souvent exagéré) d'être dominée par une minorité ethnique ? Je pense que les Juifs devraient définitivement se nationaliser avec Israël, et cesser de chercher à être partout un peuple d'élite dans le peuple, puisqu'il est clair que ça mène toujours à leur massacre.
-
Les petits partis de gauche ont bon dos. Si on additionne les scores au premier tour des partis de gauche/extrême-gauche et de droite/extrême-droite, on se rend compte que la droite était nettement majoritaire, donc que la gauche méritait sa défaite.
-
lily12, qui n'intervient que pour mettre des +1 et des -1, vient donner des leçons d'argumentations. Ne trouves-tu pas, en exemple, que Rex est un prénom communément canin ? Mais comme c'est un prénom étranger il ne faut surtout pas le dire : ce serait être le pire des fachos ! sauf qu'à la révolution, l'idée qu'on puisse être libre de choisir le prénom de son enfant n'était pas acquise. La première version de la loi sur les prénoms français prévoyaient que les parents ne pourraient pas choisir le prénom de leur enfant. Un prénom serait attribué automatiquement en fonction du jour de naissance de l'enfant. Citer la révolution comme exemple de liberté dans le choix des prénoms est donc un contre-sens historique. La loi de la Révolution qui est restée est celle du choix parmi les prénoms français. Il est en l'occurrence ironique de parler de totalitarisme sans savoir que l'on parle d'un acquis important de la Révolution française, qui contribua à former la nation et unir le peuple, et que peu de gens comprennent ici.