-
Compteur de contenus
10 576 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
3
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Noisettes
-
Mon fils est sorti de sa courbe de croissance à l'âge de six mois si bien qu'à un an, il a avait la taille d'un garçon de deux ans et à deux ans, il mesurait un peu plus d'un mètre, ce qui explique pourquoi il a marché tard et ce qui m'a valut une belle amende dans le Transilien un jour car le contrôleur me soutenait mordicus que mon fils avait quatre ans, alors qu'il en avait à peine deux. Sa grande taille fait qu'il doit sans arrêt justifier de son âge et comme il a une façon bien particulière de s'adresser aux gens du fait de son trouble du comportement, cela ne rend pas les choses faciles mais il ne complexe pas sur sa grande taille.
-
J'ai l'impression de voir mon fils face à ses copains (il mesure 1,61 mètre à dix ans alors que ses copains ne dépassent pas 1,35 mètre).
-
Pas que sur le temps de parole en période électorale. Quand une chaîne se porte candidate pour l'attribution d'une fréquence sur la TNT, elle doit remplir un cahier des charges en matière de programmation et de diffusion, même si elle peut avoir une dominante dans ses programmes (ce qui n'est pas interdit). Si son cahier des charges correspondant aux critères édictées par l'ARCOM, elle a une concession d'une durée déterminée avant le renouvellement de celle-ci. Mais l'attribution d'une fréquence de la TNT n'est pas un dû, elle est conservée aussi longtemps que son cahier des charge en matière de programmation est respectée. Si ce dernier n'est pas respecté, l'ARCOM lance un mise en demeure à la chaîne concernée pour qu'elle rectifie le tir pour se confirmer à son cahier des charges.
-
C'est RMC STORY qui a repris le canal 23 de la chaîne NUMÉRO 23 dont l'autorisation d'émettre n'a pas été renouvelé, il doit y avoir de ça moins de dix ans, car elle n'avait pas respecté son cahier des charges en matière de diffusions de programme (sur la fin, il n'y avait que des émissions sur le paranormal et le tatouage). Pour ce qui est de FRANCE O, sur le canal 19 de la TNT, c'est un choix de FRANCE TÉLÉVISION de supprimer la chaîne qu'elle n'estimait pas rentable au vue de moyens alloués (les joies de l'audience).
-
Ces deux termes ne n'étaient pas destinés en particuliers, mais à ceux qui pense à de la censure de la part de l'ARCOM pour le non renouvellement des autorisation d'émission des deux chaînes dont il est question dans ce sujet.
-
Dans cette histoire, il n'est pas question de censure, mais de deux chaînes qui n'ont pas respectés le cahier des charges de diffusion de programmes et de programmation, malgré les relances de l'ARCOM, qui leur avaient permis de pouvoir émettre sur une fréquence de la TNT. Ce qui fait que leur autorisation d'émission sur les fréquences en question n'a pas été renouvelé. Peu de personne ne s'est ému quand la chaîne Numéro 23 de la TNT, sur la fréquence en question, a cessé d'émettre pour la même raison. Dont parler de censure à tout va...
-
C8 et NRJ 12 n'ont pas vu leur concession sur la TNT renouveler car ils n'ont pas respectés le cahier des charges qui leur ont permis d'émettre sur la TNT. Faut arrêter de voir de la censure et de propagande partout.
-
L'attribution d'une concession pour émettre sur une fréquence de la TNT n'est pas un dû pour les propriétaires de chaînes de télévision. Il y a un cahier des charge à respecter et si ce cahier des charges n'est pas respecter, malgré les relances de l'ARCOM, la sanction tombe : le renouvellement de la concession pour émettre n'est pas renouvelé. Les deux chaînes en question n'ont pas respectés le cahier des charge qu'elles s'étaient engagées à respecter lors de leur attribution d'une autorisation d'émettre sur la TNT, malgré les nombreuses relances de l'ARCOM, dont à un moment donné, la sanction tombe. C'est ce qui est arrivé à la défunte chaîne numéro 23 qui émettait sur le canal 23 de la TNT et cela n'a pas gêner grand monde, à l'exception des amateurs de tatouages. Faut arrêter de voir de la censure là où il n'y en a pas.
-
En 1987, les concessions des deux chaînes télés qu'étaient TV6 et La Cinq avaient été cassé pour cause d'irrégularité dans leur attribution et si la défunte La Cinq tenu par Berlusconi et Hersant (avant que ce dernier retire ses billes de l'affaire car voyant le déficit s'accroître et que pour les refiler à Jean-Luc Lagardère qui souhaitait avoir une chaîne de télé) était parvenu à sauvait sa concession (avant de disparaître en avril 1992), ce ne fut pas le cas de TV6 dont la concession a été attribué à M6. Là aussi, les spectateurs sont plus ou moins restés sur le carreau (Berlusconi a trouvé la bonne idée de vendre une grande partie de son catalogue à TF1 qui avait été privatisée en 1987 et que les nombreux dessins animées du catalogue ont fait les heures de gloire du Club Dorothée).
-
Les fous dangereux ne sont pas internés avec les autres malades, mais ils sont placés dans des unités fermées où leurs faits et gestes sont très contrôlés et où les sorties, même encadrer, sont très contrôlés (le personnel doit savoir à n'importe quel instant om est le patient et son accompagnateur). Je sais, j'ai déjà du appeler deux fois les pompiers, dont une fois à sa demande car nous ne pouvions plus gérer sa crise psychotique. Crise délirante mais pas violent.
-
Dans le cas qui m'intéresse, je pense que c'est une dépression, au départ qui n'a pas été traité comme tel mais par une schizophrénie, qui a dégénéré au fil du temps car ayant été traité comme une schizophrénie pendant plus de vingt ans. Le diagnostique de départ a été erroné et depuis, personne ne sait exactement ce que c'est, mais quand la crise arrive, on ne sait plus vraiment quoi faire.
-
Je vois la situation de mon point de vue, celui d'un aidant qui écume l'hôpital psychiatrique depuis dix ans car l'un de mes proche connaît les épisodes psychotiques qui peuvent le conduire en hospitalisation pendant des semaines avec un personnel qui se débrouillent avec le peu de moyens dont ils disposent, et ce n'est pas mieux pour le suivi extérieur. Je fais un constat par rapport aux différentes situations que j'ai observé.
-
Il n'y a pas un problème de sécurité concernant la psychiatrie, il y a un GROS problème concernant la prise charge psychiatrique et les différentes pathologies psychiatriques et l'enfermement est la solution ultime quand on n'a pas le temps et les moyens de soigner correctement les patients sortant du cadre. Qu'on mette déjà les moyens dans les différents secteurs de santé afin que les patients puissent être pris en charge correctement et qu'il y ai une véritable coordination entre les différents services et que les grands pontes médicaux laissent leur égo de coté pour soigner au mieux les patients.
-
Les patients psychiatriques qui sont dangereux se retrouvent en UMD qui sont des unités fermées spécifiques mais là aussi comme les moyens manquent, ils sont "remis en liberté" pour pouvoir laisser la place à d'autres. Ce n'est pas parce qu'il y a une dizaine de patients dangereux (qui sont dans des unités fermées dont très peu mobiles) qu'il faut parquer tous les patients d'un hôpital. Dans cette situation, pour que les gens puissent profiter des jeux du Cirque, on préfère parquer des personnes fragiles au lieu d'engager des moyens dans leur rétablissement.
-
Peut être parce que certains parlent d'expérience car travaillant dans le milieu psychiatrique, soit parce que vivant avec une personne ayant un trouble psychiatrique et qui connaissent les problèmes et les carences de suivi des patients dans un secteur (mais ce n'est pas le seul) qui manque de moyen pour les suivre efficacemen sans tomber dans les clichés du "malade psy".
-
Voilà le type de propos que j'entends en permanence quand on n'est pas confronté quotidiennement à une pathologie psychiatrique et qui font des ravages dans les familles car les gens ne les connaissement mais restent avec leurs à priori. Et j'adore qu'on me prête des propos que je n'ai pas.
-
Coucou par ici, Après être tomber coup sur coup sur deux sujets évoquant des personnes souffrants de troubles psychiatrique, étant internées ou récemment sorties de structures, qui sont représentées comme dangereuses pour la société, mais peu de personne s'interrogent sur le suivi de ces patients après leur sortie d'hospitalisation (car il faut libérer les lits quand le patient semble aller mieux). Pour commencer, toutes les personnes souffrants de troubles psychiatriques ne sont pas des criminelles en puissance mais des personnes malades qu'on ne parvient pas toujours à soigner, ou du moins, à atténuer leurs souffrances, car il y a un manque important de moyens dans la psychiatrie français, quand humains que matériels (tout comme dans les autres spécialités médicales, tant en milieu hospitalier qu'en milieu libéral) pour pouvoir suivre correctement les patients. Pour les patients ayant une activité professionnelle (et oui, il y a des malades psychiatriques qui ont une activité professionnelle) mais dont les horaires de consultations ne conviennent pas avec les horaires des CMP, la situation peut devenir compliquer pour un suivi régulier sans se mettre en porte-à-faux avec son employeur. De plus, en FRANCE, comme nous ne connaissons pas vraiment les pathologies psychiatriques et quand on se retrouve face à cette problématique, il est plus facile d'enfermer les malades sans vraiment s'interroger sur sur la nature de sa pathologie et nous ressortir les bons vieux clichés du patient parano ou schizo car la maladie fait peur (ce qui peut se comprendre). Mais avec peu de médecins pour un nombre de malades qui ne fait s'exploser (le confinement dû au COVID-19 n'a pas arrangé la situation), il est de plus en plus facile de passer à côté de quelque chose. Et il y a des médecins qui n'écoutent pas leurs patients et restent dans leurs "préjugés" sur telle ou telle pathologie. Est-il normal qu'une personne souffrant de troubles psychiatriques doit avoir un RDV tous les trois mois avec son psychiatriques par manque de temps et de structures ? Est-il normal que les places en hôpital de jour se face ce plus plus rares pour des personnes nécessitant une prise en charge complète ? Est-il normal qu'un patient perde son emploi après une longue hospitalisation car le traitement prescrit ne permet pas à ce patient de pouvoir assurer son travail correctement ? Voici ce que j'avais à dire sur une situation qui ne devrait pas exister. Bonne lecture à tous.
-
Qui pour gouverner après le 7 juillet?
Noisettes a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans Politique
En cas de démission du Président de la République, c'est le président du Sénat, et dont Gérard Larcher, qui assure l'intérim le temps d'organiser de nouvelles élections présidentielles. Cela est arrivé deux fois sous la Ve République : lors de la démission de De Gaulle en 1969 et à la mort de Pompidou en 1974 et ce fut Alain Poher qui assura l'intérim lors de ces deux "vacances" du pouvoir présidentielle (ce qui est pour le moins ironique car il s'était présenté aux présidentielles de 1967 face à De Gaulle, mais avait perdu, mais c'est retrouvé par deux fois Président de la République française par intérim du fait de son statut de président du Sénat). -
Coucou par ici, Voici la dernière mise à jour du défi : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1-eKVkajypth6JxcdgkLq7sZ0inoiOAYlytMYPEp3ZG0/edit?usp=sharing De plus, je vais me relancer dans la course maintenant que mon mari est sorti de son hospitalisation et que le petit est en vacances, je vais avoir un peu plus de temps pour m'y remettre.
-
[QUIZ] L'argot dans les chansons de Renaud
Noisettes a répondu à un(e) sujet de konvicted dans Musiques
Je viens de terminer ce quiz. Mon score 10/100 Mon temps 121 secondes -
Je viens de terminer ce quiz. Mon score 50/100 Mon temps 87 secondes