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Noisettes

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Tout ce qui a été posté par Noisettes

  1. Quel est le souci avec les prostituées ? En France, on est assez hypocrite sur la question.
  2. Théoriquement, tu peux faire médecine avec n'importe quel bac, mais en pratique, c'est une autre histoire. En première, tu as encore des enseignements scientifiques que tu passes en épreuves anticipés du bac à la fin de la l'année (maths-informatique, physique-chimie et SVT).
  3. J'ai bien dit qu'on faisait encore de la physique en première L, pas en terminale. Et pour être passé par une section littéraire, je sais ce qui est enseigné. Et relis mon post sur la question... :cool:
  4. L'expérience, à ce qu'ils disaient. Mais je suis ravie d'avoir mis leur théorie en pièce.
  5. C'est que tu as eu de la chance. Moi, quand j'étais en primaire, on a dit à ma mère que j'avais j'aurais une scolarité et qu'il n'était pas question qu'elle espère que j'aille au lycée, passée mon bac et intégré la fac. Avis auquel elle s'était rangée. Et pourtant, je suis allée au collège, au lycée en filière générale, après avoir perdu une année supplémentaire en filière technique, avoir passé mon bac (bon, j'ai mis quatre ans pour l'avoir, mais bon) et là, je suis en L3 d'histoire-géographie et que compte bien aller au master. Si personne ne croit en toi, crois en toi toi-même.
  6. En première L on fait toujours de la physique-chimie, mais celle-ci est plus que basique et n'est d'aucun recours pour une filière scientifique. Et comme je le dit, chaque cas et particulier et je ne m'en sert pas pour faire des généralités. Mais ces cas particuliers (et j'en ai connu pas mal) révèle par moment l'incohérence du système éducatif éducatif qui est prêt à sacrifier une minorité au profit d'une majorité. Et j'en ai fait les frais tout au long de ma scolarité. Ensuite, est-ce que l’Éducation nationale et la société sont-elles capables de mettre en place des méthodes d'enseignements différents pour ces enfants, comme cela est déjà le cas (mais cela est récent) avec les enfants surdoués et les enfants atteints d'un handicap. Pour ce qui est de mon amie, je ne sais pas si elle a été mal orienté après la primaire, mais pour une matière qui bloque, les enseignants feront tout ce qui est capable pour mettre cet enfant hors du circuit traditionnel. Mais elle, elle a réussi, malgré ses difficultés, a suivre la voie qu'elle avait décidé, quitte à prendre des chemin de travers.
  7. La condition de la femme a bien changé depuis la chute de Ben Ali et l'arrivée au pouvoir des religieux. Et en France, on a encore le droit de manifester quand on est pas d'accord avec quelque chose sans avoir peur de se retrouver derrière les barreaux pour un temps plus ou moins long.
  8. Le problème est là : certaines autorités (religieuses et/ou politiques) estiment que leur lecture et leur interprétation des textes sacrés est la bonne et qu'ils doivent l'imposer à tous. Alors que la religion est une relation personnelle entre le croyant et Dieu.
  9. La religion est une question d'interprétation à laquelle on adhère ou pas...
  10. Elle a fait deux années de médecine avec son bac techno et j'ai vue, non seulement le boulot qu'elle devait fournir, mais les efforts qu'elle a du faire pour remonter au classement lors de la deuxième année de première année. De plus, certains cours qu'elle avait en première année de médecine reprenait des choses, au niveau de la bio-machin-chose (je ne me souviens plus de l'intitulé du cours) qu'elle avait déjà vue en première et approfondit en terminale. Ensuite, qu'elle se soit planté en médecine est une autre histoire. Mais elle est parvenu à son objectif initial, bien qu'elle ne sera jamais médecin. A la place, elle bosse dans un labo et elle en est ravie. Et si, en STL, elle avait des cours de physique, de chimie et de biologie, le plus gros de son emploi du temps. C'est sûre qu'elle a bossé comme une folle pour rattraper son retard.
  11. J'ai une amie qui a fait sa scolarité en SEGPA, qui est allée en filière pro biologie pour réussis à être admise en STL (Section des Technologies de Laboratoire) biologie, a passé son bac STI, a fait deux années de médecine (la première année) avant de se retourner vers une BTS biologie de labratoire. Et actuellement, elle travaille au sein d'un grand hôpital francilien. Ensuite, si elle a eu ce parcours, c'est parce que sa famille, et ses parents tête (et ils ne sont pas Français, bien que son père connaisse un peu le système éducatif) l'ont toujours soutenus ainsi que l'une de ses enseignantes en SEGPA. Mais cela, malheureusement, est rarement le cas pour une majorité d'enfants dont les parents préfèrent prendre en compte l'avis des enseignants que de comprendre pourquoi les enfants ont beaucoup de mal à apprendre à l'école. Pour moi, mon inadaptation au système scolaire a été compris trop tardivement, bien que ma prof principale de 3e se soit douté un peu. Mais sans elle, je ne serai pas là où j'en suis au niveau des études...
  12. Les FENMEN France, franchement, je n'en vois pas l'intérêt... Brûler son soutiens-gorge en place public est une chose, se balader la poitrine à l'air avec des écrits pour le moins douteux en est une autre.
  13. Personnellement, j'ai beaucoup de mal avec les mouvements féministes et celui-ci me pose problème.
  14. Je vais prendre mon parcours universitaire. Je suis le 3e année d'histoire-géographie. Et quand je dis que je suis dans cette filière, la première question qu'on me pose est celle-ci : "pour devenir prof". NON, NON, et triple NON. Si je suis allée en histoire-géographie (qui est une formation lourde) c'est parce que j'étais incapable de choisir entre l'histoire et la géographie et que mon projet professionnel initial, qui était de devenir journaliste, a évolué au fil du temps par j'ai découvert, avec la géographie, des débouchés professionnels insoupçonnées que j'ai énuméré dans un topic. Il fait que les gens changent leur manière de penser et arrêter de dire que les étudiants en fac sont des glandeurs (je passe plus de temps dans les bibliothèques et dans les cafés) et ces mêmes gens arrêtent d'envoyer des jeunes dans les filières bouchées (ce qui est le cas de l'histoire). Mais la formation intellectuelle en histoire est quelque chose de nourrissant.
  15. Noisettes

    Littérature

    Si elle pouvait m'être utile lors des examens, ce serait le top. Mais ce n'est pas le cas.
  16. Une allergie alimentaire, c'est quoi à ton avis ? Du vent. Si les cantines scolaires refusent de prendre en charge un enfant avec une allergie alimentaire facile à gérer, elle ne va pas prendre en charge un enfant avec un régime alimentaire particulier. On en vient à un problème de gestion qui les autorités refusent de prendre en charge. Comme quoi le fric est plus important que le bien-être d'un enfant.
  17. Noisettes

    Littérature

    Coucou amis lecteurs, Le mois dernier, nous avons laissé Boro qui s'est enfin décidé à donner de ses nouvelles à sa cousine, l'actrice Maryika Vremler qui est installée à Berlin et qui a des ennuis avec les S.A. en la personne du jeune aristocrate prussien Frierich von Riegenburg. La troisième partie du roman s'ouvre sur la ville de Berlin qui est en effervescence. La campagne électorale pour le renouvellement des députés du Reichtag bat son plein, avec les partisans du parti communiste et ceux du parti national-socialiste qui s'affrontent dans les rues. En plus, l'été est très chaud. Pendant ce temps, Maryika erre dans son appartement berlinois ayant pour seule compagnie sa domestique, Martha. En cette période de l'année, sa carrière professionnelle ralentit et ses relations sont indisponibles, que ce soit Wilhelm Speer, Barbara Dorn, sa doublure lumière ou Leni Riefensthal. De plus, son cousin ne répond pas aux lettres qu'elle lui envoie. Et depuis ses mésaventures avec les S.A. et Frierich von Riegenburg l'ont plongée dans une sorte de dépression. Martha qui trouve la situation pesante, suggère à Maryika de prendre un amant ou de reprendre contact avec le jeune Prussien pour qu'elle puisse voir du monde. Cependant, Martha, est une jeune femme issue de la campagne est captivée par Berlin et la somme de connaissance qu'elle abrite. Elle demande à Maryika si elle peut lui emprunter un livre, ce à quoi Maryika répond par l'affirmative, à la grande satisfaction de la domestique qui lui avoue sans détour qu'elle se serait servie si la réponse aurait été négative. Maryika lui demande de descendre pour essayer de trouver le marchand de glace, ce à quoi la jeune s’exécute. Au même moment, un orage se met à éclater et le téléphone sonne. Martha décroche, et Maryika pensant que c'était son galopin de cousin, demande si c'est Paris avant que Martha lui dise que c'est Friedrich von Riegenburg qui est au bout du fil. Elle prend la communication, mais à contrecœur. Ce dernier lui apprend qu'il doit se rendre à un dîner avec les dirigeant du NSDAP et qu'elle doit l'accompagner. Elle tente de résister, mais cela s'avère inutile et elle doit s'exécuter. Alors qu'elle se prépare pour ce dîner où elle n'a pas envie d'apparaître, elle décide de téléphoner à Leni Riefensthal pour savoir où en est le projet de film dans lequel la jeune actrice doit avoir le rôle principal. Son correspondant étant absent, elle retourne à sa coiffeuse et décide de mettre tous les atouts de son côtés pour éviter d'avoir des ennuis avec Friedrich von Riengenburg et ses sbires. Quelques temps plus tard, elle se présente sur le perron de l'hôtel Nürnberg et le jeune Prussien vient à sa rencontre. Il lui prend le bras et la présente à son bras doit, un certain Helmut Krank avant de la présenter aux autres convives présents dans la salle. La jeune femme est choquée par le comportement des femmes de l'assistance, et plus particulièrement de la compagne du bras droit de son bourreau. Celui-ci explique qu'Helmut est peut-être un simple d'esprit, mais il œuvre pour la Grande Allemagne et que sa compagne est une pure aryenne, et non une juive. Ce qui choque Maryika au plus haut point. Au cours de la soirée, il prend des nouvelles de sa carrière, de ses projets futurs comme le film qu'elle doit tourner avec Leni Riefensthal qu'il soit possible que le projet de se concrétise pas et dernier film de Wilhelm Speer qui est en écriture. Maryika comprend, avec le film de Leni Riefensthal, qu'il est capable de nuire à sa carrière. Il n'oublie pas de prendre des nouvelles du cousin Boro, nouvelles que Maryika n'a pas eu depuis son dernier coup de téléphone, il y a de cela quelques mois. Friedrich von Riegenburg dit à la jeune femme de le tenir au courant quand elle aura des nouvelles de son cousin, et plus particulièrement de l'avenir de la pellicule photographique qui n'est pas réapparue. Maryika décide de quitter l'hôtel, ne supportant plus ce qu'elle voit, mais Friedrich von Riegenburg tente de la retenir, en vain. Quelques jours après cette soirée, la jeune femme reçoit un appel de son metteur en scène qui lui annonce que le scénario du film, Der Weg des Todes, est prêt et que le tournage, après que les producteurs aient enfin réussi à trouver les fonds pour le financer, pourra commencer à l'hiver. Maryika est si ravie qu'elle l'invite à dîner le soir-même chez elle. Non seulement elle invite l'homme à qui elle doit sa carrière, mais elle décide de préparer elle-même le repas, au grand étonnement de Martha qui s'étonne qu'elle préfère la compagnie d'un homme âgé à celui d'un grand et beau blond, faisant référence à Friedrich von Riegenburg. Maryika la fait taire. Avant que débute la soirée, Maryika reçoit le coup de téléphone qu'elle attendait de la part de Leni Riefensthal. Celle-ci demande à la jeune femme si elle peut passer la voir pour lui parler du film, ce à quoi la jeune actrice répond par l'affirmative. Il ne faut que quelques minutes à la cinéaste pour arriver chez Maryika. Elle lui annonce qu'elle n'aura pas le rôle dans son prochain film, La lumière bleue, car les producteurs veulent qu'elle joue le rôle principal, en plus de le réaliser. Ce à quoi elle répond que cela l'arrange car le tournage du prochain film de Wilhelm Speer débute un peu près en même temps ce qui explique le dîner en ces murs. Leni Riefenstham prend congé de Maryika. Comme Leni Riefensthal et Wilhelm Speer ne s'entendent pas, Maryika espère qu'ils ne vont pas se croiser dans le vestibule, ce qui n'est pas le cas. Elle propose tout de même à la cinéaste de rester dîner avec eux, ce à quoi elle répond par la négative et qu'elle a d'autres projets pour la soirée. Elle vient à la rencontre de Speer, heureuse de le revoir. Celui-ci lui dit qu'il veut qu'elle lise le scénario en premier et les larmes lui montent aux yeux car non seulement, il lui fait confiance au point de lui confier le rôle principal dans le film, mais en plus, c'est la fin de sa période de solitude et de sa crainte suite aux menaces de Friedrich von Riegunberg. Quelques jours après leur retrouvailles, Speer et Maryika commencent les essais de leur prochain film. Le rôle principal masculin est tenu par un ténor du cinéma allemand, Emil Janning. Alors que Maryika assiste à sa transformation physique en Théan von Hasler, une jeune aristocrate tombée à la déchéance pour l'amour d'un homme, par le talent de sa maquilleuse, Lotte, elle rejoint le plateau où est Gustav Umlauff, l'impressario. Il lit la presse spécialisée qui, loin d’encenser le film, critique le choix de Wilhelm Speer d'avoir choisi une petite maison de production, affiliée au parti communiste, au lieu de tourner son film avec tout les moyens logistiques et humains que la UFA aurait pu mettre à sa disposition. Quelques heures plus tard, une conférence de presse est présente et les journalistes présents s'interrogent sur les choix de Wilhelm Speer qui préfère faire un film sur la condition humaine qu'un film exaltant les valeurs de la Grande Allemagne. Speer explique qu'il refuse de faire de l'idéologie et que si son choix de maison de production a été fait, c'est pour qu'il puisse travailler librement, liberté que la UFA ne lui garantissait pas. Ce qui choque les journalistes. Certains lui reprochent d'entraîner dans sa chute deux des vedettes du cinéma allemands que sont Maryika Vremler et Emil Janning, ce à quoi le réalisateur répond qu'ils ont fait un choix professionnel et qu'il ne les retien pas. Maryka, ayant assisté à la confrontation depuis une pièce plongée dans la pénombre, est en larmes. Martha Kipmüller, la domestique de Maryika, est une jeune femme de vingt et ans venue en ville pour gagner son trousseau de voyage. Elle est originaire de Souabe. Elle a la simplicité et la naïveté de la jeune fille issue de la campagne. Un soir, alors qu'elle était de sortie, elle se rend au cinéma qui, pour elle, doit être quelque chose de divertissant. En général, elle va voir des comédies musicales. Mais ce soir-là, elle va voir un film réaliste à tendance marxiste. Alors qu'une scène terrifiante se présente, elle ferme les yeux et agrippe la veste de son voisin de siège. Elle fait connaissance de cet homme d'une cinquantaine d'années, marié et père de famille, professeur d'histoire et proche des idées marxistes. Elle se rapproche de plus en plus de cet homme dont elle commence à partager les idées politique sur la société prolétaires. La jeune femme s’intéresse de moins en moins à son fiancé, boulanger de profession, resté au pays et dont elle ne donne plus de nouvelles. Et elle s'intéresse de moins en moins son travail, ce qui inquiète un peu Maryika. Si Martha refait le monde avec l'homme qui est devenu son amant, elle ne se doute pas qu'un soir, la mort va venir à sa rencontre une nuit d'octobre. Et le responsable de la mort de Martha Kipmüller n'est autre que Henrich, l'un des homme de mains de Friedrich von Riegenburg et celui qui a terrifié Maryika à Munich. Il est au volant d'une voiture qu'il a volée au niveau de la gare et la mission que lui a donné Friedrich von Riegenburg : attenter à la vie de la domestique de Maryika Vremler sans être pris sur le fait (dans le cas contraire, il sera désavoué par les siens) sans mettre en cause le parti national-socialiste à la veille de grandes élections. Il ne doit pas y avoir de témoin de l'accident. Il connaît parfaitement l'emploi du temps et l'itinéraire de la jeune femme quand elle prend sa soirée pour rejoindre son amant le professeur. Il attend le bon moment pour commettre son forfait. En attendant sa victime, il pense à son histoire, au fait qu'il a commencé à tuer des êtres vivants avec des oiseaux, en débutants avec les pigeons sur le chemin de l'école avant de s'en prendre à ceux de son père biologique (son père officiel était alcoolique et violent avec sa femme, qui elle, avait des aventures avec tous les hommes du quartier) avant de s'aguerrir et de commencer à tuer des hommes. Il reconnaît, en voyant le visage de sa victime, la terreur que celle-ci éprouve quand elle va mourir. Dans le cas de la jeune domestique, il attend le moment opportun pour la renverser, quand elle sera au milieu de la chaussée et qu'elle ne pourra ni reculer, ni avancer. Une fois sa besogne effectuée, il se rend vers une maison avec un jardinet, demande la maîtresse de maison avant que chacun des deux décline leur identité respective. La femme a pour mission de se faire embaucher par la jeune Maryika Vremler, que la concierge de l'immeuble dans lequel vit la jeune femme va introduire dans son entourage, en qualité de domestique et elle doit faire un rapport quotidien sur les activités de la jeune femme à Friedrich von Riegenburg. Sans le savoir, la jeune femme va devenir l'objet d'une surveillance accrue de la part des nazis. Maryika est désemparée de la mort de sa jeune domestique, et pendant des semaines, elle refuse de la remplacer. Cependant, frau Spitz, qui est le nom de la femme qu'Henrich est allé voir le soir de l'assassinat de Martha, se présente chez elle. Elle préfère s'acquitter des tâches domestiques elle-même quand son emploi du temps le lui permet. Alors qu'elle rentre chez elle après d'être rendue, comme chaque semaine sur la tombe de l'infortunée Martha, elle reçoit un appel de Munich. C'est le réceptionniste du Regina Palast qui lui téléphone pour lui annoncer que la commission qu'elle avait confiée au groom, Ruddi Reinecker qui a été licencié pour avoir volé les clients de l'hôtel, n'a pas été effectuée et il demande à la jeune femme s'il doit lui renvoyer le paquet, ou bien l'envoyer au destinataire. Elle comprend très vite qu'il parle de la pellicule et elle lui demande d'envoyer le paquet à son destinataire. Après avoir pris congé du réceptionniste, Gustav Umlauff se présente chez elle car le temps presse pour la préparation du tournage du dernier film de Wilhelm Speer et les préparatifs doivent se faire rapidement. De plus, il estime que Maryika n'a pas à s'occuper des tâches domestiques et qu'elle doit employer quelqu'un pour s'en occuper. Leur choix s'arrête sur frau Spitz qui vient s'installer dans la semaine. Elle prend rapidement possession des lieux et voyant la détresse de la jeune femme, elle lui dit de se tourner vers l'avenir et non pas vers le passé, surtout quand on a perdu une personne proche. Et pour cela, il faut avoir un idéal à défendre. Après lui avoir dit ça, elle va dans sa chambre et fait une liste des personnes vivant dans le quartier à arrêter avant de se coucher.
  18. Il existe des enfants ayant un régime végétariens qui mangent dans les cantines scolaires. Moi, ce qui me pose problème, c'est que les cantines refusent les enfants ayant des allergies alimentaires qui peuvent facilement être gérés...
  19. Noisettes

    Cinéma

    Coucou chers amis lecteurs, Comme j'ai eu quelques soucis techniques avec le film que je voulais vous présenter ce mois-ci, la séquence sera consacrée à un petit historique du cinéma entre sa naissance, en 1895 et la création des premières cinémathèques en 1935 pour conserver ce patrimoine audiovisuel. Mais on estime à un tiers le taux de la production totale qui est arrivée jusqu'à nous. Pourquoi seulement un tiers de la production cinématographique pour la période 1895-1935 nous est-elle parvenue ? C'est la première question que je me suis posée et la réponse est à la fois simple et complexe. Elle est simple si on prend en compte les conditions de conservation des pellicules qui étaient loin d'être optimales. Mais elle est aussi complexe quand on sait que les pellicules utilisées étaient extrêmement sensibles à la lumière car elles étaient composées de nitrate d'argent qui, en plus d'être sensible à la lumière, est un composant chimique instable et inflammable. L'incendie du bazar de la Charité, en 1898 et qui a fait de nombreuses victimes dans la bourgeoisie et l'aristocratie européenne, est un parfait exemple de la dangerosité du nitrate d'argent car rien ne peut mettre fin à l'incendie qui se consume de lui-même. Si la pellicule sur laquelle sont tournés les films est sensible à la lumière, à l'air et sa composition chimique instable, les conditions de conservation de l'époque ne prennent pas en compte ces spécificités. Ces pellicules sont entreposées dans des endroits exposés à la lumière, humides et chauds. Si des pellicules sont conservées de cette manière, elles peuvent se désintégrer. Et si cela n'est pas le cas, ce sont les images qui disparaissant partiellement ou totalement de la pellicule. Cependant, entre 1895 et 1935, il est fait des copies de films qui sont envoyées un peu partout en Europe et aux USA et avec des copies plus ou moins bien conservées, il a été possible de restaurer des films dans un état déplorable. C'est ce qui est arrivée avec la restauration en couleur du film de Georges Méliès, Le voyage dans la lune. Ce film a été tourné en 1902 et on savait qu'il avait existé une version couleur du film. Mais cette version était introuvable en France. En 1996 ou 1998, la cinémathèque de Barcelone transmet à une société, Lobster, un bobine d'un film qui est répertorié comme étant la version couleur du film de Méliès. Mais la bobine arrive dans un tel état à Paris qu'il va falloir douze ans de travail de restauration pour que le film revive. Dans cette version couleur, il a manqué des scènes qui ont été comblées avec la version noir et blanc du film que détenait la petite-fille du réalisateur. La version couleur, après un travail de restauration de douze ans, est présenté au public au festival de Cannes en 2011. Le cinéma naît en 1895 et les premières projections se faisaient dans les foires avant la création des salles de cinéma. Et si le public était fasciné par ce procédé technique, il était également fasciné par les films colorisés. Les films, tournés sur des pellicules noir et blanc, sont colorisés à la main à l'aide de pochoir, c'est-à-dire que chaque image est colorisé à la main avec un pochoir qui empêche de coloriser une autre partie de l'image. Le premier film tourné avec une pellicule couleur (et non colorisé) est un film de Léon Gaumont sur la plage de Trouville en 1909. D'ailleurs, Léon Gaumont au début de la décennie 1910, met au point un appareil sonore, le phonographe, pour prendre le son en direct lors d'un tournage de film. Mais cette technologie est hors de prix pour les salles de projection, ce qui fait qu'elle est oubliée avant l'avènement du cinéma parlant à la fin des années 20 aux USA, car la technique ne permettait pas la réalisation de film parlant. Le cinéma, à des débuts, propose au public des tranches de vie quotidienne. Des sorties d'écoles ou d'usine, le quotidien des marchands des Halles, des images des inondations de Paris de janvier 1910 (et j'adore ces images), la sortie des parlementaires du Palais-Bourbon, les inaugurations que fait le président de la République. En parallèle se développe une industrie du spectacle avec des artistes venant du music-hall ou du théâtre qui se lancent dans l'aventure de l'image. Des long-métrages commencent à voir le jour. Le public répond présent. Cependant, le public se lasse de voir des films avec les mêmes trames et les maisons de production commencent à détruire leur collection pour donner un signal fort au public : ne plus projeter les mêmes films. C'est une raison supplémentaire qui explique la disparition d'une grande partie du patrimoine cinématographique de l'époque. De plus, dans les années 20, Georges Méliès, en proie à des difficultés financières, décide de détruire toute sa production. Il creuse un trou dans son jardin, y met toutes ses pellicules et y met le feu. Avec la création cinématographique qui se développe se pose la question de la conservation des films de manière plus rationnelle et pour sauvegarder un nouveau patrimoine culturel que sont les films (courts-métrages, actualités filmées, tranche de vie quotidienne...). C'est dans cette optique que sont créées les cinémathèques dont la mission est de conserver ce patrimoine audiovisuelle (le cinéma parlant arrive en Europe au début des années 1930). Mais pour de nombreux films, la création des cinémathèques arrive trop tard, et pour certains, c'est une chance pour pouvoir être sauvés des ravages du temps. Voilà les raisons qui expliquent pourquoi il y a peu de films datant de la période 1895-1935 qui sont arrivés jusqu'à nous. Et on découvre, au cours de restauration de vieux films, des films inconnus de la filmothèque de grands acteurs et réalisateur, et je pense plus particulièrement à un film de Charlie Chaplin. Il commence sa carrière américaine en 1914 avec la société cinématographique Keystone. De nombreux films de la société, quand ils n'ont pas été détruits par le temps, ont été dispersés. Et en France, la société Lobster a restauré une partie des films de cette société, qui contenait les premiers films de Chaplin comme acteur. Et au cours de la restauration des films, il est découvert un film qui n'est pas répertorié dans la filmographie de l'acteur. C'est sur cette note positive que la séquence prend fin.
  20. Les parents payent la cantine pour leur enfant. Ensuite, c'est à la collectivité de faire la part des choses. Surtout ce que les parents demandent, c'est un plat sans porc, pas que la viande soit hallal ou cachère lors de ces jours.
  21. Mauvais, pour le CE1, j'en n'ai pas la moindre idée car enfant, je cumulais beaucoup de problèmes outre mes problèmes d'apprentissage. Pour le lycée, je sais pourquoi on m'a fait redoublé: ne pas pourrir le taux de réussite au bac du lycée qui n'était pas terrible. Pour ce qui est de mon bac, c'est un autre problème. Ensuite, je reste persuader qu'il existe une autre alternative que le redoublement que les enseignants ne connaissent pas ou refusent d'appliquer pour X ou Y raisons.
  22. Dans mon cas, il a fallut que j'arrive en 6e pour comprendre des choses que je n'avais pas compris tout au long de ma scolarité en primaire, alors que j'avais déjà redoublé le CE1. Et il a fallut que je fasse du latin, en 5e pour comprendre la grammaire de ma langue maternelle qu'est le français. Les redoublements que j'ai connus au lycée n'étaient en rien justifiés et l'année ou j'ai redoublé, mes résultats étaient pires que l'année précédente car non seulement je refaisais les mêmes choses, mais en plus, je n'étais pas stimulée intellectuellement. Dont pour moi, le redoublement ne sert pas à grand chose si les enseignants ne parviennent pas à comprendre qu'il faut stimuler l'intellect d'un enfant et ne pas lui refaire les mêmes choses.
  23. En quoi des enfants devraient-ils fait les frais des amalgames honteux que font les adultes ? Et l'argumentaire du gaspillage ne tient pas la route.
  24. Je ne suis pas favorable au redoublement, probablement parce que je l'ai vécu plus qu'une fois et que cela a été loin de me profiter. Il faut que les enseignants, pour intéresser les élèves, changent leur méthodes d'enseignement et que les parents s'investissent plus dans la scolarité de leur enfant sans pour autant remettre en cause l'autorité de l'enseignant.
  25. Noisettes

    l'equipe

    Le village du Prisonnier ? Quelqu'un pourrait m'expliquer la comparaison...
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