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Tout ce qui a été posté par Noisettes
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Pas toujours Javade. Pour en revenir au sujet, le problème est celui de la misère que connaissent les populations Roms dans leur pays d'origine et le fait que les réseaux mafieux savent utiliser à leur profit la misère de leur concitoyens.
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A partir du moment que les jeunes Roms sont en France, les lois françaises s'applique également à eux, et en France, la justice ne peut rien contre les mineurs de moins de 13 ans, et cela, les réseaux le savent et pour eux, c'est tout bénef'.
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LES ROMS NE SONT PAS SEULEMENT ORIGINAIRES DE LA ROUMANIE, MAIS D'UNE GRANDE PARTIE DE L'EUROPE DE L'EST. Désolée de crier, mais certains devrait un peu faire de la géographie de la population et de sa répartition dans l'espace.
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La problème est au niveau européen. Je ne sais plus si la Roumanie fait partie de l'espace Schengen, mais si cela est le cas, aucune loi n'interdit les Roms, qui est une population nomades depuis des siècles et des siècles, de se déplacer librement dans toute l'Europe. Ensuite, il faut savoir faire la différence entre les gens du voyage, dont les Gitans font partie sans pour autant être des Roms, et les réseaux de délinquance des Roms provenant de l'ancien bloc de l'Est. Et ces réseaux savent qu'en utilisant des mineurs pour commettre des délits, la justice française est impuissante. Et ce sont au pays dont originaires les communautés Roms, comme la Bulgarie, la Roumanie, la Russie ou la Serbie, sans oublier le KOsovo, de faire en sorte que ces communautés puissent décemment et sans être discriminations de la part des populations de leur pays d'origine. Et peut-être qu'on résoudra une partie de la délinquance juvénile roumaine car les réseaux se nourrissent de la pauvreté des Roms.
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Voici les livres que j'ai lu (en bleu) ou que je suis en train de lire (rn violet) et que je vais lire (en vert), de Dan Franck et de Jean Vautrin avec comme héros principal Blèmia Borowicz, dt Boro! La dame de Berlin Le temps des cerises Les noces de Guernica Mademoiselle Chat Boro s'en va en guerre Cher Boro La fête à Boro La dame de Jérusalem
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Coucou chers amis lecteurs du Mag, Dans le dernier numéro, nous avons laissé l'inspecteur Juve face à un échec lors de l'évasion de Fantômas la veille de son exécution. Dans ce deuxième tome des aventures de Fantômas, Juve, avec la complicité de son ami et collaborateur Jérôme Fandor, regroupe tous les éléments qu'il a pour mettre la main sur son grand ennemi qu'est Fantômas. Cet épisode, dont le titre est Fantômas contre Juve, est composé de quatre parties. 1e partie : La catastrophe du Simplon Express L'inspecteur Juve est dans son bureau à la Sûreté, lieu où il accumule toutes les preuves qu'il a en sa possession pour parvenir à arrêter Fantômas, quand arrive Jérôme Fandor, jeune journaliste au quotidien "La Capitale". Un peu plus tard, un agent entre dans le bureau avec une missive informant Juve qu'un corps avait été identifié comme étant celui de Lady Beltram, la maîtresse de Fantômas. Elle aurait été retrouvé chez un certain monsieur Chaleck, médecin de profession. Juve pense instantanément que la mort de Lady Beltram est plus que probablement imputable à Fantômas. Cependant, Juve et Fandor se lancent sur la piste du docteur Chaleck, gardant en tête que Chaleck peut être un éventuel complice de Fantômas, ou, pourquoi, Fantômas lui-même. Chaleck, ignorant qu'il est suivi par Juve et Fandor, prend une voiture pour se rendre dans un quartier populaire de Paris. Pendant le trajet, l'honorable médecin change de tenue pour revêtir la tenue d'un homme inquiétant. Il sort de la voiture, fait quelques pas, et va rejoindre une prostituée, du nom de Joséphine, qui lui remet, ce qui apparaît être, à première vue, une lettre qu'elle a substitué son amant du moment, monsieur Martiale, représentant en vin pour la firme Kessler et Burru installée à Bercy, qu'une firme de vin suissesse adresse à la firme pour laquelle il travzille pour sceller un contrat entre elles par le versement d'un acompte liquide. Joséphine informe Chaleck, qui est Fantômas, du jour de départ de monsieur Martiale et des 500 000 francs en liquide qu'il transportera sur lui. De plus, elle lui apprend que monsieur Martiale veut qu'elle soit du voyage car il est sous son charme. Ils se séparent pour mettre à exécution la suite de leur plan, qui est de mettre la main sur l'importante somme d'argent que monsieur Martiale va transporter sur lui. Ce que Joséphine et Fantômas ignorent, c'est que Juve et Fandor les pistent. Alors que l'inspecteur Juve décide de pister fantômas, Jérôme Fandor piste la jeune Joséphine. Si Juve perd rapidement la trace de Fantômas car lui-même a été pisté par l'un des nombreux hommes de main du criminel, qui crève le pneu de la voiture dans laquelle il a pris place, Fandor a plus de chance avec Joséphine. Celle-ci se rend chez elle pour se préparer à rejoindre son amant à la gare de Lyon, Fandor s'installe à une terrasse de café en attendant qu'elle reprenne la route et en profite pour écrire un message rapide à l'intention de l'inspecteur Juve pour le tenir informer de la suite des événements. Joséphine rejoint monsieur Martiale sur le quai de départ de la gare de Lyon quelques minutes du départ du train, suivie à bonne distance par Fandor. Cependant, deux hommes se trouvent également sur le quai à bonne distance du couple, et ces deux hommes ont un aspect pour le moins bizarre. Le couple prend place dans un compartiment de première classe qui se situe dans wagon arrière du train, ainsi que Fandor. Les deux hommes eux, prennent place dans un compartiment à l'avant du train. Au milieu du voyage, trois hommes se dirigent vers les compartiments de la première classe, et Joséphine, qui est installée avec son amant, qui dort, invite ce qui semble être ses complices dans son compartiment et déleste monsieur Martiale de son portefeuille qui contient les 500 000 francs pour la transaction qu'il doit effectuer en Suisse. Fandor, qui est installé dans un compartiment voisin, est également volé par ces hommes. En quittant le wagon, Joséphine et ses complices décrochent le wagon du reste du train en laissant Jérôme Fandor et monsieur Martiale. Mais comme le train monte une pente dans les montagnes alpines, le wagon, qui a été détaché par Fantômas et ses complices, redescend rapidement la pente, obligeant Fandor et Monsieur Martiale de sauter hors de celui-ci lors d'un ralentissement dans sa course. Alors que le wagon descend rapidement la pente, le Simplon Express monte la même chaîne de montagnes et l'express en direction de l'Italie rentre en collision avec le wagon, faisant de nombreuses victimes. Pendant ce temps, Fantômas et ses complices se retrouvent dans un endroit isolé pour prendre possession de leur larcin, mais quelle n'est pas leur surprise lorsqu'ils découvrent, en ouvrant le portefeuille de monsieur Martiale contenant les billets de banque, que ceux-ci sont coupés en deux, avec un mot accompagnant le pourquoi du comment. Malgré la déception des malfrats, Fantômas ne se laisse pas abattre par cet échec et file en direction d'un bureau de poste pour envoyer deux télégrammes qu'il signe de la part de Juve pour celui à destination de Fandor et de Fandor pour celui à destination de Juve. Dans ces deux télégrammes, les deux amis se donnent rendez-vous aux entrepôts Kessler et Burru à Bercy car leur enquête progresse. Juve et Fandor se rendent au rendez-vous, pensant chacun avoir reçu le télégramme de l'autre. Tous deux sont armés et se tirent dessus avant de comprendre qu'ils ont été bernés. Les complices de Fantômas quittent leur cachette et tirent sur les tonneaux remplis d'alcool qui prennent feu, encerclant ainsi Juve et Fandor. Pour s'en sortir vivants, Juve et Fandor se jettent dans la Seine. 2e partie : « Au Crocodile » Après l'accident du Simplon Express et la tentative d'assassinat sur la personne de l'inspecteur Juve et de Jérôme Fandor, Joséphine et le docteur Chaleck ont disparus de la circulation. L'inspecteur Juve et Fandor se rendent dans un restaurant nommé "Au Crocodile". Mais ce qu'ignorent Juve et Fandor, c'est que Joséphine et le docteur Chaleck sont également présents dans le restaurant. En effet, à la table à côté de la leur, Fandor reconnaît sous les traits de sa voisine de table la jeune Joséphine, complice du docteur Chaleck. Fandor présente la jeune femme à l'inspecteur Juve qui la questionne pour savoir où se trouve Chaleck. Le docteur Chaleck est lui aussi présent dans le restaurant, dînant en compagne de deux femmes de la haute société parisienne. Juve décide de faire savoir au docteur Chaleck que, non seulement il est présent sur les lieux, mais qu'il sait qui il est réellement. Pour cela, il fait passer sa carte à un serveur qui la transmet au docteur tout au demandant à ce dernier d'être discret sur son identité. Fandor et Juve quittent le restaurant alors que le serveur transmet le message de l'inspecteur Juve au docteur Chaleck. Celui-ci reçoit le message de l'inspecteur Juve, quitte les deux femmes momentanément et se dirige vers la sortie du restaurant en passant par le vestiaire pour récupérer son manteau pour rejoindre les deux hommes. L'inspecteur Juve et Fandor capturent le docteur Chaleck, qui n'est autre que Fantômas, mais ce dernier leur fausse compagnie car son manteau comportait des faux-bras et file retrouver les deux femmes avec lesquelles il dînait. 3e partie : La villa hantée Alors que son amant est en liberté, Lady Beltram, après avoir été jugée pour complicité de meurtre sur la personne de son époux, vit dans un couvent, loin du monde, et elle refuse de reprendre contact avec son amant. Cependant, elle reçoit un message de Gurn dans lequel il exprime son souhait de la revoir, et son étonnement de savoir qu'elle met en vente sa villa de Neuilly. Elle est pensive face à ce message, mais elle décide d'accéder à la requête de son amant. Elle se présente le mercredi suivant, peu avant minuit, devant son ancien domicile dans lequel elle rentre par une porte dérobé donnant accès au jardin. Alors qu'une inquiétude la saisie, Gurn, lui, l'attend paisiblement dans la chambre à coucher. Après des retrouvailles pour le moins particulières, Gurn reprend de l'ascendance sur sa maîtresse et exige d'elle qu'elle se rende à la villa tous les mercredis à minuit et Lady Beltram ne peut rien faire que d'accéder à la volonté de son amant. Si Lady Beltram renoue malgré elle avec son ancien amant, Juve et Fandor apprennent que la villa de LKady Beltram est à vendre, et à partir de cet élément, ils décident de reprendre leur enquête à zéro. En effet, ils se présentent à la villa comme étant deux possibles acquéreurs et cela leur permet de visiter la villa de fond en comble. La visite de la villa conduit Juve et Fandor dans la chambre à coucher et l'inspecteur remarque qu'une plume posée sur le bureau a été utilisée récemment. C'est alors que le gardien de la villa leur apprend que la villa est hantée et que tous les mercredis vers minuit, la chambre est éclairée et qu'il y a des bruits de pas qui raisonnent dans cette même pièce. Fandor et Juve rigolent de cette situation, mais leur attention est attirée par la grille du chauffage central de la maison qui se situe dans le sous-sol de la villa. Les hommes visitent le sous-sol et plus particulièrement de la citerne d'eau qui recueil les eaux de pluie. Juve et Fandor quittent la villa, mais décident d'y revenir le mercredi suivant pour percer l'énigme de la présence dans la chambre. Lady Beltram, qui a toujours des sentiments pour Gurn, lui dit qu'il leur est encore possible de vivre une vie heureuse en quittant cette vie faite de crime. Ce à quoi Gurn répond positivement, mais avant cela, il doit supprimer l'inspecteur Juve et que cela doit être fait dans quatre jours au plus tard. Ce que Gurn et Lady Beltram, qui est embarrassée par ce projet, ignorent, c'est que l'inspecteur Juve et Fandor sont cachés dans le conduit du chauffage central et qu'ils ont écoutés toute la conversation. Juve, au courant des projets que nourris pour lui Gurn, alias Fantômas, se protège au mieux et demande à Fandor d'être présent lors de la tentative d'assassinat, en se sachant dans une malle en rosier se trouvant au pied du lit de Juve. Il se prépare pour la nuit en revêtant un gilet de pics, ouvrant la fenêtre de sa chambre avant de se coucher. Peu avant l'aube, une voiture se dirige devant l'immeuble dans lequel vit Juve et s'arrête sous la fenêtre de sa chambre. De cette voiture sort un serpent qui prend la direction de la chambre dans laquelle il pénètre sans difficulté avant de tenter d'étouffer l'inspecteur. Le tumulte que fait Juve, en appelant Fandor à l'aide, fait fuir le reptile qui repart par la fenêtre. 4e partie : L'homme noir Fantômas a trouvé refuge dans la villa de Lady Beltram, là où il pense que les policiers ne le trouveront pas ici. Mais Juve et Fandor savent où le trouver. Il pose des bâtons de dynamite sur le compteur électrique se situant dans le garage, en vue de faire sauter la villa si cela s'avère nécessaire. Juve et Fandor investissent la villa afin de procéder à l'arrestation de Fantômas. Alors que les policiers fouillent la villa de fond en combe afin de le trouver, Fantômas trouve refuge dans la citerne d'eau de pluie. Juve arrive au sous-sol avec des hommes, mais il n'y a personne, mais l'inspecteur ressent une présence dans la pièce. L'ordre est donné aux agents d'allumer le chauffage centrale afin de faire sortir l'homme qui a du trouver refuge dans le conduit, comme l'avait fait précédemment Juve et Fandor. Mais c'est le serpent qui a été envoyé chez Juve qui sort du conduit et qui est tué. Les hommes de la Sûreté sont tous dans la villa, Fantômas sort de sa cachette et court vers le garage où il actionne le dispositif explosif qu'il a mis en place. Il fait exploser la villa, pensant que Juve a péri dans l'explosion.
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Si une majorité de la population pense que les enseignants sont des glandeurs, une majorité de cette même population pense aussi que l'abolition de la peine de mort a été une sottise. Ce ne sont pas les enseignants qui doivent être attaqués, mais la hiérarchie qui fait des trucs n'ayant ni queue ni tête...
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Si les petits Français sont des cancres en langues étrangères, c'est parce que l'enseignement donné n'est pas adapté. Merci aux technocrates...
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Les profs ont un salaire sur neuf mois, pas sur douze, et il est loin d'être mirobolant...
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Quelque chose que les personnes qui cassent du sucre sur le dos des enseignants ne connaissent pas l'envers du décor et le travail que font certains de ces mêmes enseignants pour hisser leurs élèves au maximum de leur capacités. Pourquoi y a-t-il autant de dysfonctionnements au sein même de l’Éducation Nationale? Les enseignants ne sont pas les seuls responsables, mais les subissent de plein fouet...
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Si justement, ce sont eux qui font ressortir les véritables problèmes de l'institution, mais personne ne les écoutent, comme souvent. On leur casse du sucre dessus alors qu'ils ne font d'appliquer ce que leur ministère leur demande de faire, mais avec peu, voire pas de moyens.
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Au lieu de critiquer les enseignants à tout bout de champ, faudrait peut-être remettre en cause des décisions de technocrates qui n'ont jamais mis un pieds dans une salle de classe avec des gosses qui deviennent de plus en plus gérer...
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Habillage du forum dégueulasse
Noisettes a répondu à un(e) sujet de Fuel4Life dans Aide et Suggestions
Quand j'ai le Forum qui se présente comme cela est ton cas actuellement, chez moi, c'est plus un problème lié à ma connexion internet... -
Habillage du forum dégueulasse
Noisettes a répondu à un(e) sujet de Fuel4Life dans Aide et Suggestions
Aucun souci de mon côté... -
Je te mets au défi de passer une semaine dans une classe avec des gosses qui se foutent de ce qu'on peut leur apprendre des parents soutenant leurs rejetons dans l' "injustice" de la notation, une administration qui ferment les yeux sur les problèmes rencontrées par les enseignants, une médecine du travail inexistante qui pourrait détecter les cas de graves dépressions et l'alcoolisme sans oublier des réformes qui ne tiennent pas la route... Et ensuite, on en discutera.
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Si les profs ont beaucoup de vacances, ils ne sont payés que neuf mois sur douze, n'ont pas de médecine du travail et sont aussi méprisés de la part de leur hiérarchie que de la société.
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Peut-être que si les enseignants étaient soutenus par leur hiérarchie, on arrivera à quelque chose, au lieu de faire des réformes qui n'ont ni queue ni tête. Et je ne suis pas pour un apprentissage exclusif de l'anglais dans les petites classes, mais que le choix des langues soit diversifier. Personnellement, je m'en sors très bien en italien et en allemand (mais je ne sais pas ce que cela vaut en Italie et en Allemagne) et pas du tout en anglais, bien que j'arrive à me faire comprendre des touristes anglophones quant ils me demandent un renseignement.
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Une langue s'apprend plus par la pratique que par la théorie. Et tout porter sur la grammaire c'est pas le mieux. Car un touriste perdu à Paris se moque que la personne qui peut lui donner un coup de pouce pour s'orienter parle l'anglais de Shakespeare, ce qui l'intéresse, c'est que l'autre puisse l'orienter avec des phrases simples et pratiques...
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Ce n'est rien d'étonnant quand on voit que les cours se base essentiellement sur la grammaire d'une langue que sur un échange dans la langue étudiée.
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Coucou Pense-bête.
Oui, tout va pour le mieux, mon étonnement.
Bonne soirée à toi et à plus tard si je passe par le tchat ce soir.
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Bon anniversaire Astrono
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L'Histoire ne se fait pas sur des bases politiques. Mais elle est manipulable par les idéologies politiques. Et c'est bien pour cela que l'historien doit rester loin de la politique pour faire un travail efficace et non partisan.
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Les politiciens n'ont pas s'occuper d'Histoire et les historiens n'ont pas à faire de la politique dans leurs recherches...
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Pour certains, l'historiographie ne peut rien dire. Et les faits historiques sont soumis à une analyse critique quand de nouvelles sources sont leur apparition sur la table des chercheurs. Un fait historique est valable si tous toutes les sources en présence confirment sa réalité. Et cela est le travail de l'historien...